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[RP] Le lac d'Angers.

Ouranos_della_bosia


Elles n'avaient pas voulu faire des galettes, il n'en n'avait pas fallu plus pour que l'idée de leur verser le sac de farine lui germe dans sa tête de gamin attardé. Il y avait pris un mâlin plaisir, mais le résultat avait été la.

Un fou rire général deplus dans la taverne des croisés, ce qui rajoutait encore à leur plaisir.

Le bain s'imposait donc. Il ne risquait pas grand chose de toute manière il était déjà en pagne, vu son état. Ses cheveux sentait un mélange d'huile de poisson et de lavande. Charmant fumet que celui la. Pour sur il n'allait pas laissé ces dames indifférentes maintenant.

Il avait donc déambulé dans les rues avec ses grandes jambes pour arriver le premier au lac.

Il planqua ses vêtements puis trouva un roseaux creux. Un petit plongeont le roseaux dans la bouche et il attendit sa première victime.

A sa plus grande joie ce fut Conélia. Il nagea donc en profondeur, respirant par sa paille improvisée, puis s'approcha des pieds de la jeune femme qu'il tira d'un coup.

Elle voulait un bain, elle allait être servit^^.
Bougnias


Blanche de la tetes au pieds de farine, un bosse sur la tête qu'elle devait au belles gambettes de Pax. Bougnias sortis de la taverne, regardant de gauche a droite, en observant le paysage a la recherche du point d'eau. Interpellant les passantS qui la regardaient comme un fantome. En leur demandant


Pardon! ou est le lac??


Certain ne prirent pas la peine de repondre, d'autre la fuyant comme la peste, jusqu'au moment ou un petit bonhomme vient a lui dire.

Dame regardaient la dame la haut toute blanche je crois qu'elle y courent
.

Bounia le remarciat d'un sourire puis se hatat de rattraper, la personne blanche de la tete au pieds. Bougnias ne savaient pas de qui il s'agissait c'est une fois arriver au lac , essouflée qu'elle aperçus Cornelia. Elle s'assit prés d'elle en lui disant.

Qu'elle journée de fou,

en rigolant.

Quand elle appercus cornelia etirer par la fond aprés avoir entrepris de se baigner , Bougnias se hatat de la rejoindre de peur d'elle ne se noye
Cornelia


Elle flannait un peu en regardant onduler les rayons de soleil sur l'eau calme mais légèrement ondulée sous la brise légère, du lac où elle trempait ses jambes.

Elle entendit un léger bruit de pas puis aperçut Bougnia qui arrivait, s'installant auprès d'elle, blanche de la tête au pieds de farine.

-Qu'elle journée de fou,
Elle rit à son tour, c'est vrai et ça fait du bien, répondit-elle, riant de plus belle.

c'est alors qu'elle sentit soudain quelque chose l'attraper par une jambe et la fit tomber à l'eau derechef.
Surprise et prise de panique car ne sachant pas nager, elle commença à se débattre dans l'eau frénétiquement, secouant les bras pour chercher appui là où il n'y avait que de l'eau. Elle essaya désespérément de reprendre son souffle tout en tentant de se rapprocher
de la rive et en faisant des "Arg… blbloubloul…" incompréhensibles mais qui en disaient long sur ses compétences de natation…

_________________
Ouranos_della_bosia


Il jubilait bien trop heureux de sa surprise. Mais il se mit à paniquer, il avait oublié que Cornelia ne savait pas nager. Il sentit deux autres jambes dans l'eau.

Il n'avait pas vu arriver Bougnias en étant sous l'eau.

Il passa alors sa tête entre les jambes de Cornélia et la sortit de l'eau en se redressant. La jeune femme se retrouva donc assise sur ses épaules. Elle n'avait jamais du se sentir aussi grande.


Alors comme ça on fait la carpe, on a du mal à nager? Il rit de nouveau la peur était passée.
Je suis arrivé en premier on a plus qu'à attendre le dernier.



Il alla reposer sa passagère sur la berge, puis retrempa ses cheveux dans l'eau, il n'arrivait pas à se débarasser de cette maudite odeur de poisson.
Cornelia


Cornélia qui croyait sa dernière heure arrivée, se retrouva soudain hissée sur les épaules de Pax. Crachant encore tous ses poumons pleins d'eau,
elle regagna la terre ferme avec avidité.
Toute trempée qu'elle était, elle arriva toutefois à articuler quelques mots entre deux toussotements.

Pax, t'as de la chance que t'es déjà eu mon huile mais je t'en remettrai bien volontiers une couche ! Tu perds rien pour attendre, crois-moi !

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Bougnias


Bougnias fut soulager de voir que cornelia avait eté attirer dans l'eau par Pax, elle se dit il ne doit pas en raté une le bougre pour faire le pitre. Elle se demandait aussi si cela lui arrivait d'etre de temps en temps serieux. Elle laissat cornelia reprendre ses esprit et sans prendre a pax sans broncher. Quoique l'idée d'arroser pax lui etait venue a l'esprit. Elle les regardat demi amuser demi serieuse ne sachant comment réagire
S.posford
Comme a son habitude, le moustachu ronchonnait.Non seulement il avait été enduit de farine, et ca, jusqu'au cou.Il devait donc, des maintenant aller au lac, histoire de se laver.

Apres avoir trourné un peu avant de trouver ce fameux lac , il arriva enfin pres de la grande etendue d'eau. De suite, il remarqua Cornelia, la bretonne et pax; trois personnes qu'il aimait bien.



Heyyyyy z'etes d'ja la vous??!! z'avez fait comment pour v'nir la avant moi?!!

En voyant cornelia, il ne put s'empecher d'etre moqueur, comme d'ordinaire..

Alors, brunette, t'etais prete de creuver, nan? ...ca s'voit rien qu'a ta tete.!


Sachant parfaitement que Pax etait la, non seulement elle ne risquait rien , mais en plus, peut etre meme que la frayeur qu'elle venait d'avoir venait de lui...Il sourit, amusé.


Se retournant vers Bougnias, il l'interpella.

hooo la Bretonne, ca va ? y sont pas sympa les habitants d'ici??

Sans attendre la reponse et apres avoir verifié qu'il avait bien pied-ne sachant nager- il plongea tete la premiere, voulant ainsi faire croire qu'il etait un ace de la natation.

Apres s'etre debarbouillé, il revint sur sur le bord du lac, pour se secher et regarda ses amis,amusé.
Bougnias


Bougnias confirmas a postford de la tête. Elle était la pensive, ca faisait combien de temps qu'elle n'avait pas rigoler. Elle comptât, son petit dernier avait eut un ans en juillet. Son père les avait laisser voila plus de neuf mois déjà. et même avant cela la joie n'était plus. Bougnias avait decider de quitter la bretagne on l'avait retenue de façon amical, mais était ce la solution pour se retrouver, de plus ses amis quittait, un a un la bretagne.

A cette instant loin de treguier,de saint brieuc les endroits qui l' avait trop marquer, bougnias revivait doucement. Elle avait des choix a faire, elle ne voulait pas se precipiter. Bougnias se redressat toujours aussi blanche de la tete au pied puis s'eloignat du rebord pris de l'elan, courut a vif allure puis plongat en eclaboussant tous le monde, on entendis un ploufffffffffff puis un ricanement de sa part.

mouhhhhaaaa hhhaaaa
Cornelia


Cornélia qui se remettait tout juste de ses émotions en continuant de tousser tout ce qu'elle savait finit par se dire que trempée jusqu'aux os comme elle était, elle allait attraper froid.
Elle le regardait ui avaient l'air de bien s'amuser mais elle, préoccupée, n'avait pas le cœur à rire.
Elle s'éclipsa discrètement après avoir ramasser ses affaires, les laissant profiter de leur belle journée.

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S.posford
Tranquillement assis, le moustachu regardait ses amis, rire et s'amuser.
Il resta ainsi encore quelques minutes quand il remarqua l'absence de Cornélia.

Comprenant qu'elle était parti , il se décida a faire comme elle.
Il se leva, salua rapidement tout le monde et se dirigea vers la taverne la plus proche afin de boire une bonne chopine bien fraiche.
Sofio


parait que le soir le lac rend son reflet puissant, parait que le lac la nuit on peut entendre des gens parler, même les gens partis a longtemps et même que si on veut on peut les voir..............

Pas un bruit , misère que cela fait du bien, pas un cris, pas une plainte rien......froissements dans les arbres, chauves souris la tête a l'envers tu me regardes,bête du mal, tu es ,le sens tu le mal.......

parle toi, parle moi, que tais je fait pour ainsi me maudire, je ne suis que moi je ne suis rien, parle moi encore une fois.Saleté de lune tu te vautres tu te garces, tu t'acoquines et tu me laisses sans un bruit, voleuse tu fuiras au matin.

Me coucher la prés du lac et attendre, il sera temps , il est plus temps, il sera la le moment, même pas peur, pas d'impatience, juste sentir le mal, comme la lame qui me transperce, sentir la douleur quand elle est indispensable.

Lentement elle se déshabille, effeuillant ses vêtements l'un a l'un doucement comme on pille une fleur, laissant choir le tout au sol, dans l'herbe mouillée, puis attirée par le bruit des voix elle avance vers l'eau, marchant droit, le silence de l'herbe, humide sous ses pieds , seul contact restant avec le monde......

L'eau est froide, et la saisit, les orteils y sont déjà, puis çà monte aux jambes, l'eau est noir , le noir du mal, qui avance la pénètre, c'est un mal qui fait du bien......

L'eau dans le dos comme une caresse, la prend, le bas des cheveux et encore avancer, avancer elle entend mieux la voix, elle pourrait répondre, mais elle sait que la voix n'a pas besoin de ca, parler est futile, voila longtemps qu'elle le sait, elle ne livrera plus rien, il est temps il est le moment.......

Avance encore ma pauvre, viens encore pauvre gourde, tu n'a été que nulle, pauvre fille tu crois quoi, tu n'est que la paysanne de ton village, tu es née la gueuse pour croire, tu mourras en ayant trop cru.........

Choisir le monde des bien pensants

S'attendre a la correction çà fera rire , on ne rie que de çà ici, s'attendre a la foudre, et a ses anges du démons tous frères d'un jour cousin de malheur le lendemain, famille de haine et de justice, elle les entend déja avoir soif et réclamer leurs verres.

Trinquons

On va boire a la source, elle ne verra plus rien, boire a outrance, le lac se videra pas lui.

Je t'aime comme jamais, et je sais que la lumière fut belle, encore plus quand tu la portes,je t'aime comme plus jamais, le retour, le présent a pas du futur.

Z'avez qu'a prendre ce qu'il restera une fois que le lac sera mien, et le filer a la mule.

Une danse encore, une pirouette, et c'est déja le temps de la soif.

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Einigriv
[un soir où il pourrait bien y avoir pleine lune de toute façon elle y voit plus rien]

Alouuuuuuuuurrrrrrrrrs! l'a dit c'par là!

Nez collé sur sa carte, la brune, oui la noble bretonne hautaine pénible et tout ce qui va avec, avance dans le noir complet, mais garde le nez sur sa carte des fois qu'elle se perdrait, l'andouille.
Enfin, circonstances atténuantes, la dame de Ferel est pétée comme un coin, morte saoule, avec une idée fixe : se laver!

Oui, faut dire que l'odeur des marais poitevins ça colle à la peau, alors au moins se laver, partir, elle s'en sentait plus trop forcément capable, avec déjà cette nausée au bord des lèvres ainsi qu'une immense fatigue qui semblait s'être emparée de chacun de ses membres.


j'dois pus être loin là! Ouhhhhouh! y a quéqu'un????

Echos de la voix, pas âme qui vive aux alentours, la brune tatonne, un arbre.

Ouaaaaiiiiiiissss! z'actement qu'est ce qu'i me faut!

Déssapage en deux temps trois mouvements, la brune tâtonne du bout du doigts de pieds pour enfin toucher l'eau du bout du pieds.

Brrrrrr, pinaise pourrait réchauffer la flotte, je vais attraper la mort! mouarf...

Au fond est ce bien grave? non.
La brune y était, on ne sait pas par quel miracle mais oui elle y était!
Un, deux, trois, remuage de popotin nu, prise d'élan : plongeon!

Et cette eau glacée, qui la tétanise de tout son long, corps réchauffé par l'alcool, au contact d'une eau refroidie par des jours de pluie, la brune nage pour se réchauffer, sort la tête de l'eau et éclate de rire, seule dans la nuit noir, aux abords de ce lac regorgeant de poisson.
Replonge encore la tête dans l'eau, sensation assourdissante dans les oreilles et froid qui la pique au vif...

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Azoura
Quelques mots reçu plutôt,genre rendez vous avec la lune...mais de quelle lune ....
Azoura se frayait un chemin ,il ne devait pas avoir pris le bon,les ronces lui lèchaient les bottes,ils devait faire de grandes enjambées,décoincer les pieds pris dans des branchages on ne peut plus collant...enfin bref..un parcours du combattant et pour couronner le tout,commençait à tomber la nuit...

Nom de Dieu de saleté!!!!...tu vas me lâchééé ouiiiii...!!!!

Un grand coup de botte à s'en déséquilibrer,se retrouvant du fait les deux mains sur le sol pour se rattraper....quelques jurons pour assaisonner le tableau...le voila enfin aux abord du lac...
Quelle vision ,quelle sérénité tout à coup,le lac miroitant,reflets argentés ,étoiles scintillantes par dessus, voila qui était plus agréable que se soit disant raccourci qu'on lui avait indiqué.
Mais chose certaine,l'andouille qui l'avait renseigné aura à coup sur de ses nouvelles,il allait lui repayer une paire de bottes,les siennes devaient être toute lacérées...pensée sur les bottes,il se rappela de ceci..


""""tires tes bottes quand tu seras près du lac,tu ressentiras la force de la terre...

Aussi tôt pensé ,aussi tôt fait...le v'la pied nu ,l'herbe le chatouille tout en passant entre ses orteils mais sa tête changea d'expression...

heerrkkk...qu'est ce que c'est? j'ai marché dans quoi là...beurkk c'est dégueulasse,c'est tout gluant,ça colle...pfffff..tu parles d'entrer en communion avec la terre,sentir sa force...ben la...je sent de la misère....

OUILLLLEUHHHHH...p'tin une pierre!!!...hooo mon pied ..hooo mon pied....hoo la vache..ça fait malllll!!!....

Sautillant pour faire passer le mal,il avança peu avant d'en mettre une autre couche mais cette fois ci sur le panard englué...
....AAAAHHHHHH NONNNN !!!!! tu vas me lâcher la poisse,j'ai mon compte là tu crois pas...allez vas voir ailleurs...

Le pauvre petit chéri,c'est les pieds endoloris qu'il arriva enfin à destination ,restait plus qu'a se foutre à poils et hop dans l'eau...enfin ''hop'',elle doit être caillante.....
Méthodiquement les boutons de sa chemise cède un à un sous la pression de deux doigts,dévoilant un torse à peine pileux,lui les poils il se les arrache au quotidien laissant place à une peau lice et douce dont les pecto musclés en ressortent..
Dernière attache et la chemise s'ouvre complètement ,il en prend une manche et en extirpe un bras long et puissant,le tissus glisse entrevoir un buste bien bâti...
Mains cherchant et trouvant la ceinture qui ne tarde pas a rejoindre la chemise ,une ficelle doublement nouée mais qui ne résistera pas...
Faufile ses pouces sous le tissu et en un mouvement sacadé et alterné fait glisser lentement ses braies sur ses cuisses,resserrant celle -ci pour en facilité le passage,en équilibre sur un pied , les braies à hauteur de genoux,il lève une jambe l'en sort puis l'autre suit....un regard sur les alentours...personne...,il se redresse nu comme un ver...et quel ver!!!wahouu!!(( humour^^)).
Les vêtements empilés dans un coin,il déplace son corps massif vers le bord de l'eau, y entre franchement jusqu'à mi-chevilles,ses yeux s'ouvrent grand ,bouche ovalisée,il continue son avancée ,l'eau monte et arrive a mi-cuisses...
On peux voir sa peau devenir "chaire de poule",les frissons du froid l'envahissent jusqu'a lui faire dresser ......les bouts de sa poitrine....

Pinaise...,j'vais pas savoir aller plus loin...je serais plus....

Ne sachant pas terminer sa phrase car un trou dans le sol,un énorme renfoncement le fait disparaître de ce monde pour rejoindre celui aquatique,le temps de vite refermer sa bouche,le froid termine ce qu'il avait commencé,il se contracte de toute part,touche le fond ,tape du pied pour remonter en crachant en surfaçe l'air comme le faisait les baleines rencontrées quand il péchait en haute mer à Bayonne....
Ouvrant grand sa bouche ,reprend de l'air à grande bouffée,se remue les bras et les jambes, se réchauffer en s'activant....voila ...il a survécu...



....ahhh la vache....je me ramolli là,avant ça me faisait rien le froid....va falloir que j'y remédie!!!

Les dents cognant,quelques brasses timide,il nage plus en avant cherchant une tête hors de l'eau..elle devrait être là..il avait vu ses vêtements joncher le sol...

chérieeeee...[b]CHEERIIIEEEE...t'es ouuu??!![
Bougnias
Au milieu du lac, profitant de cette belle journée. Bougnias, canne a pêche en main, installer confortablement, profiter de le douceur du jour. Pas un bruit, ne venait troubler le silence. Pas un nuage ne menaçait l’horizon. Sur la berger, deux bêtes aux poids impressionnant babine tombante et baveuse, profiter également de cette journée. Les deux mastif de pax, avez suivis Bougnias, depuis qu’elle était rentré, dans leur vie, ils s’était pris d’affection pour elle, et surtous d’affection pour les poches de la damoiselle qui ne manquer pas de contenir, de petits biscuit, que ses deux gourmands avaient sur retenir. Souvent , pendant que Bougnias était affairée, elle sentait un museau la pousser juste a cette endroit précis. Bougnias les regardait en coin et leur disait souvent ,

non mais c’est incroyable vous allez finir par éclater, si vous continuer a avaler de le sorte.

Elle en était venue a devoir, hausser le ton pour se faire comprendre.

Bougnias toujours au milieu du lac espérer attraper quelque beau poisson, a mijoter pour pax. Le regard perdue dans ses pensées, se posant des question sur leurs avenirs, mystérieux avenir pour la demoiselle, qui ne savait pas trop a quoi s’attendre.

Bougnias n’avait pas entendue venir une autre barque sur le lac. Deux soldats belliqueux, en avait pris possession en aillant remarquer la damoiselle au milieu du lac. Sur l’autre rive avant qu’ils n’arrivent a cette endroit, on aurait pus les entendre débités des injures et autre mauvaise idées en voyant Bougnias au milieu du lac. Les yeux exorbités de pourvoir enfin se mettre de la chair fraîche sous la langue. Le premier en découvrant la demoiselle au milieu du lac dit a l’autre, en lui collant un coup d’épaule

EH! Le bruhier, regarde ça, j’vais t’montrer moooooooooi comment on chevauche une donzelle, j’men vais la dévergonder j’te dis qu’ca


En pointant du doigts en direction de la barque de Bougnias. A l’autre ensuite de lui répliquer.

Et toi le Cuide, laisse moi rire, son jolie Maujoint c’est pour moooooiii

Les deux malbéte , le regard affamé, et regarde complice. Se dirigée vers une barque a tâtons, puis en silence, ils naviguèrent en direction de Bougnias, qui toujours songeuse se lance dans la chansonnette

 
 
A mon jardin croist la fleur souveraine,
La plus belle de la chrestienté.
Se je la puis voir en tres bone estrai ne,
De tous mes maux seray reconforté.
Reconforté je fusse de m’amye,
Se je la peusse toute seule trouver.
Ce moys de may merrons joyeuse vie;
 Maiz qu’elle veuille du bon du cueur m’ aymer.
 
Je m en entray en sa chambre jollye
Et la baisay si amoureusement,
Advis me fust que toute la nuytye
 Ne dura point une heure seullement.
 
Quant je senty l’oudeur de son halleine,
Qui sent meilleur que la rose d’esté,
Et j’aperceu sa grant beaulté mondaine,
 De tous mes maulx suys venu en santé.
A mon jardin croist la fleur souveraine,



A proximité de la barque de Bougnias, ils se consultèrent, en se murmurant

faux la bâillonner, afin qu’elle n’ameute pas le village.

Sans que bougias n’eut le temps de réaction, les deux compères se chargèrent de la faire taire et de la maintenir. Bougnias tétanisait par la peur, tentât tant bien que mal de se défaire de ses oppresseurs, mais elle ne faisait pas le poids face au deux soldat. Elle pensât a ses enfants, a se futur qu’elle ne connaiterait peu être jamais auprès de pax. Pendants que l’un la maintenait l’autre d’une force inouï lui déchirât le corsage. Les deux homme ricanants en découvrant les deux fruits de la belle. Pendant ce temps sur la berge, les deux mastif, levèrent les oreilles, interpeller par les ricanements des deux hommes. Ils observèrent la scène, sentant le danger, l’un deux se jetât a vifs allure dans l’eau pour rejoindre la barque , l’autre ne mis pas longtemps a suivre. Pendant se temps dans la barque Bougnias horrifier et tétaniser par la peur entendait des paroles peu rassurante sur son devenir. L’homme qui la maintenait lui disait

t’inquiète ma belle on va pas te faire de mal, on veut qu’ton bien, enfin surtout l’notre .

Et l’autre de rétorquer, en se penchant vers elle son un air vicelard. En l’empoignant pas la chevelure,

j’ai besoin de labourer de semer. Et c’est ta terre que je veut piétiner.

Alors que l’homme commençât a se défroquer, une tête vint a sortir de l’eau et lui mordit le gigot, le soldat hurlât a la mort

Mortecouille et Tudieu
Chia de longaigne


Le deuxième chien a l’attaque, fit vaciller la barque qui se retournât sous leurs poids. Les deux hommes a la bagne, détallèrent a toute allure en nageant. Pendant que Bougnias assommait par le retournement de la barque , couler de par le fond, se vit récupérer par un des molosses qui la tirât a la nage vers la berge. A demi nu, étendue et inconsciente Bougnias gisait la, pendant que les deux chien donner des coup de museau a Bougnias pour la réveiller .Mais rien n’y faisait elle était belle et bien assommé et un risque d’hydrocution envisagable
Aelia
Une jeune femme blonde, empestant une odeur de sueur et de crasse arriva à Angers. Cette folle eu pour première envie de voir le dernier endroit qu'elle était venue voir. C'est ainsi qu'au bout d'un petit quart d'heure de marche, elle arriva face au lac d'Angers!

Elle retira son épée, posa son bouclier, ôta son médaillon, puis retira ses pauvres guenilles dont elle était vêtu. Elle alla se plonger dans le lac, et resta a se détendre de nombreuses heures.
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