Alchimiste d'Esterraza
[Sous la tente de Jariane]
Les deux dames discutaient de bon entrain à l'entrée de Alchimiste qui se présenta aussitôt qu'elle eut l'occasion. Ce fut le duchesse de l'aigle et de Chiny qui prit la parole en premier, accueillant généreusement la jeune visiteuse. L'ai aimable, elle déclina l'invitation, mais accepta toutefois un verre de boisson, car malgré le temps frais qui promettait un hiver rude, elle avait le gosier sec, après une petite gorgée, elle répond à son interlocutrice avec la même douce voix,
Je me porte très bien dame Enorig, et j'avoue ne pas m'être attendue à vous revoir dans de pareilles circonstances , encore moins sous cette tente... à vrai dire, je ne m'attendais pas à voir autant de monde, comptant des personnes aussi prestigieuses, soit! Je suis bien ravie d'être l'écuyère du chevalier de Pardeillec, et de pouvoir l'accompagner jusqu'ici..., d'ailleurs, elle ne l'avait pas vu depuis leur arrivée, s'étant engouffrée dès tombée de la nuit sous son abri, esquintée.
Elle se rappelait de l'escorte, la duchesse ayant mis fin à la mission une fois à Montbrisson, afin de s'y installer, elle lui aurait bien demandé ce qu'elle devenait en cette ville, mais jugeant cette question indiscrète, elle conclut de passer au motif de sa visite,
J'étais venue dans le dessein de rencontrer la maitresse du domaine ou furent célébrer les noces de mon tendre frère, un peu prise à recevoir les convives pour sa part, et manquant le début de la cérémonie pour prendre congé avant la fin en ce qui me concerne, je n'ai eu cette chance à ce moment là...Les clameurs se firent entendre au dehors, la duchesse se leva alors, l'humeur soudainement atrabilaire, la voix à peine perceptible au début devenait de plus en plus forte, parlant de fils et de noblesse, de guerre et de respect, Alchimiste eu du mal à comprendre la situation, et n'en chercha pas à savoir plus. Elle constata alors que le moment de sa visite n'était point convenable...
Les deux dames discutaient de bon entrain à l'entrée de Alchimiste qui se présenta aussitôt qu'elle eut l'occasion. Ce fut le duchesse de l'aigle et de Chiny qui prit la parole en premier, accueillant généreusement la jeune visiteuse. L'ai aimable, elle déclina l'invitation, mais accepta toutefois un verre de boisson, car malgré le temps frais qui promettait un hiver rude, elle avait le gosier sec, après une petite gorgée, elle répond à son interlocutrice avec la même douce voix,
Je me porte très bien dame Enorig, et j'avoue ne pas m'être attendue à vous revoir dans de pareilles circonstances , encore moins sous cette tente... à vrai dire, je ne m'attendais pas à voir autant de monde, comptant des personnes aussi prestigieuses, soit! Je suis bien ravie d'être l'écuyère du chevalier de Pardeillec, et de pouvoir l'accompagner jusqu'ici..., d'ailleurs, elle ne l'avait pas vu depuis leur arrivée, s'étant engouffrée dès tombée de la nuit sous son abri, esquintée.
Elle se rappelait de l'escorte, la duchesse ayant mis fin à la mission une fois à Montbrisson, afin de s'y installer, elle lui aurait bien demandé ce qu'elle devenait en cette ville, mais jugeant cette question indiscrète, elle conclut de passer au motif de sa visite,
J'étais venue dans le dessein de rencontrer la maitresse du domaine ou furent célébrer les noces de mon tendre frère, un peu prise à recevoir les convives pour sa part, et manquant le début de la cérémonie pour prendre congé avant la fin en ce qui me concerne, je n'ai eu cette chance à ce moment là...Les clameurs se firent entendre au dehors, la duchesse se leva alors, l'humeur soudainement atrabilaire, la voix à peine perceptible au début devenait de plus en plus forte, parlant de fils et de noblesse, de guerre et de respect, Alchimiste eu du mal à comprendre la situation, et n'en chercha pas à savoir plus. Elle constata alors que le moment de sa visite n'était point convenable...