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[RP] Le lac d'Angers.

Samu13


Samu était à Angers depuis longtemps, et il n'avait jamais eu l'occasion de s'approcher du lac. C'est donc ce qu'il fit, il traversa la ville et s'approcha du lac. Au loin, il vit plusieurs groupes de personne, mais il reconnu, au loin, celle de Mili, qu'il n'avait pas vu depuis si longtemps. Elle trempée ses pieds dans l'eau, elle avait l'air emporté par ses pensées...
Une fois près d'elle il murmura un "bonjour Mili"
.aemiliana.
Mili sursauta n'ayant pas entendu que quelqu'un l'avait rejoint.
Très vite elle reconnu la voix de Samu et un sourire s'afficha sur son visage.


Samu ... tu es là ! je suis heureuse de te voir. Viens donc près de moi.


Elle se rendait compte qu'il avait une place toute particulière dans son coeur car chaque fois qu'elle le voyait elle était émue.
Quelque part elle s'en voulait de lui imposer cette vie de nomades et hésitait à lui dire qu'elle pouvait continuer le voyage seule s'il le souhaitait.

Sans vouloir le vexer elle se décida à aborder le sujet.


Sam, tu sais tu n'es pas obligé de me suivre si tu souhaites rester ici. Je peux revenir te chercher et toi profiter de tes amis ici.
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Samu13

Samu vit que Mili ne l'avait pas vue approché, il sourit en la voyant sursauter. Il sentait qu'elle n'était pas à l'aise et compris pourquoi lorsequ'elle abordie le sujet qui avait l'air de tant la tracasser. Il répondit sincèrement.


Non Mili, je te suis, j'aime la vie de nomade.


Il la regarda, il était vraiment sur de vouloir la suivre...
.aemiliana.
Mili lui sourit et lui prit la main.

Bien Samu alors à nous les chemins ensoleillés, sauvons nous ...

Elle éclata de rire ramassa sa besace en remettant ses chausses. Elle ne disait rien mais était heureuse qu'il reste près d'elle même s'ils se voyaient peu.
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Laurelin
Il faisait beau aujourd'hui et Laure avait envie de profiter du beau temps. Une petite après-midi ensoleillée au lac ... quoi de mieux?

Elle s'installa dans un coin sous les arbres près de l'eau afin de pouvoir y tremper ses petits pieds et sorti un livre de son sac. Elle regarda l'eau ondulé à ses pieds en repensant à la dernière fois où elle était venu ici. C'était avec le petit Elowan. Et ça avait vraiment été une super journée. Elle secoua la tête et commença la lecture de son livre...
Ann_maelenn
Slowenia s'assit au bord de l'eau et a l'aide d'une branche et d'un fil de laine qu'elle avait arraché a ses moutons elle se confectionna une canne a peche, evidement y 'avait rien qui attrapé la ficelle !

Elle posa donc l'engin par terre et se mit a faire bronzette sur le bord de l'eau, ce moment de tranquilitée ne dura evidement pas ! Saleté de bestioles ! Elle faisait des grands moulinets dans le vides pour chasser divers envahisseurs

Exaspérée elle pris son instrument de musique qu'elle avait apportée et se mit a chanter :

les petites betes oui sa m'embete
les araigné sa me fais chier
les vers de terre j'sais pas quoi en faire
une mouche je trouve sa louche
et les criquets sa m'effrai...
Y' a des libellules qui est rentré dans mon pull
aaaaaah aaaaah aaaaaaah
une coccinelle ? en avant la vaisselle !
les moustiques c'est pas chic
les souris j'ai pas envie
les cafards j'en ai marre !
les cloporte que le diable les emportes !
les hammetons j'trouve sa con
les papillons c'est pas tres bon
les chenilles, les sauterelles, les cigalles et les puces aah
toutes ses inventions qui ont été faites sans raisons
dire qu'il y a des gens qui en font collections..
les fourmis, les luciolles, les amis j'en ai ras le bol ! les guepes et les abeilles
pour moi c'est tous pareil
toutes ces créatures nous rendent la vie plus dure !


Elle se releva et chercha a s'installer a un endroit moin infestés d'insectes en tous genre.[/img]
Djai
Djai en avait assez de la ville... Elle avait entendu parler d'un lac, alors la voici au bord de ce lac, après sa journée de pêche, elle décida d'y rester un moment... Rien de très interressant à voir. Jusqu'au moment ou elle apreçut au loin, une jeune fille blonde qui agitait ses bras dans tous les sens, Djai riait. Elle trouvait la scène extrêmement drôle.

Ca doit être les insectes, c'est vrai qu'yen a pas mal, c'est inimaginable ici !! Il doit y avoir plein de papillons, un peu plus loin, près des buissons...

Alors, elle s'empresa de sortir de sa besace un petit filet délicatement accrocher autour d'un bout de bois tordu de forme ronde. Et se mis à courir après les papillons et tous les autres insectes qu'elle trouvait amusant. Une fois capturer, elle les relâchait simplement immédiatement...
Ann_maelenn
Slow regardait la dame courir apres les papillons se demandant a quoi sa servait de les attraper pour ensuite les relacher ce filet lui donna une idée elle fouilla dans ses affaire de peche et en sortit un immense qui meme en l'accrochant a une branche trainer par terre, c'est ce qu'elle fit elle accrocha le filet a la branche la plus proche et se glissa sous le filet éhéhé plus aucun insectes ne pouvait venir l'embéter.

ahh c'est mieu comme sa !

Elle jeta un oeuil au sol quelquechose avait bouger

aaaaaaaaah une araignée !!!

La blondasse se mit a courir en oubliant completement qu'il y avait un filet.... elle luttait de toute ses forces lorsque enfin le filet se decrocha de la branche elle tomba et voulut amortir sa chute en faisant un rouler bouler ce qui en fait agrava son cas puisqu'elle se retrouva ficellé en boule dans ce filet.

elle lacha :

a l'aide
Aelia
Aelia, après quelques heures passés en taverne, décida d'aller se promener au bord du lac, histoire de changer d'air. Au bout de quelques instants, elle entendit un cri, d'une voie qui lui était familière. Elle accourut en direction de cette voie, et aperçu son amie, Slowenia, prisonnière d'un grand filet.


Comment t'es tu démerder pour finir comme sa! Arrête de t'agiter, je vais te sortir.


Puis elle se mit, a tenter de détacher le filet, tant bien que mal, son amie étant agitée comme jamais.


Arrête de bouger, j'y suis presque.
Marla
Marla avait fini sa deuxième et dernière journée de travail a l'église lorsqu'elle décida de finir de visiter la ville. Elle sortie donc de l'église puis regarda le ciel. Elle l'étudia quelques instants et hocha la tête. Il lui restait encore un paire d'heures pour se promener. Marla s'écarta de l'église et se retourna pour la contempler. La fillette paraissait si petite à coté d'elle...
Marla se détourna en réfléchissant, que lui manquait-il à visiter encore..?

- Ah! Le lac! Ca fera du bien a mes pieds de pouvoir les tremper un peu avec tout ce que j'ai marché...

Marla pris la direction du lac et marcha un long moment, saluant les gens qu'elle croisait et regardant les belles bâtisses avec envie. Un jour elle aurait une maison elle aussi, mais pour l'instant pouvoir manger était sa priorité.
Le fillette arriva au lac sans s'en rendre compte, elle le regarda avec émerveillement. Elle courut jusqu'au bord de l'eau et s'arrêta net. Elle regarda autour d'elle un instant puis se dirigea vers l'arbre qui était le plus près de l'eau. S'approchant plus près de l'eau, elle se mouilla jusqu'aux chevilles, ne voulant aller plus loin pour ne pas mouiller sa cicatrise dans le dos. Elle resta la a patauger lorsqu'elle entendit son ventre gronder. Grimaçant elle revint sur la terre et s'assit. Elle sortit un linge et hésita avant de sortir sa miche de pain. Plus longtemps elle attendrait, plus longtemps elle pourrait garder son pain. Marla s'appuya au tronc d'arbre et pris un morceau de pain. Le mâchant avec envie, elle rangea le reste de sa miche dans son linge. Si elle voulait manger le lendemain matin elle avait intérêt a en garder.

La fillette regarda le lac longuement puis ferma ses yeux lourd au moment où elle entendit son ventre gronder. Elle l'ignora et se perdit das ses pensées.
Aelia
Aelia venait de faire trois fois le tour de la ville, et n'avait malheureusement croiser que quelques commerçant sur le marché.
Les tavernes, autrefois remplies par les militaires étaient désespérément vides et ennuyantes.
Elle se rendit comme chaque dimanche à l'église, mais elle était elle aussi vide, pas une seule âme humaine présente.
Dans sa solitude, elle se rendit au lac, s'assit au bord de l'eau, et se mis à sangloter.
Elle repensa a ce que cet homme venait de lui faire, et se jura de le lui faire payer de sa vie. Elle sortit son couteaux, et se fit une entaille en forme de S dans la main gauche, de sorte que chaque matin, elle se souvienne de son but.
Elle se mis a courir autour du lac, jusqu'à s'effondrer au sol, épuisée, où elle resta plusieurs heures.
Alexandre.


Alexandre arriva au pied des remparts d'Angers au petit matin découvrant sur un fond de lever du soleil, la silhouette imposante du chateau du bon roi René.

Malgré les lois martiales en vigueur, il put rejoindre sans encombre le coeur de la ville et chercha une taverne pour s'y désaltérer.

La traversée de la Bretagne qu'il venait d'effectuer le laissait sale et malodorant et il se dit que si sa propre odeur commençait à le gêner, qu'en était-il alors pour les gens qui le côtoyaient !

Il se mit en quête du lac de la ville qu'une charmante Angevine lui indiqua.

Il dut ressortir des remparts afin de trouver l'étendue d'eau salvatrice qui lui ferait changer son aspect crasseux et poussiéreux.

Il fila vers une bordée d'arbre vigoureux et suivit le dit chemin jusqu'au lac.

Il sentit tout de suite la fraicheur ambiante dès qu'il fut sur les berges et il se pressa de se dévêtir complètement avant de plonger dans l'eau limpide et délicieusement rafraichissante.

Il nagea un peu, barbota beaucoup et se lava énormément. Il prenait son temps en profitant des lieux et de la chaleur estivale combinée à la célèbre douceur Angevine.

Il n'avait plus qu' à attendre à présent une réponse à la demande formulée à la Damoiselle rencontrée en taverne, jusqu'au soleil couchant.

La baignade fut d'un grand réconfort, il remit ses habits, replaça son armement et fila vers les portes de la ville où il pourrait lire à nouveau la devise de la cité :

Citation:
* Antique clef de France,
* Necteté de souffrance,
* Garant contre ennemys,
* Estappe d'asseurance,
* Recours de secourance,
* Seccurité d’amys.

_________________


...blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre
...medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho
Cymoril
Un soupir, long, alors qu'elle mène par la longe le cheval de bât qui tire la charrette.

A peine arrivée et déjà l'envie de repartir qui la saisissait comme chaque fois qu'un bureaucrate tatillon commençait à l'inonder de courriers. Même si cela l'amusait quelque part de voir tant d'énergie dépensée en fariboles. Fallait vraiment que certains meurent d'ennui tout de même, pour trouver réconfort dans l'expression idiote d'une administration bornée, au delà même de l'entendement, jusqu'à se prétendre supérieure en droit que l'Impérator lui-même.

Au mieux cela servirait pour allumer le feu, au pire... si le vélin était de bonne qualité il pourrait toujours caresser certaines parties de son anatomie à l'occasion. A l'envie même.^^

Pour l'heure elle espère se délasser un peu.
L'équipage est arrêté en un endroit suffisamment large, sans être toutefois envahi de touristes en goguette, frétillant dans leurs braies estivales et le coeur débordant de recherche de l'âme soeur.
La jeune femme s'étire, longuement, vermoulue des jours de route en tape cul. Vivement qu'elle se débarrasse de ce tas de bois à roulettes pour reprendre un canasson digne de ce nom.

Un regard à gauche, puis à droite. Personne à l'horizon que des barques lointaines dont les propriétaires ont jeté les filets avant de s'assoupir, bercés par les doux remous de l'onde.

Les bottes sont ôtées dans un mouvement tirant sur l'échasse ayant une entorse. Un certain tangage dans la gestuelle de la demoiselle. Avant de retrouver l'équilibre pour entreprendre le délaçage minutieux de la houppelande qui aurait, parait-il une tache. Et sans cesse le regard scrute les buissons et l'oreille se tend pour débusquer quelque inconvenant promeneur qui viendrait à pointer le bout de son nez. Les bas échouent au sol, rejoignant le reste de ses vêtements. La voici en chemise, les pieds nus sur le sol de boue sèche, qui prépare tout l'attirail nécessaire à ses ablutions.

Pain de savon en main, sa cape posée sur le rocher le plus proche, et voilà l'orteil pointé qui va titiller l'eau pour en appréhender la température pendant qu'elle libère sa chevelure du joug de sa perpétuelle tresse. Satisfaisante pour la saison. Et toujours un regard inquiet qui balaie les environs... Avant le grand plongeon, dans une gerbe d'éclaboussures multicolores sous la lumière de la fin d'après midi. Et de reparaitre à quelques mètres de là et d'entreprendre de se savonner vigoureusement. Mousse dans les yeux, il devient ardu de voir la rive et ses détails. Mais l'eau est si bonne, qu'elle ne résiste pas au plaisir de la caresse des remous sur sa petite carcasse.

Et puis, de toute façon, elle a gardé sa chemise alors hein... Peuvent toujours venir les curieux. Verront que dalle. D'abord !

_________________
Aelia
Aelia vint une dernière fois au lac, au moment du coucher de soleil

Ce lac, je ne suis pas prête de le revoir, avant quelques temps.

Puis elle écrivit dans le sol le nom des Angevins qui allait lui manquer le plus, dans l'ordre que lui permettait sa mémoire. Ainsi, apparut la liste suivante:

197856
Slowenia
Caro94
Nico3000
Alexia45
John.White
Payns
...

Elle savait qu'elle ne les avait pas tous mis, mais ni sa mémoire, ni la taille de la berge ne le permettait.
Cornelia


Après avoir été outrageusement farinée puis enfermée dans un tonneau de bière vide en taverne, Cornélia ressentait d'autant le besoin de prendre
un bain pour se laver de tout ça.
La fontaine au coin de la rue n'avait pas été suffisante et du coup, comme tout le monde était à peu près dans le même état,
la décision de prendre un bain collectif avait été prise.
Bien sure Pax s'était précipité avant tout le monde pour pouvoir mettre au point sans doute, son plan de déshabiller le dernier arrivé mais Cornélia qui avait un peu déambulé dans les rues au paravent, trouva vite un raccourci qui l'y mena plus rapidement.

Elle arriva au bord du lac, apparemment elle était la première arrivée sur les lieux.
Elle enleva ses bottes qui étaient plus blanches qu'habituellement noires puis commença à tremper ses jambes dans l'eau
et se disant qu'elle était encore tranquille, se fit un brin de toilette plus satisfaisant que le précédent, en attendant tranquillement que tout le monde arrive…

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