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[Mariage Ladyphoenix/Julien]: soyez les bienvenus !

Julien du Moutier
Décomposé, la langue toujours collée au palais, les yeux rivés sur la forme, Julien tressauta légèrement.

Steph venait de s’approcher. Certes, tout le monde regardait la porte mais elle, elle….voilà que sa sœur venait s’accroupir devant lui. Il tendit les deux mains, gêné, pour la relever. Il aurait bien tenté une parole de protestation si sa langue le lui avait permis. Pas le temps, il se retrouva en un éclair avec une fiole en main.

Il revit instantanément la scène. La petite Moutier était simplement ahurissante, elle venait de lui donner sa fiole, celle qu’elle cache toujours en son corsage…devant tout le monde…devant Uriel….dans une égliiiise…le jour de son mariage !!!

Il la regardait reprendre sa place, collé comme une bernique, ne sachant que faire de sa main. Il était là, debout, comme un grand benêt au beau milieu de l’allée centrale…devant lui, une église pleine, derrière lui, son ami, son frère, Uriel, dans sa main le calva tant espéré et dans sa bouche le morceau de viande collé qui n’attendait que le calva salvateur.

Il jeta un regard mêlé d’amour fraternel et de haine tout aussi fraternelle à Steph…elle venait de lui sauver la mise en le mettant dans la pire des positions…ah, juste un sourire en réponse, pas la moindre piste d’idée, elle le laisser se dépatouiller seul…merci frangine…soit, Julien décida de faire preuve de classe et de rester naturel…après tout, il n’avait jamais eu honte de boire une lichette de calva sans se cacher, et il n’était plus un enfant…tout le monde regardait sa future épouse ? Soit, il porta tout naturellement la fiole à ses lèvres et la vida d’un trait. Remarquez, ce fut vite fait…soit elle n’était qu’à moitié pleine, soit Steph l’avait un peu devancé…on réglerait ce point plus tard.

Julien sentit doucement sa langue reprendre place, elle eut même tendance à avoir des velléités d’excursion…à pendre quelque peu, voilà qui était de bonne augure pour la suite de la cérémonie.
Le précieux liquide redonna aussi quelques couleurs à ses joues et un peu d’acuité à ses yeux.

C’est alors qu’il vit sa p’tite Lady sortir de la lumière. Il la voyait distinctement maintenant. Elle venait à lui, tout sourire, ensorcelante de féminité, simplement divinement belle. A ce moment là, Julien n’eut pas même pu dire de quelle couleur était sa robe, il ne voyait que ses yeux, son sourire, sa bouche…Elle était là, à ses côtés.

Tout doute, toute peur, s’évanouirent en un instant. Il sentit sa petite main s’insinuer dans la sienne, il accompagna du regard ses derniers pas et se tourna vers l’autel à l’unisson de sa future épouse.

Le ciel eut pu leur tomber sur la tête qu’il ne l’aurait pas entendu. Des armées Provençales, des hordes de brigands, tout serait passé inaperçu en ce jour. Julien aurait coupé les oreilles à quiconque eut tenté d’interrompre la cérémonie…même pour rire.

A l’invitation d’Uriel, ils s’approchèrent et écoutèrent la première lecture. Le choix et le commentaire firent sourire Julien…pour de longues années ? Pour la vie mon frère !

Aussi, à l’invitation d’Uriel, Julien tourna la tête, décocha le plus joli des sourires à Lady, et d’une voix redevenue claire (il espérait juste que son haleine soit raisonnable compte tenu de l’heure) il dit :


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Ladyphoenix
Le bonheur, la plénitude, se sentir enfin entier, en ayant trouvé sa moitié… C’est ce que Lady ressentait, et ce qu’elle souhaitait à tout à chacun, même à ceux qui n’étaient pas enclins à voir leur union scellée devant Aristote. Chacun faisait ce qui lui plaisait après tout, et c’est pour cela que Lady et Julien avaient décidé de s’unir devant Dieu et les hommes. Ils étaient croyants et fidèles à leur église.

Ah, cette sensation ! La douceur, le côté rassurant du contact de la main tendre de Julien, voilà qui valait tout l’or du monde aux yeux de la Miel. Et ce sentiment, elle entendait bien le vivre toute sa vie durant, et pas seulement « de longues années ».

Elle avait trouvé Julien si beau, si attendrissant, son regard posé droit sur elle tandis qu’elle remontait l’allée… elle avait failli courir jusqu’à lui, pour enlacer ses bras autour de son cou et lui offrir le plus tendre et langoureux des baisers. Cependant, vague sentiment que cela ne se faisait pas à l’instant-même, alors, en avant pour l’abstinence passagère de toute tentative d’étreindre son corps ! Encore une fois, pour s’en empêcher, elle avait un peu accentué la pression de sa main sur l’avant-bras de Will, qui, ma foi, y réfléchirait peut-être à deux fois si d’aventure une damoiselle lui demanderait de la conduire à l’autel dans un avenir plus ou moins proche.

Toujours est-il qu’elle était debout aux côtés de son aimé, attentive aux paroles d’Uriel, lorsqu’elle entendit la voix suave de son futur époux prononcer la prière du pardon. Frisson magistral qui parcourut la Miel en l’odissant, littéralement envoûtée par le timbre de son aimé. Lorsqu’il eut terminé, Lady ouvrait à peine la bouche pour réciter la prière à son tour qu’elle entendit les portes de l’église battre la volée. Avant qu’elle n’ait eu le temps de le réaliser, la voilà qui s’était retournée aux trois quarts pour savoir de quoi il retournait. Main qui était partie machinalement sur son flanc droit, pour un résultat inutile, puisqu’il s’agissait de Digoine, virevoltant comme à son habitude, et qu’elle n’était pas armée.

Si Lady eut envie de rire à l’entrée de son ami Eusaias, elle se contenta de sourire tendrement, sourcil légèrement relevé, non sans montrer sa surprise de le voir oser pareille entrée. C’est qu’il était gonflé, le presque parrain, mais absolument adorable, il avait fait beaucoup pour elle depuis son arrivée à Sémur, et elle lui en serait éternellement redevable. La Miel se retint tout-de-même de rire afin de ne pas l’encourager, et l’observa partir à la recherche d’une place assise qui lui conviendrait.

C’est avec un sourire satisfait qu’elle le vît prendre place aux côtés de Della, qui sembla un instant mortifiée. Nouveau rire retenu de Lady ; décidément, Digoine n’allait pas être sage… Quoique, finalement, ledit Baron se montrait une nouvelle fois surprenant par son attitude, et semblait s’être résigné à se tenir tranquille, même si Lady trouvait ça louche et s’attendait à un nouvel éclat de son ami, qui n’avait de « Mauvais » qu’un surnom non fondé.

Alors que Frère Uriel reprenait le contrôle de la cérémonie, Lady entreprit de se retourner, et balaya l’assistance du regard, souriant à chacun de ceux que ses yeux noisette croisaient. Elle nota la présence de ses plus fidèles amis masculins, presque tous accompagnés de leurs moitiés respectives. Et quelles femmes étaient présentes… les plus séduisantes de Bourgogne ! Regard en coin à la belle Aria, qui devait être en train, comme Lady la connaissait, de faire quelque proposition indécente à son non moins coquin Théo, penchée vers son oreille intéressée.

A cette pensée, Lady sourit imperceptiblement… Aria ne changerait jamais, et c’était tant mieux. Car les amies de Lady présentes, si elles étaient parfois provocatrices, avaient le mérite d’être entières, franches, et c’était là deux qualités que Lady appréciait. C’est donc d’un sourire subtilement taquin qui voulait dire « rooo, mais tu ne seras jamais sage, ma belle » qu’elle gratifia Aria, qui, si elle chuchotait à son Loup, semblait toutefois attentive à ce qui se passait du côté de l’autel.

D’ailleurs, la présence de chacun des spectateurs de cet événement si cher à Lady lui était agréable, elle n’avait pas invité n’importe qui - seuls les gens qu’elle portait en haute estime, et à qui elle réservait une grande place en son cœur avaient été conviés à la noce.

Sourire aimant à Steph, Eo, Gari et Will, respectivement témoins, demoiselle d’honneur et papa d’un jour, entourant les deux promis. Ces quatre-là, elle savait qu’elle pouvait compter sur eux, et elle espérait qu’ils étaient conscients qu’elle donnerait sa vie pour eux.

Mais bientôt, Frère Uriel les invitait à reprendre la cérémonie, et c’est avec sérieux qu’elle entama à son tour la prière du pardon de sa voix douce et posée, tout en prenant à témoin ses amis présents, en posant son regard sur chaque partie de l'assemblée, preuve qu'en plus de bien articuler, elle comprenait aussi ce qu'elle disait :


- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


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Aria
Aux mots de Lady, Aria devint rouge tant le fou rire la guettait. Elle, la blonde sulfureuse, parlait d'absoudre ses péchés..
C'était comme si Aria décidait de s'enfermer au couvent par sa propre volonté.. ri di cu le !

Elle observa la belle pendue et lui lança un regard aguicheur au moment où ses yeux croisèrent les siens.
Si Lady observait bien la scène silencieuse, elle pouvait apercevoir la main d'Aria se relever, laissant apercevoir à la concernée un petit raisin qu'elle croqua discrètement. Elle rattrapa le jus qui en découla du bout de son index et le ramena entre ses lèvres très légèrement entrouvertes.

Aria s'amusait depuis toujours à provoquer Lady. Elle la voyait souvent passer par toutes les couleurs possibles avant de lui accorder quelques petits bisous bien trop sages au goût de la rouquine.

Elle reprit son masque de jeune femme sage et attentive à la cérémonie, se retenant à grande peine de rire à la vue du regard désemparé que lui lançait la belle.

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stephandra
Regard de son frère qui la fit sourire, enfin le calme arriva chacun récitait sa prière du pardon quand un bruit fracassant se fit entendre... la jovente chercha de la main son épée, bah ratée elle l'avait pas, regard vers son frère qui était impassible, Stéphandra se retourna se demandant qui osait entrer ainsi.

Elle reconnu déjà la voix, ce qui la détendit direct puis elle le vit s'approcher comme si de rien, Eusaias lui sourit, Stéphandra lui offrit un sourire amusé en retour. Ils ne s'étaient pas croisé depuis des mois, mais il n'avait guère changé...

Écoutant Uriel, la jovente se dit qu'il valait mieux qu'elle se tienne à carreaux, cherchant du regard son tendre neveu elle trouva qu'il était bien sage aux côtés d'Eli... Cette jeune femme semblait avoir su le cadrer, Stéph inclina la tête en leur direction discrètement.

Doucement, elle se remit bien aux côtés de son frère qui semblait sur une autre planète imperturbable, ravie de le voir ainsi elle attendit la suite sans manquer de faire un petit coucou de la main à la fille de Mitijo...han bah discrètement hein bien entendu...

Sourire angélique au frère... en attendant les demoiselles d'honneur.
Natasha Novgorod
La blonde rêvassait, réfléchissait… mais si c’est possible, namého !!... caressant distraitement la cuisse de celui qu’elle appelait tendrement « mon p ‘tit chat » ; elle s’ennuyait la divine et déjà l’indécence reprenait ses droits tandis que sa main accentuait la pression. Un coup d’œil à l’église et la gamine qui la sort de ses rêveries :
Carensa a écrit:
Dis Nat, z'en on pour longtemps à prier là d'dans ?

Dans un soupire, la platine se redresse et observe la mignonne, qui ne l’était pas des masses à cet instant ; une autre aurait pris une raclée et peut-être même pire mais la gamine avait place dans le cœur aride :

J’sais pas Carrie… j’ai pas plus l’habitude qu’toi hein ! pis si tu t’emmerdes, ben vas faire un tour…

Agacée la blonde ? Nan, juste qu’elle n’était pas encline à laisser filer l’poisson rouge au profit de la pécheresse… Si la bienséance ne lui avait interdit, elle y s’rait aller de ses charmes la blondasse ; mais le respect envers Lady l’avait calmée…’fin, façon d’parler hein… et elle s’était tenue tranquille, pour l’instant en tout cas. Les ambres qui dévorent le blondinet avant de s’attarder sur les deux brunes et le sourire d’éclairer le minois :

J’te l’accorde ma belle, vivement l’banquet qu’on s’amuse un peu !


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uriel
L'agitation dans l'atmosphère était retombée, du moins pour l'instant et c'était tant mieux.
Bien que non agressif par nature, l'avantage du frère était de pouvoir officier et faire la police en même temps. Il était, en vérité, l'une des rares personnes à pouvoir officier l'épée à ceinture ; certes, il ne le faisait jamais, eu égard au respect qu'il avait pour les lieux saints et pour les personnes qui lui demandaient de leur donner un sacrement.
Aujourd'hui vêtu d'une simple robe de bure, il n'était qu'un homme comme un autre.

Ecoutant Lady et Julien réciter la prière du pardon, il continua alors le sacrement en faisant dire le Credo Aristotelicien, fit une courte pause, puis reprit alors :


Toute vie vient de Dieu, tout amour vient et mène à Lui, Il en est la source et la finalité.
LadyPhoenix et Julien ont choisi aujourd'hui de concrétiser ces sentiments, de les afficher aux yeux de tous ; quoi de plus beau, finalement, que de voir le bonheur dans les yeux, de contempler l'éternité sur le visage de l'autre, de sentir sa présence, tel le rocher sur le quel on s'appuie ou l'arbre sous lequel on s'abrite ?


Le frère doyen regarda alors les témoins et leur fit un léger signe de tête.

Je vais maintenant demander aux témoins de se lever et de venir prendre place au lutrin, afin qu'ils nous parlent des mariés, qu'ils nous disent pourquoi ils ont été choisis par eux et surtout pourquoi ils ont accepté.

D'un signe de la main, il désigna l'endroit où Stephandra et Eoline pourraient venir parler.
rouls
Rouls happé par sa blonde s'était aligné parmi ses 3 maitresses compagnonnes de voyage.
Il les sentait toutes les 3 un peu nerveuses ou impatientes.
Lui aussi, à force de voir passer tant de donzelles joliment habillées, il commençait à avoir faim.

Il sentit les doigts de nat se promener sur sa cuisse, doucement, presqu'involontairement.

Il frémit à cette sensation qui lui avait manqué (2 jours c'est lonnnnng) et sourit doucement en sentant qu'il ne resterait pas de marbre.

A son tour il laissa distraitement sa main gauche se promener et caressa doucement l'arrière train de la voisine.

Tout cela bien-sûr sans que personne ne s'en rendit vraiment compte et pendant qu'il commentait en murmurant à nat, caren et mari le passage des invités.


stephandra
Autant attendre que tous veuillent bien de donner la peine d’arriver à l’heure ou presque pour le mariage, autant l’entrée de la mariée fut tant désiré, autant frère Uriel bien ancré dans son rôle accélérait doucement la cadence de cette journée.

Autant d’autant qui comme les si patati, si patata, si patato on aurait pu refaire le monde et que si ma tante en avait on l’appel….oula je m’égare veuillez m’excuser…

Après la prière du pardon, arriva l’heure du credo, la jovente s’exécuta avec plaisir, cette prière elle l’appréciait , puis Uriel enchaîna par un court texte sur Dieu et l’Amour, attentive il terminait telle une question, ahem… il attendait une réponse ?

Ha que néni, voila ti pas qu’il se tourna vers Eo et la Stéph les invitant à s’exprimer…
La jovente surprise, bah vi elle savait pas quoi qu’elle devrait expliquer le pourquoi du comment, son visage se tourna vers Julien.

Elle le fusilla de ses azurs d’un air de dire : « Nomého tu aurais pu me signifier que j’allais devoir m’exprimer… ». Déjà elle avait mis une belle robe, elle pensait pas en plus qu’il fallait avoir de l’esprit pour être témoin.
Puis ils savaient pas tous déjà qu’elle était bavarde ? Han Uriel voulait qu’elle les endorme de paroles ou les grise avant l’heure ?

En même temps, même sans préparation elle les connaissait et surtout les aimait suffisamment pour ce lancer, re regard vers son frère plus tendre, léger sourire en coin malicieux, la jovente se dirigea vers le lutrin comme indiqué par frère Uriel…

Une fois face aux mariés, elle fut d’abord un peu intimidée par toute l’assemblée, puis ses yeux passèrent de Lady à Julien, de Julien à Lady ainsi de suite vais pas vous faire un dessin non plus, tout le monde il a compris.


Ahem.. léger toussotement petit plissage de nez imaginant Lady lui passer l’index sur le bout du nez en disant « Arrête tu vas avoir des rides, tu es bien plus jolie quand tu ne le fais pas… », regard tendre vers ses amours et la voilà lancée comme si elle ne s’adressait qu’à eux, comme si il n’y avait personne autour d’eux , enfin bref comme si quoi !

Azurs se posant sur sa Miel


Lady… nous nous connaissons depuis plusieurs mois déjà, je pourrai dire que nous avons presque était rivale avant de devenir amie, très vite nous nous sommes confiées l’une à l’autre, très vite aussi j’ai commencé à voyager, malgré la distance qui nous séparait nous avons toujours été proche l’une de l’autre, sachant nous écouter, nous remonter le moral voire nous filer un bon coup de pied au fondement afin de faire avancer les choses. Tu es une femme enjouée, dynamique, ayant de l’humour.. enfin je vais pas donner toutes tes qualités ou tu rentreras plus dans tes bottes après… Petit sourire
Nos modes de vie sont différents et pourtant si complémentaires, tout comme nos tempéraments. Je sais que tu seras toujours là pour moi et il en sera de même pour moi, même si actuellement c’est plus moi qui ai eut besoin de ton soutien…mais ça c’est une autre histoire et nous sommes là pour parler de vous.

Sache que comme tu aimes à le dire, je suis ta sœur, pas de sang mais celle du cœur, puis des sœurs de sang tu en as déjà assez, fallait bien que je sois différente !
Même si je te l’ai déjà, je te le dis quand même Je t’aime !


Évitons de parler de la première cuite que Lady lui avait fait prendre, des quatre cents coups en taverne qu’elles avaient fait, des discussions un peu forte parfois lorsqu’elles n’étaient pas d’accord sur un sujet, les câlins doux lorsque le besoin se faisait sentir…

Sourire tendre à Lady et son regard se posa sur Julien


Julien, toi c’est une autre histoire… sourire taquin
J’ai grandit en sachant que j’avais des frères et des parents bien entendu… j’ai évolué en espérant un jour les retrouver, je cherchais sans chercher j’étais un peu paumée. Quand j’ai rencontré Arian, je ne pensais que ma vie basculerait à ce point, il est vrai que lorsque nous sommes montées en Normandie pour Te chercher et la déménager… au premier regard y a eut un petit quelque chose, mais quoi nous ne le savions guère ni toi, ni moi.
Nous avons poursuivis ainsi notre chemin de vie, côte à côte durant des semaines, même des mois, notre complicité était perceptible de jour en jour elle s’agrandissait, je t’aimais pas comme on aime un époux, mais d’un amour pur une amitié sans limite… D’ailleurs ça nous a valu quelques remarques, nous en avions été blessé à l’époque maintenant nous pouvons en sourire.
Petit clin d’œil à Julien

Quand tu as quitté la Provence de chagrin, j’ai cru te perdre à jamais… mon cœur saignait à l’idée de ne plus te voir, je t’écrivais pour te remonter le moral, je me souviens aussi que notre amie Mitijo se souciait pour toi et prenait des nouvelles parfois regard tendre à sa copine de petite cuillère et sourire

Aussi, lorsque par hasard au moment de mes blessures, on a su grâce à notre tâche de naissance identique et bien entendu après avoir fait des recherches que j’étais ta sœur, mon amour pour toi n’avait plus à être caché sous de faux semblant, je me souviens quand je t’ai annoncé que j’étais ta petite sœur, tu n’as presque pas été surpris c’était tellement une évidence…
Alors quand tu es enfin arrivé sur Sémur et nous savons tous deux combien cela a été semait d’embûches, lorsque j’ai senti que malgré le fait que tu m’aies retrouvé tu étais malheureux comme les pierres, il était logique pour moi de t’envoyer que dis je te pousser à passer en taverne…

Je me souviens t’avoir dit « Julien, va en taverne et présente toi à Ladyphoenix c’est mon amie, tu verras elle est adorable et si tu lui dis que tu es mon frère elle sera tellement contente qu’elle va te payer une tournée ! »
Petit soupir de contentement.

Je n’étais pas là pour voir votre amour naître, j’étais loin de vous deux, pourtant chaque jour j’avais des informations par l’un de vous et mon cœur se remplissait de bonheur, vous aimant tous les deux tendrement je ne pouvais pas imaginer que ça fonctionne pas.
Alors aujourd’hui Lady je te le répète bien : non j’allais pas te dire à quel point mon frère était beau, séduisant, charmant…droit et tout et tout, car tu aurais te douter de tout cela vu que c’est mon frère .
Petit sourire

Ceci dit Julien il en est de même pour toi, ma meilleure amie ne pouvait être que merveilleuse Regard taquin de l’un à l’autre, bon elle devenait trop longue fallait écourter ? Bah vi mais parler d’eux c’était pas possible de donner dans le court !
Demi tour versUriel

Donc je crois que c’est un peu pour tout ça que Julien m’a choisit en tant que témoin.

Léger instant de silence, pourquoi avait elle accepté ?

J’ai accepté d’être témoin de cet amour, déjà parce que c’est un honneur pour moi qu’ils m’aient demandé, c’est la preuve que nous sommes très proches et liés tous les trois.
Puis comment refuser quoi que ce soit à pareil couple ?
Même si je n’ai pu assister à leur rencontre, leur premier sourire l’un pour l’autre j’ai été le témoin de leur amour presque dès le premier jour… enfin je pense…
J’ai la chance d’avoir une amie formidable tendre et aimante, la chance d’avoir pu retrouver mon frère après de longues années, un frère qui dès le premier jour a pris soin de moi, m’a protégé, m’a conseillé sans même savoir qui j’étais.
La chance d’avoir deux êtres qui me sont indispensables, qui s’aiment d’un amour puissant et qui devant Dieu et les hommes le prouvent en ce merveilleux jour.

Excusez la longueur mais y a tant à dire, si j’avais su avant j’aurai préparé un discours plus succinct.
Coquelicot aux joues, pincement de lèvre Eo aussi devait en avoir à dire, regard à l’assemblée, ça allait elle ne les avait pas tous encore endormi…
Je vous remercie d’être qui vous êtes, je vous aime profondément, merci d’avoir pris soin de moi et de le faire encore… merci de m’accueillir ainsi en votre vie, moi et mon petit ange à venir…Merci de m’avoir choisit comme témoin de votre union. Merci !

Je terminerai par une simple phrase, bon après tout ce que je viens de dire, je pense pas que vous soyez tous à ça près !


Azurs qui balaya l’assemblée, bah qu’ils veuillent ou pas de toutes c’était comme ça épicétou, déjà elle se retenait de pas trop en dire, comment ça elle en avait déjà trop dit ? Bah voyons, fallait pas lui donner la parole non plus !

Julien tu m’as donné un nom que je porte fièrement, j’ai encore des choses à savoir sur papa, maman (la bonne et moi) et Aristide qui sont partis rejoindre le soleil. J’ai aussi une devise qui est la tienne et devient aujourd’hui celle de Lady aussi.
« Être je peux , paraître ne veux »
Je sais que quoi qu’il advienne tous les trois ensemble réuni par notre amour réciproque Être nous le pouvons, paraître ne voulons.


Soupir, elle se pinça pour s’arrêter de parler sinon elle y passerait la journée, mais elle ajouta

S'il y a des curieux dans la salle sachez que nous refusons de montrer notre tache de naissance...

Non mais parce qu'elle voyait le truc viendre, et elle est où cette tache? Montrez nous qu'on voit et tout et tout, nan mais ils allaient pas leur montrer la naissance de leur fesse, juste pour leur faire plaisir non plus! Doucement en souriant elle laissa sa place au lutin(vi je sais que c'est lutrin mais pour le coup ça sera lutin j'aime bien ) et alla embrasser tendrement Lady et son frère. Se replaçant auprès de Julien, elle attendit qu’Eo parle ainsi ils oublieraient tous qu’elle avait été longue trop longue… mais tellement d’émotions de sentiments liés ces trois là, tellement de questions encore la jovente avait sur sa famille d’origine ses racines….
garius
Sur la demande de Frère Uriel, Gari avait pris place derrière les témoins, aux côtés de son cher Will, toute fière d'avoir été choisie comme demoiselle d'honneur. Elle glissa sa main dans la sienne et fit un clin d'oeil aux imminents futurs mariés, signe d'encouragement et de réconfort.

Ladyphoenix
Lady, tout sourire et empreinte de piété - oui, oui, hein, j'ai dit piété, et même que j'affirme et signe - récitait la prière devant ses amis à priori indulgents et attentifs. Et c'est alors qu'elle allait prononcer les tous derniers mots de la prière qu'elle la vit.

Aria, armée d'un raisin. Si, si, "armée", c'était le bon mot. Lady sentit ses joues rosir très légèrement au souvenir de cette soirée où elle avait failli céder à Aria, qui lui avait littéralement enflammé les sens avec un grain de raisin glissé à ses lèvres, accentuant le bruit de succion de celui-ci alors que Lady tentait de déglutir et, en fait, de respirer.

Très vite, la Miel se reprit ; c'est vrai qu'Aria avait juré de lui en faire baver jusqu'à la dernière minute, en "représailles" des hésitations passées de Lady. Aux baisers chastes de la Miel sur sa joue ou à son bisou sage dans le cou habituel pour lui dire bonjour, Aria affichait un sourire carnassier, et s'attelait à tenter de rendre Lady dingue par tous les moyens possibles.

Donner satisfaction à la Tentation-même ? Noooon, certainement pas ! Et la Miel de se reprendre vite, de hausser un sourcil frondeur et un sourire tout fier d'elle en direction de l'incontrôlable rousse, et d’achever sa prière :
- ...rémission de tous nos péchés.

Elle savait qu'Aria ne lui en voudrait pas, elle qui jouait de façon perpétuelle, et qu'elle se dirait "mouais, c'est pas perdu pour autant, la Miel", mais qu'à cela ne tienne, Lady se tourna lentement face à l'autel après avoir offert un sourit gentil et amusé de l’audace qu’elle avait montré à son amie, puis saisit tendrement la main de Julien, prête à passer le restant de sa vie à ses côtés, dans l'amour et la fidélité, n'en déplaise à son amie, la douce et envoûtante Aria.

Tout-de-même, entre Aria et Digoine, la cérémonie était mouvementée…mais drôle. A cette pensée, Lady afficha un large sourire – elle les adorait tous deux. Puis, Frère Uriel les invita à réciter le credo, ce que la Miel fit en songeant que Steph devait être contente, c’était une fan du credo. Bon, elle avait aussi une vie sociale, hein, la Jovente, mais, le stress, tout ça tout ça, ça faisait penser à Lady des choses plutôt invraisemblables. Et vint le moment de l’émotion, lorsque frère Uriel demanda aux témoins de s’avancer et de s’exprimer devant l’assemblée réunie en ce jour.

La future mariée dut retenir un rire monumental en se mordant l’intérieur de la joue lorsqu’elle surprit le regard que Steph lançait à Julien… à l’évidence, elle ne s’attendait pas à devoir prendre la parole. Tantôt riant, tantôt la larme à l’œil aux dires de son amie, sa sœur (songe à la douceur d’aller là-bas vivre ensemble… - je sais, c’est « mon enfant, ma sœur », mais j’y ai pensé quand même, na.), Lady eut l’impression de revivre tous les petits épisodes auxquels la future maman du Moutier faisait allusion. Le Très-Haut soit loué, elle n’avait pas parlé de cette cuite magistrale prise en taverne, et des « *hips* arrête, je dois *hips* absolument bosser…Arrêêêêêêêêêête *hips* » d’une Steph paniquée à l’idée de manquer d’écus alors qu’elle devait partir quelques jours après en compagnie de son Altesse la Princesse Armoria. Ce départ… Cela avait été une déchirure si douloureuse. Comme si on avait arraché un morceau d’elle-même à la Miel. Puis, elle était revenue, trop brièvement… et était repartie, au service de la Baronne Arianrod. Nouveau déchirement, nouvelle plaie ouverte sur laquelle on eut dit que l’on versait du sel. Ces adieux devenaient insupportables, à la longue, et faisaient de plus en plus mal. Mais cette fois-ci, ce fut un mal pour un bien, car Steph avait connu Julien à cette occasion, et avait retrouvé ses racines – quand je vous dis qu’elle a toujours été une belle plante, elle ne me croit jamais. Et c’est de cette relation qu’était née quelques mois plus tard celle de la Miel et du beau Brun, grâce à leur Pot de Confiture…

Petit éclat de rire aux dires de Steph, et émotion en réalisant que si les deux amies n’avaient pas été physiquement ensemble à ces moments inoubliables passés avec Julien, elles l’avaient été par pigeons interposés. Et maintenant, tous trois allaient vivre ensemble à la demeure familiale, Steph renouant enfin les liens perdus avec son arbre généalogique, et Lady rejoignant la famille, pièce rapportée, ou valeur ajoutée, comme le disait souvent Lady à ses amies angoissées de leur entrée dans une nouvelle famille, et ce qu’elle avait dit à Steph il y a de cela quelques temps. Mais, le Pot de Confiture trouverait la Tartine Beurrée – mais pas à la façon de Lady - qui lui était destinée, la Miel n’en doutait pas un seul instant, et c’est avec joie que leurs enfants naîtraient à peu d’intervalle.

Yeux humides, touchée par Steph en plein cœur, fière ensuite, à l’évocation de la devise familiale, puis à nouveau rieuse à l’évocation du refus de montrer la tâche de naissance - elle en avait au moins vu une sur deux – Lady posa une tendre bise, remercia et enlaça tendrement son amie lorsque celle-ci eut achevé son discours, qui, s’il n’avait pas été préparé, était si émouvant car sincère, même improvisé, et cela se sentait.

Et ce serait bientôt au tour de la Flamboyante – comprenez Eoline d’Espiard – de prendre place derrière le gnôme…lutin…lutrin ! voilà, c’était ça, lutrin.


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Della
Et zut !
Maintenant que son voisin était sage, il faudrait subir les coulées mielleuses sur..."l'amour, le mariage pour la vie, et je t'aime tant"...Tout ce dont la Blonde avait horreur...L'amour l'amour, c'était vite dit !
Un jour je t'aime, le lendemain, je te déteste, le surlendemain je te re-aimes et trois jours plus tard, je te quitte !

Bougre de bougre, que ça allait être long...Aussi long que son soupir à cet instant.

Elle lança un nouveau regard à Uriel. Après l'avoir trouvé mignon, elle se demanda s'il n'était pas un peu aussi roseamourtoujours.
Ben oui, c'était lui qui avait invité les témoins à discourir sur les mariés, leur "amour", leur relation, toussa...
Et elle se promit que si un jour, elle devait se marier - ce qui n'était pas au programme, rassurez-vous - elle ferait ça en deux temps et trois mouvements !

Mais en attendant, il fallait titiller Eusaias aussi discrètement que possible afin que si jamais il lui proposait une nouvelle distraction, elle n'ait pas l'air d'avoir été la flamme qui avait mis le feu...

Oh, elle laissa tomber son aumônière de cuir qui fit un petit "pouf" sur le sol.
Un regard avec petits battements de cil vers son voisin de Baron...Allez, Digoine...faites un effort, ramassez-la mon aumônière...

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Carensa
Carensa regarda la platine..hum..l'avait l'air faché la belle..m'enfin peut etre que la mignonne l'avait bien cherché aussi. Elle adorait quand elle sortait de ses gonds, ça lui faisait rosir les pommettes et ses yeux brillaient d'un éclat..à en faire palir plus d'un.

Il n'en fallu pourtant pas plus pour que la mignonne se lève séance tenante et les regarde tous les trois..

- Oueh bein moi j'm'emmerde alors j'vais voir ailleurs si j'y suis.

Et la brunette de quitter ses trois comparses - vexée ? non il en faut plus que celà pour Carry - pour rejoindre un endroit où elle pourrait rassasier son estomac qui criait famine..la basse cour. En voilà une idée qu'elle était bonne, toujours est-il qu'il faudrait surment déjouer quelques surveillances ici et là mais pour une brunette de la sorte rien n'était impossible !!
Julien du Moutier
Voilà, la cérémonie était maintenant bien engagée. Lady venait de réciter elle aussi la prière du pardon. Certes, personne en ce bas monde n’était parfait, bien loin de là. Qu’importait il de croire ou non en une rémission des pêchés ? Libre à chacun de mener sa spiritualité comme il l’entendait. Le but était bien entendu de prendre conscience de son imperfection, d’oser se l’avouer à soi même à défaut de l’avouer aux autres et par suite de faire en sorte d’être meilleur…pour soi et pour les autres.

Afin d’afficher sa gratitude, Julien reprit le Credo Aristotélicien à son tour, qu’il ponctua en regardant sa presque épouse dans les yeux d’un AMEN plein de joie.

Puis Uriel demanda aux témoins de bien vouloir venir parler. Steph se dévoua la première et le frangin accueillit les éclairs de ses yeux d’un grand sourire. Point n’était besoin de traduction à son regard angélique, elle comprendrait toute seule qu’il n’y était pour rien, et que ça valait bien une fiole ! Et puis quoi, même si eux savaient l’histoire, les autres pas forcément et puis après tout, c’était la journée des mariés alors pourquoi pas un petit coup d’encensoir…toujours bon pour le teint et en plus ça nettoie les yeux !

C’est donc les yeux humides de bonheur que Julien écouta sa sœur leur rappeler tous ces souvenirs, qui douloureux, qui extraordinairement forts. Elle venait en quelques phrases de résumer toute une histoire.
Il y aurait bien entendu des personnes pour trouver tout cela bien long, mais lui trouvait tout cela bien bon…et puis personne n’avait été trainé sous la menace. Tous les invités étaient venus de leur plein gré. Si par malheur tel n’était pas le cas, libre à eux d’aller patienter dans les jardins de l’abbaye, ils étaient magnifiques à cette saison.

Steph termina sa petite allocution en faisant référence à leur devise. Celle-ci prenait de plus en plus de sens à leurs yeux…à leur nom, au quel elle semblait très attachée…tout comme la p’tite Lady qui ne manquait jamais une référence à tous les liens qui les unissaient.

Une grande fierté envahit le jeune brun à l’idée de continuer encore longtemps à jouer au chef de famille. Il était si facile de ce faire avec une telle famille…que…non, pas la tâche Steph….rhooooooo, voilà qu’elle parlait de leur tâche et qu’elle….non, elle ne livrerait pas le secret tout de même…elle avait du apercevoir un changement dans le regard de son frère, elle en resta là.

Alors pour la remercier, il la prit dans ses bras et l’étreignit longuement…et pour lui faire payer tout ça…en même temps, il lui glissa discrètement sa fiole vide dans la main et lui chuchotant…


Tient, je l’ai vidée…pas eu trop de mal hein…elle était loin d’être pleine !

Puis la regardant s’éloigner avec un sourire taquin, il se retourna vers sa fiancée et lui tendit non moins discrètement un petit mouchoir à leurs initiales croisées…des fois que l’eau de ses magnifiques noisettes ne vienne gâter son teint de rose.
stephandra
Ce qui y a de bien dans les mariages c’était qu’on trouvait de tout, les ravis pour les mariés d’être présents et partager leur joie, ceux qui venaient pour la fête et les petits fours qui suivaient la cérémonie et ceux dont on se demandait pourquoi ils venaient si ce n’était que pour étaler leur belle toilette et se montrer.

Le style des « j’en ai à rien à foutre de tout ça,mais je suis là et on me voit », qui de surcroît à la madame Grinderche avaient la Gritique facile et faisaient tout pour ne pas passer inaperçu.

D’un côté ça jouait les chattes effarouchées et de l’autre ça aguichait style genre l’air de rien « parce que je le vaux bien » et parce que ça s’ennuyait alors à se demander pourquoi venir au mariage,mais il était vrai que souvent on trouvait son futur lors des mariages des autres..

La jovente amusée, scruta le visage des célibataires ici présentes et se fit une histoire pour chacune d’elle plus qu’amusante.
Tout cela ma foi en quelques rapides secondes, car Elle était plus que ravie d’être là et tant pis pour ceux que ça dérange (ça te dérange peau d’orange tu te l’épluches et tu te la manges )

Heureusement que personne ne pouvait lire ses pensées, évidemment à n’en point doutait il était préférable qu’elle-même ignora celles de certains, en attendant c’était d’un sourire angélique qu’elle observa son grand frère amusée, faudrait qu’elle lui en touche deux mots plus tard !

Qu’au manoir familial sûrement qu’ils s’en amuseraient tout en repensant au plaisir et au bonheur de cette journée, nulle n’aurait pu entraver cette plénitude quelque soit son rang son titre et blabla blabla…

Mais que faisait Eo était elle aussi prise au dépourvu ? Ahem elle en connaissait qui malgré tout ce feraient sermonner !
Au diable ! Que dis je les empêcheur de tourner en rond et que la fête continue !

Bon par contre en douce planquer la fiole tenue en main n’était point chose aisée, la remettre à l’endroit initiale sans se faire voir était impossible, elle rosit à l’idée et très vite serra la main sur la dicte fiole… elle trouverait bien un moyen à un moment opportun, Julien l’avait bien joué c’était un juste retour des choses, chacun son tour d’être enquiquiner après ça à n’en point douter son goût « calvadesque » faisait bien d’elle une Moutier !
rouls
Rouls sentit la fesse qui sétait mise sur sa main se sauver et vit caren' partir.

Ben alors, quelle mouche la pique... j'étais bien moi là ..


Il regarda sa blonde en haussant les épaules avec un ptit sourire, se disant qu'il rejoindrait ptete Caren' plus tard.

Il tourna la tête et regarda Mari qui semblait rêveuse. A quoi pouvait-elle bien penser..

Les caresses de Nat' continuaient néanmoins et il sentait de douces vagues de chaleur monter, de plus en plus.

Il murmura à sa tigresse blonde:

Dis, c'est quand l'apéro ? Fait un peu soif ici non?
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