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Au Campement de la Noblesse

LLyr di Maggio


Le l'immense champ sous les murailles de la Forteresse du Lavardin avait été cloturé, puis amenagé afin que les nombreux nobles et leurs mesnies autres que les amis très proches et invités notoire par la présséance du Duc du Lavardin puissent se mettre à l'aise en y plantant tentes et autres mobilier pour leur confort sans pour cela devoir se tasser.

Sur deux des cotés, avait été disposé, des tentes de gardes aux couleur du seigneur des Lieux afin que Paix et confiance puisse être de mise à l'interieur de l'enclos de noblesse.

Les gardes veillaient à la bonne marche et à la bonne ambiance, qui aidant et conduisant la mesnie d'un noble à son emplacement, qui refusant poliment mais surement l'entrée aux individus sans foi ni maitre.

Pour les gens de moins haute extraction, du commun, mais participants aux festivités, à moins qu'il ne fut invités par un noble et dans ce cas accédant au clos avec icelui, il fut amenagé un camp proche de même accabit avec el même serieux et la même sincerité dans l'accueil.

C'est plutôt dans une ambiance bonne enfant, du moins en apparence car sousjacent on sentait bien le sérieux de la situation, que les premiers nobles jouteurs et festoyeurs s'en arriverent au Lavardin.

A tous, il fut dit : Bienvenue au castel Lavardin !

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Avatar(c)(t)(r) 2006-Fay'Raya
alivianne
Toute la noblesse du BA qui participaient aux joutes avaient fait le trajet ensembles. Il était drôle de constater que tous semblaient s'entendre car aucune dispute n'avait eu lieu durant leur trajet.

Est-ce que cela allait le rester? On connaissait bien les bourbonnais et les Auvergnats, leur verve et leur passion faisaient d'eux des gens caractériel, mais combien attachant.


Les nobles du BA étaient :

Naluria Marthun Vaast, Dame de Villeneuve-l'Abbé
Ninjaturtel, Seigneur de Glénat
Beths, Dame de Gondole
Martymcfly de Montfort-Balmyr, Duc de Billy et Seigneur de Terves
Sibella de Vissac, Baronne d'Usson et de Riom, Dame de Beaumont de Comborn et d'Herzeele
Mimicracra, Dame de Saint-Christophe.
Carmody, Seigneur d'Auzances
Sun, Dame de Pérignat sur Allier et de Saint Donat

et d'autres qui s'étaient surement inscrit autrement...

Arrivèrent et s'installèrent là où on leur avaient dit.
Naluria
[La troupe Bourbo-Auvergnate - Sur la route vers le Lavardin]

La route avait été longue, mais l'amusement des nobles formant le groupe ainsi que leurs enfantillages avait permis de faire passer le temps et l'impatience de l'arrivée. Leur campement itinérant comptait pas moins de dix tentes, une par individu pour la couche, le reste pour les armes et lances, sans oublier celle pour les ablutions où les hommes s'amusaient à roder autour lorsqu'une femme se lavait. Des gardes tentes avaient donc du prendre place pour l'intimité de ces Dames.
Les repas étaient duement mérité après plusieurs heures de routes sur les chevaux, part ailleurs les valets, à dos d'ânes tirant les charettes avaient besoin de faire des pauses. Les canassons avancé bien moins vite que les chevaux, mais le fait de les préserver de la fatigue permettait de ne pas estre trop sanctionné par ce retard iné.

Certaines courses avaient été faite cependant lorsqu'au loin des prairies verdoyantes apparaissaient. Les nobles profitait d'un repos au soleil, leur chevaux broutaient, le tout attendant le reste du groupe.

Les chants se faisaient entendre de loin tant les Bourbo-Auvergnats était heureux de se diriger vers le Lavardin, ah tiens, enfin voilà le chasteau. Une pente à monter, le sérieux allait donc revenir un instant pour ne pas trop se faire remarquer en arrivant...


[La troupe Bourbo-Auvergnate - L'arrivée...]

Naluria en teste, comme tout bon héraut fit signe à ses comparses qu'ils était arrivée au Chateau dont elle avait déjà foulé les pavés auparavant.


En route, nous sommes bientost arrivé. Vous avez le Chasteau en haut... Essayons de ne point rater l'entrée des festivités.

Naluria avait du mal à consevoir les joutes en haut, à l'intérieur du Chasteau... Mais en avançant, un oriflamme en contre-bas attira son attention, un coup de talon dans le flanc de Lys d'Orléans, un sourire vers la troupe puis elle descendit vers ce qui allait estre son futur champ de bataille amicale...
ramon
Le baron de Thorens avait pris la route depuis plusieurs jours, afin de ce rendre aux joutes organisaient pour la Saint Michel. Le trajet fut bon et point n'y eut de rencontre avec quelques malandrins, il pu donc profiter en paix du paysage qui défilait devant ses yeux. Ce reposant lorsqu'il en avait envie en profitant des doux rayons de cette fin d'été.
Il arriva en vu du castel, le bruit des festivités montait a mesure que l'ordensmarschall de l'ordre teutonique avançait. Déjà dans un près, des cavaliers laissaient paître leurs montures.
Ramon les salua et continua sa course, il espérait retrouver ses frères et soeurs afin de festoyer avec eux.
Arrivant aux abords du campement réservé à la noblesse, ramon vit arriver un garde.


-Je suis Ramon, Baron de Thorens, seigneur de Bon en Chablais et Ordensmarschall de l'ordre teutonique.

Après avoir contrôlé son identité, l'homme indiqua à Ramon l'emplacement qu'il pouvait aménager à sa convenance le temps de ses joutes.
Il descendit de son cheval , commenca a monter sa tente et a preparer sa couche.
Une fois installait, il décida de faire un petit tour afin, de regarder qui était déjà présent.
Izarra
Touraine.... La duquessa ne chercha pas à dissimuler son soulagement de se voir toucher au terme de ce voyage. Décidément, se retrouver enfermée et prisonnière du cahotement incessant d'une litière sur des lieues et des lieues de route ne lui convenait guère. Mais son état ne lui permettant pas de trop longues chevauchées, le trajet de la capitale au Lavardin n'avait pu s'envisager autrement. Et elle avait du se résoudre à passer ainsi les heures à demi étendue sur des coussins de velours. Seul avantage de ce mode de locomotion, elle pouvait se distraire un peu en écoutant Margaux lui faire la lecture.

Et puis au moins, cela la dispensait d'envisager à longueur de journée l'étrange visage de son promis qui chevauchait de son côté parmi leur escorte. Le côté senestre de sa face, recouvert de bandages, la mettait doublement mal à l'aise. Cela lui rappelait un peu trop la violente dispute qui les avait opposés à Paris et dont tout l'hôtel particulier de son cousin avait retenti. Leurs relations déjà en dents de scie ne s'en étaient pas précisément mieux portées... Et puis cela l'entraînait à songer un peu trop à ce qu'elle allait trouver le jour où les bandages seraient ôtés. L'époque qu'ils vivaient était trop rude pour être bégueules mais tout de même... Une chose est d'envisager sans frémir les infirmités des blessés de guerre, des victimes de maladie ou des mendiants pullulant dans les villes et exhibant leurs difformités pour recueillir quelque aumône, une autre en était de contempler ces stigmates sur le visage de celui qu'on devait épouser...

Haussant à la parfin une épaule négligente, lassée d'une lecture à laquelle elle ne prêtait plus vraiment attention tout autant que de ces vaines pensées qui agitaient son esprit, elle entr'ouvrit les rideaux de soie de sa litière. Rien de tel qu'un spectacle extérieur pour se distraire de ce genre de rêveries. Et la Touraine après tout valait largement le coup d'oeil. Verte contrée, côteaux aux flancs desquels s'étageaient les vignes dans lesquelles, vendanges obligent, s'activaient les vignerons... Spectacle qui amena un sourire sur les lèvres fines de la brune qui pensait que le Médoc devait connaître semblable agitation...

Ainsi plongée dans ses songeries viticoles, elle n'en sortit qu'en voyant son véhicule s'arrêter devant le campement réservé aux jouteurs. Descendant avec quelques précautions de sa litière, elle balaya du regard l'espace encore peu occupé puis se tourna vers le Louvelle.


Nous voici donc rendus. Où pensez-vous faire monter votre camp?
Perturabo
Contraint de prendre place sur la selle d'un destrier plutôt que de jouir du confort excursif qu'offrait la litière de sa future, la moitié destre de son faciès signifiait clairement son ton désappointé, qui transparaissait au travers de sa gorge et des mots qu'il employait. Maussade à l'instar d'un gamin auquel la mère lui aurait refusée un désir, non pas qu'il boudait, mais il restait irrité. La dispute à la bâtisse Harlegnan y était pour beaucoup : non content d'éprouver une souffrance à en crever un canasson, il avait du aussi supporter les diatribes et fulgurantes reproches de sa promise. Ah ! Le martyr du fiancé soumis.

Ayant rejoint le cortège à la frontière au-delà du confluent entre le Goire et la Vienne, il s'était emparé de quelques jours à l'écart des troubles Angevins lors d'une trêve dominicale - point à s'en faire, puisque commandement avait été délégué au baron impérial qui l'accompagnait, sir Eragon ... Il empestait de l'odeur des charniers et corps cramoisis, ses mains baignées dans la suie restaient fort sales, son tabard et ses hauts habits clairs idem.

En le domaine du Lavardin, sis en Touraine.

La compagnie y pénétra aussi soudainement que l'homme fut tiré de ses songes, au petit trot à dos de destrier fort capable sur ses quatre jambes. Relevant les deux yeux pour agrémenter sa vue restreinte de ce qui se dévoilait face à lui, il écarquilla une pupille unique pour la retourner vivement vers la voix féminine qui s'élevait. Le flanc senestre badigeonné dans des soies aux vertus thérapeutiques, son champ de vision s'en révélait atrocement amoindrit.


Tout prêt du vôtre, duquessa ?

Sourire aimable dans le désir de détendre leurs deux personnalités aux humeurs malléables.

Je pense que sa grasce Llyr verrait d'un bon œil que ses invités prennent place dans le lieu qu'il a désigné pour les y accueillir. En nous y installant nous éviterions l'offense et le parjure. J'hume déjà une brise de fracas des armes, des hampes et du flottement des fanions. De grâce, évitons de planter tente tout près de celle d'Azayes. Plus bas. Je crois que ces hautains me méprisent.

Bon dieu, il détestait ses bandages.
Sibella de Vissac
Une lourde diligence, spacieuse et confortable aux armes d'Usson et de Riom arrivait doucement devant le Castel Lavardin. Sibella et son époux avaient décidé de faire le voyage tranquillement afin de pouvoir s'arrêter de temps à autre et admirer le paysage.
La route avait été longue et un repos dans une bonne auberge était le bienvenu le soir, après un succulent repas.

Le lendemain, presque aux aurores, ils reprenaient la route, chevaux reposés et nourris, cochet en forme et prêt à obéir.

Durant le voyage dans la journée, le couple en avait profité pour se reposer un peu dans la litière de la diligence, balancé par l'allure des six chevaux attelés. Par moment, un arrêt en pleine campagne, un peu de marche pour se détendre les jambes, durant ce temps, les chevaux broutaient l'herbe verte de Touraine.

La diligence se dirigea vers le champ qui avait été habilité afin de recevoir toutes les tentes de la noblesse venue nombreuse participer à ces festivités.

Doucement les chevaux descendirent jusqu'au terrain et le convoi s'immobilisa. Le couple d'Usson descendit de la diligence afin de se dégourdir un peu les jambes, en admirant les installations.
Didier de Warenghien
[ Quelques jours avant au Duché de lorraine ]



La Chambre de L'ambassadeur était en désordre, des braies, des bas, des chemins était déposé sur les quatre coins de la pièce comme si une bataille avait tu lieux .
Mais dépêche vous donc, ranger tous sa dans cette valise, nous devons partir au plus vite, faite descendre les s'autres valises à la cour sur le deuxième carrose prestement !

Dide tourné en rond dans les couloirs, t'elle un prédateur.
Garde, allez donc appelle la Duchesse, dite lui que nous partons sur-le-champ où nous n'arriverons jamais pour le début des festivités au castel ...

La dernière valise prête, Dide descendis avec le valet à côté des carroses devant les grilles.
Un Soldat S'approcha et dit, Seigneur, Nos troupes son prête , qu'elles sont les ordres ?

Bien, faite donc ouvrir les portes du castel nous partons vers le Castel du Lavardin, Valet, la duchesse arrive t'elle ? Oui, Maistre, la voici qui s'approche .

Dide S'inclina devant la Duchesse, Vostre Garce, nous sommes prêts au départ, Veuillez prendre place sur la première voiture qui est fortement bien plus confortable et plus grande que la deuxième .

Fort bien, Messer Ambassadeur, nous partons .

[ Arrivée au Castel de lavardin ]



Après plusieurs journées et moult paysage rencontré, nous arrivons enfin au Castel du Lavardin, quand les deux Voitures fur arrête d'un coup Sec ...

Mais que ce passe t'il, cocher ? Mon Seigneur, nous sommes arrivés au campement, la Garde du Lavardin demande Vostre identité

Fort bien, je vais me présenter moi mesme, Dide descendit du carrosse et dit, Bien le Bonjour à vous, Soldat du Lavardin, faite ouvrir cette grille, je me prénomme Didier de Warenghien, Seigneur de Corau, je suis accompagnée par la charmante Duchesse Dame Victorine de la Vernède Sevillano Rubempré .

Bien Mon Seigneur, ouvre la porte, bienvenue au lavardin
le Garde indiqua l'emplacement qu'il pouvait aménager le temps de ses joutes.

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Izarra
Tout prêt du vôtre, duquessa ?

Moue de dépit qui apparaît sur le visage pâle de la navarraise. Elle a bien noté le sourire, semi-tentative d'apaisement des orages, mais l'idée de la faire dormir sous la tente est maladroite, et elle ne va pas se priver de le lui indiquer.

Près de mon camp? Vous vous gaussez mon ami? Vous savez fort bien que je ne puis jouter ! Quand bien même l'aurais-je voulu que vous auriez trouvé je gage moyen de m'en empêcher ! Ne pouvant goûter la joie de fouler le sable des lices, je ne vois pas pourquoi j'irai subir les inconforts de la vie de camp ! J'irai donc m'établir es albergue, comme à Bourges. Je suis sûre que le bourg offre établissement convenable pour m'y installer.

Impassibles aux désormais habituelles passes d'armes entre les deux nobles, les valets et servants avaient pendant ce temps dressé la tente du Comte. Celle-là au moins, ils étaient sûrs qu'il fallait la mettre en place. Ils auraient bien le temps de voir ensuite pour les caprices de la duquessa. Tref aux armes de Beaumont et Confolens se dressait donc désormais non loin, il ne s'agissait plus que d'y transporter les effets du noble occupant.

A côté, les joutes semblaient avoir déjà commencé, et la brune s'élançait pour un autre assaut.


Il est vrai qu'éviter leur voisinage me paraît plus sage. L'on ne peut décemment pas demander à la famille de ceux qu'on assaille de vous porter dans leur coeur n'est-ce pas?

Petit geste négligent en direction de la tente.

Vous pourrez féliciter vos gens de leur efficacité. Tandis que nous palabrons, vous voici installé!
Azdrine de Vissac
Le chemin jusqu'à la Touraine avait revêtu les habits du bonheur et de la joie de se retrouver tout deux seuls. Ils avaient profités des paysages, de la nature et prendre le grand air était tout ce qu'il y avait de plus soulageant pour ces moments. Aussi bien pour la baronne que pour le Baron.

Il avait donné réponses aux questions de Sibella sur la façon dont se dérouleraient les prochains mois car elle se posait des questions sur les choix de son époux.

Il lui avait expliqué son point de vue et elle l'avait fort bien compris après quelques minutes de discussions. L'épanouissement d'une famille passait par des devoirs, et les devoirs étant au dessus des envies, il en avais décidé ainsi.

La présence de l'écuyère du chevalier ne déranger point, puisqu'elle était une amie du couple et la présence de celle ci aux joutes ravissait le Baron.

Après avoir changé plusieurs fois de chevaux, ils arrivèrent enfin en vue du Castel du Lavardin, place forte de Touraine.

La diligence fut confiée au palefrenier qui attendait là et le matériel de campement aux armes d'Usson et de Riom fut déposé en un coin du campement, attendant d'être monté.
Perturabo
Elle rompait le fragile équilibre tissé qu'il tentait de recoudre. Soufflé par le culot et les exigences matérielles de la compagne en ceinte, son sourcil valide se haussa en prémices à un œil écarquillé. Une main nue dégarnie du gant de cuir qui l'habillait auparavant, sa paume libre frissonna machinalement sa chevelure, lui jetant un regard borgne et froid à terre, égaré dans les précipices de la confusion et de la désinvolture.

Je ne vous aurais pas demandé votre main que je ne serais pas votre promis que je me serais permis de vous qualifier de goujate, mon amie. Mais je ne vous aurais pas demandé votre main que je n'aurais probablement pas fait chemin avec vous jusqu'en Touraine que je n'aurais pas songé à vous affubler d'un tel ... sobriquet.

Pour comble de l'offusqué, ce fut le dernier geste nonchalant en guise de pic désarmante qui le rendit bouillonnant. Le Périgordin s'éprit de l'une des deux mains de sa "cavalière" pour en faire son otage, rançonnée en cadeau au fruit d'un horrible chantage qu'il entama.

Je ne peux vous demander de rester à mes côtés et partager ma couche de camp, ce serait bien égoïste de ma part. Allons ! Vous êtes une femme au ventre grossit par les germes de ce qui fut notre première nuit à Bourges, ainsi que vous l'avez rappelé haut et fort ; il vous faut coussins et draps de qualité pour votre condition de dame. Margaux ! Veillez bien sur elle, et faites en sorte que votre duquessa trouve chambre correcte, je ne désire pas qu'elle soit victime d'une infection ou d'une fièvre atroce ... Quant à moi, je me contenterais d'oublier que la promesse de fidélité à laquelle je dois succomber ne sera valide que lors de la publication des bans.

Au sourire mesquin, il y avait adjoint l'appel à témoin de la dame de compagnie de l'Harlegnan - en la personne de la réciteuse et froide Margaux. Nullement inquiet d'étendre ainsi la palabre qui se muait en bataille de verbes sous l'initiative de la duquessa ; il ne s'était pas plus caché de parler si distinctement pour les deux dames ; de manière à ce qu'aucune ne perde miette de son récital. Il lâcha pourtant la main retenue, avant de donner inclination du chef.

Mesdames veuillez m'excuser, je me dois d'aller vérifier la solidité des "installations". Et je me lave les mains de mon oncle par alliance mais idem de sa famille dont vous semblez amusée par le désagrément auquel je suis soumis. Poisse !

Il fait mine de s'éloigner ainsi, courroucé.
Bess Saincte Merveille
Elle avait tout prévu... se faire ammocher lors des joutes...sans doute travail qui serait terminé pour les duels, retrouver des amis sans doutes, des connaissances peut être, des gens de haute lignée surement qui l'ignoreraient superbement.

Trés peu habituée à ce genre d'amusement de la noblesse Françoise, Bess avait eut la malencontreuse idée d'en parler à Lourd... Hééé oui... gentil et serviable Lourd, qui avait plus que moyennement apprécié l'absence manifeste d'Erwan, avait fait semblant de ne pas être au courant des "écarts" de Bess avec un Poitevin, et qui avait bien entendu refusé de la laisser y aller seule : ça se faisait pas gnagnagna pi vous faut des robes et gna gna gna et puis vous faut une femme de chambre et gna et gna et gna gna.

Seul point sur lequel elle n'avait pas plier : voyage en braies et sur le frison d'Erwan naméo !

Il avait râler pour la forme, mais c'est avec un sourire triomphal qu'il était sorti de la pièce alors qu'elle se demandait dans quel guêpier elle s'était encore fourée.

Le voyage somme toute banale, aprés de longs mois passés en campagne, c'était passé sans incident majeur, c'est une Bess légèrement crispée à l'idée de voir du monde qu'elle ne connaissait pas accompagné d'un Lourd apparement ravi, d'une femme de chambre qui servirait à rien parce que Bess n'avait jamais eut l'intention de porter des robes pendants ces festivités, et deux malles emplies de choses qu'elle ne mettrait sans doute jamais, sans compter les gens que l'Intendant avait souhaiter emmener...pour une seule femme si c'est pas malheureux !

Arrivés, Lours indiqua au garde que la Vice Comtesse et Capitaine du Limousin, Bess Saincte Merveille, Baronne de St Angel, Dame du Mazet était enfin arrivée, indications leur fut donner, et c'est une Bess furibonde qui se pencha vers son homme de main en plus d'intendant, de secrétaire, de bras droit et d'ange gardien :
Ca se paiera ! la prochaine fois que vous faites du zèle ainsi je vous promet que vous vous en souviendrez!!! alors qu'ils se dirigeaient vers une place libre.

Ne restait plus qu'à tout installer, et c'est pas elle qui le ferait !
Izarra
Lèvres qui se pincent, réduisant la bouche à une étroite ligne, présage d'orage pour ceux qui fréquentent habituellement la dame. La colère gronde et la prudente Margaux, depuis longtemps habile à déchiffrer les signes, s'écarte prudemment de quelques pas tandis que la duchesse reprend son persiflage.

Je suis touchée d'ouïr les mots doux que je vous inspire mon cher... Pensez bien que si ce charmant sobriquet avait franchi vos lèvres pour me désigner, l'affection que je vous porte m'aurait poussé en retour à vous décerner celui de "butor"... Mais brisons-là, puisque ces malencontreuses paroles ne nous ont bien évidemment pas échappé.

Pas le temps de s'écarter avant qu'il ne s'empare d'une de ses mains. Ainsi retenue, la brune pesta de plus belle et s'empressa d'enfoncer ses ongles dans la paume du périgourdin à mesure que ses paroles faisaient croître son agacement.

Que je vous sais gré de vous soucier ainsi de mon confort et de ma santé! Réellement, votre bonté d'âme vous perdra! Mais rassurez-vous, je ne vous ferais pas de sitôt la "peine" de succomber aux miasmes putrides d'une maladie mortelle... Ne serait-ce que pour avoir le plaisir de vous rappeler à ma manière ce qu'il peut en coûter de trahir sa parole.

Ayant retrouvé l'usage de sa main, elle la crispa sur la soie de sa vêture. Définitivement encolérée à le voir ainsi tourner les talons, elle accompagna la retraite du comte d'une nouvelle pique. A chantage mesquin, allusion odieuse; les deux adversaires étaient également armés.

Mais je vous en prie, assurez-vous d'être correctement installé! Pour ma part je m'en vais veiller à trouver une bonne âme pour me tenir compagnie et me distraire. Vous savez à quel point les soirées es albergue qui suivent les joutes peuvent être agréables, entre gens de bonne composition...
Hook d'Aberdeen
Ainsi voila la route qui mène au lieu des joutes , fort intéressant passa le seigneur et chevalier.
L'homme n'était point venu avec moult gens , lui sur sa monture déjà en tabard a ses couleurs et la maille posée n'était accompagné que des portes écus et lances , sa tente démontée était elle aussi à le suivre dans des charrettes forte solides.

Ils n'avaient rencontré que peu de passant sur cette route bordée de verdure et de forêt , sans doute le seigneur du coin avait chassé comme il se le devait tout bandits et gredins ou alors ils n'étaient point assez fous pour se montrer sachant que moult nobles gens venaient convergeant en ce lieux .
Ils ne mirent point longtemps avant de se retrouver devant les gardes de la porte qui gardait le domaine.
Ces derniers sans doute informaient de toutes les venues posaient a chaque cavalier et passant la raison de leurs arrivés , quand cela fut son tour , le chevalier dit sur un ton calme et serein.


Je suis le Sire Hook d'Aberdeen , participant aux joutes organisées par ton maistre l'ami

Vérifia les dires de son parchemin l'homme remarqua en effet le nom inscrit du sire qui se présentait à lui .
Il demanda a ses collègues de s'écarter afin que le cortège passe dans l''enceinte .
Il ne fut guère surprit le seigneur bien sur de voir tout les nobles personnes présentes , sans doute n'étaient elles point toutes arrivées.
Il connaissait certaines de ces personnes , certaines a regret d'autres par amitié , mais l'homme n'était pour iclieux pour entretenir sa sociabilité pas dans l'immédiat du moins.
Il fallait poser la tente dans un coin sans doute prévu pour cela .
Ses gens se mirent de suite a leurs ouvrages respectif , le jeune homme blond lui descendit de monture et prit la direction de la tente du Sire de Warenghien.

Ajustant son tabard et sa maille l'homme qui avait posé son heaume dans les bras d'un serviteur dit d'un voix fort et sèche pour avertir le seigneur connue sous le nom de Didier.


Par Saint George , ne serait se point Monsieur de Warenghien que j'ose reconnaître iclieux ?
Comment se porte le frère de l'hospital le plus flamand de tous ?


Le chevalier n'était point la pour les convenances , les joutes appelaient les plus robuste du royaume et point les plus éduqué même s'il lui arrivait de faire belles convenances pour l'heure il n'en sentait point l'envie ...la route sans doute .
Attendant la réponse de son ami de gascogne et de l'hospital.
Ses gens avaient fort bien travaillé , tellement vite qu'un doute sur sa tente fut émis par sa réflection mais il n'en dit mot quand l'un d'eux vint lui annoncer que tout était prêt ...
MarieAlice
[Une violette en Touraine]

Retour en ce duché dont sa seule et unique visite à ce jour s'était soldée par une blessure qui aurait dû être mortelle, un séjour à la chaleur infernale suivie d'une sortie pour le moins glaciale au vu des tenues et postures. Tout ceci fort bien accompagnés il était vrai mais pas pour autant agréable.

Festivités de la Saint Michel au Lavardin. Pourquoi avait-elle accepté en fait? Pour revoir la contrée? Non pas vraiment. Pour jouter? Bah elle aurait pu le faire autre part, à un autre moment. Non, il fallait bien qu'elle reconnaisse que c'était par curiosité.

Depuis l'anniversaire royal, sa main s'était souvent portée sur un objet qu'elle ne cessait d'avoir sur elle, que ce soit accrochée ou bien cachée au fond de sa poche. Cette fibule, représentant une rose et une épée entrelacées, n'avait de cesse de la renvoyer à ce jour là, à cette impression fugitive et pourtant si vive, à cette image d'un voile qui jusqu'alors avait couvert ses yeux et s'entrouvrait sans qu'elle puisse savoir pourquoi.

Relevant la tête à l'approche du campement, elle la passa par la portière pour regarder le château qui surplombait le panorama, plissant les yeux comme si à cette distance, ils pouvaient lui permettre de trouver le châtelain et le sommer de venir répondre à cette multitude de questions qui se pressaient sous son crâne depuis ce présent et ses mots sibyllins: 'Vous avez ressenti un pincement il y a peu, comme un voile qui se déchire, Ceci est une clef, une énigme, nous en reparlerons à coup sur.'

Quand on connaissait la curiosité naturelle de la Vicomtesse, on savait que ce genre de phrases ne pouvait que lui donner envie d'en savoir plus et surtout de trouver une réponse, si possible satisfaisante et ce rapidement.

Les formalités d'usage remplies, elle profita que ses gens montaient la tente et préparaient le tout pour se dégourdir les jambes en arpentant les rues du village de toile.

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