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[Mariage Ladyphoenix/Julien]: soyez les bienvenus !

Julien du Moutier
La p’tite Lady avait semblé agitée alors qu’il formulait ses vœux…, nerveuse ? Peut être…anxieuse ? Sans doutes mais pourquoi ? Elle ne doutait quand même pas de l’issue de la cérémonie.

Julien n’allait tout de même pas se sauver en courant à ce moment là…il avait fait preuve de faiblesse une fois en ne tenant point sa promesse, il en était encore tout honteux, mari…d’autant qu’Eoline en avait un peu profité pour mettre cette histoire au jour !

Il la rassura d’un tendre sourire et l’écouta lâcher son « oui ». Elle avait la voix légèrement chevrotante…la proximité de Kebab depuis si longtemps…peut être.

Les choses étaient maintenant dites et sues, Uriel n’avait plus d’autre choix que de bénir cette union au plus vite…en fait, c’est peut être le brun qui ne parvenait pas à se lâcher totalement, en tout cas tant qu’il n’entendrait pas les mots magiques à son esprit.

Du reste, il tardait à la faire, portant son regard attendri sur toute l’assemblée. Julien se surprit à trépigner d’un pied en plissant légèrement le nez….puis les plus douces paroles qui lui aient été données d’entendre ce jour furent enfin dites….je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage…et là, toute la tension de cette longue journée tomba d’un coup…il avala un terrible sanglot, secoué de toutes parts…tendit la puce à Steph qui décidément était toujours là quand il le fallait et s’approcha de son épouse…..son épouse…Dieu que ces mots sonnaient joliment.

Il lui prit les mains, lui sourit tendrement, lui chuchota un je t’aime plein d’émotion et l’embrassa…

Ce n’est qu’à cet instant qu’il entendit Uriel lui dire qui pouvait le faire…tant pis il avait juste pris un peu d’avance sur le protocole et après tout, ce n’était point la première fois, il en voulait pour preuve le mini-nous qui poussait gentiment les murs dans le ventre maternel.

Le baiser fut long, et tant pis pour les autres qui applaudissaient derrière, ce baiser resterait pour eux le plus doux, le plus beau, le premier du premier jour de leur nouvelle vie !

En rouvrant les yeux, Julien vit Uriel, souriant comme à son habitude, il leur tendait les alliances. Le brun saisit la plus petite des deux dans ses gros doigts et la présenta à sa moitié.


Mon ange, je te donne cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité…qu’il montre à tous et toutes que je serai toujours là, près de toi…

Il passa l’alliance à l’annulaire gauche de Lady, et la regardant dans les yeux, lui sourit en déposant un doux baiser sur sa jolie petite main.

Puis vint le tour de Lady qui en fit de même. C’est muni de son alliance que Julien regarda rapidement Uriel. Il était occupé à goûter le vin, il avait donc encore le temps d’embrasser à nouveau la mariée.

Voilà que le grand brun redescendait sur terre, il s’aperçut que la faim commençait à le tirailler quelque peu, aussi eut il du mal à contrôler d’odieux bruits d’estomac en apercevant le pain.
Il se saisit avec plaisir de la corbeille, rompit un morceau qu’il tendit à Lady, puis un pour lui…et tendit le reste à qui voudrait bien venir communier avec eux.
Puis il prit la coupe, la tendit à Lady en souriant mais ne dit rien, elle comprit sans doute très bien que le sourire voulait dire….pas tout hein, on est nombreux…il but aussi une gorgée de cet exceeeeeeeeeellent cru avant de le tendre aux amis.

Steph fut la première à venir les féliciter, aussi, quand elle s’approcha pour lui coller son sonore bisou sur la joue, il lui glissa à l’oreille…


Allez ma grande, gageons que le prochain sera le tien…et en attendant, sois heureuse avec nous.
Natasha Novgorod
La Novgorod se serait presque féliciter sur c’coup là… bon, presque hein ; non pas qu’elle éprouve le moindre remord d’être restée à l’extérieur de l’édifice, au contraire mais encore un peu et elle manquait l’échange des vœux. Bien beau d’jamais entrer dans les lieux « saints » mais si l’indiscret n’avait dégondée la porte, elle aurait loupé l’meilleur et elle se devait d’admettre qu’ils étaient touchants tous les deux… bref, elle écoutait sagement –ça arrive oui !- les tourtereaux répondre au cureton, tout en observant l’assemblée, moins calme qu’elle n’y paraissait.

La cérémonie prenait fin et les invités de commencer le ballet des félicitations ; la blonde quitta le parvis pour retrouver ses compagnons. Elle aurait le temps de s’essayer aux compliments plus tard et Lady connaissait la sauvage, aussi ses genoux suffiront sans doute…l’idée la fit sourire. La platine rejoignit le duo d’alcooliques et les secoua vivement :


Debout !! La messe est dite… faut r’trouver la gamine.

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Jeanbapt_77
Et voilà! Les vœux ont été faits et le mariage venait d'être concrétisé suivit d'un tonnerre d'applaudissement. Une page venait d'être tourné et un grand jour marqué dans l'histoire du couple. A peine les alliances passés au doigts que les invités commençaient déjà à affluer pour féliciter les mariés.

JB se leva à son tour et s'approcha du couple, un sourire attendrit par l'émotion qui envahissait la salle. Une fois devant le mari et son épouse, il ne put s'empêcher d'enlacer sa grande amie Lady pour la féliciter, elle était une grande fille, maintenant elle venait de devenir une grande femme. Puis, au tour du marié, il ne le connaissait pas vraiment, à part quelque rencontre rapide en taverne, jb et lui ne s'était jamais vraiment parlé, c'est pourquoi il lui serra juste la main et lui souhaita de vivre heureux avec sa femme, sa fille et son futur enfants.

Jb ne connaissait même pas la moitié des invités, tous lui était inconnu à part quelque personnes : les mariés, évidemment, Eoline, Stephandra, Della, Eusaias, et...et puis c'est tout? Aïe, même pas la moitié de ce qui semble former l'assemblée, il s'écarta vite pour laisser les autres féliciter les mariés et resta silencieux, toujours ce sourire fier étiré sur ses lèvres.
Maribel
Natasha Novgorod a écrit:

L’apéro ? Tssss, d’mandes à Mari si t’as soif… sa besace est une vraie taverne !


La brune pulpeuse avait l'écoute plutôt sélective et c'est l'évocation du lieu culte de toutes les beuveries qui la fit sortir de sa rêverie... N'écoutant que son grand coeur, elle refila, avec un certain regret, à Maurice, le fond d'une bouteille d'hypocras... Pensant que cela calmerait ses élans - éthyliques du moins!

C'est en refilant le poison au blondinet que la Marie aperçut sa divine aller zieuter du coté de l'église... Elle frotta ses yeux plusieurs fois, se disant qu'elle avait dû abuser du pinard trop tôt en journée ou que l'alcool était frelaté... Elle fût donc soulagée de la voir revenir...


Natasha Novgorod a écrit:

Debout !! La messe est dite… faut r’trouver la gamine.


Erf... Elle ne s'était même pas aperçue que la gamine leur avait fait faux bond... Un peu désordonnée, la brune se leva en ajustant sa jupette tout en jettant un coup d'oeil au blond... Puis, elle siffla entre ses dents...

Bah c'est pas rien sauf que je crois qu'on va manquer à boire... Le Maurice ingurgite le vin à la vitesse de l'éclair...


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Elisabeth Stilton
Elisabeth se tenait sagement aux côtés de son promis ... enfin on se demandait qui était celui qui surveillait l'autre en fait car le capitaine était loin d'être un ange. Eli écoutait la cérémonie tout en imaginant ce que serait son mariage avec un être si particulier que son fiancé.

L'échange de vœux ainsi que le témoignage des témoins était tout autant émouvant que drôle. Ce qui laissa songeuse Eli ... La fin de la cérémonie approchait et la demande d'Ulrich aussi pour le coup. Elle se pencha à son oreille.


Mon cher il vous faudra parler à Uriel et à Eusaias pour notre union, l'un est mon parrain et l'autre ... il est comme mon oncle voyez vous.
rouls
Le blondinet-poisson-chat mourrait de soif. Aussi la bouteille que lui avait tendu Mari lui sembla salutaire. Il but de grosse gorgées avant de se rendre compte que le breuvage n'était point de la bière ou autre alcools doux.

AAAAaaaahh ben ca réchauffe les tripailles ton truc! fit-il en rendant la bouteille à Mari.
Comme si j'avais pas déjà assez chaud la dessous!

Il sourit, s'essuya la bouche et lança un regard à sa blonde puis à Mari.

Après avoir bu, il commençait à avoir faim, l'animal..

Bon alors, elle est passée ou Caren'?
Theognis
Théo a un souci....Un gros souci, diront certaines. Mais la responsabilité de cette pensée leur échoit entièrement. Pour l'instant, Théo en a gros....Dans le pantalon....Ah ces habits légers de l'été, c'est bien, c'est beau, c'est confortable, mais ce que c'est déformant....Et sa louve avait puissamment contribué à la déformation en question.

"Pense à quelque chose d'horrible", s'intima un Baron en désespoir. "Une nonette violée par une bande de brigands furieux?" Très mauvais choix. A ce point d'excitation, toute femme rêvée, fut-elle au départ pustuleuse et grabataire, se transformait immanquablement, avec des mèches enflammées, des yeux colorés d'insolence, et un corps à faire pleurer d'envie un Phidias désenchanté.

Oui, à ce stade, même Maria dans son vitrail devenait belle et bandante. Survenait alors le mythique souci des blasphémateurs, être foudroyé sur place. Une enième fois, pour calmer les ardeurs célestes, Théo promit mentalement de s'enfiler des pater à la chaîne quand il en aurait le temps. Vu que, pour l'heure, il ne connaissait que le pater.

Sa rousse se leva pour aller féliciter les mariés, mais elle eut la bonne idée de l'attendre. Voire de s'impatienter en le regardant, avec cette ravissante petite moue à la commissure des lèvres, vous savez, cette mine adorable et....

Non, vraiment. Arrêter d'y penser, de la mirer. Et tourner la tête vers l'entrée, comme pour avaler un bol d'air de sérénité. Et apercevoir l'Affreuse, modèle blonde et habits flottants, avec qui sa louve....

Non, non, et non. Ce n'est définitivement plus possible. Elle grandit, elle grossit, c'est un pic, c'est un cap, que dis-je un cap, une péninsule! Elle semble si énorme à Théo qu'il semble prodigieusement évident que tout le monde va le remarquer, lui l'homme-équerre, et se gausser à en pisser dans les chaumières. Jusqu'au curé qui l'aspergera d'eau bénite, le menacera de milles tourments infernaux, etc.... D'ailleurs, certains chevaliers trop courtois ne furent-ils pas condamnés à une publique émasculation? Et d'autres, la légende aidant, on leur fit bouillir les choses, avant de les taper à la masse et de les laisser, toutes sanguinolentes, au bon appétit des corbeaux?

Soulagé, il se leva d'un bond.


Je vous suis, Aria, allons présenter nos félicitations aux mariés!

Par magie, sa gêne avait disparu. Ses prières furent donc entendues, ou plutôt avait-il écouté sa peur du châtiment suprême. Présentant son bras à sa louve, ils allèrent se mêler à la foule joyeuse.

Ensuite, ce fut des bravos, des félicitations, des rires, et il était franchement ravi pour eux. Mais, dans l'allégresse générale, il restait un peu méfiant vis-à-vis de sa rousse, car la finaude le connaissait trop bien, avait certainement tout compris, et ne manquait pas d'audace!
Ladyphoenix
Eh bien, voilà que la cérémonie s’accélérait gentiment. Après l’échange des vœux, vint le moment que Lady attendait depuis le matin-même : le baiser à la mariée. Oui, parce que bon, les baisers, tout le monde sait que la Miel adorait cela – je vous arrête tout-de-suite, le mot « baiser » est large, et il comprend les embrassades amicales, bref – mais là, c’était LE baiser suprême.

Le premier de sa vie d’épouse, le premier de sa nouvelle vie, et celui qui scellait justement leur désir commun d’unir leurs destins à jamais.

Etrangement, Lady, d’habitude si inquiète et angoissée, était sereine, paisible, ravie, épanouie. Elle faisait ce qu’elle désirait par-dessus tout, et son avenir, qu’il soit proche ou lointain, lui apparaissait se trouver sous les meilleures auspices, entourée de son époux et de sa belle-sœur, ainsi que de leurs enfants.

Julien semblait si ému, si heureux, si fier ! Son bonheur était palpable, ainsi que son émotion, quand il prit tendrement les mains de sa Miel, et lui murmura qu’il l’aimait. A son « je t’aime », Lady se surprit de pouvoir sourire plus largement encore qu’elle ne le faisait, émue, touchée par cet homme qu’elle aimait, qu’elle désirait, par-dessus tout.


- Je t’aime aussi, mon chéri…

Au contact des lèvres de celui que l’on pouvait dorénavant appeler son époux – et on n’y manquerait pas, merci bien -, la Miel ressentit une vague de chaleur, et nombre de papillons virevolter en son bas ventre… Même le ou les petit(s) fêtai(en)t ça d’ailleurs, soyons fous. Le baiser fut long, tendre, accompagné d’une clameur des invités qui ravit la Miel, oui, aujourd’hui, Dieu et les hommes étaient donc témoins de sa joie et de son amour pour Julien.

Après les vœux, c’était au tour des alliances d’être échangées, et ce fut-là un moment inoubliable. Aux paroles de Julien, Lady sentit remonter ses larmes d’émotion, et c’est avec un sourire ému et plein de tendresse qu’elle écouta ses vœux, le regard plongé dans le sien, et sentit le doux baiser donné par son mari sur sa main, avant de s’exécuter à son tour.

La Miel saisit donc délicatement l’anneau destiné à orner la main de son époux et c’est avec la plus grande douceur qu’elle le passa à son aimé :


- Mon amour, acceptes cette alliance, symbole du lien et de l’amour qui nous lient à jamais. Par l’anneau que tu m’offres, je deviens tienne éternellement, et je remercie Aristote d’avoir fait se croiser les chemins de nos vies pour ne former qu’une même route, et de me permettre de te faire mien par cette alliance que je t’offre à mon tour…

Un baiser supplémentaire, par pure gourmandise des lèvres sucrées de Julien – et puis, Uriel était appliqué à la préparation du vin et du pain de la communion, alors… pourquoi s’en priver ?
Lady inclina légèrement la tête pour remercier son époux de lui tendre le morceau de pain qu’il avait rompu et partagé avec elle, puis but une petite gorgée – et c’est bien parce que le regard et le sourire de chéri voulaient tout dire – de vin vieux, un pur délice que la Miel ne refusait jamais, et son ange le savait fort bien.

Vinrent bientôt les félicitations des invités, et Steph se présenta la première. Après avoir regardé en souriant son frère l’embrasser et lui glisser quelque phrase à l’oreille, ce fut au tour de Lady d’enlacer celle qui devenait officiellement sa sœur, de la bisouiller, et de la remercier, de tout, d’être là, de les aimer, car tous deux le lui rendaient bien.

Suivit son presque frère s’avançait vers elle, celui pour qui elle avait la tendresse, l’amour et le côté taquin insupportable d’une sœur, Jb. Surprise, elle répondit à son étreinte et lui posa une bise heureuse et sincère sur la joue, le remerciant chaleureusement d’être sorti de sa retraite pour assister à son mariage, ce dont elle était ravie, et honorée, la présence de Jb étant importante à ses yeux un jour comme celui-là.

Les invités se succédèrent pour leur confier leurs vœux les plus chaleureux, et bientôt Théo et Aria s’avancèrent à leur tour. C’est avoir émotion que la Miel reçut leurs félicitations, les embrassant pour les remercier, même si la lueur taquine des yeux d’Aria laissait présager à Lady qu’elle lui cachait quelque chose…


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eoline
Et zut, flute crotte!! La rouquine n'en avait pas perdu une miette. Et pour une fois, elle ne trouva pas la mariée moche, le marié crétin, les invités bégueules et prétentieux. Pour une fois, elle avait suivi une messe de mariage dans son intégralité, sans même bailler, ni observer la voute pendant des heures. Bien sur, elle avait été obligée de parler... mais bon... pas rancunière, elle avait déjà oublié. Pourquoi? Parce que ces sombres idiots qui venaient de se mettre volontairement la corde au cou et qui semblaient s'en délecter, avaient fini par l'émouvoir. Ah Non!! Pas question de voir la rouquine pleurer, avoir les yeux mouillés... Elle se recula donc de quelques pas et frôlant Bocom du dos de la main au passage, la jeune femme prit la contre-allée en catimini afin de sortir prendre le frais. Les effusions en public très peu pour elle, même si elle s'entendait encore lancer un "nous vous aimons" à Lady et Jules César... C'est alors que, au moment où elle allait franchir une porte transversale, elle se souvint des mots de Julien... Et bien il avait la mémoire courte le Jules César, parce qu'une fois alors qu'il l'avait jetée dans un abreuvoir c'était pourtant ses braies à lui qui étaient tombées laissant paraitre sa virilité. Non mais oh!

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Elisabeth Stilton
Il partait, il fallait qu'elle lui parle, qu'elle lui dise ce qui c'était passé à Arquian. Elle lui devait l'honnête. Eli quitta Ulrich tout en lui rappelant qu'il devait parler aux deux hommes. Doucement elle approcha des mariés mais avant elle alla rejoindre son oncle. Elle l'embrassa.

Mon oncle je suis ravie de vous voir. Je n'ai pas le temps de parler longuement avec vous mais je voulais vous prévenir qu'Ulrich devait vous parler à vous et Uriel, il est mon parrain. Moi j'ai une affaire à régler.


Son regard se posa sur l'homme.

Je vous laisse ...


Elisabeth s'approcha du groupe.

Félicitation, et longue et heureuse vie à vous.


Elisabeth pose sa main sur le bras de Théognis et insiste du regard.

Vous m'accompagnez ?

Aria
La rouquine avait presque gagné, le Baron allait craquer, elle sentait les braies se tendre sous ses caresses interminables.
Mais tout à coup, alors qu'ils s'étaient levés, elle fut surprise de cette retenue qu'il manifesta.
Il parvint à se contrôler avec talent.

Ils se dirigèrent donc vers Lady et Julien, les embrassèrent chaleureusement et elle leur murmura


J'ai un cadeau pour chacun.. j'attends qu'il y ait moins de monde à vos trousses pour vous les offrir.. Quoiqu'il en soit, Félicitations à vous deux... même à vous quatre !


Avec son air espiègle, elle les laissa là tandis que le Baron les félicita à son tour.

C'est alors que la jeune femme déjà vue auparavant revint à la charge, l'ignorant une nouvelle fois pour tenter d'embarquer son compagnon.
Le caractère de la rouquine était impulsif et sa réaction ne se fit pas attendre


Hum, ma demoiselle, je me présente, Aria, compagne de l'homme que vous tentez d'enlever.. Je ne sais pas à qui je m'adresse, aussi, pourriez vous me dire qui vous êtes ?

"et surtout ce que tu lui veux !!"

Mais ça, elle se garda bien de le dire.
Leur couple avait une règle : la liberté.
Si le Baron voulait la suivre.. qu'il y aille.
Mais que cette jeune femme la snob complètement était insupportable pour la rouquine qui avait l'habitude d'être remarquée.

Son bras resté accroché à celui du Baron, elle ne le laisserait s'échapper seulement si il en faisait la démarche et non pas sous l'insistance d'une jeune femme inconnue.

Les yeux d'Aria détaillèrent la demoiselle.. ses airs lui étaient réellement familiers.. mais qui ?

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ccsdb
Cc était arrivée au moment où les témoins faisaient de jolis discours sur les mariés. Elle était en retard comme d'habitude... Elle avait eu quelques difficultés à se libérer, mais elle avait promis à sa filleule d'être là pour son mariage. La sémuroise ne voulant pas se faire repérer, était entrée silencieusement et s'était glissée au fond de l'église.

Elle avait suivi la cérémonie avec beaucoup d'émotion, admirant la mariée et son homme. Ces deux-là s'étaient trouvés, quelle joie!

La cérémonie s'achevait, et Cc emprunta l'allée centrale, suivant la foule, pour aller féliciter les mariés.
Enfin devant eux, un large sourire s'afficha sur son visage:


Mes félicitations à vous deux. Vous êtes magnifiques! Puisse votre vie de couple être aussi ensoleillée que cette journée.

Elle prit Lady dans ses bras, savourant un instant d'émotion avec son amie. Puis se dirigea vers Julien, et en fit de même.

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Carensa
Chantonnant gaiment notre brunette arriva, une main dans la poche - euh..nan elle n'a pas de poche..mmh - une main à la bouche, tenant la pomme dans laquelle elle croquait avec gourmandise, l'autre battant la mesure sur la peau ambrée de ses cuisses. Les cheveux légèrement décoiffé qu'elle remis d'un mouvement - parce que je le vaut bien- pour être "présentable". C'est pas qu'elle y trouvait une importance, mais c'est surtout qu'elle ne voulait pas faire honte à sa blonde, chérie, adorée qu'elle aimait de tout son cœur - comment ça j'en fais trop ?? tsss.

Elle rejoignit le groupe qui s'était levé et leur sourit

- c'tait bien ? j'ai rencontré un moine..gentil comme tout, m'a fait gouter des tas d'trucs, mais bon hein j'ai encore faim ajouta t'elle en plantant ses crocs blancs dans la pomme.

Elle regarda Rouls, s'approcha, et lui donna un baiser en lui murmurant :

- t'aurais pu m'rejoindre toi..j'retiens hein, j'toujours faim..
dit elle en lui faisant un clin d'oeil malicieux puis elle ajouta bon..c'est l'heure d'bouffer nan ? on y va ? pis j'irais bien taquiner l'baron moi
garius
Belle cérémonie, très belle cérémonie même. Les deux tourtereaux étaient dorénavant mari et femme et ils rayonnaient de bonheur.

Bien sur, toujours plus ou moins les mêmes interventions, les mêmes « mièvreries » mais Gari en était friande, contrairement à Will qui trépignait d’un pied sur l’autre, des plus mal à l’aise. L’amour primait sur tout et voilà l’essentiel.

Après avoir attendu sagement que les mariés furent accessibles, Gari s’empressa d’aller les féliciter, les serrant chaleureusement entre ses bras.

Enchantée de faire votre connaissance Julien. Votre choix s’est porté sur la plus adorable des femmes et je ne saurais que vous féliciter pour votre bon goût.

Se tournant vers Lady, elle ne put cacher son émotion, bien plus troublée qu’elle ne voulait le paraître.

Tous mes vœux de bonheur les plus sincères ma toute belle et qu’Aristote protège ton adorable famille.

Elle ne put s’empêcher de passer une main douce sur le ventre rebondit de son amie, lui adressant son plus beau sourire.
Elisabeth Stilton
Oh mais elle commençait à être casse pied la greluche. C'est pas parce qu'on veut parler à un homme que l'on va se laisser séduire, elle a peur de quoi ? D'une jeune fille de 15 ans qui est fiancé ? Ba tant pis pour elle.

Elisabeth restait calme pour le moment, par respect envers les amis de sa Mère, par respect pour les mariés, par respect pour la famille d'Ulrich et par respect envers son parrain. Mais fallait pas la chercher trop non plus et là elle commençait sérieusement la chatouiller la rouquine, surement une fausse tiens. Breiz avait une couleur bien plus naturelle que la femme qui en plus de l'empêcher de régler ses affaire était sourde. La blonde c'était déjà présenté au couple en arrivant. Mais soit, elle n'en voulait pas à la faible capacité intellectuelle de la femme tout le monde ne pouvait pas être intelligent. Aussi elle recommença.


Madame, je m'étais déjà présenté à vous et votre compagnon mais soit. Je suis Elisabeth Stilton de la Combe aux Loups. Ensuite je n'enlève personne mais j'ai une affaire à régler avec le Baron qui ne vous regarde pas, elle ne concerne que ce monsieur et moi même.

Puis un regard vers Théognis.


C'est à propos de Mère, entre autre.
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