Au milieu du lac, profitant de cette belle journée. Bougnias, canne a pêche en main, installer confortablement, profiter de le douceur du jour. Pas un bruit, ne venait troubler le silence. Pas un nuage ne menaçait lhorizon. Sur la berger, deux bêtes aux poids impressionnant babine tombante et baveuse, profiter également de cette journée. Les deux mastif de pax, avez suivis Bougnias, depuis quelle était rentré, dans leur vie, ils sétait pris daffection pour elle, et surtous daffection pour les poches de la damoiselle qui ne manquer pas de contenir, de petits biscuit, que ses deux gourmands avaient sur retenir. Souvent , pendant que Bougnias était affairée, elle sentait un museau la pousser juste a cette endroit précis. Bougnias les regardait en coin et leur disait souvent ,
non mais cest incroyable vous allez finir par éclater, si vous continuer a avaler de le sorte.
Elle en était venue a devoir, hausser le ton pour se faire comprendre.
Bougnias toujours au milieu du lac espérer attraper quelque beau poisson, a mijoter pour pax. Le regard perdue dans ses pensées, se posant des question sur leurs avenirs, mystérieux avenir pour la demoiselle, qui ne savait pas trop a quoi sattendre.
Bougnias navait pas entendue venir une autre barque sur le lac. Deux soldats belliqueux, en avait pris possession en aillant remarquer la damoiselle au milieu du lac. Sur lautre rive avant quils narrivent a cette endroit, on aurait pus les entendre débités des injures et autre mauvaise idées en voyant Bougnias au milieu du lac. Les yeux exorbités de pourvoir enfin se mettre de la chair fraîche sous la langue. Le premier en découvrant la demoiselle au milieu du lac dit a lautre, en lui collant un coup dépaule
EH! Le bruhier, regarde ça, jvais tmontrer moooooooooi comment on chevauche une donzelle, jmen vais la dévergonder jte dis quca
En pointant du doigts en direction de la barque de Bougnias. A lautre ensuite de lui répliquer.
Et toi le Cuide, laisse moi rire, son jolie Maujoint cest pour moooooiii
Les deux malbéte , le regard affamé, et regarde complice. Se dirigée vers une barque a tâtons, puis en silence, ils naviguèrent en direction de Bougnias, qui toujours songeuse se lance dans la chansonnette
A mon jardin croist la fleur souveraine,
La plus belle de la chrestienté.
Se je la puis voir en tres bone estrai ne,
De tous mes maux seray reconforté.
Reconforté je fusse de mamye,
Se je la peusse toute seule trouver.
Ce moys de may merrons joyeuse vie;
Maiz quelle veuille du bon du cueur m aymer.
Je m en entray en sa chambre jollye
Et la baisay si amoureusement,
Advis me fust que toute la nuytye
Ne dura point une heure seullement.
Quant je senty loudeur de son halleine,
Qui sent meilleur que la rose desté,
Et japerceu sa grant beaulté mondaine,
De tous mes maulx suys venu en santé.
A mon jardin croist la fleur souveraine,
A proximité de la barque de Bougnias, ils se consultèrent, en se murmurant
faux la bâillonner, afin quelle nameute pas le village.
Sans que bougias neut le temps de réaction, les deux compères se chargèrent de la faire taire et de la maintenir. Bougnias tétanisait par la peur, tentât tant bien que mal de se défaire de ses oppresseurs, mais elle ne faisait pas le poids face au deux soldat. Elle pensât a ses enfants, a se futur quelle ne connaiterait peu être jamais auprès de pax. Pendants que lun la maintenait lautre dune force inouï lui déchirât le corsage. Les deux homme ricanants en découvrant les deux fruits de la belle. Pendant ce temps sur la berge, les deux mastif, levèrent les oreilles, interpeller par les ricanements des deux hommes. Ils observèrent la scène, sentant le danger, lun deux se jetât a vifs allure dans leau pour rejoindre la barque , lautre ne mis pas longtemps a suivre. Pendant se temps dans la barque Bougnias horrifier et tétaniser par la peur entendait des paroles peu rassurante sur son devenir. Lhomme qui la maintenait lui disait
tinquiète ma belle on va pas te faire de mal, on veut quton bien, enfin surtout lnotre .
Et lautre de rétorquer, en se penchant vers elle son un air vicelard. En lempoignant pas la chevelure,
jai besoin de labourer de semer. Et cest ta terre que je veut piétiner.
Alors que lhomme commençât a se défroquer, une tête vint a sortir de leau et lui mordit le gigot, le soldat hurlât a la mort
Mortecouille et Tudieu
Chia de longaigne
Le deuxième chien a lattaque, fit vaciller la barque qui se retournât sous leurs poids. Les deux hommes a la bagne, détallèrent a toute allure en nageant. Pendant que Bougnias assommait par le retournement de la barque , couler de par le fond, se vit récupérer par un des molosses qui la tirât a la nage vers la berge. A demi nu, étendue et inconsciente Bougnias gisait la, pendant que les deux chien donner des coup de museau a Bougnias pour la réveiller .Mais rien ny faisait elle était belle et bien assommé et un risque dhydrocution envisagable