chlodwig_von_frayner
[Le PJ Aelys est ici utilisé par moi en total accord avec sa joueuse et les paroles quelle prononce ici sont delle]
La frimousse de la blondasse se préparait à se fendre dun sourire pour lui asséner vraisemblablement une remarque acerbe qui aurait pour but de le renvoyer pleurer dans les jupes de sa mère, but hautement louable que denvoyer paître un ptit con. Cest alors que sur ces entrefaites arriva un curieux groupe composé de soldats portant tabard du Lavardin. Les deux adolescents en pleine crise se retournèrent en direction de ces gens. Sur le coup, le Chlo faillit tirer son épée en hurlant « on attaque le duc » car des hommes en arme dans le campement du duc de Berry en personne ça le faisait mal. Mais non, les soldats encerclaient la tente du Louvelle qui brillait monumentalement par son absence totale doccupant. Un aveugle aura parfaitement compris que pas un chat ne sy trouvait. En dautres temps, pareille irruption dhommes darmes tourangeaux en plein campement berrichon, campement ducal qui plus est, aurait déclenché une bagarre générale, mais malheureusement les bonnes traditions se perdaient. Mais le Duc en aurait voulut à sen écuyer de laisser perdre une telle occasion de se rappeler au bon souvenir des séculaires ennemis. Se fut pourtant la petite Aelys qui lança une joueuse pique en direction de la ducale garde lavardinaise, coupant lherbe sous le pied à lécuyer auvergnat.
Le Chlo sourit légèrement à une telle phrase et fit un petit pas en avant. Depuis quand un tourangeau se permettait il de perturber la quiétude dun campement berrichon ? Qui plus est lorsquun homme écartait un pan de tente et sadressait à des meubles. Mais il était vrai que cela faisait classe comme discours Dommage quil manqua de toutes les petites choses qui en font habituellement la réussite, et surtout quil lui parut incroyablement lâche oui Le jeune seigneur se fendit alors de quelques phrases.
Le fanion ne vous répondra pas votre Grâce, il nest pas encore doué de parole. Si vous aviez regardé un peu vous auriez vus quen face du lion de Beaumont se trouvait celui des Azayes à qui loffense fut faites. Evidemment que si le Comte avait été là, voilà bien longtemps que les hostilités auraient commencées. Dailleurs pourquoi intervenez vous ? A ce que je sache vous êtes totalement étranger à laffaire. Il sagit dune question dhonneur, chose dont vous semblez être totalement dépourvus.
Il sourit légèrement, puis coupant court à toute réponse immédiate, il continua.
Un homme dhonneur aurait laissé aux ennemis personnels du compte loccasion de vider leur querelle Et surtout, un homme dhonneur naurait pas attendu que le comte soit dans un endroit clos pour lui ôter toute porte de sortie. Dois je vous rappeler quil est arrivé libre chez vous ? Et vous comptez quoi, larrêter alors quil est à votre merci, quasi seul et presque désarmé ? Cette attitude à un nom et ça sappelle de la lâcheté. Vous dites agir au nom du roy, mais il ne me semble pas vous avoir vu répondre à son appel lorsquil était assaillis par les bretons et quil fallait alors réellement croiser le fer et non pas sabriter derrière une garde nombreuse. Il ne me semble pas avoir aperçut la bannière du Lavardin en Bretagne, au contraire de celui que vous comptiez lâchement interpeller. Si je ne respecte pas lhomme et ses agissements jen respecte au moins le courage, ayez au moins lhonneur de ne pas vous rendre ridicule. Les valeurs se perdent aujourdhui, il est juste regrettable que cela touche la Haute Noblesse.
A ce propos, jimagine que vous avez un mandat royal pour larrêter au mépris des règles tacites de lhospitalité qui veulent que pendant les joutes, un hôte ne porte pas la main sur ceux quil reçoit, sauf cas de force majeur.
Ne vous mettez jamais entre un Azayes et celui quil veut abattre ainsi était la règle. Et voler ainsi la victoire au Chlo, après e quil avait préparé, non cela il ne pouvait le supporter, et surtout pas venant dun tourangeau. Il jeta un regard à la blondasse. Tsss, bah on se jetterait des mots plus tard, là pour le coup.. Il était en colère.
La frimousse de la blondasse se préparait à se fendre dun sourire pour lui asséner vraisemblablement une remarque acerbe qui aurait pour but de le renvoyer pleurer dans les jupes de sa mère, but hautement louable que denvoyer paître un ptit con. Cest alors que sur ces entrefaites arriva un curieux groupe composé de soldats portant tabard du Lavardin. Les deux adolescents en pleine crise se retournèrent en direction de ces gens. Sur le coup, le Chlo faillit tirer son épée en hurlant « on attaque le duc » car des hommes en arme dans le campement du duc de Berry en personne ça le faisait mal. Mais non, les soldats encerclaient la tente du Louvelle qui brillait monumentalement par son absence totale doccupant. Un aveugle aura parfaitement compris que pas un chat ne sy trouvait. En dautres temps, pareille irruption dhommes darmes tourangeaux en plein campement berrichon, campement ducal qui plus est, aurait déclenché une bagarre générale, mais malheureusement les bonnes traditions se perdaient. Mais le Duc en aurait voulut à sen écuyer de laisser perdre une telle occasion de se rappeler au bon souvenir des séculaires ennemis. Se fut pourtant la petite Aelys qui lança une joueuse pique en direction de la ducale garde lavardinaise, coupant lherbe sous le pied à lécuyer auvergnat.
Citation:
Le Louvelle a beau être doué, il na pas encore le don dubiquité
Le Chlo sourit légèrement à une telle phrase et fit un petit pas en avant. Depuis quand un tourangeau se permettait il de perturber la quiétude dun campement berrichon ? Qui plus est lorsquun homme écartait un pan de tente et sadressait à des meubles. Mais il était vrai que cela faisait classe comme discours Dommage quil manqua de toutes les petites choses qui en font habituellement la réussite, et surtout quil lui parut incroyablement lâche oui Le jeune seigneur se fendit alors de quelques phrases.
Le fanion ne vous répondra pas votre Grâce, il nest pas encore doué de parole. Si vous aviez regardé un peu vous auriez vus quen face du lion de Beaumont se trouvait celui des Azayes à qui loffense fut faites. Evidemment que si le Comte avait été là, voilà bien longtemps que les hostilités auraient commencées. Dailleurs pourquoi intervenez vous ? A ce que je sache vous êtes totalement étranger à laffaire. Il sagit dune question dhonneur, chose dont vous semblez être totalement dépourvus.
Il sourit légèrement, puis coupant court à toute réponse immédiate, il continua.
Un homme dhonneur aurait laissé aux ennemis personnels du compte loccasion de vider leur querelle Et surtout, un homme dhonneur naurait pas attendu que le comte soit dans un endroit clos pour lui ôter toute porte de sortie. Dois je vous rappeler quil est arrivé libre chez vous ? Et vous comptez quoi, larrêter alors quil est à votre merci, quasi seul et presque désarmé ? Cette attitude à un nom et ça sappelle de la lâcheté. Vous dites agir au nom du roy, mais il ne me semble pas vous avoir vu répondre à son appel lorsquil était assaillis par les bretons et quil fallait alors réellement croiser le fer et non pas sabriter derrière une garde nombreuse. Il ne me semble pas avoir aperçut la bannière du Lavardin en Bretagne, au contraire de celui que vous comptiez lâchement interpeller. Si je ne respecte pas lhomme et ses agissements jen respecte au moins le courage, ayez au moins lhonneur de ne pas vous rendre ridicule. Les valeurs se perdent aujourdhui, il est juste regrettable que cela touche la Haute Noblesse.
A ce propos, jimagine que vous avez un mandat royal pour larrêter au mépris des règles tacites de lhospitalité qui veulent que pendant les joutes, un hôte ne porte pas la main sur ceux quil reçoit, sauf cas de force majeur.
Ne vous mettez jamais entre un Azayes et celui quil veut abattre ainsi était la règle. Et voler ainsi la victoire au Chlo, après e quil avait préparé, non cela il ne pouvait le supporter, et surtout pas venant dun tourangeau. Il jeta un regard à la blondasse. Tsss, bah on se jetterait des mots plus tard, là pour le coup.. Il était en colère.