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[Mariage Ladyphoenix/Julien]: soyez les bienvenus !

Aria
Alors qu'elle avait quitté Stephandra, Della l'aborda d'un sourire qui mit un doute chez la rouquine.
Elles n'avaient jamais été proches, toujours cordiales mais sans affinité.
Elles ne s'étaient pas revues depuis que le mariage de la belle de Volvent et du Baron avait été annulé et depuis que sa relation avec ce dernier fut officialisée.

Malgré tout, elle avait beaucoup de respect pour cette femme. Non pas parce qu'elle était la soeur de Ganju, mais parce qu'elle avait toujours montrer une droiture assez redoutable.

Aria lui sourit en retour.


Je vais bien merci et vo..

Mais elle n'eut pas le temps de répondre que déjà une voix famillière se fit entendre derrière elle. Théognis approcha baisa la main de Della et Aria écouta la réponse de celle ci avec attention. Elle avait apprit l'agression qu'avait subit Della et avait été sincèrement inquiète pour elle.

Le clin d'oeil de Della ne fit aucun effet sur Aria qui, était loin de se fâcher pour ce genre de réactions face à son loup.

Un autre sourire éclaira ses traits, alors que son fils observait Della avec curiosité.

Une main discrète se posa sur l'échine du Baron, fin frôlement bien plus intense qu'une étreinte


Ah.. Della je ne vous ai pas présenté mon fils je crois... voici Loup

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lonufiel
Lonufiel après avoir franchi les portes de l'abbaye arriva jusqu'au lieu du mariage de Lady qui par une missive l'invita il y a de cela peu de temps revenant de mission il était un peu fatigué par le voyage.

Bonjour mesdames bonjour messires.

Il espèra ne pas faire trop de fausse note dans le décor qui est des plus splendide, il reconnu quelques personnes et ensuite alla attendre dans un coin un brin intimidé.
stephandra
Un mon oncleee ma tannte attire les azurs de la jovente, elle sourit en voyant son cher et tendre neveu toujours accompagné de ses porteurs, elle reconnu aussi Elisabeth. Se levant pour poser une délicate bise à Ul et en fit autant à Eli, elle l’aimait bien et espérait travailler sous peu avec elle aux écuries, la jovente poussait en ce sens.

Je suis ravie de vous revoir tous les deux, surtout en un jour comme celui-ci..

Julien les accueillit aussi quand Aria la jolie rousse arriva avec son ptit loup, Stéphandra en future mère fut attendrie après avoir fait la bise à la maman, elle bisa le front délicat du petit bout.

Je suis ravie de te revoir Aria, je vais bien mon voyage…
C’était pas le meilleure endroit pour en discuter, Stéph lui fit un sourire et un clin d’œil, Aria n’était pas une lapine de trois semaines et comprendrait à mi mot.

Toi ça va ? Ton petit a bien changé en si peu de temps dis donc…

Pas de temps de répondre, Aria était occupée avec Della…Théo..Lonu arrivait aussi oulalala comment Julien faisait il pour pas perdre le nord ?

Elle sourit en le regardant papoter…

Julien du Moutier
Tout semblait se mettre en place gentiment, les convives se retrouvaient, pour certains, il semblait que ce fut après un long moment. Qu’à cela ne tienne, l’essentiel était bien que l’ambiance soit des plus cordiales.

Julien sursauta en reconnaissant la voix unique de son neveu. Il ne put masquer sa surprise, se retournant et apercevant Ulrich juché sur une espèce de litière à porteurs.


Ulrich mon neveu…mais que fais tu donc là-dessus, aurais tu perdu l’usage de tes jambes ??? Il semble que j’ai manqué un gros épisode, il te faudra m’entretenir de tout cela au plus vite…Elisabeth…enchanté, je suis ravi de faire votre connaissance…

Une légère ombre se dessina dans ses yeux à l’évocation de son défunt frère, il parvint à sourire à Ulrich malgré tout, reconnaissant de la façon qu’il avait d’évoquer Aristide.

Julien n’avait plus le temps d’accueillir tout le monde, les arrivées se succédaient à un rythme effréné et il se mit légèrement en retrait…réussissant à peine à saluer Aria au milieu du léger brouhaha qui s’était installé.


Bonjour Aria, je vais très bien merci et vous ?
Angoissé ? Non, ce n’est pas le mot…disons….si, un peu et…..


Pas même le temps de finir sa phrase, il rougit d’un coup se demandant pourquoi la température venait de monter subitement.

Ahum…et bien…noooooon, pas ici tout de même…il n’y a pas même une barque enfin…allons !

Ravi que la discussion prenne un autre tour, que les mouches changent d’âne…cela lui laisserait un peu de répit, il vissa un grand sourire sur ses lèvres et écouta amusé ce qui se disait autour de lui…dirigeant son regard de plus en plus souvent vers la porte. Qui le connaissait savait…qu’à ce moment précis il aurait donné son costume tout neuf pour qu’elle soit là. L’attente devenait pénible et il lui semblait que des jours entiers s’étaient écoulés depuis qu’il avait laissé Lady et Steph pour aller se préparer.
Elisabeth Stilton
Le voyage avait été agréable en la compagnie de son capitaine. Capitaine la situation pourrait presque être comique si elle n'angoissait pas la jeune femme. A tout moment il pouvait être tué et ça elle ne pouvait le concevoir. L'avouer au jeune homme ? Ah ça jamais. Aussi ils avaient pris le chemin pour Noirlac, la dernière fois pour Ulrich d'après ce qu'il lui avait dit pour elle surement pas, elle reviendrait surement rendre visite à son parrain de temps à autre.

Pour l'occasion, elle avait passé la robe verte made by Attia des Doigts d'Or. Elle adorait cette robe, et elle irait bien avec la déco tendance de son capitaine.



Le couple arriva dans l'abbatiale qui l'avait vu se faire baptiser, qui les avaient vu se pardonner, qui les avaient vu unis pour un mariage, et les voilà pour un autre.
Avec sa discrétion légendaire, Ulrich ne les fit pas remarquer, à peine. Aussi elle essaya de paraître chaleureuse, exercice difficile pour elle vu qu'elle a appris à faire le contraire et à se montrer froide. Avant de parler à qui que se soit, elle se pencha vers Ulrich.

Avant d'en parler à votre famille, il faut voir Uriel, il a la procuration de mon père en ce qui concerne ce genre de choses. Vous devez lui parler.

Elisabeth reporta son regard sur les personnes présente. Elle avait un sentiment étrange de déjà vu du moins pour les noms. Ladyphoenix, elle avait lu ce nom dans les archives de Mère pour les procès, Julien était le frère de Stephandra. Ah Della, elle au moins elle la connaissait et pour cause. Enfin pour Elisabeth le sujet était clos et elle était même prêt à reprendre l'élève si un jour celle ci le voulait mais ça c'est une autre histoire. Vient une Aria, le nom ne le disait rien, enfin quelqu'un que sa mère ou Ulrich ne connait pas. Avant de s'approcher du petit groupe elle file embrasser son parrain.

Bonjour Parrain, tu me semble en pleine forme. Je file nous parlerons plus tard. Après l'office.


Dans l'ordre elle salue Sephandra.


Moi aussi je suis contente de vous voir, j'espère que la prochaine fois cela sera aux écuries. Félicitation au marié.

Vint Della.


Bonjour Dame de Volvent. Je ne pensais pas vous voir ici. Ulrich ne m'avait pas parlé de votre venu.

Elle allait retourner auprès de son parrain quand son sang ne fit qu'un tour. Théognis ? C'était donc lui, un des amants de Mère. Elle ne pensait pas le voir un jour. Surtout pas en Berry. Elle devait se présenter, elle le devait à tout prix. Elle resta donc là pendant que Della parlait de son "accident", Elisabeth avait même prié pour elle. Doucement elle tendit une main à l'homme devant elle.


Bonjour Messire, je me présente, Elisabeth Stilton ... de la Combe aux Loups. Enchantée.
uriel
[Avant l'arrivée des invités, alors que l'on ne voit que le ciel qui bleuoie et le soleil qui rougeoie]

Uriel décela dans le regard de Julien tout le bonheur que pouvait éprouver un homme heureux.
Cela lui remit du baume au coeur, même si intérieurement, la pensée de sa cardinale préférée ne le quittait pas.
Ainsi allait la vie, ainsi allait les choses, nul n'était éternel.
Mais les moments comme ceux-ci, les mariages, ne pouvaient être entachés de pensées moroses et il sourit à Julien, ce dernier le contaminant - et tant mieux - de sa bonne humeur.


Il n'y a pas à me remercier, Julien. Mais si vous m'offrez votre amitié, c'est pour moi le plus beau des cadeaux qu'un homme puisse faire à un autre. Un présent qui n'a pas de prix, et pourtant d'une valeur incommensurable.
C'est moi qui vous remercie, en vérité, car vos paroles me touche beaucoup. Et si les miennes ont mis vos pas sur le chemin de la Lumière, alors, je n'ai pas failli à ma mission.


L'émotion était à fleur de peau chez le Frère, en ces jours.

Voici donc une belle journée qui s'annonce, mon ami. Une nouvelle route qui se trace.

Il n'en dit pas plus, car ces routes étaient parfois semées d'embûches, parfois elles étaient simples et paisibles.
Uriel connaissait ces sentiments, et il remercia le Très-Haut d'avoir un jour mis son épouse sur sa route, la Duchesse face au Vagabond ...

Il salua alors la jovente qui arrivait, il s'étonna de ses paroles et sourit de la coquille qu'elle venait de lâcher.


Bonjour damoiselle Stephandra, c'est une joie pour moi de vous voir à nouveau.
A ce propos, je crois qu'il faudra que l'on discute ... médecine, mais nous ferons cela après la cérémonie, si vous le voulez bien.

Ce n'est rien, ne vous en faites pas, je ne suis pas un inquisiteur.


Quand bien même il était procureur ecclésiastique, il ne lui revenait pas de lancer une mise en accusation, pas ici.
De toutes façons c'était une manière de langage et non point un irrespect.
La Chapelle se replissait peu et peu ; entra alors une ancienne Lorraine, qu'il avait revu avec plaisir en Bourgogne : Della.
Si longtemps déjà ... tout cela ne le rajeunissait pas. Il se rappelait encore de la jeune fille agacée, rencontrée sur les marches de l'Eglise de Toul, s'en était suivi un échange épistolaire où quelques révélations étaient tombées. Déjà à l'époque, Uriel ne jugeait pas, estimant que cette lourde tâche ne lui revenait pas. Évolutions et révolutions, la jeune fille avait muri, grandi et était devenue femme aujourd'hui.
La saluant, il lui prit les mains.


Della, le plaisir est partagé. J'espère que vous allez bien mieux, maintenant.

De fait, il avait appris que la jeune Volvent était passée à deux doigts de l'entrée du Paradis Solaire. Le monde avait encore besoin d'elle, ce temps viendrait, comme pour eux tous, mais le plus tard possible.
Il leva un sourcil en voyant sa filleule Eli au bras d'Ulrich ; bon il connaissait l'histoire, mais de là à ... non ... quand même pas.
M'enfin, bon, si c'était le choix d'Eli, il ne s'y opposerait pas, même si il avait promis à son père de veiller sur le bien être de sa fille ; cela dit, tout gentil et sympathique qu'il soit, d'aucuns avaient appris à leurs dépends que chercher le Réaumont Kado'Ch qu'il était, on courrait de graves ennuis ; le dernier à l'avoir fait s'était retrouvé devant le Grand Inquisiteur, et avait eu les poils des cuisses qui avaient failli gravement roussir ...
En tout cas, hors de question de s'en tirer sans une solide explication, et solide, style sur laquelle on pouvait bâtir une cathédrale ... de vertu, quand même !

Il salua les personnes qui entraient puis embrassa sa chère filleule.


Bonjour Eli, et bien oui, comme tu le vois, me voici à reprendre du service ... même si je n'ai jamais arrêté.
Allez oui, file, on se reparle tout à l'heure.


Et bien, quelle animation, ils n'allaient pas s'ennuyer ...


[HRP : Okido, LJD Ulrich, pas de soucis ^^]
Theognis
Immédiatement, il se sentit mal à l'aise et un léger flottement suivit la présentation d'Elisabeth. Malaise qu'il dissipa dans les gestes habituels du salut courtois, cueillir la main comme on cueille une rose et souffler au revers des doigts un baiser suggéré. La mécanique du séducteur, qui précède souvent des merveilles d'ingénierie.
Au moins cette mise en scène lui permettait de reprendre pied et de parler avec une voix égale à la jeune femme blonde.


Tout le plaisir est pour moi, on retrouve en vos traits ceux de votre mère, comme deux belles roses issues de la même tige.

Le Baron n'avait pas mieux à offrir sur le moment, et le "tige" tombait un peu mal. En l'occurrence, devant la jeune fille naïve, il espérait bien que cela suffise.
Pas si jeune, pourtant.....Pourquoi se prenait-il à chaque fois un coup de vieux en observant les rejetons des belles plantes aimées? Certainement, Poup l'avait eu très jeune, certainement.....

Il évita les termes de "condoléances", "deuil", "affliction", comme bien d'autres. Dans les heures sombres où il ne se montrait plus en public, espérant simplement dans les bras d'Aria des baisers à venir, il avait caché son chagrin. Le réservant aux paysages de ce printemps maudit, laissant couler des larmes quand il était seul et certain de ne pas être vu. Théo se sentait si ridicule de pleurer ainsi qu'il préférait toujours pleurer en solitaire. Son amie était l'étoile d'Arquian, la Connétable aux cents chevaux plus beaux les uns que les autres, et elle donnait la vie aux murs noirs du château, aux forêts profondes du domaines, elle donnait la vie et la Foi.
Seulement, il n'était pas venu à la cérémonie funèbre, et se sentait coupable envers la fille d'Aliénor, plus exactement il craignait son jugement, type de crainte rare chez lui. Qu'allait-elle penser de lui? Savait-elle aussi comment il avait déguerpi de ces terres dès le jugement prononcé, pour ne plus revenir, écœuré de ses pairs, écœuré de la Bourgogne, écœuré de tout? Savait-elle comme sa mère le priait de revenir et de tenir bon face à la tempête? Savait-elle comme il avait fui et comme elle avait été forte, comme il avait fui et comme elle en était morte?
Car il était persuadé d'être coupable de la mort de sa mère.

Tout cela, probablement cette jeune fille ne le saurait jamais. Il se composa un visage aimable et compassé, espérant que la cérémonie commence très vite.
Mitijo du Plessis Vaudel
Mitijo n'était ni sociable ni sortable , c'était bien connu . Et ce n'était pas pour rien qu'on l'appelait La Taiseuse ... Pourtant elle était contente de revoir Julien et Steph qu'elle n'avait vu depuis bien longtemps. Elle était venue de sa Normandie dès qu'elle avait reçu l'invitation de Julien mais déjà les invités se pressaient.

Faisant un gros effort pour paraître souriante et avenante , Mitijo s'approcha de steph et Julien


- Bonjour à vous ... Ravie de sous revoir ce qui en soit était un grand discours pour La Taiseuse... Posant les yeux sur la silhouette de son amie , elle fronça légèrement les sourcils , elle avait dû zapper un truc, elle ajouta Steph ta robe est magnifique

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Carpe Diem Ad Aeternam
Julien du Moutier
Julien sursauta en apercevant une silouhaite bien connue...silencieuse...

Mitijo..................

il ferma la bouche de respect pour la taiseuse, mais la prit dans ses bras, et vissa ses yeux dans les siens.

Merci....

Les yeux devenaient humides à l'évocation de tous ces souvenirs.

Tu n'as pas changé...je suis très honoré que tu sois venue, très ému de te voir là petite Normande...reste là je t'en prie, tout près de nous, on aura le temps de discuter autour d'un calva....quelle journééééééééééée !
stephandra
Stéphandra vit sa Taiseuse arriver, quel bonheur, plus fort qu'elle, la jovente se lève et va l'embrasser tendrement.

Elles se croisaient peu mais un tunnel ça réunit..Doucement elle regarda Julien touché de la voir autant qu'elle même l'était .


Han Ma Miti,ma taiseuse tu m'as tellement manqué...merci euh vi tu as vu je suis déguisée en femme


Petits rires Dis tu viens t'assoir près de moi, au fait faudra qu'on se parle on a surement des tonnes de choses à se dire
Della
Cela allait et venait en tous sens dans l'Abbatiale.
Lady et son futur avaient invité beaucoup de monde et Della ressentit une pointe d'angoisse, elle eut l'impression de perdre pied mais comme elle en avait l'habitude, maintenant, elle respira profondément et récita une prière, un Credo, en fermant les yeux. C'était là, la seule façon qu'elle avait trouvée, jusqu'à ce jour, pour chasser la panique qui parfois encore l'envahissait.

Rouvrant les yeux, elle sourit à l'enfant que Aria portait et qui tendait vers elle, une menotte dodue.
Della leva les yeux vers Aria...

Tu te rappelles, Aria, il y a longtemps, nous avions convenu de nous tutoyer...Loup est un bien bel enfant...Tu te rappelles aussi, je t'avais dit que si un jour, pour lui ou pour toi, tu avais besoin de quoi que ce soit...Beaumont te sera toujours ouvert.
Le sang de l'enfant était du sang des Volvent, celui de Della. Elle en resterait persuadée, ne croyant pas un seul instant à cette affabulation qu'on avait tenté de lui faire avaler, concernant Victor.

La Blonde prit la menotte du bambin et y posa un petit bisou.

Elle avait évoqué Beaumont.
On ne l'en délogerait pas de si tôt...

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Aria
Aria sourit à Della. Elle se rapellait bien de la proposition oui.. cependant elle était étonnée qu'elle la considère encore comme valable après les évènements qui suivirent.

C'est vraiment aimable à vo.. à toi. Mais tu sais que j'ai un caractère difficile. Je pense que je.. non que nous pouvons nous occuper de Loup.. nous nous débrouillerons toujours... la fierté que veux tu.

Oui elle était fière. Ganju voulait l'aider, elle refusait, Della le proposait, elle refusait, Lili tentait souvent mais sans résultat. Seul le Baron parvenait à la convaincre de le laisser l'aider et encore au prix de conversations tortueuses.

Un baiser sur la tempe de son fils la fit sortir de ses pensées. Elle n'avait plus envie de parler de Victor. Les yeux de son fils et certains de ses airs lui ramenaient déjà bien assez de douloureux souvenirs.

Elle fut tout de même reconnaissante du baiser de Della sur la main de son fils. Petit geste qui implicitement instaura un respect mutuel.

C'est alors qu'une jeune femme s'approcha pour aborder le Baron. Sa main encore sur le dos de ce dernier, elle sentit une légère tension dans ses muscles bien que son visage, lui, garda son masque souriant et séducteur.

Elle observa la jeune femme. Ses traits lui rapellaient vaguement quelqu'un. Mais elle fut inccapable de mettre un nom sur cette "mère" en question.

Elle la salua d'un sourire courtois, attendant qu'on la présente.. si son loup parvenait à réouvrir la bouche entre temps.

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Sauron45
Sauron entra dans l'abbatiale et fit le signe de la croix avec l'eau bénite placée dans le bénitier avant de s'avancer plus dans l'édifice. Il s'avança et jeta un rapide coup d'oeil à l'édifice éclairé par la lumière du jour qui passait par les vitraux.

Sauron était brun, mesurait 1m95 et les yeux gris. Il portait encore la partie de son armure protégeant son bras droit et avait une chemise blanche par dessous son épaulette avec une gravure en or représentant un aigle avec les ailes déployées tenant entre ses serres une croix pattée.
Il ne laissait aucun sentiment filtrer son visage et le laissait parfaitement neutre.

Il s'approcha du petit groupe qui s'était formé.


Bonjour, dit-il simplement.
Natasha Novgorod
Alors qu’elle était sur les routes du Royaume… oui, encore ! La blonde avait reçu un piaf ; pas d’autres mot hein, l’abrutit de volatile était tombé en piqué sur sa magnifique chevelure et, soit dit en passant, n’y avait pas survécu… ben ouais, l’pauvre pigeon s’en était retrouvé étêté, namého !
Bref, elle avait pris connaissance du message qu’il portait de son vivant et, c’est non sans vocabulaire imagé et fleuri, qu’elle avait averti ses comparses… Elle râlait et pas qu’un peu l’impie ; qu’est-ce qu’ils avaient tous à vouloir la trainer dans une… Erf, église !

Tandis qu’elle talonnait sa monture, les chemins limougeauds passant sans qu’elle les voit vraiment, l’indécente pensa à leur première rencontre en souriant ; c’est qu’elle avait pas froid aux yeux la Lady… mais faut avouer qu’elle était irrésistible la russe – ben quoi, faut bien s’encenser hein !
Le Berry se dessina enfin et, curieusement, la platine sentit l’angoisse l’habiter ; l’idée même de promettre fidélité la terrifiait alors le mariage… pensez-donc ! Et j’vous parle pas d’reproduction hein. Elle jeta un œil à ses complices et l’apaisement de revenir ; nan, jamais elle n’passerait par telle torture… Sa brune, sa mignonne ou même son blond y veilleraient ; quoiqu’elle fût assez mauvaise pour évincer le moindre volontaire.

Aux abords de l’abbaye, ils mirent pieds à terre ; les montures laissées aux soins de gamins pour quelques piécettes, le groupe s’approcha de l’édifice. La blondasse lissa sa tenue… rien de transcendant, fallait pas trop en d’mander non plus et c’est l’habituelle qu’elle arborait… donc, elle s’épousseta et se rafraichit à quelconque fontaine avant de traverser le parvis et d’atteindre les portes devant lesquelles elle bloqua…


Erf… rien à faire, j’peux pas entrer !

Nat’ se mit de coté afin de ne pas gêner l’entrée et observa l’intérieur de l’église ; elle aperçue sans mal la rouquine incendiaire, toujours embarrassée de son chiard et, bien sur, du baron… elle imagina la réaction de la rousse à ses pensées et sourit, amusée. Le cur’ton bien sur et sans doute, le futur époux qu’elle toisa un long moment avant d’être distraite par l’arrivée du grand brun.
Les ambres le suivirent tandis que les lèvres carmines s’écartèrent dans un sourire carnassier qui laissèrent apparaitre les crocs acérés ; la féline se tourna vers ses compagnons, s’interrogeant sur leurs intentions puis balaya les alentours du regard, cherchant la future pendue… heu, mariée !

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Della
La fierté, je connais, Aria...Je comprends...mais n'oublie pas, cela restera valable toujours.
Elle savait, la Renarde, que d'un jour à l'autre, on pouvait être réduit à devoir quémander de l'aide.

Mais elle ne dit plus rien, observa simplement la scène entre Theo et Elisabeth...

Puis, un homme, grand, approcha et salua tout le monde.
Della leva un sourcil intrigué...ce bonhomme-là n'avait pas l'air d'avoir envie de s'amuser...Elle lui répondit d'un sourire charmeur :

Bonjour messire. Je suis Della de Volvent...
Au moins, parler le dériderait.

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