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[Mariage Ladyphoenix/Julien]: soyez les bienvenus !

Della
Mazette...mais où allaient-ils tous ? Uriel n'avait pas envoyé la messe...la célébration n'était pas terminée.
Avaient-ils confondu le partage du pain et la levée de célébration ?
Sans doute...

Della ne bougea pas, se demandant ce qu'il convenait de faire.
Elle décida d'attendre...de voir la réaction de Uriel et après, il serait encore temps de claquer un bisou sur la joue de Lady. D'autant qu'elle voulait demander audience à Uriel...

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Aria
La rousse l'avait de travers, la jeune femme s'était présentée, en effet, mais au Baron seulement, pendant qu'elle même discutait avec Della.
Elle n'était peut être pas très douée question politesse, mais la moindre des chose aurait été d'accorder un regard à la personne à qui on se présente si ça lui était adressé.

Et voilà qu'elle abordait encore une fois sa mère.. qui pouvait-elle être ? Une que Theognis avait bien connu.. il en avait connu tellement... une qu'il avait porté en estime.. là aussi, le choix était encore trop large.

Une affaire qui ne la regardait pas... un doute infime naquit dans l'esprit déjà tumultueux de la rouquine.
Existait-il des secrets entre lui et elle ?
Non, là était la base de leur couple.

Enfin cette gourgandine à l'air condescendant ne lui plaisait pas.
Son loup devait d'ailleurs le sentir, à la manière dont ses ongles s'enfonçaient dans son bras pour se contrôler.

"Allons Aria, c'est un mariage, répond poliment et va t'occuper ailleurs... "

Ses yeux se posèrent sur Natasha et Carensa.
Les deux plus belles affreuses du royaume juraient avec l'atmosphère pieuse du lieu.

Doucement elle se décrocha du Baron et vint embrasser le lobe de son oreille pour lui murmurer :


Je vais voir les affreuses mon loup. Débrouillez vous avec cette.. cette jeune femme.

Elle y était arrivée, fière de sa maitrise, elle les laissa, lançant un regard perplexe sur Elisabeth avant de rejoindre la blonde caractérielle.

Elle en profita pour chercher Loup des yeux.
Ce dernier s'était enfui au début de la cérémonie, sûrement pour se cacher sous une table... ou sous un jupon qui sait.
Elle aperçu les boucles rousses de son fils derrière l'autel et sourit.

Arrivée à hauteur des demoiselles accompagnées d'un homme, elle se planta devant. D'un geste elle désigna Maribel, la belle brune, du menton en avisant Nat.



Alors ? c'est elle ta jumelle.. en plus intelligente je suppose ? Enchantée, je suis Aria.

Puis elle observa Carensa, croqueuse de pomme entre autres.

Alors affreuse numéro 2, comment vas tu depuis tout ce temps ? T'as pas l'air d'avoir beaucoup changer.. toujours aussi... insaisissable ?

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uriel
Il semblait être le temps de terminer.
De toutes façons, en général, après le partage, c'était la débâcle, Uriel n'en prenait jamais ombrage, car seuls les clercs, à la rigueur devaient respecter la finalité.


Que les mariés profitent bien de cette journée.
Et que tous aillent en paix sous le regard du Très-Haut.




Il referma alors son livre des vertus et alla se mêler à la foule, pour parler quelque peu à Eli, à Della.

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stephandra
Stéphandra sourit à l'issu de cette cérémonie, l'émotion leur avait tous fait perdre la notion de l'attente s'était dissipée pour les embrassades trop hâtive.

Uriel dans sa grande bonté mais aussi dans sa connaissance de l'être humain ne prit pas ombrage, Stéphandra lui sourit.

Elle se souvenait qu'elle ne devait pas s'éloigner au vue de son arrivée où il lui avait signifié qu'il souhaitait l'entretenir, cela tombait bien elle voulait justement lui montrer quelque chose.

Aussi, la petite dans les bras, elle retourna s'assoir sur un banc et attendrait qu'Uriel soit disponible. Jouant avec l'enfant, elle prit plaisir à la bisouiller et la féliciter d'être une du Moutier.
Carensa
La brunette terminait sa pomme tout en zyeutant les uns et les autres, c’était l’un de ses passes temps favoris, bien après la sieste dans le foin..il faut le souligner quand même !

Perdue dans ses pensées quelque peu friponnes elle n’entendit pas Aria approcher et ce n’est que lorsque celle-ci lui adressa la parole qu’elle sortie de sa rêverie

Citation:
Alors affreuse numéro 2, comment vas tu depuis tout ce temps ? T'as pas l'air d'avoir beaucoup changer.. toujours aussi... insaisissable ?


- bah..c’va bien et vous l’cureuil ? tout c’temps ? bah y’a pas si longtemps, j’vous ai manqué p’t’être ? .- léger papillonnement des cils - changer ? bah pourquoi vous v’lez que j’change ! c’est comme ça qu’on m’aime non ? avouez qu’vous m’aimeriez pas autrement ! dit elle d’un air effronté et tellement..hum… pis j’suis pas insaisissable, juste qu’il faut savoir m’prendre c’tout et z’avez pas su .

Elle pris un air dégagé tout en lui faisant un clin d’œil malicieux puis passant sa main dans sa crinière et regardant autours d’elle ajouta : l’est pas là v’tre baron ?

Son ventre se mit à grogner. Il semblait impensable qu’une petite bonne femme de la sorte mange toujours autant. Parfois elle-même se demandait où tout ce qu’elle engloutissait allait tant elle pouvait en avaler. Elle se pencha vers Aria

- bon allez..j’avoue j’suis contente d’vous r’voir, j’avais peur d’me faire suer ici.. termina t’elle en souriant
Della
Et voilà, la messe était dite !
Une dernière prière, ça ne fait pas mal, au Très Haut et hop, Della invita Eusaias à l'accompagner féliciter les marier.

Vous venez ?
Elle se leva et se dirigea vers Lady, fort accaparée, il faut bien le dire.
Mais elle se fraya un petit passage à coup de "Pardon"..."Excusez-moi"...et finit par embrasser la mariée.

Félicitations, Lady ! Longue vie heureuse à toi...et à ton époux.

Epoux qu'elle félicita également mais sans l'embrassade.
Toutes mes félicitations, messire Julien.

Voilà, c'était fait...Uriel, maintenant.

Elle lui sourit, il arrivait vers les specta...euh, les invités.
Ni une ni deux, elle lui choppa un bras et...:
Mon cher ami, j'aimerais m'entretenir avec vous...Serait-ce possible ?

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uriel
A peine arrivé parmi les invités, Uriel scruta l'assemblée du regard.
Il devait parler à Stephandra pour une histoire de séminaire médical, rien de grave ni de rédhibitoire, mais ce devait être fait.
Puis bien entendu prendre des nouvelles de sa chère filleule Eli.

C'est fort surpris qu'il se sentit agrippé par le bras, se retournant, il constata que c'était la Dame De Railly. Della ... il était vrai que la petite touloise s'était embellie avec le temps - cette constatation n'était bien sûr qu'esthétique, il se demanda un instant si il ne devait pas se mettre à la peinture, tant il aimait regarder les gens, simplement, mais sans pour autant ourdir de sombres plans murmurés par l'Ombre.

Bref !


Oui, bien sûr, Della, j'allais justement rechercher quelque parchemin dans ma cellule, accompagnez-moi, nous discuterons en chemin.

Il se rendit compte de l'ambiguïté de sa proposition, mais bon, Della le connaissait et le prendrait sûrement pour ce que c'était : une simple discussion.

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Theognis
Amusé mais un peu agacé par le manège de sa louve, Théo suivit Elisabeth, consicent qu'ils avaient des choses importantes à se dire. Plus importantes, certainement, qu'un batifolage derrière des buissons. Vraiment, que croyait Aria? Que le Baron s'envoyait en l'air avec toutes les femmes venues à sa rencontre? Parbleu, à ce compte-là, il était le père de la moitié du Royaume!

"Aussi jalouse qu'Aelyce", songea Théo en sortant à l'air libre sous le chaud soleil de Juillet. Puis il tourna des yeux interrogateurs vers Elisabeth. Où voulait-elle l'emmener?
Della
Della sourit à Uriel, sourire bon enfant, sans malice et amical.
D'accord...mais si vous voulez rester un peu, je vous attends là-bas.
Dit-elle en indiquant un endroit un peu plus loin, vers la sortie.
C'est qu'elle ne voulait pas non plus accaparer le bon frère Uriel...

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Maribel
La brune s’étirait discrètement après cet apéro sous le soleil… Les gens commençaient à sortir de l’église, la pendaison venait de s’achever… La mignonne était revenue dont ne sait où, mais la Mari qui commençait à évaluer le potentiel de la gamine ne s’inquièta pas sur les moyens que cette dernière pouvait trouver pour se distraire… Tandis qu’elle répétait encore une fois qu’il manquait à boire maintenant que le Maurice avait siphonné tout ce qui lui restait dans sa réserve de breuvage fermenté, Caren se mit a râler qu’elle avait encore faim… On ne savait jamais de quel genre de délice cette fille, pas tout à fait femme, mais bien plus dégourdie que la plupart des dames présentes cette journée là, parlait quand elle évoquait sa légendaire gourmandise…

Parmi les invités déambulants, la rousse dont Mari avait reluqué le décolleté un peu plus tôt, s’amena, délaissant le nobliau qui semblait l’accompagner au profit d’une dame qui ne semblait guère lui plaire… La brune trouvait fascinant d’évaluer le comportements des gens, surtout dans les mondanités du genre où certains semblaient prendre plaisir à se donner de l’importance… La rouquine ne semblait pas de cette catégorie et à l’évocation du mot « jumelle » en la désignant auprès de Nat, la belle sut qu’elle pouvait baisser sa garde… Tandis que la mignonne (d’où sûrement lui était venu son nom) faisait de la lèche à la divine créature, Mari tendit sa main délicate, un sourire raffiné se dessinant sur son visage dont seul les jades immenses en éclairait l’immaculée blancheur…


Mari, enchantée… Et blonde de cœur... il ne faut pas se fier aux apparences…

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marieladamnee
La damnee se sentait toute bizarre pendant que les époux échangeaient les voeux. Elle était émue, touchée par la beauté des émotions qu'exprimaient leurs serments. Voila qu'elle devenait sentimentale pffff. Elle secoua la tete pour chasser cette sensation. L'amour, voila une chose à laquelle elle ne se laisserait pas prendre. Non pas qu'elle trouvait ça niais mais juste que c'était bien chez les autres.. Ceci dit elle savait que cette armure n'était que du vent qu'un jouvenceau ( ou une jouvencelle ) pouvait réduire à néant d'un seul regard. Et comme les autres elle succomberait au plaisir de l'amour et à son romantisme. Bref passons aux choses sérieuses et allons féliciter les joyeux amoureux se dit elle.

Elle se leva du banc ( le dernier au fond comme à l'école ) et suivit la cohorte d'invités jusqu'au dit couple. Elle serra Lady dans ses bras et l'embrassa.

Félicitations ma jolie Lady, je te souhaite tout le bonheur du monde. C'est un immense plaisir de te revoir surtout pour des circonstances aussi heureuses. Je vois que tu as bien reussi ta vie et que tu es comblée.. Tu me présentes le chanceux...

[i]Lady lui presenta Julien, et Marie s'empressa de le féliciter à son tour. Puis elle s'éloigna du couple pour laisser la place aux autres.
Aria
Lorsque Maribel lui tendit une main, Aria, prit le temps de la détailler un instant avant de tendre à son tour la sienne, pour effleurer la peau délicate du bout des doigts.
La rouquine ne s'inclinait jamais, aussi préféra t-elle amener la main prisonnière jusqu'à ses lèvres.

Un sourire s'étira sur celles-ci quand elle entendit la confidence de Carensa.
A chaque fois qu'elle se croisaient, ce n'était que jeu de provocation entre elles.
La "mignonne" avait visé juste cependant lorsqu'elle disait qu'elle n'avait pas su la prendre.
Elle se défilait comme l'eau que l'on tente de retenir avec les doigts.

Quand Mari se fut présentée, la rouquine ne put retenir un rire. Décidément... Comment cet homme parvenait-il à rester entre ces trois là sans se sentir à l'étroit.
Jamais elle n'avait rencontré d'aussi forts caractères réunis.
Oh bien sûr il y avait elle, et c'était à chaque fois un plaisir de revoir les affreuses pour affiner sa répartie.

Du coin de l'oeil, elle vit la silhouette du Baron disparaitre à l'extérieur. Elle avait senti, à son départ sans frémissement, sans geste, qu'elle l'avait agacé.
Soit, elle y était peut-être allée un peu fort... peut être pas.. quoiqu'il en soit il n'y avait là rien de dramatique et elle reporta à nouveau son regard sur les sirènes.

Se rendant compte qu'elle ne s'était pas présentée à la mystérieuse brune elle dit :


Ravie de vous rencontrer enfin belle amie des affreuses. Je ne vous connais pas encore assez pour me permettre de vous apeller ainsi.. mais une intuition me dit que ça ne va pas tarder.

Je suis Aria, rouquine d'Autun, la seule rousse qu'il faut au moins avoir rencontré une fois dans sa vie.


Ce n'était pas vrai, elle même n'y croyait pas car trois rousses lui vinrent immédiatement à l'esprit : Sorane, Breiz et Eoline.
Ces trois là étaient incontournables.
Mais bon il s'agissait de faire bonne figure, avec le plus d'arrogance possible. Autant mettre le paquet.

Enfin, elle se retourna vers Carensa, après avoir réprimé son rire. Sans discrétion aucune, elle lui répondit


Le Baron.. l'est parti avec une jeune femme dans le jardin..pour affaires qu'ils ont dit. Et ne t'avise pas de contredire ça !

Moi aussi je suis ravie de te revoir ! Faut pas avoir honte.. il n'y a que les sots qui ne supportent pas de me retrouver... et tu n'en es pas une pas vrai ?


Si elle avait eu une auréole, cette dernière se serait décrochée aussitôt, le néon se serait éteint dans un grésillement de mouche brûlée. (à 2h du matin... faut pas se demander où le narrateur pioche ses inspirations...).

Non vraiment... pour être sérieuse... que faites vous ici ? Jamais je ne vous aurais cru capable d'entrer dans un lieu pareil. Puis alors, toi Carensa.. la discrétion est à travailler ma belle ça pourra te servir... enfin je dis ça je dis rien.

Son sourire était moqueur, mais ses yeux plutôt amusés et ravis de les voir.
Elle détacha doucement ses doigts de la main, qu'elle n'avait pas lâché pour le plaisir de sentir la douce chaleur qu'exaltait le corps de la blonde de coeur. Tout bas elle lui dit, espiègle.


Il semblerait que vous ayez besoin d'un rafraichissement.. à moins que la chaleur ne vous dérange pas.. auquel cas j'ai d'autres occupations bien plus brûlantes qui pourraient convenir..

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eusaias
Bout de poulet délogé, cuisse de Della tripoté il ne lui restait plus qu’à félicité les mariés. La blonde de Railly l’invitait déjà à le faire et c’est en lui emboitant le pas qui se fit une place parmi les assaillants.

Félicitations aux jeunes mariés et que de cet union puisse naitre une maisonnée.

Il embrassa le front de Lady et en profita pour faire de même à la témoin rouquine. Une main amicale sur l’épaule du marié et un mot osé :

A défaut d’embrasser le marié, puis je par deux fois embrasser son témoin ?

Il donna première bise à Stephandra et fut pousser sur la côté avant de donner la seconde et attendre réponse. Elisabeth c’était présenté ainsi qu’Ulrich avant de disparaitre. Foutre dieu, visiblement on le fuyait comme la peste, Della le plantait déjà pour l’officiant : « vraiment aucun gout » avait murmuré le Baron à lui-même devant ce fait. Il haussa les épaules et offrit un sourire à la demi-angloise qu’il voyait comme une nièce, alors qu’elle partait avec Theognis vers les jardins.

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stephandra
La petite Amellia s'amusait avec tout ce qu'elle trouvait notamment la mèche rebelle de sa tante, quand ô surprise Eusaias lui accorda une bise, puis quelques secondes après une seconde.

La jovente amusée, repensant à une soirée en taverne qu'ils avaient partagé où celui-ci lui avait démontré que l'on pouvait brigander une jeune femme dans ce genre de lieu. Ayant reçu à l'époque une gifle pour seule réponse, en ce jour de mariage ce dernier fut bien plus sage à son égard.

Alors c'était sans se faire prier que Stéphandra lui fit la bise et "au diable l'avarice" lui en accorda une seconde. Observant son regard, il voyait se défiler son gibier ou tout du moins pour le moment, il n'avait point changé. Elle lui sourit quand à son murmure qu'elle odit avec amusement.

Puis se demandant si elle devait lui parler ou s'il était pressé de s'enfuir, ses yeux de Della à Eli, Stéphandra lâcha une phrase bateau


Ravie de vous revoir, comment allez vous depuis le temps?


Ne l'ayant point croisé depuis décembre de l'année passée, elle avait bien eut des nouvelles par personnes interposées mais rien de tel que de demander par soit même.
Julien bien qu'il était très occupé, ne pouvait s'empêcher de jeter un oeil protecteur vers sa petite soeur, il n'était pas le chef de famille pour rien et le pot de confiture de lui lancer un clin d'oeil rassurant.
Elisabeth Stilton
Ni une ni deux elle prit le bras de Théognis et le conduisit vers un endroit qu'elle appréciait en ces lieux : Les jardins.
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