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Au Campement de la Noblesse

geronimo2751
[Tentes des chasses]

Oui à la tienne Gero, en espérant pouvoir offrir une belle prestation ...

Entre deux gorgées il murmura

Moi aussi

Après ce court, mais mérité, moment de détente géro se leva. Dehors les voix commençaient à s'élever et de plus en plus de gens passaient devant l'embrasure de la tente. Il se pencha pour jeter un coup d'œil.


Et bien on dirait que les festivités sont sur le point de commencer. Je vais allé me changer pour être présentable, cette chemise colle de sueur.
A dessuite Fea.


Il s'éclipsa dans les tentes qui servait de dortoir aux chasseurs.
Il ouvrit la petite malle de bois qu'il avait acheminé depuis sa masure. Il défit sa chemise et chercha du regard quelque chose pour faire un brin de toilette, mais ne vit rien. Il sortit dans l'espoir de trouver un bac avec de l'eau ... les animaux !! bien sûr il avait rempli de bac pour les abreuver. Il alla trouver les bac encore vierge de toute utilisation. Avec un linge humide il se frotta le visage et le torse. Il frissonna non pas de froid mais en pensant à la saigné à laquelle il aurait droit pour évacuer les mauvaises humeurs s'il effectuait des ablutions trop importante. Surtout ne pas trop se laver !!!

Il retourna dans sa chambre improvisé, il sortit une chemise blanche parfaitement propre de sa malle. Il passa sa chemise ainsi qu'un gambison doublé de cuir. Il avait déjà plus l'air d'un chasseur, quoi que son pantalon eut pu tenir droit tant la chevauché du matin l'avait rendu raide. Il se vestit d'un pantalon robuste et simple, mais qui avait quelque élégance.
Il referma la malle et jeta un coup d'œil à ses linges sales, il allait falloir trouver une lavandière de toute évidence. Mais ça e devait pas manquer dans le coin !!

Il arrangea ses cheveux comme il pu, ne possédant point de miroir, ni de fragrance autre que celle de ces vestements propre. Il n'était qu'un modeste meunier après tout.

Il sortit de son logis de toile pour se poster devant l'entrée de la grande tente. Il avait bien envi d'aller faire un tour dans le campement mais le Grand Veneur avait été clair, il était responsable du campement jusqu'à son retour des joutes. Il avait cependant la vue sur le fourmillement des gens dans l'allée.
finitou
[le campement des nobles]

Breccan et Corenthine étaient arrivés depuis peu au campement. pendant tout le chemin et encore plus, les quelques dernières lieues, Corenthine était crispée sur sa robe.
c'était sa première sortie dans le beau monde, au tournoi de joutes.
Elle avait tellement entendu parler de cet évènement que c'est une boule au ventre qu'elle passa l'entrée du campement avec son époux.

Breccan était à l'aise partout. Aussi bien en taverne qu'à un séminaire de fossoyeurs. Mais elle était beaucoup moins sûre d'elle. Elle avait beaucoup moins d'aisance que son mari pour se mêler au "haut" du panier.

Malgré sa jolie robe, sa mine était déconfite. Elle espérait y voir des visages familiers parmi cette foule.

La tente montée et leur installation enfin faites, Corenthine n'osa pour ainsi dire sortir de sa tente. Elle lorgnait par un pan relevé si elle reconnaissait quelqu'un dans le ballet incessant des personnes. Sa tête sortait et rentrait au grès des passages. Corenthine regardait tout ce luxe et ce panache qui font les grands nobles.
Snipy De Montmorency
Quartier de l'Ordre Royal Hospitalier


Le groupe Candéen arrivait en vue des oriflammes qui étaient si familliers au Grand Maréchal, le champ de sable frappé d'une croix de Malte d'argent ou inversement, qui flottaient au vent frais de cette saison.
Le Baron donna quelques ordres à ses gardes Montrevallois afin qu'ils préparent la tente du couple De Montmorency.
Déjà un garde sortait les piquets du chariot, duquel du fond brillait les pièces des armures du couple alors qu'il descendit de son cheval et aida la Baronne a descendre du sien.


Ma belle Rouquine, je te laisse ici commander le montage de notre tente, ou bien tu m'accompagnes chez mes frères Hospitaliers ?
Promis, j'irais pas boire.
ajouta-t'il en souriant.
Azelie

[Campement des Dames Blanches]


Azelie se retourna en entendant son nom, Cannelle arrivait, elle la regarda descendre de sa monture et s’approcher d’elle.

Bonjour Cannelle, merci, je vais bien, tu as vu que de monde n’est ce pas….

J’ai comme l’impression qu’il y a un peu de grabuge dans le coin…


Elle tourna son visage, vers la troupe armée, et aperçut au passage que la liste des jouteurs venait d’être affichée.

Viens vite avec moi, allons voir le nom des pauvres personnes qui devront affronter nos belles Amazones…

Un rire cristallin accompagna ses dires, et elle se dirigea en courant devant l’affiche.
La distance fut rapidement franchit, et ses yeux se mirent à chercher le nom des Dames Blanches.

Elle se remémora les noms des jouteurs adverses et revint au campement, et lança à la cantonade :


Mes sœurs, voici les adversaires de nos Dames, alors

Notre grande Amazone se verra confronter à Dame Alivianne…


Et petit regard en direction de WonderAnny, avec un sourire l’accompagnant.

Ensuite, Zya à Dame LadyMarianna,
Chloé à Dame Jaelle000 de Montmorency,
Mellisande à Dame Naluria Marthum Vaast
et Bradbury à Sieur Ursin


Légèrement essoufflée, elle reprenait son souffle, ne sachant si le tirage était favorable pour ces dames, elle cherchait dans les regards des autres, un signe qui la rassurerait.
Wonderanny
Suivre la petite troupe et rejoindre l’emplacement dédié dans le dédale de tentes bariolées. Rapide petit détour pour saluer ses bruyants compagnons auvergnats… Léger sourire, elle reviendra plus tard saluer famille et amis, discret geste de la main agrémenté d’un

A tout à l’heure !

Avec tant de cris, la question est : sera elle entendue ? Amusée, elle poursuit son lent chemin. L’Ecu vert est en place. Bon bon bon… satisfaite de voir que les Dames aient aménagé l’emplacement. Juchée sur le destrier, le regard survole l’avancé des préparatifs les sourcils froncés. Certaines s’occupent de tendre les dernières tentes, d’autres organisent déjà quelques frugales ripailles, quelques douces liqueurs sont servies. Un petit groupe est déjà parti baguenauder au travers de la foule, ou parti découvrir la lice… elle ne sait.
Les jouteuses quand à elles, à l’abri des tentes, entourées des Dames et leurs écuyères jouissent pour l’instant de quelques repos avant le grand affrontement. Prendre quelques forces après tant de chemin parcouru. Presque tout est prêt, dernières finitions en cours. Esquisse d’un sourire de soulagement.
Soudain des cris, le maitre des lieux semble… Un attroupement, des ordres, un incessant brouhaha qui se fait plus présent. Les murmures se font plus forts, l’information rapidement relayée.


Comment ?!

L’assassin de l’Azayes aurait il eu l’audace… Point le temps d’en comprendre plus, Fouc le Camps fatigué, nerveux, semble vouloir échapper au contrôle de la Dame. Hennissements, quelques pas de côté et l’animal se cabre. Heureusement suffisamment lentement et la dame d’un coup de reins remet énergiquement sa monture en avant et attire la tête de Fouc le Camps sur le côté. Instinctivement elle sert les dents, s’interrogeant : Les cris ? Une gêne au niveau du dos ? L'âge ? Le destrier n’est plus bien jeune… Quoi qu’il en soit, l’animal a besoin de repos et la Dame aussi. Avant tout mettre pied à terre et soulager son… Mais point n’est encore le temps. Nerveuse elle se retourne vers les deux Dames qui accourent.

Quoi encore ?!

Notre grande Amazone se verra confronter à Dame Alivianne…

Choc à l’annonce du nom. Pire que la douleur d’une lance qui vous désarçonne, pire que la lame qui s’immisce effroyablement en vos chairs.

Comment ? !

Hasard d’un affront… hasard d’un jeu parfois cruel.

Humpff !

Suivi d’un soupir étonnement peu discret. Faudrait voir à ne pas concurrencer par des cris, le campement auvergnat. A ce jeu, ils ont prit tellement d’avance !
Elle dévisage la douce Azelie, porteuse bien malgré elle de la terrible nouvelle… Répétant le nom de sa concurrente.


Alivianne !

Une adversaire coriace il est sur mais surtout et avant tout, une sœur, sa sœur Azayes ! La colère grignote de son rouge les joues de la Dame. A croire que les joutes ne sont pas pour elle un exercice ou elle excellera un jour ! Pas avec une telle chance ! Moue nerveuse. Comment se sortir de cette mauvaise passe ? Refuser le combat ou jouter ? Sur que si elle s’incline, le normand affichera ce sourire narquois qu’elle lui a vu arborer lors des dernières joutes… Le rouge se fonce un peu plus.
Grumpfff ! Réfléchir tout d’abord et… Éprouvantes ces joutes avant même d’avoir commencé… Enfin !

Ensuite, Zya à Dame LadyMarianna,
Chloé à Dame Jaelle000 de Montmorency,
Mellisande à Dame Naluria Marthum Vaast
et Bradbury à Sieur Ursin


Un homme s’approche, perdue dans ses pensées, elle le regarde sans y prêter réellement attention. Il est maintenant tout proche et se saisi des rênes, la Dame le reconnait alors et retrouve doucement son sourire… Pour un court temps.


Puis-je t'être d'une quelconque aide pour te remettre sur le sol tourangeau ma chère Anny?

Court instant ou elle le dévisage interloquée. Ne serait elle plus capable de descendre seule ? Voilà qui promet ! Comment fera elle donc quand elle devra grimper avec sa lourde carapace ? Frétillements de sourcils avant que le sourire ne se glisse sur ses lèvres. Voilà une bien douce attention. La Dame n’est plus habituée, voilà tout, sauvage ces derniers temps, peut être trop ?


Après tout pourquoi pas ?

A la fois amusée, à la fois surprise, elle opine de la tête.
Chloé de Chesnais

[Campement des Dames Blanches]


Toujours pas Mysouris. Misère où était-elle cette face de moineau. Toujours entrain de courir derrière pour la rattraper. Dedans... Dehors... Dehors... dedans... dedans... dehors... dehors... "Mysouuuuuuuuuuuuuuuu!!!!". Les Dames Blanches qui commencent à revenir de leur petite expédition pour connaitre les lieux. Bénédicte croisait leur regard... mais pas de mysou... Misère...
Elle se trouvait donc dehors quand elle aperçue une de ses sœurs entrain de parler avec un jeune homme. Quelques pas en avant. Visage connu, souvenir... neurone en action... Qui est-ce?... Ah bien tiens... Un béarnais...

Le Chambellan s'approcha donc de sa sœur et du jeune homme.


Bonjour Messire... Daiguorniss, si mes souvenirs sont bons... Si j'avais cru vous croiser un jour dans ce genre de fêtes. Petit arrêt et regarde vers l'autre Dame Blanche pour finir faire revenir les prunelles vertes vers le jeune Béarnais Tous comme mon amie ici présente, Je ne connais pas cette Dame, nous sommes arrivées il y a peu de temps, et le temps de monter la tente, nous n'avons pas zieuté sur les tentes voisines. Hormis les cris évidemment... Qui s'entendraient à l'autre bout du domaine. M'enfin... cela semble avoir cessé...
Navrée de ne pouvoir vous aider. Mais je vous souhaite une bonne chasse...


Quand deux Dames Blanches arrivèrent dans la tente pour annoncer les noms des adversaires pour les joutes. Chloé se retourna, un signe de tête

Je vous dis surement à plus tard, Messire, nous nous recroiserons certainement.

Et la demoiselle se retourna, sourire à sa sœur, pour qu'elle l'accompagne, afin de savoir contre qui les Dames Blanches allaient jouter. Et c'est quand elle entendit son nom que ses prunelles s'écarquillèrent. Regards vers les autres.

Je ne connais même pas de nom... Mais les Joutes entre Alivianne et Anny ... J'ai hâte de voir ça... Le hasard fait merveilleusement bien les choses je trouve. Ancienne génération contre la nouvelle, deux sœurs de cœur et de sang.

Regards vers toutes les filles présentent. Les Dames Blanches qui devaient se préparer, avec de l'aide.

Y'a t'il une aspirante pour aller préparer ma monture ? Et une apprentie pour m'aider à m'équiper ? Mon écuyère semble s'être envolée !

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methemvor
La situation avait vite retrouvé un ton plus serein dans la tente hurleuse. Le bon vin aidant, le ton avait considérablement baissé et pris des tonalités un peu plus … joyeuses sinon avinées.

Accompagnant le duc de Lavardin dans la poursuite du tour du campement, le baron observa avec étonnement le soudain changement de direction, et la venue d’un groupe de gardes en armes.


Baron Methemvor, avec moi je vous pris, nous avons une arrestation à faire. gardes à ma suite.

Aucun problème, je vous suis. Mais quel est donc la cause de cette arrestation ?

Sans lui répondre, Llyr pointa le doigt vers une tente devant eux, et pendant que les gardes entouraient la tente, pénétra à l’intérieur.

Messire Maximilien de Louvelles, dict Perturabo, Au nom du Roy je vous arrête. Veuillez je vous prie me suivre sans armes et sans violence que je puisse vous placer en la forteresse et castel du lavardin aux arrets de circonstance.
Toute résistance sera passible de represaille directe et definitive. je vous en conjure, faites dans le calme ce que je vous demande et je vous promets que tant que vous resterez en ma garde nul mal ne vous sera fait.


Diable ! Le Perturabo serait là en personne ? Voilà affaire intéressante….

Soudain, un jeune coq surgit du campement voisin, berrichon celui-là, et débita d’un ton coléreux une tirade pour le moins pitorresque.

Alors que le baron se préparait à remettre ce jeunot en place, une dame, visiblement proche parente au vue de la ressemblance patente, sortit de la tente berrichonne et posa la main sur le bars du jeune homme, lui glissant doucement quelques mots.

Voyant la situation calme autour dans la tente du Louvelle, Methemvor se rapprocha du campement berrichon et d’un grand sourire, s’adressa au jeune lion et à sa parente.


Permettez moi de vous souhaiter la bienvenue en Touraine, gente dame et messire l’impétueux. Je suis le baron Methemvor de Chedigny. Je ne saurai remplacer le duc du Lavardin pour vous accueillir chez lui, mais je gage qu’il saura très bientôt vous présente rla bienvenue en personne. En attendant, je ne saurai trop vous recommander de rester en dehors des affaires du maître de céans.

Dardant un œil acéré à l’écuyer, il poursuivit d’un ton calme, mais ferme.

Vous employez là de grands mots, messire. Mais qui êtes-vous pour prétendre connaître la vérité sur la noblesse et l’honneur plus qu’un héraut royal, duc de surcroît ? En tout cas, si l’épée vous démange, n’hésitez pas à venir me trouver, je saurai y remédier.

Avisant l’air aterré d’Enorig, le barton éclata de rire.

Allons Dame, nous avons tous été jeunes. Le sang neuf bouillonne dans l’attente des combats. Mais des les premiers échanges, cela passera.

Saluant ses interlocuteurs d’une inclinaison de la tête, Methemvor s’apprêta à prendre congé.

Je vous souhaite de passer un bon séjour et de profiter agréablement de ces festivités. Quant à vous, jeune homme, j’espère que nous aurons l’occasion de nous rencontrer dans un autre contexte. Touraine et Berry n’ont que trop échangé sur le mode hostile, ne croyez-vous pas qu’il est temps pour une fois de changer de registre ?

Sans attendre de réponse, Methemvor se retira pour rejoindre la tente Louvelle. Comme Llyr en sortait, Methemvor s'enquit laconiquement du programme.

Personne ? Il m'a semblé voir une auberge en venant. Peut-être s'y est-il arrêté ...
Enorig d'Azayes
methemvor a écrit:
Permettez moi de vous souhaiter la bienvenue en Touraine, gente dame et messire l’impétueux. Je suis le baron Methemvor de Chedigny. Je ne saurai remplacer le duc du Lavardin pour vous accueillir chez lui, mais je gage qu’il saura très bientôt vous présente rla bienvenue en personne. En attendant, je ne saurai trop vous recommander de rester en dehors des affaires du maître de céans.

Dardant un œil acéré à l’écuyer, il poursuivit d’un ton calme, mais ferme.

Vous employez là de grands mots, messire. Mais qui êtes-vous pour prétendre connaître la vérité sur la noblesse et l’honneur plus qu’un héraut royal, duc de surcroît ? En tout cas, si l’épée vous démange, n’hésitez pas à venir me trouver, je saurai y remédier.

Avisant l’air aterré d’Enorig, le barton éclata de rire.

Allons Dame, nous avons tous été jeunes. Le sang neuf bouillonne dans l’attente des combats. Mais des les premiers échanges, cela passera.

Saluant ses interlocuteurs d’une inclinaison de la tête, Methemvor s’apprêta à prendre congé.

Je vous souhaite de passer un bon séjour et de profiter agréablement de ces festivités. Quant à vous, jeune homme, j’espère que nous aurons l’occasion de nous rencontrer dans un autre contexte. Touraine et Berry n’ont que trop échangé sur le mode hostile, ne croyez-vous pas qu’il est temps pour une fois de changer de registre ?

Sans attendre de réponse, Methemvor se retira pour rejoindre la tente Louvelle. Comme Llyr en sortait, Methemvor s'enquit laconiquement du programme.


Elle regarda le butor qui osait lui parler et sentit la colère la gagner en le voyant ne même pas attendre une réponse de sa part.
Tout le monde savait qu'on ne devait pas mettre en colère Enorig von Frayner d'Azayes, la duchesse de l'Aigle et de Chiny qui plus est Baronne de Dounoux et Ancerville ainsi que Dame de Baulay et Beynac. Tous savaient que celui qui la mettait en colère se rappelait bien des années plus tard de sa parole cassante et mordante à souhait. Même sa famille redoutait sa colère. Elle siffla d'un ton cinglant qui n'admettait aucune réplique:


Sachez Monsieur que mon fils a fait la guerre en Bretagne et en Champagne et que si son sang bouillone c'est que la raison pour laquelle vous désirez arrêter le Perturabo est l'attaque qu'il a fait sur mon frère Nakuneuil d'Azayes, Pair de France, qui est donc son oncle.

Restez a votre place et sachez que l'on s'adresse à moi non comme une donzelle mais avec le respect que l'on doit à une Duchesse du Domaine Royal. Et à mon fils comme à un futur Duc.
Sachez messire le butor que votre rang ne vous permet pas de vous adresser à moi sur ce ton condescendant et vous feriez mieux d'en changer de suite.


Elle se tourne vers Llyr et d'un ton ulcéré lui fit cette remarque avant de lui tourner le dos:

Cher ami vous devriez mieux choisir les personnels de votre entourage. Ils serait temps que vous leur appreniez la politesse et surtout à tenir leur rang. Il s'adresse ici à mon héritier qu'il s'en souvienne la prochaine fois qu'il m'adresse la parole ou à lui, s'il l'ose.

Puis plus doucement en parlant:

En attendant j'ai une gourmandise pour vous, de celle que vous ne pouvez refuser. Mon fils sera présent bien sur et nous aurons une discussion sur la façon que lui a eue de vous parler. Ma tente sera bientôt dressée à côté de celle de Perturabo. Bonne journée à vous.

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kalimalice
Revenu de faire son tour, d’avoir saluait de ci de la les quelques personnes connu, ecoutait les cris de la tente du BA, Azzdrine avait une voix qui portait, sourit de voir Rhân et ses conquêtes en conversation et bien d’autres encore .Après un bonne choppe et quelque cochonnailles, il fallait qu’elle s’occupe de sa marraine.
Elle arrive devant Anny, et voit le baron de bois commun devant elle, sur son cheval, décidément elle ne cessait de le voir ses derniers temps .Rhân proposer son aide à Anny
Un salue de la tête par politesse .Tends une main sur le museau de l’animal, elle baisse les yeux, comme qui dirait mal à l’aise, de ne pas l’avoir aidé à descendre de son cheval.


Excuse moi Anny de ne pas avoir était la, mais j’avais soif et envie de faire un tour dans ce campement .Maintenant je suis prête, prête à te servir .petit sourire moqueur à l'encontre de sa marraine

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Rhân
Un frétillement de sourcils coquet qui présage déjà la réponse et la voilà qui accepte son aide qu'il lui avait proposé spontanément sans aucune arrière pensée, mû simplement par le plaisir de revoir une vieille et chère amie. Un hochement de la tête amusée et souriante de la dame blanche et le voilà qui se rapproche encore plus d'elle pour la saisir.

Une main sur sa taille pour ne pas qu'elle tombe. Son bras s'enroule autour de son dos alors qu'elle pivote pour faire passer sa jambe du côté de sortir de cheval alors qu'il rattrape ses deux genoux par en dessous pour la porter délicatement dans ses bras quelques instants. Il fit quelques pas ainsi avec un grand sourire, l'auvergnate dans ses bras, avant de se baisser pour la poser délicatement par terre sans aucun choc puis de la saluer dans le mouvement d'une révérence appuyée.

Après tout il avait toujours eu une faiblesse pour les femmes et celle-ci était l'une de ses fidèles amies et c'était avec plaisir qui lui montrait tant de marques d'amitié et de plaisir de la revoir. Il enchaîna ensuite sur quelques questions:


Bien le bonjour ma chère amie. As-tu fais bon voyage jusqu'ici?
Es-tu prête à aller jouter? En forme pour remonter sur ton cheval avec une lourde armure?


Il se tenait toujours debout devant et près d'elle, l'air heureux et avec un grand sourire.

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Thomas de Clérel
Tente du Duc de Berry

Le Duc berrichon était resté dans sa tente à écrire à sa mie, puis à boire de la poire sancerroise, une fois la bouteille vide, le Duc éprouva la sensation qu’éprouve tous les buveurs, l’envie d’aller se soulager…

Le jeune Duc se dirigea vers la sortie de sa tente, une main sur ses braies, comme prêt à les baisser.
Lorsqu’il en sortit, il découvrit quelques agitateurs qui s’était attroupés devant son logis de fortune, norf de norf, mes admirateurs se regroupent déjà pour me saluer…se dit Thomas avant de remarquer que les personnes attroupées ne semblaient pas en bon terme…

Le Duc de Berry déplaça sa main qui tenait ses braies vers le pommeau de son épée, prêt à la sortir, lorsqu’il vit que son écuyer était dans le groupe.
Il s’approcha du groupe à pas lent pour voir qui osait venir ainsi troubler la tranquillité de son camp et surtout chercher querelle à son écuyer
Azdrine de Vissac
[Tente de Riom]

Azdrine commencer à être un peu moins embrumé qu'en début de journée. Mais ce n'était toujours pas ça ...
La dame De Gondole était venu le voir et il n'avait pas répondu aux avances de celles ci ... sa femme le satisfaisant grandement et nulle ne pouvait etre plus adorable qu'elle.

Le couple était rentré sous la tente et le baron s'était fait un brin de toilette grace à l'eau de la veille qui était resté dans le bac. La fraicheur de celle ci le réveilla complètement et il finissait de manger une tartine de miel lorsqu'on vint l'avertir du tirage au sort des premiers tour de la joute.

En entendant le nom de son adversaire, il était à présent confronté à un énorme état d'âme. Il finit sa tartine pensif puis regarda son épouse, quelques peu embombée, puis il posa la paume de chacune de ses mains sur la table.


Sib ... tu ne peux pas jouter dans cet état, c'est complètement inconscient, je me demande même comment Morkar a pu accepter ton inscription.

Je joute contre mon ami Llyr, qui plus est notre hôte pour ces quelques jours, je ne vais avoir aucune chance face à lui. Je te propose donc ceci :
Je laisse la victoire à Llyr en déclarant forfait, et je me propose pour être le chevalier qui défendra tes couleurs pour ces joutes du Lavardin. Par humilité, par aide aux plus démunis, et par don de soi, par Amour, comme il a été dit lors de notre mariage, je me dois de te protéger.

Accepte tu ?


Il savait qu'il était à présent confronté à une réponse qui orienterait tout ce qu'il puisse arriver par la suite. Le temps ui semblait une éternité, mais il maintenait son regard droit dans celui de Sibella.
kalimalice
Décidément la baronnie l’avait surement élevé si haut qu’il ne voyait même plus les petites gens .
De toute évidence ses regards et attentions se porter vers les dames de la noblesse .
Par Aristote que les hommes avaient courte mémoire .Qu’il en soit au point que chaque fois qu’il la rencontre, il l’ignore comme si jamais rien ne s’était passé .Décidément elle le voyait tel qu’il était un goujat et fut heureuse finalement que leur relation ne dure pas plus qu’une nuit de folie .

Mais la c’était le bouquet même pas le moindre bonjour Ce qui était dommage pour lui s’est qu’il n’avait pas prit le temps de la connaitre, et que chaque fois à leurs diverses rencontres il l’avait ignoré et cette fois était une fois de trop.

Elle le laissa s’affairer à descendre la grand amazone de son cheval .Le fusilla du regard et attendit la réponse d’Anny

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Martymcfly
[Campement du BA. Joutera ? Joutera pas ?]

Je te rassure je ne jouterai pas... Je suis devenue raisonnable... Enfin pas trop quand même.

Son ventre semblait enfler un peu plus quand elle parlait. Sans doute en coup de pied du futur héritier. C’est que ca prend de la place une Kory… Elle fit un clin d’oeil à son époux de Baron.

J’espère qu’un jour nous pourrons jouter à nouveau l’un contre l’autre. J’ai une revanche à prendre.

Sourire courtois avant qu’elle n’interpelle un nouvel arrivant… un gueux ! Pouaaaaah !!

Modso est arrivé, je l'ai pris comme fidèle escuyer. Il sera assurément m'aider à m'habiller.
A moins que tu ne voulais faire cette tâche.


Sa chef avait le don de le faire sourire. Ce n’était sûrement pas l’aider à s’habiller qu’il souhaiterait… plutôt l’inverse… Et Marty de lui répondre.

Je te laisse entre les mains habiles de ton écuyer ma chère. Ce n’est point pour moi tâche que celle là.

Le Duc sourit avec politesse, un brin de malice au coin des lèvres. Saluant son vieil ami.

Bonjour Modso, j’espère que tu as de la patience. Il va t’en falloir si tu veux assembler l’armure de la Dame de Pléaux.

Inclinaison de tête avant de tourner les talons.

Je vais vous laisser, il me faut retourner à ma tente. J’aimerai également faire un tour dans le campement, il doit y avoir quelques vieilles connaissances dans les parages. Et peut-être notre hôte.

Il salua le Seigneur de Pérignat sur Allier et son épouse, ainsi que leurs suzerains, et son ami Modso. Il s’approcha de Naluria et lui donna un baiser, à la limite de ses lèvres.

A tout à l’heure, peut-être sur la lice, chère Naluria.

Yeux de velours. Ca lui rappelait lorsqu’il avait anobli la Dame de Pléaux… Quel baiser de paix en pleine salle du trône…

Le Duc de Billy regagna alors sa tente. Il avait des orties à sortir de sa malle.

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Lo messatgièr
[Occupé à jouer dans les malles non déballées - tente Louvelle]

Deux trois, un deux et deux cinq.

Les osselets fracassés sur le sol ont joué leur résultat et le destin confie les chiffres au Périgordin. Probablement la vingt-troisième fois qu'il se concentre, souffle dans la poigne fermée gobant les dés, les jette à terre, calcule le total. Et s'exclame ou rumine. Les tentures aux couleurs de Beaumont et Confolens sont vides. Il a écopé de l'ingrate tâche d'y loger le temps des joutes.
    "Tu lances un dé. Deux, trois, cinq, sept et tu l'emportes. Un, quatre ou six et tu perds. Le six est relançable. Tu obtiens le sept avec un six puis un plus quatre. Si tu gagnes tu lances cinq dés : à un carré de quatre tu peux sortir. Un triple deux et tu restes. Tout autre résultat, tu relances."
Quel incroyable jeu merdique dicté par ce Comte illogique, et pris au piège ici ! De temps à autres il avait droit à une sortie. Mais l'ambiance ne lui convenait pas, trop de hauts gens. Ces personnes qui ont le don de vous exaspérer pour leurs manières, leurs désinvoltures et leurs peu de respect du sens 'mesnie'. Il y préfère les catins des maisons clauses. Les faiseuses d'hommes sont moins chiantes que les dames et damoiselles 'finesse'. Comme il les appelait.

Puis un son de gorge accompagné de mouvements sur les voiles. Son cœur s'excite et lui se jette au sol. Un planqué sous les bric-à-brac du suzerain bordélique. Mais ça s'enflamme dehors. Personne ne vient retourner les malles, objets et "meubles". Là où il y comprend plus rien, c'est à propos d'une "arrestation" ... Ça concerne le Comte. Beaucoup ne savent pas regarder, ne remarque pas la présence d'un garçonnet à leurs côtés. Enfin maintenant, il est adolescent. Une fragilité extérieure envolée, tout comme le pucelage. Ça part vite ces bêtes là. Il se contente de placer quelques mots entre deux tirades verbales, joute à laquelle s'adonnent les nobles réunis.


Le Comte de Beaumont ne loge pas en ses quartiers. Ce depuis son arrivée en Lavardin.

Pour sur, il accompagne les paroles d'une basse inclination. Confus : dire votre grâce, vos grâces, vos grandeurs, monseigneurs, alors il est perdu. Ne lui reste qu'à s'éclipser et allonger la marche jusqu'où poireautait le recherché. Faire son rapport. Rah quelle galère et jamais tranquille ... !
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