Julien du Moutier
Le convoi Moutier était arrivé tôt, très tôt ce matin devant labbaye. La route avait été longue depuis le Languedoc.
Personne neut dit quelle fut pénible, bien au contraire, car les retrouvailles et les quelques soirées passées en taverne furent des plus agréables, mais la route fut longue et fatigante.
Julien laissa les deux amies de leur côté, elles avaient sans doute fort à faire pour effacer les traces du voyage et lui aussi du reste !
Il partit prendre une chambre dans lauberge la plus proche, y prit un bain chaud, se rasa de près, un rapide coup de clou dans les cheveux et hop ne restait plus quà déballer le costume
Julien navais jamais porté de tel vêtement, sorti de ses habituelles braies, il était un peu perdu.
Il regarda, dubitatif, cette chose que lon nommait pantalon bah, deux tuyaux aussi, comme ses braies, il y entra ses jambes, parfait, dame Jovalpeye avait le coup dil affuté, elle lavait jaugé .
Il enfila ensuite la tunique, puis les bottes parfait, il se sentait finalement assez à laise dans son costume de marié, et essaya tant bien que mal den contempler le résultat.
Il sortit et se dirigea allégrement vers labbaye, où il se rendit directement vers labbatiale Saint-Bernard, la porte en était ouverte.
Entrant dans lédifice, il se rendit compte quil y était le premier. Il se signa et remonta lentement la nef. Tout avait été fleuri, décoré pour la circonstance, décidément, Uriel était précieux.
Julien sagenouilla sur un banc et entreprit de prier enfin il remercia le Très Haut, il avait tant à dire.
Toutes ses prières avaient été exhaussées et la tournure quavait prit sa vie ne pouvait que le ravir. Les retrouvailles avec sa sur, la rencontre de Lady, et enfin cette magnifique journée qui allait voir son union, devant Dieu et les hommes, enfin !
Il pensait à la dernière fois quil était venu ici même, pour son Baptême, à sa confession reçue par le frère Uriel qui lavait tant réconforté et lui avait donné tous les motifs de croire ne restait plus quà attendre patiemment quarrivent sa future épouse ainsi que leurs invités.
Il saperçut seulement que ses mains étaient moites et que son cur battait la chamade merci mon tendre petit cur, merci mon Dieu
Personne neut dit quelle fut pénible, bien au contraire, car les retrouvailles et les quelques soirées passées en taverne furent des plus agréables, mais la route fut longue et fatigante.
Julien laissa les deux amies de leur côté, elles avaient sans doute fort à faire pour effacer les traces du voyage et lui aussi du reste !
Il partit prendre une chambre dans lauberge la plus proche, y prit un bain chaud, se rasa de près, un rapide coup de clou dans les cheveux et hop ne restait plus quà déballer le costume
Julien navais jamais porté de tel vêtement, sorti de ses habituelles braies, il était un peu perdu.
Il regarda, dubitatif, cette chose que lon nommait pantalon bah, deux tuyaux aussi, comme ses braies, il y entra ses jambes, parfait, dame Jovalpeye avait le coup dil affuté, elle lavait jaugé .
Il enfila ensuite la tunique, puis les bottes parfait, il se sentait finalement assez à laise dans son costume de marié, et essaya tant bien que mal den contempler le résultat.
Il sortit et se dirigea allégrement vers labbaye, où il se rendit directement vers labbatiale Saint-Bernard, la porte en était ouverte.
Entrant dans lédifice, il se rendit compte quil y était le premier. Il se signa et remonta lentement la nef. Tout avait été fleuri, décoré pour la circonstance, décidément, Uriel était précieux.
Julien sagenouilla sur un banc et entreprit de prier enfin il remercia le Très Haut, il avait tant à dire.
Toutes ses prières avaient été exhaussées et la tournure quavait prit sa vie ne pouvait que le ravir. Les retrouvailles avec sa sur, la rencontre de Lady, et enfin cette magnifique journée qui allait voir son union, devant Dieu et les hommes, enfin !
Il pensait à la dernière fois quil était venu ici même, pour son Baptême, à sa confession reçue par le frère Uriel qui lavait tant réconforté et lui avait donné tous les motifs de croire ne restait plus quà attendre patiemment quarrivent sa future épouse ainsi que leurs invités.
Il saperçut seulement que ses mains étaient moites et que son cur battait la chamade merci mon tendre petit cur, merci mon Dieu