Ladyphoenix

Mari et femme. Enfin ! Mari, et femme. Lady répétait cela dans sa tête tout en ne lâchant pas son époux du regard. Ah, la bonheur… Mari et femme.
Tandis que le ballet des félicitations continuait, la Miel avait plaisir à remercier chacun de ses invités, dont la présence était un ravissement à ses yeux.
Aussi, lorsque la jeune et jolie Elisabeth Stilton s’avança pour la féliciter, Lady lui prit les mains entre les siennes et la remercia chaleureusement :
- Damoiselle, vos yeux évoquent à ma mémoire une femme des plus agréable, compétente et, pour tout dire, charmante. Sachez que j’avais beaucoup de respect pour cette dame admirable, et je suis ravie que vous soyez venue assister à la cérémonie de mon mariage.
Mais voilà que sa marraine se dirigeait vers les mariés, et c’est une Lady tout sourire qui lui rendit son accolade et son bisouillage :
- Marraine, merci d’être venue, c’est si important pour moi de te savoir ici avec nous !
Et ce fut le tour de Gari, cette femme douce, aimante, tendre, préférant rester dans l’ombre, par pudeur. Pour la Miel, Gari était un peu comme ces diamants qu’on laisse dans un écrin pour ne pas qu’ils subissent les affres de quelque assaut extérieur.
Cependant, même à l’écart, elle restait un divin joyau, et Lady l’aimait tant qu’elle lui avait demandé d’être sa demoiselle d’honneur. Elle n’aurait pu se résoudre à s’unir à son tendre sans un rôle à donner à Gari, qu’elle aimait tendrement. Aussi, lorsque son amie s’avança pour la prendre dans ses bras, la Miel lui rendit une chaleureuse étreinte, et lui posa une bise claquante sur la joue :
- Ma Mamour ! Tu es ravissante dans cette robe ! Tu fais une demoiselle d’honneur splendide ! Merci pour tout, vraiment.
Touchée par l’émotion visible de son amie, et la tendresse avec laquelle celle-ci posa sa main sur le ventre rebondi, elle ne put que sourire, attendrie et chuchota à l’oreille de son amie :
- Je suis persuadée que ce sera bientôt ton tour, et que tu
feras de ton Will un nounours et un papa tout doux dans peu de temps. Tu feras une magnifique mariée, et un merveilleuse maman à ton tour très prochainement, j’en suis sûre.
La blonde Volvent s’approcha bientôt, accompagnée du baron de Digoine, que Lady embrassa en retour de leurs félicitations :
- Della, Eusaias… Merci de vos bons vœux, et de votre présence à tous deux, cela m’a vraiment touchée, et honorée. La cérémonie eut été toute autre sans votre présence.
Et son amie de toujours, avec qui elle avait une relation particulière depuis son plus jeune âge et pour qui elle ressentait un amour infini s’approcha. Marie était une brune splendide, au sourire charmant, et avant toute chose, Lady lui sauta au cou pour la remercier et lui glisser à l’oreille :
- Tu m’as tant manqué !
Poursuivant à haute voix, la Miel la remercia vivement, et lui présenta Julien, sa Tartine d’amour à elle.
La cérémonie touchait à sa fin, il serait bientôt temps pour les mariés de sortir de l’église et de confier les invités au banquet d’honneur.
Tandis que le ballet des félicitations continuait, la Miel avait plaisir à remercier chacun de ses invités, dont la présence était un ravissement à ses yeux.
Aussi, lorsque la jeune et jolie Elisabeth Stilton s’avança pour la féliciter, Lady lui prit les mains entre les siennes et la remercia chaleureusement :
- Damoiselle, vos yeux évoquent à ma mémoire une femme des plus agréable, compétente et, pour tout dire, charmante. Sachez que j’avais beaucoup de respect pour cette dame admirable, et je suis ravie que vous soyez venue assister à la cérémonie de mon mariage.
Mais voilà que sa marraine se dirigeait vers les mariés, et c’est une Lady tout sourire qui lui rendit son accolade et son bisouillage :
- Marraine, merci d’être venue, c’est si important pour moi de te savoir ici avec nous !
Et ce fut le tour de Gari, cette femme douce, aimante, tendre, préférant rester dans l’ombre, par pudeur. Pour la Miel, Gari était un peu comme ces diamants qu’on laisse dans un écrin pour ne pas qu’ils subissent les affres de quelque assaut extérieur.
Cependant, même à l’écart, elle restait un divin joyau, et Lady l’aimait tant qu’elle lui avait demandé d’être sa demoiselle d’honneur. Elle n’aurait pu se résoudre à s’unir à son tendre sans un rôle à donner à Gari, qu’elle aimait tendrement. Aussi, lorsque son amie s’avança pour la prendre dans ses bras, la Miel lui rendit une chaleureuse étreinte, et lui posa une bise claquante sur la joue :
- Ma Mamour ! Tu es ravissante dans cette robe ! Tu fais une demoiselle d’honneur splendide ! Merci pour tout, vraiment.
Touchée par l’émotion visible de son amie, et la tendresse avec laquelle celle-ci posa sa main sur le ventre rebondi, elle ne put que sourire, attendrie et chuchota à l’oreille de son amie :
- Je suis persuadée que ce sera bientôt ton tour, et que tu
feras de ton Will un nounours et un papa tout doux dans peu de temps. Tu feras une magnifique mariée, et un merveilleuse maman à ton tour très prochainement, j’en suis sûre.
La blonde Volvent s’approcha bientôt, accompagnée du baron de Digoine, que Lady embrassa en retour de leurs félicitations :
- Della, Eusaias… Merci de vos bons vœux, et de votre présence à tous deux, cela m’a vraiment touchée, et honorée. La cérémonie eut été toute autre sans votre présence.
Et son amie de toujours, avec qui elle avait une relation particulière depuis son plus jeune âge et pour qui elle ressentait un amour infini s’approcha. Marie était une brune splendide, au sourire charmant, et avant toute chose, Lady lui sauta au cou pour la remercier et lui glisser à l’oreille :
- Tu m’as tant manqué !
Poursuivant à haute voix, la Miel la remercia vivement, et lui présenta Julien, sa Tartine d’amour à elle.
La cérémonie touchait à sa fin, il serait bientôt temps pour les mariés de sortir de l’église et de confier les invités au banquet d’honneur.