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Au Campement de la Noblesse

Alchimiste d'Esterraza
[Sous la tente de Jariane]

Les deux dames discutaient de bon entrain à l'entrée de Alchimiste qui se présenta aussitôt qu'elle eut l'occasion. Ce fut le duchesse de l'aigle et de Chiny qui prit la parole en premier, accueillant généreusement la jeune visiteuse. L'ai aimable, elle déclina l'invitation, mais accepta toutefois un verre de boisson, car malgré le temps frais qui promettait un hiver rude, elle avait le gosier sec, après une petite gorgée, elle répond à son interlocutrice avec la même douce voix,

Je me porte très bien dame Enorig, et j'avoue ne pas m'être attendue à vous revoir dans de pareilles circonstances , encore moins sous cette tente... à vrai dire, je ne m'attendais pas à voir autant de monde, comptant des personnes aussi prestigieuses, soit! Je suis bien ravie d'être l'écuyère du chevalier de Pardeillec, et de pouvoir l'accompagner jusqu'ici..., d'ailleurs, elle ne l'avait pas vu depuis leur arrivée, s'étant engouffrée dès tombée de la nuit sous son abri, esquintée.

Elle se rappelait de l'escorte, la duchesse ayant mis fin à la mission une fois à Montbrisson, afin de s'y installer, elle lui aurait bien demandé ce qu'elle devenait en cette ville, mais jugeant cette question indiscrète, elle conclut de passer au motif de sa visite,

J'étais venue dans le dessein de rencontrer la maitresse du domaine ou furent célébrer les noces de mon tendre frère, un peu prise à recevoir les convives pour sa part, et manquant le début de la cérémonie pour prendre congé avant la fin en ce qui me concerne, je n'ai eu cette chance à ce moment là...Les clameurs se firent entendre au dehors, la duchesse se leva alors, l'humeur soudainement atrabilaire, la voix à peine perceptible au début devenait de plus en plus forte, parlant de fils et de noblesse, de guerre et de respect, Alchimiste eu du mal à comprendre la situation, et n'en chercha pas à savoir plus. Elle constata alors que le moment de sa visite n'était point convenable...
Sibella de Vissac
[Tente de Riom]

Sibella riait encore d'avoir vu son époux ainsi, c'était la première fois qu'elle le voyait ivre et finalement elle en était contente, preuve qu'il se détendait de tous ses tracas dûs à ses charges, elle le sentait heureux, mais toujours soucieux néanmoins.

Il fit un brin de toilette sommaire et déjeuna d'une grande tartine avec du miel. Durant ce temps, la jeune femme sortait des vêtements des malles et notamment ceux qu'elle porterait pour jouter, qu'elle avait fait confectionner par un tisserand de Montpensier et qui seraient faciles à porter sous son armure pour ne pas trop la gêner.

Ensuite, elle se coiffa et alla s'asseoir dans un fauteuil pendant que son époux terminait de se sustenter et après ils iraient peut être rencontrer encore quelques amis.

A peine sa tartine terminée, Azdrine se leva, posa les mains sur la table. Sib le regarda en levant les deux sourcils se demandant bien ce qu'il allait dire et s'attendait à tout après le spectacle qu'il avait donné.Elle commença à sourire


Sib ... tu ne peux pas jouter dans cet état, c'est complètement inconscient, je me demande même comment Morkar a pu accepter ton inscription.

Elle le regarda, s'interrogea sur sa subite réaction alors qu'il savait qu'elle s'était inscrite, lui en ayant fait part et pourquoi aborder ce sujet maintenant, il fallait le faire avant de partir. Elle lui répondit sur un ton sec

Morkar n'est absolument pas responsable, d'abord il ne pouvait deviner mon état, je n'allais pas prendre un tambour et l'annoncer à tout le Royaume.

Je ne suis pas la première femme à jouter même enceinte et contre Beths, sans vouloir être médisante j'ai beaucoup d'estime pour elle, je ne craint pas grand chose, ce sont ses premières joutes.



Je laisse la victoire à Llyr en déclarant forfait, et je me propose pour être le chevalier qui défendra tes couleurs pour ces joutes du Lavardin. Par humilité, par aide aux plus démunis, et par don de soi, par Amour, comme il a été dit lors de notre mariage, je me dois de te protéger.

Accepte tu ?


Elle continua de l'écouter attentivement, faisant non de la tête, le regardant fixement, à moitié en colère et l'autre moitié touchée par ses propos, elle ne savait que dire, la contrariété l'envahissait, sa gorge se nouait. Azdrine ne la quittait pas des yeux, qu'attendait-il une réaction de colère, de déception, que faire, quoi répondre.
Elle savait malgré tout qu'il avait raison, qu'il n'était pas judicieux de jouter dans cet état, une chute, une frappe de la lance en dehors de l'écu et cela pouvait être fatal au bébé.


Elle se leva, sans mot dire, envahit par des frissons qui lui parcouraient le corps dus à la nervosité mêlée à la contrariété de cette conversation, il s'était engagé à la protéger, il en avait fait le serment lors de leur mariage, tout ce qu'il disait était juste et réfléchit pourtant.

Ses yeux toujours dans les siens, elle pris les deux mains de son époux et les serra dans les siennes, les larmes montaient progressivement au bords de ses yeux, sa gorge était complètement serrée, elle avala à plusieurs reprises sa salive pour essayer de parler.

Elle serra très fort ses mains, sans le quitter du regard,


Joute pour nous mon Chevalier, porte haut nos couleurs, tu as raison, notre enfant est plus important que des joutes, c'est le fruit de notre amour et je sais combien tu m'aimes et je ne veux rien gâcher et jamais je ne te rendrais malheureux, je te l'avais promis.

Cette fois-ci les larmes roulèrent sur ses joues, elle déposa un baiser sur les mains de son époux et les lui posa sur son ventre, en souriant.

_________________
Azdrine de Vissac
Tente de riom

Azdrine écouta les propos de son épouse le sourcil arqué comme une femme de joie en pleine figure. Puis elle parla des compétences de Beths pour les joutes. Sur ce coup elle marquait un point mais l'intéret n'etait pas dans le danger que Beths représentait mais le danger qu'une chute pouvait provoquer.

La jeune femme se leva et sa chevelure dorée glissa de son épaule, laissant entrevoir un pan de sa clavicule. Bien qu'il ne la quittait pas un instant du regard, il avait soudainement envie de lui déposer un baiser sur cette partie du corps.

Elle était à présent face à lui. Elle lui prit les mains et il sentit à quel point celles ci étaient froides. Etait elle malade sans qu'elle ne lui ai dit ?

Elle semblait en plus avoir les yeux vitreux ... De la fièvre peut être ? Mon Dieu, il fallait vite rentre à Montpensier... et voir a tout pris un médecin.

Une pression des mains s'exerca et elle lui dit :


Joute pour nous mon Chevalier, porte haut nos couleurs, tu as raison, notre enfant est plus important que des joutes, c'est le fruit de notre amour et je sais combien tu m'aimes et je ne veux rien gâcher et jamais je ne te rendrais malheureux, je te l'avais promis.

Elle embrassa ses mains et posa les mains du Baron sur son ventre.

Le regard emprunt de joie et d'amour, le Baron lui adressa un magnifique sourire et afin de la rassurer il lui dit :

Oui, ce sont des joutes exceptionnelles mais même si je sais que ce choix pour toi est difficile à admettre, pour moi il est inconcevable de te laisser jouter. Je préfere cette sage décision qui m'evite ainsi de recourir à des procédés que je ne souhaite même pas te faire savoir. Je t'aime et je jouterais en l'honneur de notre famille donc. Et ..

Il s'arrêta subitement et sursauta legérement. Interloqué, il dit tout penaut à sa femme :

Il a bougé !
Sibella de Vissac
[Tente de Riom]

Elle voyait qu'il était rassuré et heureux de sa décision, mais c'était beaucoup plus sage en effet, en espérant qu'elle ne tomberait pas des tribunes. Néanmoins, elle aimerait connaitre les procédés qu'il n'osait pas lui faire savoir, mais à quoi bon, le principal était le bonheur et l'entente du couple.

Elle arbora son grand sourire avec son regard espiègle, comme elle seule savait faire en voyant son époux les mains sur son ventre. Au même moment, il sursauta et elle même sentit que le bébé bougeait


Oui il a bougé, il a reconnu les mains de son père et il te remercie d'avoir pris soin de sa maman et il compte sur son père pour remporter la victoire.


Elle enlaça son époux tendrement et déposa ses lèvres sur les siennes tendrement

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jaelle000
Quartier de l'Ordre Royal Hospitalier


Le voyage avait été long, mais ils étaient enfin arrivés. Aidée de son époux, la baronne de Candé-en-la-Mée descendit de cheval et secoua ses vêtements recouverts de poussière. Regardant autour d'elle, Jaëlle porta son regarda un instant, pensive, l'agitation qui régnait ici. Sniper souhaitant rencontrer ses frères Hospitaliers, Jaëlle elle le laissa à ses occupations, souhaitant elle-même superviser l'installation de la tente.

Allez, va! Je vais donner quelques instructions aux gardes afin qu'ils commencent à préparer nos armures. Je veux les voir briller de tous leurs feux! J'vais aussi aller voir la liste des duels pour le premier tour, en espérant qu'on n'ait pas à s'entretuer dès le départ. Je ne voudrais te blesser ajouta-t-elle avec un clin d'oeil.
Magdeleine
[Campement des Dames Blanches – Au rendez-vous des goujats]

L’homme qui les avait interrogées s’était éloigné sans un mot, sans un regard, et Mag regarda ses sœurs, interloquée.
Etait-elle à ce point transparente, avait-elle parlé si bas, qu’il ne daigne même pas leur accorder un merci, un au revoir ? D’accord, elle n’avait pu le renseigner, mais il n’en restait pas moins que la bienséance, un minimum d’éducation auraient voulu qu’il prenne acte de sa réponse, même les plus rustres avaient au moins cette correction !
Elle prit ses sœurs à témoin de l’incorrection de l’homme.


Non mais vous avez vu ? Il y en a qui n’ont vraiment aucun sens de la politesse, vraiment. Ce n’est pas parce que nous n’avons pu l’informer qu’il lui faut nous ignorer ainsi !

Elle martela machinalement le sol terreux, heurtant de sa botte un caillou qui alla rouler quelques pas plus loin. Son regard suivit l’homme qui se dirigeait vers Chloé *et bien ma sœur, j’espère qu’il sera plus aimable avec toi qu’avec moi* avant de revenir vers Azélie qui annonçait l’ordre des joutes, et les adversaires que devraient affronter les Dames Blanches qui jouteraient.

Petit sourire à l’énoncé d’un nom. Sa Grâce LadyMarianna. Elle ne l’avait pas revue depuis que Pisan et elle avaient effectué leur convalescence chez la Duchesse, à Châteauneuf-sur-Loire, après les graves blessures que toutes deux avaient reçues à Orléans. Peut-être aurait-elle l’occasion d’aller la saluer et lui donner des nouvelles de sa nièce. En tout cas, Zya aurait fort à faire, LadyMarianna était une adversaire de taille…

Attention attirée par une scène qui se déroule à quelques pas d’elle. Un homme aidait la Grande Amazone à descendre de son cheval. Froncement de sourcils, elle l’avait déjà vu, mais impossible de remettre un nom sur le visage. Hm… elle plongea dans sa mémoire. Ah si, Rhân de Croucy, Crocy, quelque chose comme ça.
En tout cas, son geste n’avait pas l’heur de plaire à Kali, visiblement. Petite moue à nouveau. Fallait-il donc qu’elles aient atteint un rang minimum pour que les hommes daignent ne pas ignorer leur présence ? Quoi qu’il en soit, après elle et le rustre de tout à l’heure, c’était maintenant sa marraine qui faisait les frais de la transparence. Petit reniflement d’irritation, décidément c’était la journée…

Pensées détournées par la voix de Chloé qui en avait fini avec le discourtois et dont l’écuyère semblait avoir disparu.


Y'a t'il une aspirante pour aller préparer ma monture ? Et une apprentie pour m'aider à m'équiper ? Mon écuyère semble s'être envolée !

Je peux t’aider, moi, Chloé, si Mysouris ne revient pas. Enfin, à tes risques et périls !
Wonderanny
Maintenant je suis prête, prête à te servir

Acquiescement de la tête en direction de Kali qui revient mais un soupçon trop tard car…

4, 3, 2, 1… Décollage

Taille saisie, ceinture attachée, bien calée dans les bras du Baron, les angoisses s’évaporent.
Un peu de douceur dans ce monde de brutes ? Amusée la Dame se laisse faire. Pas tous les jours ce type de descente.
Quoi que ? Il la pause quand là ?! Evidement l’homme s’amuse et la voilà bien ennuyée. Elle dévisage son ami du coin de l’œil se demandant à quoi il joue tandis qu’il continue à avancer.
Trente secondes avant le début de l’énervement. C’est que la Dame aimerait bien toucher terre à présent ; bien joli de prendre l’air mais elle a des choses urgentes à faire.
A vingt c’est Kali qui entre dans la danse avec le noir regard qu’elle croise en regardant derrière son épaule. Pour sa part, les joues arborent une certaine pâleur. Turbulences annoncées !
Posera ? Posera pas ?
A moins dix, amorçage d’atterrissage. Ouf !
Tout en douceur elle retrouve alors l’appui de ses deux jambes tandis que Rhân lui offre une aimable révérence.


Bien le bonjour ma chère amie. As-tu fais bon voyage jusqu'ici?
Es-tu prête à aller jouter? En forme pour remonter sur ton cheval avec une lourde armure?


Petite moue suivi d’une inclinaison de la tête.
Pardonnera ? Pardonnera pas ?
Le temps d’ôter ses gants, le temps de faire un peu monter la pression. A elle de s’amuser un peu après tout. Court silence ou le visage se glace, avant de se détendre à nouveau et d’afficher un sourire malicieux. Regard vers sa filleule et écuyère, qui tenant Fouc le Camp par la bride n’a pas bougé d’un pouce. Inclinaison de la tête, invitation à les rejoindre.


Merci, oui… Nous avons fait bon voyage.
Rhân, je ne te présente pas Kali ?


Épousseter sa tenue à grands coups de gants négligemment. Le sourire se fait plus appuyé, observatrice silencieuse un court instant, tandis que Kali se rapproche.

Remonter sur mon cheval ? Évidemment ! Mais face à Ali… Je t’avoue que cela ne me plait guère ! Et toi ? Sais tu contre qui tu jouteras ?
LLyr di Maggio
LLyr mit la main sur l'épaule du Baron de Chédigny et lui fit un signe de dénégation. L'Outrage à l'Hospitalité c'est lui qui l'avait subit, même s'il était reconnaissant d'avoir agit rapidement pour essayer de calmer les choses.

Avec son sérieux habituel, sa voix de stentor, son calme, il s'adressa à dame Enorig.


Ma dame, Amie de longue date, veuillez pardonner le baron de Chédigny ici présent, il n'est guère habitué à la présence d'autant de noblesse et n'a agit que dans la volonté d'appaisement et de respect des Lois de l'hospitalité. Il ne voulait en aucun cas faire outrage à vous ou votre famille j'en suis sur, mais seulement faire barrage à ce qui lui semblait être un outrage ce dont je le suis reconnaissant.

J'entends bien que messire Chlodwig, je le sais mieux que quiconque puisque j'ai signé le contreseing de sa vassalité envers vous et en est fait le blasonnement, est votre héritier, néanmoins vous me connaissez, autant ma rigueur que mon honneteté et c'est exactement pour les mêmes raisons que j'interviens céans. Vous êtes ici mes invités, je ne voudrais point que vous commettiez céans un acte déshonnorant et même si je comprends le pourquoi, j'y compatis même, je ne puis voir cela ce produire en mon domaine.

Les règles de l'Hospitalité me font garantir la sécurité des mes hôtes avant tout, de tous, et si je viens à placer messire Perturabo aux arrets de circonstance et non de rigueur (ce qui signifierait le mettre aux cachots en dépit de son rang) c'est en cela pour que je le recherche pour qu'il soit remis à la justice royale comme il a été demandé par le GMF et qu'il n'encourre pas une vengence, fusse t elle légitime, mais deshonorante en mon domaine. Ce que vous en ferez après n'est pas mon affaire mais tant qu'il restera au Lavardin, en l'attente de sa mise à disposition de la Justice Royale, il sera sous ma protection, comme chacun d'entre vous.

Messire Chlodwig, Mon serment héraldique envers la couronne de France me place en facheuse position. Devais je vous laisser regler des comptes avec un homme désarmé en mon domaine et en fermant les yeux, ou veuillez aux respect des règles de l'hospitalité qui visent aux respect et à la sauvegarde de mes convives ?

Je dirais qu'en la circonstance j'ai fait au mieux, pour tous. Vous dites qu'il est venu en homme libre ? c'est vrai, mais une des regles de l'hospitalité veux qu'un invité ne puisse partir sans le consentement de son hote... Aurais je été assez trompeur pour le laisser croire à une fausse liberté alors que je sais que ces jours sont en danger ? C'est cela le Courage messire, et non pourfendre un aristolien de son épée. Le Courage c'est de devoir prendre une décision qui peut couter une amitié, et celle de votre mère m'est précieuse, tout autant que celle d'autre Azayes. Le Courage c'est de prendre une décision qui empeche un ami de se déshonoré et de laisser place à sa colère et à sa haine. Croyez le ou non, je ne le fais aps de gaité de coeur, mais je le fais parce que je n'ai pas le choix pour le bien de tous.

Et pour répondre à votre question, ou etais je pendant que vous guerroyez en Bretagne ? je vous demanderai laquelle deja pour commencer... Et si vous parler de la dernière (quoi d'autre au vu de votre age) aupres de sa Majesté le Roy de France, comme chaque jour que Dieu fait ou presque et ceci depuis des années, peu de gens dans ce royaume peuvent en dire autant. Quand à savoir ce qui releve du courage ou de la témérité, la guerre n'est nullement le lieu propice pour cela. La Guerre n'est que la réponse d'un sourd à un aveugle, l'ultime demarche quand deux personnes ne veulent ni s'écouter, ni se comprendre...Je ne le sais que trop bien, j'ai combattu avec ou contre plus de la moitié des gens présents ici. N'essayez pas de m'apprendre ce qu'est le courage ou la bravoure, encore moins ce que doit être la noblesse, nous pourrions en discourir pendant des jours et je ne pense pas que cela soit le lieu propice.

Pour le reste, nous en reparlerons calmement comme la suggérer dame votre mère autour de la gourmandise tant promise. J'espere de tout coeur que vous comprendrez alors ce que je fais céans et qu'éventuellement excuse vous me ferez pour l'outrage fait ici ; elles seraient les bienvenues et acceptés avec une main tendue. Je comprends votre colere et votre haine, mais je ne puis vous laisser commettre un tel acte ici même.

Effectivement messire Perturabo n'est point dans sa tente, la moindre des choses étant de s'annoncer avant d'entrer qq part, ainsi que les motifs de l'intrusion.

Merci jeune homme dit il au jeune garçon dans la tente déballant affaire et autres...

Baron vous me dites qu'il serait partie à la Taverne ?

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Avatar(c)(t)(r) 2006-Fay'Raya
Aelyce
-Pas de dame d'Orval, c'est la Vicomtesse d'Arnac-Pompadour qui se trouve là, avec la demoiselle de St Christophe, la dame de Montperthuis et le Baron de Crocy. Moi c'est Apolonie...

Mouvement de recul à peine perceptible en réaction au ton hautain de la dite dame d'Orval.
Sa Buse pesait sur son avant bras et malgré le fourreau en cuir épais qui le gainait, elle commençait à sentir les serres de son oiselle engourdir son perchoir de fortune.
Se reposer, tremper ses pieds endoloris dans de l'eau, nourrir son oiseau, et pourquoi pas se nourrir aussi? Elle en rêvait debout, les yeux ouverts, maintenant plus que jamais..


Retour à la réalité en jaugeant discrètement la jeune femme de noir vêtue dont les yeux bardés d'éclairs et l'attitude intimidante, trahissaient visiblement son mécontentement.
Ainsi donc elle avait risqué sa vie en se faufilant à l'intérieur du camp des nobles, elle la roturière, pour une dame qui manifestement n'avait aucune envie de la voir, ni d'être dérangée..sourit intérieurement.

Puis d'un ton qui aurait trahi du désarroi et de la lassitude mêlés, Aelyce s'apprêtait à lui répondre..quand soudain une seconde question tonna...


-Et c'est moi la dame d'Orval. Mais je ne te connais pas. Qui me cherche ?


Elle n'avait jamais fréquenté de nobles, et se demandait parfois comment agir et réagir face à eux, quelle attitude observer..avaient ils les mêmes us qu'elle? Sa mère lui répétait qu'ils avaient une éducation des plus élevées et qu'il fallait les considérer comme une référence en matière de politesse et de courtoisie.
Aussi, quand la dame d'Orval la tutoya, afin de ne point commettre de bévue et s'attirer une attitude aussi belliqueuse, elle décida de la tutoyer également.

-Je..ne crois pas que tu me connaisses dame
...fît une moue en se disant que le "tu" ne lui convenait guère, qu'il sonnait faux... revient immédiatement au 'vous'... mais je vous assure que ce n'est pas moi qui vous cherche...soupire de lassitude..puis le regard brille à nouveau en regardant le paquet, aussîtot que le couriser avait tourné le dos, elle avait cédé et l'avait déballé précautionneusement et avait découvert avec émerveillement son contenu,une robe somptueuse bleue nuit brodée de fils en or..--A vrai dire, un coursier m'a livré le paquet, accompagné d'un mot à mon intention me demandant de vous le transmettre en main propre si possible, et puis...une recommandation..

Suspendit sa phrase, plongeant son regard dans la bleuité du regard de son interlocutrice..le temps que la colère cède sa place à de la curiosité..gagné..elle pouvait enchaîner à présent d'une voix calme et sereine.

-Celle de ne point vous livrer l'identité de l'expéditeur. Joignant le geste à la parole elle le lui tendit inclinant légèrement la tête en direction de l'assemblée

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MarieAlice
[Drelin drelin, ça chauffe]

Il était reparti comme il était venu et Marie n'avait pas semblé y prêter plus d'attention que cela.

Elle observait toujours Apolonie faire son numéro de noble dame, tentant de rester sérieuse et attendait sagement la réponse de la donzelle face à elles tout en ayant repris entre ses doigts la fibule.

Des éclats de voix la sortirent de ses pensées. Trop loin pour entendre distinctement les mots mais à nouveau cette sensation parfois ressentie mais jamais aussi vivement, un danger. Qui, pourquoi ou comment, aucune idée mais un danger.


Apolonie, excuse-moi, je reviens. Je dois aller voir ce qu'il se passe. Mais ne te crois pas délivrer de moi pour autant.


Légère pression de la main sur l'avant bras de la jeune auvergnate, pas le temps d'entendre la réponse de l'envoyée, juste d'entendre sa voix puis demi-tour vers ce qui ressemblait fort au mieux à une vive discussion.

Un attroupement, des couleurs connus, les d'Azayes face à... Oh les armes du Louvelle, celui qui avait blessé le Grand Chancelier. Et au milieu un jeune homme, visiblement fort énervé, une femme , dont le visage lui disait quelque chose, des hommes d'armes et le maitre des lieux.

Enorig. Voilà. C'était cela. Elle l'avait rencontrée en BA lors de son passage et donc le jeune homme devait être le fils dont elles avaient parlé alors.

Marie avait l'impression d'avoir un carillon dans la tête dont la sonorité augmentait au fur et à mesure qu'elle avançait jusqu'à entendre les mots.

Elle s'arrêta à quelques pas de Llyr, Enorig et Chlodwig, son regard balayant la scène, enregistrant sans même qu'elle s'en rende compte les places de chaque membre, les armes, portant la main sur le pommeau de son épée.


Bonjour messire Llyr, dame Enorig, messire Chlodwig je présume si je me souviens du prénom que m'avait donné votre mère.

Elle salua de la tête, souriante et paraissant détendue et fit deux pas de plus comme pour se mettre entre les protagonistes.

Marie Alice Alterac, Premier Secrétaire d'Etat de Sa Majesté. Puis-je me permettre de demander ce qu'il se passe? Auriez-vous mis la main sur l'homme qui a osé porter la main sur un serviteur de notre Roy?

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Trokinas
Trokinas sortait de la tente du la Baronne de Saint Angel, l'air ravi. Le calme y était revenu, et pour ainsi dire il avait obtenu satisfation suite à sa demande de pret de matériel et d'entrainement. Donc il n'avait plus aucun souci à se faire.... quoique rien ne remplacait l'expérience, et là nul doute que cela allait lui faire défaut face à son adversaire du premier tour. Mais bon, il faut bien commencer un jour.

Le Baron sortit donc et se rendit compte qu'un attroupement s'était formé un peu plus loin, avec le Premier Secrétaire d'Etat au milieu. Il se dirigea donc vers cet attroupement afin de saluer son supérieur.
jariane
Elle parlait quand une jeune femme se présenta

Citation:
Veuillez excusez cette visite fortuite...En espérant ne pas troubler une discussion privée...Néanmoins je me suis enquéris de l'emplacement de votre campement dès que j'ai pris connaissance de votre présence icilieu, et l'on m'a dit d'entrer.


Quittant son fauteuil, elle la salua gentillement se souvenant de la jeune femme aperçue en ces terres lors du mariage su gouverneur d'Orleans.

Vous avez bien fait de me rendre cette visite, comment vous portez vous depuis ? prenez place ou plutôt nous observions l'attroupement chez notre voisin le louvelle.

Je crains que ce monsieur ne joutera point.

A peine prononça t elle ses mots qu'elle vit chlodwing apostropher le maitre des lieux, bon sang quel genre freluquet oublier la bienséance pour parler d'honneur, tel un jeune coq il se redressait du haut de sa jeunesse.
Alors qu'elle allait prendre parole, enorig excusa son rejeton, Jariane pensa à sa petite fille sans doute a l'auberge et remercia aristote qu'elle ne fut point avec elle, la connaissant elle n'aurait manqué de rejoindre le jeune chlo dans sa tirade.


Dame Alchimiste cette animation n'était point prévue, beaucoup de nobles ici présent se réjouiront de l'arrestation du Louvelle.

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Naluria
[Sous-entendu, ou pas]

Kory avait rassuré Marty et Naluria et la décision était bien la meilleure.

Il fallu que Sun apparue pour que Naluria prenne conscience que Ptit était là, discret, limite caché.

Naluria leur dépose un baiser sur la joue tout en écoutant Marty répondre à sa question et Kory donner des consignes à Modso qu'elle avait présentée. Elle sourit.

Elle aurait voulu ifirmer les dires de son poursuivant, nul armure pour elle, juste un gambison et une cotte de maille. Son statut de Dame ne lui apportait pas les moyens d'acheter plus pour le moment. Elle ne pu donc rétorquer quelconque réponse car les lèvres de Marty se déposait déjà à la commissure de ses lèvres. Naluria sourit malicieusement.


A tout à l'heure mon cher Marty.

Naluria se retourna brusquement vers Modso.

Nous partons aussi, je dois aller voir le panneau d'affichage avant de me préparer.

Naluria salua ses amis puis prit la main de Modso et l'entraine vers le tableau d'affichage.
Alchimiste d'Esterraza
Citation:
Vous avez bien fait de me rendre cette visite, comment vous portez vous depuis ? prenez place ou plutôt nous observions l'attroupement chez notre voisin le louvelle.

Je crains que ce monsieur ne joutera point.


Acceptant l'invitation de son hôte, elle continue à observer la scène, un peu ambiguë pour elle, qui ne connaissait autre que messire Chlodwing, rencontre toute inopinée lors de l'escorte...Le Louvelle disait Jariane,

Le maitre du domaine du Lavardin intervint afin de régler le différent, situation bien délicate qui se présentait devant lui. Visiblement, courage et bravoure et cœur vaillant sur le champ de bataille, était le sujet qui revenait le plus, comme celui des vertus au St-esprit d'ailleurs. Regard profond, elle demeurait silencieuse, les mots que lui avais dit ce frère retrouvé en Orléanais ressurgirent encore, promouvoir paix et la convoiter la reconnaissance des hommes n'étaient que deux choses distinctes, l'une n'étant pas nécessairement la conséquence de l'autre.

Citation:
Dame Alchimiste cette animation n'était point prévue, beaucoup de nobles ici présent se réjouiront de l'arrestation du Louvelle.


Ainsi donc ce personnage ne saurait se vanter l'amitié d'un grand nombre de nobles? J'en suis bien navrée, moi qui ne le connais point...
Catheolia
[La ptite nouvelle déambule ]

Ah ça non, après des heures passées dans le carosse, elle allait pas rester enfermée dans une chambre à attendre. Besoin de prendre l'air, de se dégourdir les jambes... il y avait plein de monde dehors en plus ...

Léah, je sors !

Pas plus d'explications, une cape et la Dame de Flavigny marche, nan court, vers le campement. Elle déambula parmi les tentes, essayant de voir si il n'y avait pas un visage ou deux qu'elle reconnaissait. Bon en fait, tous lui disaient un peu quelquechose. Au secours ! Elle était dans le sillage de Léah depuis suffisamment longtemps pour qu'on la reconnaisse vous croyez ? Et puis, il y en avait combien qui savait pour son annoblissement ? Et combien en avait cure ?

Le visage de la jeune champenoise se décomposait au fur et à mesure qu'elle avançait dans le campement, se frayant un chemin parmi gardes et serviteurs.

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Catheolia, Dame de Flavigny.
Dame de Compagnie de Léah Mélani
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