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Au Campement de la Noblesse

kirah
[Collision sous marronnier]

Voilà ! le dernier pieu était planté, un gamin lui avait donné un coup de main. Elle venait de se masser le dos rapidement après s'etre redressée de l'effort ainsi marqué et allait tendre un denier à l'enfant quand.... boum, patatras, duchesse qui se trouvé déséquilibrée, surprise, sur la mauvaise hanche en prime.... rencontre de type primaire avec le sol.

Aouch ! la peste soit des maladroits !
Vous ne pouviez ...


Duchesse qui peste, se redresse sur son séant, se retourne en crachant la poussière pour reconnaitre un minois ... joli ma foi, mais plutot pensif et tout aussi surpris

Zya ???? c'est donc toi ma fille ?
Tu joutais ?
Mais oui ! suis-je bete ! tu m'avais avertie. Avec tout.... avec les derniers évènements cela m'était sorti de la tete.


Tentant de se redresser, elle frotta son postérieur

Dis donc la Saint-Ange ! Tes coups ne sont pas les plus délicats ou légers qui soient n'en déplaise à ton patronyme !
Enguerran
Ce jour-là, quand Enguerran parvint au castel du Lavardin, il fut surpris du nombre du participants au tournoi. Il s'était dit avec résignation avant de venir que ces joutes seraient encore négligées par la noblesse du royaume. Mais cette fois il n'arrivait pas à compter tous les visages, noms et blasons qu'il connaissait. Certes il ne pourrait leur rendre à tous une petite visite de courtoisie. A croire que tous les nobles gens du royaume s'étaient donné rendez-vous dans ce château vendômois.

Ayant mis pied à terre, il parcourait l'immense campement dressé sur la plaine. D'innombrables tentes aux multiples couleurs y avaient fleuri et tout était en intense activité. Enguerran reconnaissait ce genre de paysage, il l'avait vu bien des fois. Mais aujourd'hui l'aspect était grandiose, démesuré. Il avait du mal à en croire ses yeux. Etant un des derniers à arriver, il pouvait contempler dans toute sa taille l'énorme campement qu'avaient constitué les jouteurs venus de tous les horizons.

D'ailleurs, le maître des lieux n'avait pas lésiné sur les moyens et l'organisation semblait parfaite. Tout semblait préparé, prévu, avec un souci de perfection. Enguerran put ainsi trouver un emplacement qui lui avait été réservé, et qui aurait même pu accueillir sa suite s'il en avait eu une. Installant sa tente or et azur, il planta fièrement son oriflamme devant son campement, puis s'occupa de son destrier pour lequel on avait déjà préparé du foin et de l'eau. Enfin, il prit un peu de temps pour lui-même, se reposant un moment sous sa tente.





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geronimo2751
[Tentes des Chasses]

Féanaro venait de rejoindre géro,

Je crois que le campement est quasiment prêt, j'ai hate de commencer ...

Et moi donc, il ne manque plus que les prétendants ... en attendant je propose que nous allions nous désaltérer. J'ai ramené une boisson pétillante de nostre bonne ville de Dié.

Il laissa son ami, qui venait d'acquiescer, rattacher son oiseau et il se dirigèrent vers la tente qui servait de lieu de repos aux chasseurs. Les tentes étaient de bonnes manufactures portant par endroit l'insigne des chasses mais sans fioritures ni démesure, si ce n'est leur taille qui permettait à un grand nombre de personne d'y siéger sans se marcher dessus.

Ils étaient tout deux bien seul, les charretiers ayant plié bagage. Ils s'assirent à une table et géro sorti une bouteille et deux godet en bois de sa besace. Il servit Feanaro et se servit puis levant son verre.


A la tienne et que la réussite soit avec les diois.
zya
[Rassemblement vassalique sous un marronnier]

Et une Duchesse sur les fesses! Une! Et par faute angesque.
Sourire de contrition, alors qu'elle tend une main pour l'aider à se relever.


Excuse-moi, je ne regardais pas où j'allais... mais bon, je te cherchais... et pour te trouver, je t'ai trouvé... Enfin, tu as testé l'effet "Ange"... tu en es tombée à la renverse...

Sourire amusé alors qu'elle regarde la GEF pester.

Je venais te proposer mon aide, Madame. Il parait que je fus ton écuyère, et comme je n'ai eu nouvelles de ta part, je me suis permise de prendre l'initiative.
Le tableau des duels est paru... tu joutes après moi... mais bon, je préfère t'habiller avant... on ne sait jamais comment sera la chute à mon tour.


Manque de rire. Elle sait quand même choir de cheval, même si avec une armure, c'est bien moins évident qu'elle s'en sorte. Et c'est sans attendre de réponse qu'elle passe devant la Dame pour chercher les pièces d'armures, histoire de voir si elle était rutilante...
Azelie


[Campement des Dames Blanches]



Azelie avait chevauché en compagnie de ses sœurs, elle arrivait quelque peu fourbue, et à la vue du château eut un soupire de soulagement, elle n’avait plus l’entraînement intensive que la période de guerre lui avait donné, en son fort intérieur, elle se promit de ne plus traîner de drageoirs de salle en salles, et surtout de monter sa jument sur un temps plus long tous les jours.

Elle eut un mouvement de surprise quand elle vit le nombre impressionnant de personnes que réunissaient ces joutes, une foule éparse grouillait de tous sens, elle admirait les oriflammes bariolées, les différentes tenues, tous ici n’était que couleur, et ravissait l’œil.

Elle avait hâte de voir les différents spectacles qui allaient s’offrir à ses mirettes.
Duncan_Idaho
Un des serviteurs du Comte finissait l'installation en plantant l'oriflamme aux couleurs de son maitre.



Avant de s'engouffrer sous la tente à la suite de sa femme, Duncan jeta un regard circulaire pour observer un court instant les couleurs annoncées des nobles déjà présents.
Il poussa un court soupir, puis rentra dans la tente sans attendre. Il n'était pas de nature frileuse mais il fallait bien se rendre compte que l'automne était là, et qu'il était dangereux pour la santé de s'habiller trop légèrement ...

Retrouvant sa femme sous la tente, elle était déjà à s'affairer de récupérer assez de couverture pour se tenir chaud, leur fille et elle. Duncan sourit.

"Ca ne m'étonne pas de toi, ma douce ..."
Il l'aida à finir de placer les couvertures convenablement.
"Nous n'avons pas beaucoup l'occasion de revenir faire un tour en Touraine, tous les deux, et le temps venant ça n'ira pas en s'arrangeant, mais ça me fait du bien d'y être revenu, ça me rappelle quelques souvenirs ... Quelques bons vins aussi !"
Il fit alors un clin d'œil espiègle, puis il reprit un ton plus sérieux.
"J'ai jeté un oeil aux étendards dehors, nous croiserons peut-être quelques regards hostiles, mais au moins sommes-nous assurés de retrouver aussi des amis ... Enfin plus des connaissances pour moi, c'est surtout toi qui a vécu ici. Même si tous les souvenirs ne sont pas bons, ça doit te ressourcer un peu, non ?"

Et en posant cette question, il baisa tendrement la main de sa femme.

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planchet.
Quand Planchet franchit les premières tentes du camp, le régisseur du manoir de Freté Saint Nectaire poussa un soupir de soulagement, ce voyage d'agrément comme disait sa maitresse après son aventure à Fougères avait pour but de ramener la carriole de victuailles et divers tonneaux d’Auvergne ou était leurs manoir, en ce lieu bien loin.

Il pensa que les prochains jours, allait être pénible pour lui.

Le camp était remuant, première fois qu'il venait dans ce comté ou duché il ne savait jamais et sans doute la dernière, enfin il espérait.

Après renseignements auprès d'un gamin qui trainait parmi les tentes surement attiré par les divers oriflammes et nobles, il se dirigea vers l'endroit indiqué.

Menant les chevaux au pas, Planchet les arreta reconnaissant la jeune fille qu’il avait vu au manoir, Atalante.



Atalante tu es là toi aussi ? Dis moi c’est ti là que j’dois décharger, oui surement sinon tu ne serais pas la.
Tu m’aide à monter la tente ?

Sitôt dis sitôt fait.
La tente est montée rapidement, aidé d’Atalante Planchet met à l’abri les victuailles.


Aelyce
[Une roturière sur les routes]

Elle n'avait guère le choix que de se résoudre à abandonner là le cadavre de sa monture après que le dernier souffle de vie se soit noyé dans les larmes de la jeune fille.
Heureusement qu'elle n'était plus à grande distance du domaine du Lavardin. Le chemin fût long avec pour uniques compagnons un vieux canasson hérité de son père décédé il y'a quelques années et une buse perchée tantôt sur son épaule, tantôt sur son avant bras.

Aelyce regarda dans les yeux sa buse à croupion blanc cramponnée à son avant bras avec ses serres, semblant lui dire "je ne te lâcherai pas". Un regard échangé entre l'oiselle et la damoiselle suffit pour qu'Ael retrouve quelques forces et continuer ,le vague à l'âme, son chemin. L'épuisement la guettant comme un oiseau de proie, et son oiseau de proie l'aidant de sa présence à combattre l'épuisement.

Elle en avait oublié sa condition de roturière, sera-t-elle acceptée à la chasse? Une correspondance avec le grand veneur, dame Naluria lui fît cependant entrevoir un espoir.
Aussitôt la forteresse en vue, elle ne ressentait plus ni la faim, ni ses pieds endoloris, ni même le soleil qui dardait ses rayons sur son corps.
Soudain un coup de vent rafraichit ses joues puis un bruit, celui du vent qui ébouriffe les touffes de roseaux..il y'a donc certainement un lac, et elle avait tellement besoin de se rafraîchir.


Penchée au bord de l'eau elle vit à la surface de celle ci se mirer l'image d' une jeune femme aux joues marbrées de poussière de la route, la tresse qui coiffait ses cheveux était devenue trop lâche et quelques mèches rebelles s'en échappaient. une bouche pulpeuse, de grand yeux couleurs ambre et miel très expressifs, retenant prisonnière la tristesse d'avoir perdu son cheval.

Un bain s'imposait, sans plus attendre elle déposa sa buse docile sur une branche d'arbre, se déshabilla rapidement et plongea dans le lac dont la fraîcheur de l'eau lui fouetta la peau.
Mais plus le temps de rechigner, elle était déjà en retard. Elle se frotta vigoureusement le corps, puis se dirigea vers la berge retrouver ses vêtements.

Quand soudain elle sentit une présence. Aelyce leva sa tête et découvrit un homme qui s'avançait dans sa direction. Terrorisée, elle bondit pour attraper ses vêtements couvrant pudiquement avec son corps nu.

Elle fixa d'un regard furibond l'inconnu qui approchait. Ni une ni deux, elle prit tout ce qui lui tomba sous la main de lourd et le jeta sur lui, ainsi il reçu de plein fouet sur son crâne un bois flottant mais réussit de justesse à esquiver deux gros cailloux.


-ouille, argl, arrêtez je ne vous veux pas de mal j'ai juste besoin d'un renseignement!

La jeune Dacquoise sentait une colère sourde monter en elle

-Bougre d'âne batté! vous voyez bien que je me suis en tenue d'Eve!


Elle pointa le doigt droit devant elle, l'autre mains gardant ses vêtement serrés contre son corps, puis sa voix tonna d'une force dont elle ne se reconnaissait pas elle même

-Retournez vous messer je vous prie je dois me changer d'abord!

Aussitôt sa requête prononcée qu'il s'exécute, la rassurant sur sa sincérité.

Il lui tournait le dos tandis qu'elle réenfilait ses braies et rentrait les pans de sa chemise en lin dedans.

-Vous pouvez vous retourner j'ai fini..dîtes moi maintenant ce que vous cherchez.

Il se retourna avec prudence, dévisageant la jeune femme.


- je cherche le campement de ceux qui participent aux joutes de saint Michel afin de remettre quelque chose à damoiselle Aelyce de Dax.

Elle crut pendant un instant qu'elle avait mal entendu et se décida à franchir les pas qui les séparaient.Elle le regarda hébétée, elle n'avait pas remarqué jusque là qu'il portait l'uniforme Gascon .

-Je m'appelle Aelyce et je suis de Dax, mais je n'ai pas de famille là bas pour qu'on m'envoie quoi que ce soit.

Il joignit le geste à la parole et lui tendit un paquet enveloppé d'étoffe à la jeune femme, qui le prit soigneusement contre elle, une tornade de questions avait investi son crâne. Mais aucun son ne sortait de ses lèvres. Elle déroula le parchemin qui l'accompagnait, et sourit, elle reconnaissait cette écriture entre mille.

Le coursier s'inclinait déjà, avant de se remettre sur selle agilement, la salua d'un geste de la main et s'éloigna sur sa monture.

Il disparut de son champs de vision à la vitesse du souvenir, la laissant en proie à un tourbillon de questions.

Aelyce, haussa finalement ses épaules , se recoiffa, et se remit en marche accompagnée de sa buse, résignée à approcher dame d'Orval aussitôt arrivée.

[Accèdera?..accèdera pas?]


Enfin arrivée!, à en croire la foule amassée devant les campements.

Elle se dirigea immédiatement vers les gardes qui en surveillaient l'accès.
Il serait risqué d'oser s'aventurer de plus près, sans risquer qu'on lui chatouille la gorge avec la lame d'une épée.


-Bonjour, je m'appelle Aelyce de Dax. Sa grâce Llyr a autorisé ma présence et..


Aelyce s'interrompit voyant que le soldat ne la fixait pas dans les yeux, mais transperçait la chemise de son regard. Elle se demanda s'il l'avait quand même écoutée.

mais puisqu'il n'était pas insensible à ses charmes, la jeune femme décida d'en user afin qu'il réponde favorablement à ses doléances. Elle papillonna des yeux, se mordit la lèvre inférieur en le regardant, un sourire mutin aux lèvres, jouant nonchalamment avec sa tresse.

Il releva les yeux sur elle puis rougit balbutiant quelque chose d'intelligible.

Elle s'en approcha et lui chuchota à l'oreille


- J'aurais aimé mieux vous connaître, hélas ce paquet me pèse et je dois d'abord le livrer. Voudriez vous me permettre d'accéder aux campements, je vous promets de faire vite.


Il la déshabilla du regard un instant puis soudain s'en alla chuchoter à l'oreille d'un deuxième garde avant de l'inviter à avancer d'un geste de la main.

Elle avança prudemment, puis une fois qu'elle les a dépassé, elle se retourna et remarqua que les deux compères avaient le regard fixé sur la cambrure de ses reins, aussi elle accéléra le pas, serpentant entre les tentes qui se dressaient devant elle.

Elle vit une dame brune sortir de l'une d'elle et lui demanda si elle savait où elle pouvait trouver la dame d'Orval. Courtoisement cette dernière proposa de l'accompagner jusqu'à la tente.
Devant laquelle quelques personnes discutaient entre elle, interrompant soudain leur discussion étonnes de voir une roturière s'avancer vers eux.

Aelyce s'inclina devant la dame qui l'a guidée, reconnaissante pour son aide, et tandis qu'elle s'éloignait elle s'inclina devant l'assemblée, puis s'éclaircit la voix :


-Bonjour je me présente Aelyce de Dax, je recherche la dame d'Orval
Alchimiste d'Esterraza
La matinée s'annonçait belle et fraiche. Alchimiste s'étira à sa sortie de le tente, et ne put s'empêcher d'écarquiller les yeux en voyant que déjà la foulée des convives voilait le beau vert de ce qui était la veille une belle colline encerclant le domaine du Lavardin. Une petite mine déçue, laissant tomber ses épaules.
Un petit regard vers la tente de ses amis, personne encore, les gardes à la face livide après une nuit sans sommeil se tenait à la même place qu'il occupait la veille, à croire qu'il ne respirait même pas, elle ira s'enquérir de leur garde une fois prête.
De nouveau à l'intérieur, elle entame sa toilette, quelques ablutions à l'eau de rose comme touche de fraicheur, sa longue crinière brune dressée en une simple natte retombant sur son épaule. Rares étaient les moments où elle faisait sa toilette à son gré, et elle comptait bien profiter pleinement de ces festivités.

Endossant sa cape noir, elle sort se délecter de ce petit matin particulièrement animé. Son pas la conduisit jusqu'au campement des dames blanches, ayant croisé quelques têtes aux épousailles de son frère, avec qui elle prendrait plaisir de converser un moment en attendant le début de la compétition, n'ayant pu le faire à la première occasion.

Bien le bonjour dame...Elle hésite un moment, vague souvenir,dame Atalante! Je vous prie de m'excuser, mais je garde votre nom de mémoire depuis les noces de Marc_Antoine, mon frère, et de dame Valrose, vous vous portez bien à ce que je vois, un petit silence,pourriez vous me conduire chez dame Jariane? Elle fut d'une hospitalité fort généreuse cette fois là, et à mon grand regret, les chemins m'ont appelé m'ôtant toute occasion de l'en remercier.
Magdeleine
[Campement des Dames Blanches]

Les Dames finissaient de s’installer lorsque des voix… des cris plutôt… retentirent dans un campement à proximité du leur. Petit sourire à la réflexion de Chloé "M'enfin... Ils ne vont pas faire plus de bruit que nous eux. Noméo !"
Rhooo, elles avaient beau être pipelettes entre elles, elles savaient se faire discrètes, en général ! En général…

Sa proposition d’aller faire quelques pas avait attiré plusieurs de ses sœurs, et Kali avait d’ores et déjà soulevé un point crucial
"vous n’auriez pas le gosier un peu sec vous ?" C’est avec un léger rire qu’elle lui répondit

Qui sait, peut-être trouverons-nous de quoi nous hydrater au cours de notre petite promenade…

Promenade qui serait en définitive de courte durée, il y avait encore à faire avant le début des festivités. Panser et nourrir les chevaux, aider celles qui allaient jouter à se préparer.
Alors qu’elles allaient se mettre en route, une voix lui fit lever tête.


"Dame la bonne journée. Vostre étendart me semble indiquer que vous appartenez à un ordre qui pris sa source dans les montagnes de la belle province de Savoie, mais n'étand point expert en la matière, je puis parfaitement me tromper.

Qoui qu'ile en soit, pourriez vous avoir l'extrême amabilité de bien vouloir m'indiquer où je puis trouver Dame Naluria Marthun Vaast ?"


Alors ça… elle n’en avait aucune idée. Le regard se tourna vers ses sœurs, qui ne semblaient pas plus avancées qu’elle. Aucune ne semblait pouvoir répondre, elle en prit l’initiative, hochement de la tête en guise de salut.

Le bonjour, Messire. Ma foi, si vous évoquez l’Ordre des Dames Blanches, alors non, vous ne vous trompez pas.
Quand à votre requête… je ne pourrai vous renseigner, vous m’en voyez navrée…


Petite moue désolée accompagnant ses paroles.
LLyr di Maggio
[Dans la tente aux cris... devenue au final très calme]

LLyr sourriait, c'était assez rare pour être conté.
Tout le monde avait l'air absorbé par la dégustation des breuvage et autres victuailles.
Voyant que le calme était revenu, ou que du moins ses hôtes avaient pris conscience de leur qualité et qu'en tant de telle s'il y avait un soucis c'est à lui qu'il fallait en faire part, il se releva et dit.


Mes chers amis, non moins le droit ou l'envie de vous déserter, mais je vais vous demander la permission de vous quitter, j'ai encore pas mal de tentes à visiter et nombres de gens à saluer et à qui proposer de trinquer en la Paix de l'Hote sur mon domaine comme il convient à celui qui accueille.

Je vous souhaite donc bonne chance pour les épreuves auxquelles vous vous êtes inscrits et que d'Aristote, Christos et Dieu vous gardent.
J'espere bien que vous viendrez ce soir au banuqet de la Saint Michel comme tous les autres jouteurs et invités dans la forteresse et castel Lavardin. Je vous livre d'or et déjà le secret du Menu, c'est la Saint Michel ! oie et Gingembre en seront les ingrédients vedettes.

Braon de Chédigny vous m'accompagnez ? D'autres ont envie de faire le tour avec nous ?

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Avatar(c)(t)(r) 2006-Fay'Raya
modsognir
[En BA]


Modsognir était parti en voyage pour quelques jours au Puy retrouver ses amis. De bonnes retrouvailles, surtout avec son parrain qu'il n'avait pas vu depuis de si long mois. Un retour vers son village de Polignac des plus tranquilles, les voyages rythmaient sa vie désormais. Le besoin de rencontrer des hommes, des femmes, des cultures différentes....et voir du pays surtout

Il rentre dans sa maison, la porte grinçant, la poussière s'accumulant. Un léger soupir, il n'aimait pas voir sa maison délaissé mais il n'avait pas trop le choix, il ne pouvait avoir de majordomes, ses moyens ne lui permettaient pas. Sa vie était des plus simples même s'il s'occupait par ses paperasses pour aider son duché.

Il posa son baluchon le posant sur la table. Un papier traînait dessus, il ne se souvenait pas en avoir laissé un. Il le prit et le lut. Un sourire se dessina sur son visage, un autre petit voyage de prévu. Son amie Naluria le voulait comme escuyer. Il monta dans sa chambre prendre quelques affaires neuves, ses plus beaux vêtements, rempli de nouveau son baluchon et sortit pour prendre le chemin de la Touraine.


[en chemin]


Il prit son cheval Ether, le tapota lui murmurant
nous allons en Touraine mon tout beau. Un hénissement de son cheval et partir au galop vers le Castel de Lavardin. Il était deja en retard visiblement, il ne prit pas le temps de lui répondre un oui, sa missive prendrait plus de temps que lui. Le chemin se fit rapidement, son cheval galopait entre prairies, forets, il semblait aimer ce pays peu valloné, terre de grandes étendues. Modsognir arriva enfin vers les terres du Castel. Il descendit de son cheval, s'avanca plus timidement. Il s'avanca lentement, il était quelque peu perdu. Il se dirigea vers où le bruit se faisait le plus remarquable et reconnut de suite les couleurs de son duché, le campement des nobles du BA. D'un coup il vit la personne dont il avait fait le chemin. Elle était en grande discussion avec ses amis. Il passa par derrière posant sa main sur son épaule attendant qu'elle se retourne.
azzera




Azzera, en compagnie de ses soeurs, avait fait le voyage sur son étalon qui-n'a-pas-encore-de-nom.
Leur arrivée au campement n'avait pas été de tout repos pour la jeune femme, les actes de chacune avaient été bien défini à la commanderie.
C'est donc sans rechigner qu'Azzera aida ses soeurs à monter la tente, s'occuper des chevaux, préparer la toile afin que chacune ait un coin bien à elle.
Et ce n'était pas une sinécure, tant elles étaient nombreuse.

Des cris provenaient du campement à coté, d'après ce que ses soeurs lui avaient dit, le BA était ici en force...
Consistance de voix, détermination vocale, véhémence des propos.
Chloé fulminait ce qui provoqua des sourires sur le visage des Dames Blanches réunies.

Une promenade fut proposée, mais Azz déclina la demande, préférant terminer la préparation des lieux.

Magdeleine répondit à la question de l'homme.
Azzera entendit la demande, mais elle ne savait que répondre et continuait, comme si elle n'avait rien ouï à vaquer à ses occupations.
Elle était heureuse d'être là, meme si l'apprehension du lieu l'avait fait hésiter à suivre ses soeurs!

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Naluria
[Joute ou pas joute pour Kory alors que l'inconnu passe]

Cherchant un surnom à son poursuivant en attendant la réponse de Kory, elle regardait Marty en souriant.

*Mon chou ? Non déjà testé, trop gentil lorsqu'on est en public. Faut que je lui trouve un ptit surnom à ce Billy.*

Certains auraient pu l'appeller la bile qui rit, mais Naluria n'aimait pas vraiment ces choses répugnantes qui ne donnent pas envie d'approcher de nouveau...

Sa réflexion se fit plus intense lorsqu'une main se posa sur son épaule. Surement Llyr venant saluer le BA. Elle se retourna et aperçu Modsognir. Son sourire s'élargissa.


Ah te voilà déjà. Joins toi parmis nous, surtout que tu connais l'emsemble du groupe.

Tu as fait bon voyage ?


Après réponse faite, elle prit son bras pour l'emmener vers le groupe qu'ils formaient.

Modso est arrivé, je l'ai pris comme fidèle escuyer. Il sera assurément m'aider à m'habiller.

Naluria sourit, puis toujours provocante elle s'adressa à Marty dans un regard profond et un sourire en coin.

A moins que tu ne voulais faire cette tâche.
Pyrotess..
[Campement des Hospitaliers]

Pyrotess sourit à Petitjehan tout en continuant d'admirer les lieux puis tourna a nouveau son regard vert a la fois perçant et doux

Petitjehan a écrit:
Ma sœur je suis Jehan de Proisy dit Petitjehan bléiculteur et charpentier, et j'ai l'honneur de servir d'écuyer à notre frère Cristòl de Siarr...je suis enchanté de vous revoir ici. Nous nous sommes croisés à la Commanderie.


Et bien ravie de vous rencontrer frère Jehan, il ce peu effectivement que nous nous soyons croisées mais je suis souvent rêveuse et dans mes pensées

Pyrotess rougit repensant avoir percuté Cristòl quand elle aperçut son beau frère Hook d'Aberdeen s'approcher et lui faire un baise main elle lui fit une révérence

Bonjour mon cher beau frère comment allez vous ?

Pyrotess remarqua le fait que Hook ne salua pas Cristòl et ne compris point mais n'essaya pas de comprendre non plus quand son frère Cristòl de Sìarr lui adressa la parole

Cristòl a écrit:
-« Je vous remercie, ma soeur, mais il n'y a rien à faire de plus immédiatement... Je vous rends au Chevalier que vous servez, et vous souhaite une bonne journée. »


Pyrotess sourit à son frère

Très bien mon frère si vous avez besoin d'une quelconques aide n'hésitez point a me le demander, je vous spouhaite une agréable journée à vous aussi

Pyrotess continua de sourire et regardais toujours autour d'elle essayant de se repérer un peu n'ayant que trop peu le sens de l'orientation elle reprit les rennes de son fidèles destrier et se tapa le front n'ayant point amener de tente il lui faudrait trouver ou dormir comme souvent sa bêtise l'emportait sur sa raison elle était si heureuse de se retrouver iclieux que la jeune hospitalière n'avait point penser a savoir ou elle pourrait bien dormir sans s'en inquiéter plus que cela. Pyrotess remit sa robe correctement et chercha d'abord un abreuvoir pour son fidele Black et trouva la tente de son beau frère elle vit aussi le cheval de celui ci amenant black a ses cotés elle tapota celui ci sachant que son frère ne lui dirai rien si les deux chevaux partageaient l'abreuvoir et la paille la jeune femme déposa aussi ses affaires n'ayant pris avec elle que le nécessaire pour l'occasion elle les déposa dans un coin de la tente de son beau frère et partie se promener un peu dans le camp peut être rencontrerait telle des amis ou connaissances

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