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[RP] Nauzhror le domaine de Sombrespoir

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Un cri d’alerte…Une demande à l’aide…Trez était donc revenu à la cour…pour quelques temps encore visiblement…On l’appelait, il venait…
Il arriva bientôt en vue du domaine du Maistre, il mit pied à terre devant les gardes…Son cheval s’ébroua bruyamment, heureux de pouvoir mettre fin à cette chevauchée sans fin…
Désormais vêtu d’un pantalon noir et d’une tunique blanche, il salua les gardes à son passage…Ceux-ci s’écartèrent sans broncher…

L’homme pénétra dans les lieux…Toujours beaucoup de monde...Il traversa d’un pas rapide la salle…des visages méconnus l’entouraient, un brouhaha omniprésent…Contraste de sa retraite …Un homme néanmoins attira son attention…il le reconnu aisément…Mais ne fit rien…il continua sa traversée et arriva à la tenture dissimulant la porte d’accès aux étages…Il devait faire vite…

La porte s’ouvrit laissant voir un escalier…il l’emprunta et disparut bientôt dans l’obscurité…
---fromFRBalmung du Ciel Azur
La Sarrasine venait de le déposer dans une alcôve et lui avait donné un serviteur pour ses désirs... Sans perdre de temps le vieux se mit à l'aise, comme il lui fut suggéré, et s'installa dans un fauteuil, l'épée tenant debout accoudé au fauteuil. Il eut un petit sourire, très petit, quand la Sarrasine prononça "vous procurera ce que vous souhaitez". A partir de la il était possible de tout imaginer, comme par exemple la faire se déshabiller... Mais hélas l'Azur ne cour plus derrière les jupons ! Il se contentera de claquer des doigts et de demander une boisson rafraîchissante. Donc les deux femmes disparurent de l'alcôve dont une qui reviendra et il se retrouva seul... Du moins pour un court instant...

Un fantôme du passé fit son apparition, qui lui adressa un sourire d'ailleurs. Une ride de surprise apparue au coin de son oeil droit. Son oeil blanc comme la neige lui restait impassible. Il répondit un "Bonjour" au "Salut" et s'excusa d'un signe de tête de ne pas pouvoir se lever. La remarque sur sa vieillesse lui arracha un petit rictus puis, la "servante" entra et déposa sa boisson sur la table basse et se retira de quelques pas. L'Azur tourna son regard alors vers celle ci il lui dit gentiment :


"Veuillez nous laisser."

Sans broncher, elle s'exécuta et ce n'est lorsque son minois disparut que Balmung fit conversation.

"Vieux ? Suis je si ridé que cela pour que l'on croit que ma bourse est bien garnit ? Hehehe... Moi je connais des gens qu’auraient vite fait d'avoir un bras cassé."

"Echidna, pour vous servir…"

"Bien sur... Je m'en doutais ! Le réglisse... Balmung du Ciel Azur."

Il inclina sa tête légèrement puis tendis son bras pour prendre délicatement le réglisse proposé et le porta à ses lèvres après avoir ajouté :

"Il me semble que mon fils vous a rencontré, ai je raison ? Cela remonte à si loin..."

Pépé avec un brin de nostalgie, faut pas croire, il chevauche très bien encore...
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---fromFRFèbre
Les rues froides dans la nuit glacée de fin août.
Le martèlement de la botte sur le pavé irrégulier, grossièrement taillé, fort mal ajusté. Martèlement ponctué du léger bruit du fourreau sur le cuir brun maculé de boue.
La rapière rangée dans sa protection noire, le bas de la cape noire traînant sur le sol, le feutre noir orné d'une plume de perdrix noire.
L'homme allait, tout vêtu de noir.
Son oeil, l'unique, semblait lui aussi teinter sur un noir d'encre profond.

Une légère brise soufflait alors qu'il parcourait les ruelles sombres de la Cour. La nuit était tombée sur la capitale et la voûte céleste se parait de ses plus belles étoiles qui brillaient tels mille petits feux.
La virée en taverne s'était avérée pleine de surprises fort intéressantes.
Il y avait la brune, l'encapuchonné rouge... et le vieillard...
En y repensant, un frisson parcourut le corps de l'Espagnol. Mais il se hâta de chasser cette abjecte pensée de son esprit.
A présent, il fallait se concentrer sur la destination.
Dans l'obscurité régnante, il était difficile de se repérer et les quelques flâneurs nocturnes n'abondaient pas.
Les allées, à un détail près, étaient identiques. Les bâtisses les bordant se ressemblaient comme deux goûtes d'eau.
Nauzhror.
Là était la seule indication qu'il avait quant à l'endroit où il devait - et où il voulait surtout - aller.
Alors que le bruit de ses pas annonçait à quiconque était embusqué sous un porche sa présence en ces lieux et se perdait en écho dans les profondeurs de la rue, son pied heurta quelque chose qui alla rouler un peu plus loin.
En s'approchant, Fèbre reconnut la forme qui se précisa.
Une tête.
Ou plutôt ce qu'il en restait.
On ne faisait plus la différence entre la face et le derrière si ce n'est peut-être une bosse sur l'un des revers qui s'avéra, aux yeux de l'Espagnol, être le nez.
Détournant le regard de cette abomination en putréfaction, Fèbre entendit un rire venant d'un peu plus en avant.


Ha ha ha ! Tu n'es pas le premier à qui la bobine fait cet effet-là.

Fèbre s'avança et toisa de haut l'homme assis, adossé à un mur de pierre sombre. Il riait à gorge déployée jusqu'à presque s'étouffer.

Nauzhror, questionna Fèbre. C'est où ?

L'homme le regarda un instant dans les yeux avant s'esclaffer à nouveau.

Nauzhror ? Mais tu y es, à Nauzhror ! C'est ça, tout autour de toi ! Ce cadavre-là, dit-il en désignant la tête et le reste du corps, c'est Nauzhror !

Ne te fiche pas de moi, s'insurgea Fèbre qui prit l'homme par le col de son vêtement et le souleva.

Les pieds de l'homme avaient quitté le sol et se débattaient furieusement pour que l'agresseur repose à terre leur propriétaire. Ce dernier commença à manquer de souffle. Un rictus le parcourait toujours.
Fèbre pressa son pouce sur la gorge et le pauvre tenta vainement de se dégager de l'emprise de son assaillant. Au bout d’une vingtaine de secondes, il cessa tout mouvement. Dans un dernier souffle, il expira.

Fèbre le lâcha et le corps inerte s'écroula de tout son poids. L'Espagnol resta un moment ainsi à le regarder avant de reprendre sa route. [...]

Alors qu'il progressait, les bâtiments se faisaient plus précis de part et d'autre. L'un, dont la taille imposante dépassait largement ses voisins, attira son attention.
En effet, gardant son entrée, deux sentinelles étaient postées devant.


Diable ! Ce fou avait raison...

Fèbre s'approcha et les deux sentinelles se tournèrent dans sa direction lorsqu'elles l'entendirent arriver.

Passe ta route, manant ! déclara d'une voix rocailleuse l'un des deux cerbères.

Je désire entrer dans les lieux, répondit Fèbre. Il me faut voir le Maistre du domaine.

Les sentinelles se concertèrent du regard avant que la même ne reprenne:

C'est bon, tu peux entrer.

Fèbre inclina légèrement la tête avant de les dépasser les gardiens. Vraisemblablement, il n'était pas la première personne à qui l'on accordait aussi facilement l'entrée du domaine et certainement que le Maistre recevait bon nombre d'hommes qui, tout comme lui, désiraient s'engager aux services de la Horde.

Une fois les portes refermées, Fèbre parcourut l'immense salle qui s'offrait à lui. Là était sans doute l'endroit des réceptions des ôtes. Il ne connaissait aucune des personnes se trouvant ici. D'ailleurs, il resta à les contempler, n'osant trop s'avancer. De prime à bord, l'endroit semblait lui convenir. Restait à savoir si le fait de travailler pour ces gens lui plairait tout autant.
---fromFREchidnaIX
Echidna esquissa un grand sourire lorsque l’homme accepta son cadeau…

Balmung du Ciel Azur… Bien qu’elle ne connaissait pas personnellement cet homme, elle avait évidement déjà entendu parlé de cette grande famille qui trônait à la cour… Et fut honorée de constater que cet homme la connaissait… Ainsi, au moins une personne à la cour se souvenait de ses exploits passés et de la grande organisation à laquelle elle appartenait avant la mort tragique de son dirigeant…

Grignotant son bâton, elle tourna son regard vers l’épée accoudée au fauteuil en fronçant les sourcils… Un vieillard certes… mais un vieillard bien armé… D’instinct, elle tâtonna la dague accrochée à sa ceinture, camouflée par le tissu de sa tunique… Elle n’avait certainement rien à craindre de cet homme, trop vieux pour se lever… Que pourrait il faire avec une épée…


"Il me semble que mon fils vous a rencontré, ai je raison ? Cela remonte à si loin..."

"Votre fils ? "Echidna réfléchit un instant avant de répondre…
"Des gosses j’en croise tous les jours mais… "après un moment d’hésitation elle continua… "J’me souviens d’un gamin paumé, il m’a parlé de vot’demeure… Entre nous, z’auriez du l’surveiller davantage, on a faillit l’tuer… "

Elle gloussa puis reprit

"Si j’me souvient bien, j’lui avait promis de venir le voir… Vous m’excuserai auprès de lui, j’avais d’autres choses à faire que d’aller voir un gosse écervelé… "

Elle esquissa un sourire narquois…

"Dites, vous lui voulez quoi à Sombrespoir ?"
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---fromFRLa Horde Sanguinaire
Rider se balançait sur sa chaise, pied sur son bureau où dessus se trouvait les armes des invités présents à Nauzhror. Il détestait être de garde, mais il devait avouer que la surveillance avait ses avantages. Il pouvait rêvasser à comment dépenser son or et aux prochains larcins qu’il commettrait en ville. La chance veillait sur ses gains depuis quelques temps et il était en passe de devenir Turcoplier. Il fallait juste qu’il trouve un moyen de faire échouer, encore une fois, un plan de son supérieur hiérarchique. Si possible, qu’il y reste ce coup-ci. Alors li serait nommé assurément. Foi de Rider, dès qu’il serait aux commandes de quelques hommes, la Cour et ses habitants trembleraient. Son nom serait bientôt plus craint des manants que celui de Sombrespoir. Une petite clochette attira son attention. Il soupira… en voyant un individu passer devant son poste et filer en direction e la grande salle sans avoir remis ses armes.
– Putain d’empressé à la con…dit-il en continuant de se balancer.
Il attrapa une noix dans un ravier et la jeta dans sa bouche. Il faillit tomber à la renverse, mais il sentit le contact doucereux de la graine. Il l’a glissa contre ses molaires et la broya. Comme il allait le faire de son cher lieutenant…
Rider cracha ensuite dans le couloir sur un ton particulièrement fatigué :

- Eh ! Tu comptes jouer de la rapière là-bas ? Si tu veux on a une salle privée pour ça ! Sombrespoir aime bien se détendre en regardant un combattant affronter une bête que toi-même tu ne pourrais même pas imaginer un jour affronter !
Tapotant des doigts sur le bureau en apercevant l’homme s’approcher, Rider lui suggéra : - Tu laisses ta rapière ici et il n’y aura pas de problème.
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---fromFRAëlys Ó Domhnaill
C'est en silence mais avec un oeil un brin interrogateur qu'elle avait regardé Somprespoir s'eclipser dans la ruelle juste a coté. Etrange comportement. Qu'est-ce que cette attitude pouvait bien lui apporter? Il avait tout le Quartier a ses pieds. Et bientot la Cour ferait certainement de meme. Caprice de Grand Maistre surement. Dorian en avait aussi. Souvent d'ailleurs et généralement pervers. Sombrespoir en aura probablement d'autres, de natures diverses et variées, elle n'en doute pas un seul instant. Enfin. Elle ne va pas rester là à attendre inutilement. De un ça ne lui apportera rien a part l'ennui, de deux ça serait pure perte de temps et de trois elle se doit se retrouver le Maistre.
Tournant les talons qui claquent sur les pavés sales, elle se met en route pour gagner l'entrée principale du Domaine. Quelques individus ici et là, certains s'adonnant à la rapine sur des passants inconscients, un mendiant qui se fait rosser avec virulence par deux colosses probablement membres de la Horde, des prostituées répugnantes trainant leur postérieur et essayant de vendre leur charme... Rien de bien intéressant qui pourrait attirer son attention. De toute façon la Demoiselle n'a qu'un but et rien ne l'en détournera. La démarche rapide et le regard méfiant, une main posée sur sa cuisse ou loge sa lame, elle continue son chemin.

Sa destination finale, gardée comme il se doit par des Cerbères, se dresse rapidemment devant elle. Deja elle ne sait pas perdue. C'est dejà ça. Toutes ces rues puantes sont encore une grande enigme à laquelle elle compte bien remédier des qu'elle le pourra. Tout en découvrant son visage de poupée de manière féline, elle gagne l'imposante entrée. Non loin de là ce qui pourraient etre qualifiés d'aboiements. Quelqu'un a du jouer avec les nerfs d'un des chiens de garde du Maistre... Cela lui arrache un leger sourire tandis qu'elle continue de s'approcher. Elle gagne silencieusement le bureau ou le Sanguinaire s'acharne pour le moment verbalement sur le fou qui ne semble pas vouloir obéir. Elle ne compte point attendre qu'il se décide de toute façon. Elle laisse glisser d'une maniere agile sa cape et la rattrape avant qu'elle ne tombe a terre. Puis elle pose avec une legere provocation son postérieur sur le bureau et croise les jambes.

- Salut Chéri.... dit elle d'un léger sourire en regardant la bête aux couleurs de Nauzrhor. De son regard glacé elle le dévisage et le détaille, tout en laissent glisser ses doigts délicats sur la lame encore accrochée a sa cuisse. Sait-il? Non. Il ne doit pas savoir. Meme si les choses vont parfois tres vites, là elle n'y croit pas vraiment... Elle reste quelques longues secondes à le regarder, finit par détacher sa dague et la plante dans le bois du bureau, non loin des doigts du Sanguinaire.
- Je suppose que je dois te laisser mes armes... meme si je te dis que le Maistre m'a accepté au sein de la Horde....
---fromFRFèbre
Lorsqu'il pénétra dans le domaine de Nauzhror, qu'il entra dans la vaste salle d'accueil, Fèbre ne remarqua le comptoir juste à côté de la porte. Il était trop absorbé par ce qu'il entourait et n'avait prêté d'attention au vigile de garde. Son regard allait de gauche à droite - et inversement - dans toute la pièce richement décorée. De son unique oeil, il tenta de sonder l'extrémité de l'endroit mais c'était sans compter la pénombre y régnant. Les torches éclairaient une petite partie du salon si bien que l'on ne pouvait distinguer, depuis l'entrée, les alvéoles situées au fond. Aussi possible que faire se pouvait, il essaya de garder son calme.
C'était peine perdue.
En effet, l'excitation avait laissé place à l'impatience. Seulement, cela, il ne faudrait en aucun cas le faire paraître lorsqu'il serait en présence du Maistre. Le regard froid et ferme devait témoigner d'un homme impassible, inébranlable. Un homme avide, cruel... c'était d'ailleurs ce qu'il était. Mais en cet instant, quelque chose dont il ne pouvait déterminer la nature l'obnubilait. Et c'est ce quelque chose qui fait qu'il n'entendit les injures prononcées à son égard.
Fort heureusement.
Se faire insulter de la sorte, il ne pouvait le tolérer. Cependant, lorsque l'homme au comptoir repris la parole, Fèbre fut comme sorti d'un rêve qui le ramena à la réalité.


- Eh ! Tu comptes jouer de la rapière là-bas ? Si tu veux on a une salle privée pour ça ! Sombrespoir aime bien se détendre en regardant un combattant affronter une bête que toi-même tu ne pourrais même pas imaginer un jour affronter ! Tu laisses ta rapière ici et il n’y aura pas de problème.

- Le Maistre aura maintes occasions de me voir à l'oeuvre, rapière à la main... plus tard. S'il me faut te laisser ma lame, je le ferai. Je n'ai pour habitude de la confier à quiconque que ce soit mais, si là sont les désirs du Maistre ...

Au même moment, une femme entra. Vêtu d'une cape, elle s'avança vers le comptoir. Au moins, elle était au courant du fait que l'on devait remettre ses armes à l'entrée. D'une démarche aguichante, presque provocante - car provocatrice, elle l'était très certainement - elle se posa sur le rebord du comptoir, les jambes croisées. Elle salua le "molosse" d'un "chéri" qui ne trahissait en rien son côté... sulfureux.
Puis, elle lui présenta sa dague. Présenter n'est pas le terme le plus adéquat lorsque l'on voit la façon avec laquelle elle planta l'arme dans le bois.
Fèbre la regarda faire tout en la dévorant du regard. Une femme sublime, certes, que voilà.


- Madame est-elle nouvelle dans les lieux ? demanda l'Espagnol.
---fromFRLa Horde Sanguinaire
Rider marqua un temps d'arrêt devant le comportement très avenant de la jeune femme, il avait certes, l’habitude des femmes naturelles et directes mais il avait appris aussi à Nauzhror à se méfier de tout le monde.
- Chéri ? Mmhh ton sourire me dicterait de ne pas faire attention à cette dague mais il faut avouer que c’est souvent les femmes fatales comme toi qui plantent ce genre de choses dans le dos des hommes je me trompe ?

Rider opina du chef en souriant, satisfait d’avoir percé à jour la femme et concentra son attention brusquement sur l’homme à la rapière qui revenait sur ses pas : - A priori vous semblez tous connaître le Maistre, mais dans le doute je préfère que vous posiez vos armes… Il y a seulement une élite qui peut approcher de Sombrespoir avec des armes en main ! Vous devez savoir ou vous apprendrez rapidement qu'il est de nature très méfiante !
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---fromFRAëlys Ó Domhnaill
Et bien... ça dépend... cette lame ne transpère jamais sans raison... répond la Demoiselle au Sanguinaire en lui adressant un clin d"oeil. Puis sans adresser un seul regard à l'autre homme qui lui parle, elle se penche en avant, offrant à ce dernier une vue plutot plongeante dans son corset qui met audacieusement en valeur les deux monts dénommés poitrine. D'un geste félin elle sort, elle sort un petit couteau d'une de ses bottes et le pose sur le bureau.
- Un petit conseil... prend en soin... ajoute t elle en se relevant, bousculant legerement mais volontairement l'homme a la rapière. S'arretant à quelques petits centimètres de lui, elle tourne son visage en sa direction et l'observe quelques secondes.
- Que je sois nouvelle ou non...cela changerais quelque chose à votre vie...? L'accent est chantant et le ton volontairement piquant. Le ton de l'étranger lui semble un peu trop mieleux a son gout. Et puis elle n'a pas envie de lui parler. Et quand elle n'a pas envie, elle n'a pas envie et le fait savoir.

Ne souhaitant pas attendre une éventuelle réponse, et n'accordant aucune importance à l'opportun, elle s'éloigne dans une démarche... provoquante, le rythme de ses hanches étant du genre libidineux. Silencieuse elle parcourt les derniers metres qui la séparent de la grande salle ou elle se trouvait il y a... a dire vrai peu de temps. Tout est d'un calme relatif, des donzelles énervantes servant de serveuses vont et viennent vers des clients. Appelant l'une d'elles d'une manière assez seche, elle lui ordonne plus qu'elle ne demande, de lui apporter un whisky. Encore et toujours la meme boisson... Et pur malt bien sur. Puis elle s'installe dans un coin sombre, volontairement en retrait mais permettant une bonne observation des lieux.
Observer...
S'impregner du lieu..

---fromFRBalmung du Ciel Azur
L'Azur morda dans le présent sans prendre de precaution ou encore sans maniere elegante. Machouillant son baton, Balmung ne manqua pas de remarquer que la dame se tatonner... Un geste si banal pour lui qu'il n'en fit pas questionnement et se contenta d'un rictus. Ses mains pouvaient trembler elles n'en resteront pas moins de fer. Il etait sur d'une seule chose, l'unique chose qui pourrait lui faire defaut a ce moment la n'etait que sa mémoire. Mais on a jamais a craindre d'un vieux, du moins pour son cas. L'Azur se contenta de sourire a la remarque d'Echidna et repondit ceci :

"J'estime qu'a partir d'un certain age il est mieux de se debrouiller seul. Ainsi qu'il meurt ne me touche pas beaucoup, Il aurait choisi lui meme sa voie."

Juste une petite touche de melancolie dans la voix, un leger soupir de desespoir a la fin... Il finit par rire de la suite.

"Hehehe.... Gosse écervelé hein ? Hehehe j'ai du lui dire plus d'une fois. Mais maintenant il a bien grandi et je supose que s'il vous recroise il n'hesitera pas a vous mener dans un lit pour debattre de choses et d'autres... Hehehe".

Puis vint une question... La question que tout le monde doit poser a un nouveau arrivant. L'Azur repondit sans meme une hesitation.

"Et bien... Je suis la pour lui demander une chose qui j'espere ne sera pas refusé."
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---fromFRSombrespoir
Sombrespoir ouvrit une porte dérobée puis, passant sous une tenture arriva dans une alcôve vide. Vêtu d’une toge noire au galon pourpre lui donnant l’air d’un homme filiforme, au port altier et à la mise somptueuse ; le Grand Maistre de la Horde Sanguinaire, masque verni au visage se faufila vers la grande salle. Interpellant une servante, ils se murmurèrent quelques secondes des paroles – Rien de particulier depuis mon absence ? - Non mon maistre ! répondit d’une voix soumise la jeune brune J’ai juste entendu, en passant vers l’entrée un homme qui ne me rappelle rien disant vouloir vous voir ! La femme prit congé et repartit à ses occupations tandis que Sombrespoir se mit en quête de trouver cet inconnu souhaitant l’entretenir. La mission fut rapide et facile, dans le large couloir un étranger attendait face au bureau où on filtrait les passages à Nauzhror.

– Soyez le bienvenu dans ma demeure ! Vous êtes ?
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---fromFRLa Sarrasine
Entrée par la petite porte une fois encore, la Sarrasine ne cache pas sa déception.
Il y aurait certainement quelques ajustements à faire prochainement au sein de la horde, mais en attendant, elle avait à faire.

D'un geste, elle disperse le petit groupe qui l'accompagne, leur indiquant de la main la porte qui mène aux sous sols.

Une servante, craintive et en tenue légère s'avance. Elle lui jette sa cape dans les bras, gardant son ensemble noir et son voile, ainsi que son sabre.


- Le Maistre ?

La servante bredouille quelque chose en désignant une alcove dans la salle commune où elles viennent de pênêtrer.
L'infidèle la congédie d'un geste et s'avance dans la salle.
Quelques personnes dans divers recoins, elle scrute mais rien ne semble menaçant.

Elle écarte doucement le rideau. Le Maistre semble en conversation avec un homme d'apparence assez agée.
Elle tousse pour attirer son attention et attend qu'il l'autorise à prendre la parole.

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---fromFRSombrespoir
Sombrespoir voyant la Sarrasine se faufiler dans l’alcôve comprit rapidement qu’elle venait lui faire le rapport au sujet de la petite escapade à l’Opalescente. Abandonnant son interlocuteur qui ne daignait toujours pas à lui répondre, le grand Maistre de la Horde Sanguinaire s’excusant se leva et s’avança à la rencontre de la Sarrasine. – Justement je te cherchais, j’ai reçu une missive et il me faut partir pour le Berry prestement ! Une dizaine de chevaliers devrait être suffisant pour mon escorte, je pars à cheval ! Se taisant un instant, il changea complètement de sujet Sinon, aucun problème dans ce que je t’avais confiée à faire ? Le regard demandant des réponses, Sombrespoir sous son masque était impatient d’entendre que la fameuse Anne Bonny avait cédé sous la pression sanguinaire.
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---fromFRLa Sarrasine
Le Berry. Elle n'avait qu'une vague idée de l'endroit où ça pouvait se trouver, mais qu'importe. Elle ferait préparer provisions et montures en temps et en heure. Nauzhor était habitué à ce genre de demande.

Citation:
Sinon, aucun problème dans ce que je t’avais confiée à faire ?


Elle baissa les yeux, cachant un éclair de colère. Sa mission l'avait plus que déçue, mais pas question de perdre la face devant un étranger, ni de paraitre faible. Aussi, elle répondit, utilisant sa langue maternelle plutot que le français.

- Il faudra remettre ça Maistre. Plus de monde et mieux préparé. Cette femme a des soutiens et des appuis. Il y a risques de guerre à la cour, mais nous y arriverons.


Reculant de quelques pas, elle attendit qu'il lui donne l'autorisation de partir préparer cette expédition dans le Berry.

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---fromFRSombrespoir
Les yeux de Sombrespoir à travers son masque envoyèrent des éclairs l’espace d’un instant entendant le rapport de la Sarrasine et notamment le résultat. Remettre ça à plus tard ? La Horde n’avait pas dans ses habitudes de repousser à plus tard les choses ! Le poing serré, le grand Maistre sortit de l’alcôve laissant tomber au passage une jarre qui s’éclata en plusieurs morceaux laissant régner un silence inhabituel dans la grande salle. De partout, les convives, étrangers et même les membres de la Horde regardaient Sombrespoir et la maure afin d’essayer de comprendre. Se retournant vers la Sarrasine, il répondit dans sa langue natale.

- Cette Bonny payera son affront, à mon retour elle s’agenouillera et suppliera en voyant son foutu bordel brûler c’est clair ! Allez, je veux que dans vingt minutes Targaraene soit devant Nauzhror avec derrière lui dix sanguinaires ! Exécution !

Sombrespoir avait perdu le sang froid qui le caractérisait habituellement, le voyage allait s’annoncer difficile pour ses nerfs. Cette mission ! Elle était pourtant simple… Pestant intérieurement, le grand Maistre se dirigea vers Aëlys, peut-être l'irlandaise serait partante pour l’accompagner en province. Un nouveau visage le changerait et le détendrait un peu…

Après avoir traversé la grande salle, Sombrespoir arriva enfin à la hauteur d'Aëlys. La saluant d'un signe de la tête, il ne fit pas de manière quant à son invitation.


- Je vois que vous commencez à prendre vos aises à Nauzhror et j'en suis enchanté. Sourire sous son masque Je dois aller en Berry, seriez-vous intéressée pour m'accompagner ? Affaires courantes rien de plus, je dois rejoindre un détachement de sanguinaires...
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