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Au Campement de la Noblesse

kalimalice
[Dames blanches]

Kali n’était pas noble mais elle accompagnait ses sœurs et plus particulièrement la grande amazone .Les chariots remplient, ou chaque sœurs avaient mis ses effets .Les armures brillaient, mais pas très loin se mêlait les tenues de soirées.
Le voyage c’était passé sans encombre, la délégation partie de la commanderie .Chevaux en tête, la petite troupe filait à bonne allure et arrivait au Castel du Lavardin .
Très vite le campement de la noblesse fut en vu .kali entra sur son frison, elle pouvait côtoyer tous les nobles du royaume, la paysanne en avait le droit, elle servirait sa marraine, en l’aidant à s’habiller et encouragerait ses sœurs .Nul besoin de baisser la tête, elle marchait même la tête haute fière de son appartenance à l’ordre royal.
Elle passait devant diverse tente ou chaque participant s’affairait, cherchant du regard la tente ou la délégation s’installerait
Pyrotess..
Pyrotess Arriva au Campement de la noblesse du Castel Lavardin, la jeune hospitalière était un peu perdue recherchant ses frères et sœurs hospitaliers qui devaient déjà être arrivée la jeune femme vêtue d'une robe blanche ornée d'une broderie sur le cœur représentant la croix de malte de l'ordre de l’hôpital de saint jean de Jérusalem, ses cheveux simplement nattés lui descendant au bas des reins. La jeune femme regardait tout autour d'elle afin de trouver quelques visages connue a l'entrer elle avait aperçus les écus représentant chaque noble et sourit reconnaissant celui de son beau frère ainsi que de son filleul Pyrotess comme a son habitude marchait regardant autour d'elle mais point devant tenant son destrier pars les rennes elle avançait doucement quand elle percuta un homme de plein fouet.
Pyrotess les joues rougit de hontes de par sa maladresse déjà fort bien connue leva doucement les yeux et s'excusa ce fut bien après qu'elle reconnue son frère hospitalier Cristòl de Sìarr

Bonjour Mon frère je suis désolée de vous avoir ainsi percuté pardonnez ma maladresse j'admirais les lieux ...

Les joues de Pyrotess devenaient rouge vif sa blancheur de peau laissant bien apparaitre celles ci la jeune hospitalière sourit essayant ainsi de cacher sa honte

Je cherchais nos frères et sœurs en auriez vous vue? et avez vous besoin d'une quelconques aide ? je préfère vous prévenir je suis plus que maladroite et souvent dans mes songes ce qui ma voulu de vous percuter.

Pyrotess gardait sur son visages son sourire respirant lentement ses yeux vert pétillant d'être dans ce lieux regardant un peu partout même si cela ne se faisait pas de ne par regarder dans les yeux son interlocuteur elle ne pouvait s'en empêcher de balayer ses yeux tout autour d'elle son attitude souvent enfantine au yeux de ses proches mais elle était ainsi une jeune flamme.

La jeune femme cessa de balayer les alentours puis regarda son frère hospitalier Cristòl de Sìarr de ses yeux vert perçant lui souriant .


La jeune femme cessa de balayer les alentours puis regarda son frere hospitalier Cristòl de Sìarr de ses yeux vert perçant
Trokinas
Trokinas arriva devant le camp. C'était ses premières joutes. Il avait accepté un peu par hasard, car il n'aimait pas guerroyer, il n'avait pour ainsi dire jamais tenu une arme face à quelqu'un. Ha si, pardon, du temps de son début de carrière, il avait été Lieutenant de Police, et avait eu l'occasion d'avoir un entrainement. Mais il n'avait jamais été militaire, et après les évènements Limougeauds, il s'était dit que jamais il n'intégrerait l'armée.

Mais bon, on lui avait assuré que c'était important pour le Limousin, et il avait donc accepté. Il se présentait comme à l'accoutumée : à pied. Cela surprenait beaucoup de monde qu'un noble se ballade à pied, mais il aimait marcher. Il trouvait cela reposant et calme. En plus, après une grosse marche, nulle douleur sur son séant.

Il entra donc pour découvrir la tente que l'organisation avait mise à sa disposition. Là, tout le confort l'attendait. En tout cas le confort nécessaire : couche, coffre, et un peu de décoration.

Trokinas se fit la réflexion que c'était aussi la première fois qu'il venait dans un camp pour y passer la nuit. Quelle drôle d'aventure.

Il posa rapidement ses affaires, puis ressortit pour voir si la délégation Limousine avait commencé à arriver, car aucun rassemblement de nobles n'avait été prévu pour le voyage. Donc il remarqua Bess, la Vice Comtesse du Limousin, et se dirigea vers elle.

La belle Capitaine (bien qu'ayant quelques campagnes à son actif) était en train de deviser avec un homme que Trokinas avait aperçu de temps en temps en Limousin, et qu'il connaissait de réputation. Heureusement, le Baron de Perpezac n'était pas de la gente féminine, donc il n'avait rien à craindre de l'homme en question. La Baronne emmena alors l'homme dans sa tente... et bien, voilà un gain de temps évident semblait-il.

Trokinas commença alors à déambuler dans le camp afin d'attendre le début des manifestations.

Neils
[Moulins quelques jours avant le départ]

Des joutes ! Apo le lui avait annoncé la veille au soir, il cru un court instant à une farce, mais s’aperçu rapidement du sérieux des propos de la Dame d’Orval.
Immédiatement les pensées du jeune Ecuyer s’en allèrent dans tout les sens, Apo sa blessure…les armes…Jean-Eude…les selleries…les malles…, rapidement il visualisa étape pas étape les tâches qui s’offraient à lui, et avec méthode et application nota mentalement la priorité de chacune d’entre elles.
Neils ressentit le besoin de mettre en garde sa maîtresse, de lui dire :


Apo, vous n’êtes pas raisonnable, votre blessure…restons à Moulins.

Mais il savait que toute tentative de la raisonner serait vaine. Il eut été plus simple de raisonner une mule (esquisse un léger sourire), et l’Ecuyer devait bien se l’avouer, inquiet oui, mais l’idée de quitter Moulins quelques jours pour des joutes était vraiment très excitante.

[Sur le départ]

Parfait ! Simplement parfait ! Il observe, la coche, les malles solidement attachées, Jean-Eude superbement pansé, les armures cirées, ….. « Diantre !!! Saperlipopette !!! » L’excitation du départ l’avait distrait…l’écu de Dame d’Orval, celui de Sir Bireli, ce bouclier Apo y tient comme à la prunelle de ses yeux ! Neils avait omis de le ranger dans la grande malle consacrée aux armes…par crainte de l’abîmer, et avait décidé au dernier instant de la caler dans la malle à vêtements. Une image dans sa tête, le bouclier…
S’approchant de la coche, petit sourire crispé il dit :


Apo, un fâcheux oubli de ma part…partez en avant, je vous rejoindrais rapidement…

Un regard croisé, avec une petite dose d’incompréhension de part et d’autre, et voilà l’Ecuyer retournant chercher l’objet de son retard….

[Au campement de la noblesse]


La coche d’Apo avait dû soutenir un rythme d’enfer, ou alors Maire-Caroline manquait cruellement d’exercice…il arriva juste après sa maîtresse, à peine le temps de l’apercevoir entrer dans le campement.
Neils se présente au garde:


Bonjour ! Neils écuyer de Dame d’Orval !

Le garde le toise, puis d’un signe de la main, l’invite à entrer dans le camp.

Le visage s’illumine à la vue des tentes colorées, des bannières venant des quatre coins du royaume…l’odeur des toiles, de la cire, de la terre…il inspire un grand bol d’air…hume…profite de chaque instant, les sens en éveils, il écoute les chants, le brouhaha incessant des nobles et de leurs serviteurs. Neils a envie de crier sa joie !!! Toute cette effervescence le galvanise. Il veut être le meilleur écuyer du lieu.

La coche est là, les malles à terre, il les compte, tout semble en ordre. Il jette en œil au alentour, distingue Apo de dos, marchant, droite, le pas assuré malgré sa blessure. Il hésite à la héler...non, il a du travail, et elle serait trop tentée de participer au chantier.
Retroussant ses manches, l’écuyer érige les tentes, aménage leurs intérieurs, et dispose spécialement celle d’Apo avec soin et méthode. Il place le bouclier de Sir Bireli bien en vue, face à l’entrée. Neils dresse fièrement l’étendard sur une hampe bien en vue au sommet de la maisonnette de toile.
L’Ecuyer se recule un peu, observe, s’avance, donne un peu plus de tension dans le cordage, se recule à nouveau, observe, et le sourire de satisfaction collé aux lèvres s’en va pansé Marie-Caroline et Jean-Eudes.
Mimicracra
Sur les routes du Bourbonnais Auvergne à la Touraine.

Le voyage n'était guère très long et se déroule tranquillement en chantant et contant quelques anecdotes. Mimi était assise dans un coin et n'avait perdu aucune bribe de conversation curieuse et amusée.

Elle était impatiente d'arriver et de participer pour la toute première fois à des joutes. Elle avait noyé Ali sous des questions qui étaient parfois pertinente d'autre fois, d'une naïveté incroyable.


Au châteaeu du Lavardin


Auvergne descendue annoncer la délégation, tout le monde était entré sans difficulté. L'installation semblait plus ardue, mais se fit sans aucune difficulté tout de même. Après s'être raffraichi le visage, Mimi ressort de sa tente et profite d'un moment de tranquilité pour observer les lieux.
Tout le monde s'activait et beaucoup se connaissait déjà. Elle tourne la tête et regarde si Ali était prête mais ne la voyant pas sortir de sa tente, elle prefère
marcher un instant et tenter de reconnaître les différents blasons.
Elle s'arrête net devant une tente et s'exclame

Apo !!! Si je pensais te trouver là !!!
Il faudra trouver un instant pour me raconter tout ce qui t'es arrivée depuis notre dernière fois... c'est à dire depuis de longs mois !
Apolonie
[Entre deux tentes, à l'écart]

Le plaisir simple des retrouvailles. Comme un gout d'reviens-y qui chatouille la papille où glissent les mots qui bien que d'une banalité déconcertante, assemblés de la sorte, crée entre les deux femmes pourtant si différentes, un lien qui force le sourire sur leurs lèvres. L'oeil de la Vicomtesse pétille, celui de la sentinelle le lui rend bien.

En grande forme il semble à ce que j'entends quoiqu'un peu négligée.

Oh elle le réprime ce tirage de langue intempestif devenu au fil des rencontres monnaie courante. Après tout, il vaut bien mieux passer à la question suivante plutot que de dévoiler tout d'suite que justement, la grande forme, on sait pas tellement où elle s'cache et que sous la chemise de voyage, c'est plutôt la guerre des chairs suintantes. Mais celle que Bireli appelle "la Reine de la Façade publique" use à nouveau de son don, et prend plutot une mine qu'elle espère offusquée.

Négligée, tout de suite. Je viens juste d'arriver figure toi ! Et puis zut, je ne suis pas connue pour mes toilettes soignées ni ma féminité exarcerbée.
Je ne suis même pas connue du tout. Laisse moi donc rester en braies et chemise de toile si cela me chante.
Tant que je suis propre, après tout ?


Tu es seule ici? Et où se cache ton colosse de frère? Il ne participe pas? Que je le mette à terre?

Mimique blasée de la demoiselle. Plissement de nez réprobateur. Décidément, Crokie sera toujours le centre d'intérêt. Vrai que le frangin a aussi des terres, vrai aussi qu'il n'y a jamais foutu les pieds. Un peu comme la dame d'Orval. A la différence près qu'Apolonie fait reconstruire son petit château, et qu'elle organise sa tribu. Si les tenues affriolantes et la perspective de prendre époux au sein de la haute-noblesse, pour élever toujours plus son rang, ne l'intéressent guère, en revanche faire d'Orval une terre d'accueil pour les gens d'armes, un terrain d'entrainement pour écuyer, ou juste un lieu où on n'est pas obligé de se courber pour se dire bonjour, ni de se désarmer pour passer à table... Divagation, digression, elle en revient aux propos tenus par Marie-Alice.

Eikorc... Il se promène je crois. Après un bref passage à Moulins pour me voir tomber au bas de mes remparts, il a repris la route.
Tu sais, nous les méchants, on ne tient pas en place.


Sourire niais de la libertadienne, qui n'a rien de plus méchant en elle qu'une volonté farouche de se sentir vivre et une loyauté sans faille envers les siens. Il se trouvent que des siens, y'en a de tous bords. Conciliation parfois difficile en intérêts confrontés, mais la belle sait argumenter, et chez Libertad, on n'est pas toujours obligé de participer pour être considéré.

Et puis pour le mettre à terre, le Seigneur de Vautorte, il en faut pas mal... La voix se baisse, en mode "secret partagé". Enfin sauf pour moi... Il a toujours peur de m'faire mal...

Et un bras en accompagnateur éclairé d'une promenade reprise. Soulagement de la moulinoise , c'est à droite et non à gauche que s'est appuyée Marie. Le pas s'fait propice aux discussions moins chahuteuses, et d'ailleurs la Limousine n'en perd pas l'occasion, en enchainant directement avec le sujet ô combien passionnant des fanfreluches. L'sourire se glisse en coin avant d'être écarté irrémédiablement par un rire cristallin qui trace son chemin dans l'atmosphère taquine qui les entoure.

Alors, as-tu tout ce qu'il te faut pour ces joutes? Pour les fêtes? Qui va s'occuper de te coiffer et d'apprêter pour faire tourner la tête de tous ces mâles adversaires?

J'ai tout... Au niveau des armes en tout cas, au niveau équestre également... J'avais fait l'acquisition en Gascogne d'un étalon aux capacités étonnantes. Et je parle bien de ma monture. Quant au reste... J'vois mal Neils me démêler la tignasse qui me sert de chevelure, et les tenues... Ne me restent à vrai dire que quelques robes que je m'étais offertes lorsque j'étais Consul du Bourbonnais Auvergne.Je pense que ça fera l'affaire. Le geste de la main chasse l'éventualité même d'une rencontre avec un mâle, elle n'est pas là pour ça, mais pour jouter. Ce qui la ramène d'ailleurs, après ces quelques phrases laconiques, à son sujet de prédilection. Par contre, si tu voyais mon armure ! Le métal a été travaillé par...

S'ensuit une longue description de ladite armure, l'oeil brillant, la dague frémissante. Apolonie, jeune fille parfaite, à laquelle on prêtait des velléités de mariage avec un vicomte, mort depuis, celle qui rougissait et lissait nerveusement sa robe à chaque cérémonie, qui parlait si bien, avec de si jolies tournures que sa place à la Chancellerie s'était creusée naturellement. Et qui avait manifestement trouvé sa voie dans l'exact opposé de ce qu'elle était. Femme d'armes et de coeur, avant d'être femme. Mais Marie, elle, n'est pas forcément de cette branche-là, et coupe rapidement le sifflet d'l'auvergnate. S'éloignant un peu, la perspective s'ouvre, et Apolonie peut admirer le travail de Neils. Les deux tentes sont parfaitement montées par l'écuyer, c'est parfait. Silhouette connue, devinée, devant ce qui sera chez elle pendant quelques jours. Une revenante... Mimi...Les pertes subies par elles deux sont énormes, et un clin de paupière marque le temps d'une résolution. Elle ira voir la jeune fille, ou plutot jeune femme, avant la fin de ces joutes, qu'elles prennent un long moment pour se retrouver. En attendant, la pique taquine allume la pupille et dévale hors de la bouche en direction de la vicomtesse :

Dis, t'es en état de jouter toi, alors que tu viens juste de mettre bas ?

Air innocent, angélique. Siffloter un air de rien. Sourire en coin.

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Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Naluria
[La Troupe du Bourbonnais-Auvergne - Entrée au Lavardin]

Le descente en contre-bas s'était faite sans difficulté et à l'arrivée devant le poste de garde à l'entrée du campement, Naluria descendit de cheval avec souplesse, ses bottes frappant le sol.

Bonjour, nous venons du Bourbonnais-Auvergne pour les festivités de la Sainct-Michel. Voici la liste des personnes venu avec moi.

Naluria donna la feuille d'inscription puis pouvant entrer, l'homme lui indiqua qu'ils pouvaient monter leur campement où bon leur semblait. De la paille, du foin et de l'eau leur serait apporté...

Naluria et le reste du groupe Bourbo-Auvergnat entra et ils se dirigèrent parmis les oriflammes de l'entrée des campements...



[Montage du campement]

Experte de ses nombreux voyage et n'ayant aucun valet à sa charge pour le moment, ou du moins à disposition, elle commenca à sortir sa tente récemment achetée puis hela un homme de main d'un de ses compagnon de route afin qu'icelui vienne tenir le mât. L'homme tenant le mât de bois qui allait soutenir toute la tente qui les enveloppait pour le moment, Naluria passa les tenants du haut afin de tenir le chapiteau. Une fois les morceaux de bois tenant, la jeune femme prit un maillet et les clou en fer forger pour tenir les cordes qui allait tendre la tente. La difficulté était de la tendre uniformément afin que le mât reste bien en place et que la tente ne tombe pas d'elle même. Une fois fait, l'homme pu ressortir et vaquer à ses occupations premières.

A ce moment, la paille, le foin et l'eau arrivèrent par une charette du Lavardin. Elle pris un peu de paille et l'étala à l'intérieur de sa tente, en metta d'autre autour de celle-ci en cas de pluie. Elle profita de prendre du foin et de l'eau pour sa monture.

L'amnagement de la tente était simple. Naluria étant une nouvelle noble, elle n'avait point encore tout le matériel due à son rang.
Naluria aligna des peaux de mouton sur une épaisseur non négligeable ce qui fera sa couche, puis une peau de vache pour habiller la tente et ne point s'abîmer les pieds avec la paille. Elle posa sa couverture de laine, l'oreiller en coton rembourré de laine d'agneau puis placa son coffre d'habit ainsi de son écritoire.

Elle sortie de la tente, regarda ses compagnons puis ils se dirigèrent à la taverne montée pour l'occasion...
Mimicracra
Au campement devant la tente d'Apolonie

N'entendant aucune réponse, Mimi se sent confuse tout à coup et s'approche d'avantage, regarde de droite et de gauche si quelqu'un l'avait entendu parler toute seule puis passe la tête sous la tente en appelant plus doucement...

Apo ? es-tu là ?

Rouge de confusion, Mimi ressort sa tête, remet ses cheveux en place l'air de rien et poursuit son chemin mi amusée, mi confuse. Apparement, personne ne l'avait entendue trop occupé à s'installer ou en pleines retrouvailles. Elle pousuit ainsi sa promenade lors qu'elle entend cette fois-ci de manière certaine la voix de son amie...
Elle tourne la tête et se dirrige vers elle. A son arrivée, elle la trouve en grande conversation avec une Dame très élégante qu'elle ne connait point. Hésitante un instant, elle s'avance néanmoins tout sourire.


Mesdames...

Fait une révérence devant l'inconnue et enlace son amie.

Ravie de te voir ici ! Laisse moi te regarder... Tu me sembles en bonne santé et ton oeil est toujours aussi vif !

Elle se recule et se tourne vers Marie Alice.

Veuillez pardonner mon impolitesse... Je suis Damoiselle Mimicracra de Saint Christophe...
Martymcfly
[Arrivée massive des nobles du BA]

Dans le carosse qui les menait jusqu'au Lavardin, le Duc de Billy roupillait tranquillement. Pas très loin de lui, les autres nobles avait fait le déplacement aussi. Quelques uns... Marty espérait en voir davantage, peut-être viendraient-ils autrement. Toujours est-il qu'il dormait profondément... du moins pendant qu'ils traversaient le Berry avant de rejoindre la Touraine...

Les dames discutaient entre elles, les sieurs parlaient techniques de maintien et harnachement. L'on évoquait les écuyers aussi... Zut Marty aurait du demander à Gandrelina de venir, elle aurait été parfaite. Avec un peu plus d'organisation...la prochaine fois... ce sera le cas.

Jouter n'était pas sans déplaire au Duc de Billy. Il se rapelait de son tout premier tournoi... Les trois ans du Bourbonnais-Auvergne alors qu'il était régnant. Une finale pour une première c'était pas si mal ! Et c'était finalement la Baronne de Cournon d'Auvergne qui l'avait remporté. Il la respectait pour cela. Puis... les joutes poitevines où une élimination dès le premier tour ainsi qu'une chute l'avait contrit...

C'était donc son troisième tournoi et c'est avec hâte qu'il s'y rendait. Dans le carosse, ses rêves chantaient... Il se voyait déjà hurlant son cri de guerre, fallait bien qu'il serve celui là... tout en maintenant fermement la lance, comme le lui avait toujours dit le Baron d'Usson. Un conseil qu'il n'avait jamais oublié.

Cette fois, Marty se demandait bien contre qui il allait se mesurer. Le tableau des rencontres était il déjà prêt ? Il réfléchissait dans son sommeil en s'imaginant découvrir le fameux tableau... Lorsqu'il fut réveillé par un brusque arrêt.

L'arrivée était imminente et les Dames se recoiffaient un peu avant de pénétrer dans l'enceinte du Lavardin. Quelles coquettes... Le Duc de Billy observait par la fenêtre le campement et remarqua les tentes qui s'installaient. Il se préparerait dans la sienne.

Un pied posé à terre, chacun se salue et rejoint sa tente. Le Duc en fait de même, attendant qu'on délivre les noms des premiers concurrents. Secrètement, il espérait rencontrer une dame pour lui faire oublier les tristes événements qu'il avait vécu récemment...
Beths
[Bourbonnais Auvergne, pleine campagne, quelques jours avant les joutes]


Il était encore bien tôt en cette journée automnale qui débutait. Le brouillard commençait doucement à se dissiper sur la campagne, quelques nappes encore visible, mais indéniablement, le bel astre solaire, petit à petit, perçait au travers et réchauffait la terre couverte d’humidité. L’hiver progressait, il n’était pas loin. Toutes les cultures avaient été ramassées, laissant place à des champs labourés et vides. Ce spectacle aurait pu paraitre désolant, voire inquiétant.

D’autant plus que d’étranges bruits se faisaient entendre … bruits de chevauchées, sons métalliques, grognements, … sons inhabituels pour un tranquille matin.

Au centre d’un champ, se dressait une sorte de cible en bois avec bouclier et lance. Si l’on s’attardait un instant, il fut possible de voir un cheval, portant cavalier, prendre brusquement son élan et se diriger droit vers la cible. La lance du cavalier toucha bien la cible, mais la violence de l’impact ou la non expérience évidente le fit projeter dans les airs, et retomber bien lourdement sur la terre.
Et l’on pu entendre sous le heaume



Gggggggggggrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!!!!


Bien que puissante, la voix était indéniablement … féminine. Ce qui se trouva confirmé lorsque le heaume se releva.

La toute récente Dame de Gondole tentait de s’entrainer pour les joutes prochaines. Elle savait manier l’épée, elle savait monter à cheval, gloire en soit rendue à la prévôté, même si Canasson n’était pas ce qu’on pu appeler un pur sang. Cheval de trait lui aurait mieux convenu, mais, elle n’avait guère eut temps depuis son anoblissement de se trouver une autre monture que la sienne.
Mais, manier une lance … ça c’était une autre affaire. Elle ne savait pas. Et elle était trop tétue ou trop fière pour demander à quiconque, noble par définition, de l’aider à l’entrainer. Non, elle y arriverait seule, ou n’y arriverait pas.

Elle refit descendre la glissière du heaume sur son visage, il ne lui restait que peu de jours avant le début du tournoi … elle ne devait pas perdre de temps et s’entrainer encore





[Sur la route vers le Touraine, troupe du BA]


Le jour du départ était enfin arrivé, et les préparatifs s’étaient achevés.
C’était trop proche et trop tard à la fois, il était difficile pour la jeune Noble de déterminer quel sentiment prenait le pas sur le second. Elle était tout simplement … impatiente et elle appréhendait aussi. Non qu’elle ait peur de se blesser, de cela, elle s’en moquait, mais ce qui l’inquiétait était de ne pas être à la hauteur.

Elle connaissait quelques membres de la joyeuse expédition qui était parti du BA pour se diriger vers la Tourraine.
Beths s’habituait difficilement à son titre de noblesse … elle ne se sentait pas toujours à l’aise il fallait bien l’avouer. Elle était née roturière et changer était un point difficile pour elle. Elle s’en doutait un peu lorsqu’elle avait accepté la proposition de son suzerain, mais … elle n’avait rien imaginé de tel.

Sur les premiers temps du trajet, elle se montra timide et réservée, timidité et réserve que ceux qui la connaissait eurent tôt fait de mettre à bas.
Et elle découvrit des personnes charmantes et agréables parmi ce voyage, son cœur s’allégea et elle profita pleinement de ces Dames et Seigneurs charmants, agréables, drôles. Bref l’ambiance était sereine, les discussions et les rires fusaient, et la Dame de Gondole arriva tout sourire sur les terres de Tourraine.



[Entrée du Lavardin – montage du campement]


Ils y étaient ! Ils étaient tous arrivés en bonne forme. Beths commençait à avoir faim, et elle était impatiente de se trouver un lieu calme pour s’entrainer encore un peu … elle était si novice en la matière …

Elle voyait ses compagnons commencer à dresser leur campement, et la Beths se mit à palir. Zut … montage de tente … elle avait bien pensé à en prendre une, mais ne s’était pas vraiment entrainée à cela.
Jetant des coups d’œil à droite et à gauche, elle vit notamment Auvergne, Dame de Villeneuve-l'Abbé, aidée de ses gens réussir à faire ce travail rapidement efficacement, et en prime le sourire aux lèvres.
Bon ben … à son tour.

Elle remonta ses manches et commença à sortir la toile. Elle fit des signes cabalistiques à des écuyers pour qu’ils viennent l’aider. Le mât tanguait dangereusement, Beths tentait de tenir plus ou moins facilement la toile et soudain perdit l’équilibre



AAAAAAAAAAHHHHHHHaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah


Elle venait littéralement de tomber sur la tente avant même que cette dernière fut montée. Voyant la mine hilaire de ses compagnons de voyages, elle ne pu s’empêcher de rire en se remettant d’aplomb.

Finalement, au bout de quelques longues minutes, sa tente était montée. Il ne lui restait plus qu’un détail … planter son oriflamme. Beths le sortit fièrement de l’une de ses malles et alla elle-même l’installer à l’entrer de sa tente.





Elle était prête, elle était heureuse ... ses premières joutes!
Alchimiste d'Esterraza


Elle ne cessait d'étudier d'un œil circonspect le champ enceignant la demeure majestueuse des Lavadin, . Des diligence arrivait, et des tentes se dressaient promptement mais sûrement.
La joie de ce jour, de la fête, des joutes qui s'ensuivront, mais surtout celle d'un voyage ensoleillé, tantôt humidifié par la fine pluie du mois de septembre faisait naitre dans le cœur des gens présents une gaieté presque juvénile.

les chevaux aux écuries, l'emplacement leur fut indiqué, Alchimiste s'exécute aussitôt à établir le campement, monter minutieusement les tentes, juxtaposés, toutefois elle s'assura de laisser assez d'espace entre icelles. Toutes étaient installées en formant un demi cercle.
La première tranche du travail accomplie, l'ecuyer fraichement promus lisse machinalement son devant, voulant tout faire dans l'ordre. Un sourire de satisfaction aux damoiseaux et pages du barons, ils n'ignoraient pas qu'ils ne pouvaient encore disposer.
Une heure après, la tâche fut achévée, les malles et les coffres du couple étaient disposés sous leurs tentes, non sans avoir d'abord adapter l'intérieur avec grand soin, ne manquant pas de laisser ses retouches personnelles, sur l'une des malles hautes, un vase était couronné de lavande séchée, voulant ainsi dissiper l'odeur du bois verni.
Son amie pourrait se délasser si elle le souhaitrait. De la lucarne d'où pénétrait la douce lumière du jour, elle pouvait voir le couple se dégourdir les jambes, un dernier coup d'œil et elle alla s'occuper de ses effets personnelles, son abri n'étant pas loin de celui du couple.

Au dehors, les rires et les exclamations s'élevaient, le campement attenant captiva l'attention de la jeune femme, qui resta un moment à sourire béatement, avant qu'une douleur au flanc droit ne se déclenche, et disparait juste après, une douleur en éclair, les séquelles d'une blessure de guerre.
Sibella de Vissac



Le campement du couple d'Usson et de Riom avait été monté rapidement, sous les instructions de l'Escuyer du Chevalier de Pardaillec, Alchimiste d'Esterraza.
Pendant ce temps, Sibella et son époux s'étaient promenés dans le village, saluant quelques amis et profitant de ce moment de tranquillité assez rare, compte tenu de leurs charges.

Ce village était superbe, les tentes multicolores, les marchands de pain, de viande rôtie, de cochonnaille locale, étaient agréables à regarder. Un marchand d'Hypocras faisait éloge de son nectar issu de sa propre fabrication. Que de bonnes choses, auxquelles la jeune femme était interdite durant quelques temps vu son état.
Il régnait dans ce village une atmosphère de gaieté et de fête et la jeune femme espérait bien s'amuser, se détendre et profiter au maximum de cette St Michel


En marchant doucement, découvrant et visitant, le couple regagna le campement et Sibella décida d'aller se reposer un peu afin d'être en forme pour la suite de la journée.

Mon doux époux, je vais me reposer un peu à présent, je voudrais être en forme pour la continuité de la journée et surtout je ne veux pas t'inquiéter par des malaises.

La jeune femme entra sous la tente et fit appeler sa chambrière.


Quand elle pénétra sous la tente, elle sentit aussitôt l'odeur de Lavande qu'elle aimait beaucoup, qui lui rappelait cette provence qu'elle affectionnait. Elle pensa immédiatement à son amie Alchi qui était pleine de délicatesse, dans sa nouvelle tâche. Elle ne manquerait pas de la remercier.

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Trokinas
Trokinas continuait de déambuler dans le camp. Il fut impressionné par le nombre de nobles qui détenaient leur propres tentes. Pour sa part, il n'avait jamais participé à des joutes, et n'avait donc aucunement pensé à s'acheter un tel équipement. Il était venu avec quelques affaires, certes, car on lui avait dit qu'il trouverait tout sur place. De même, il n'avait aucune monture ou aucune arme. Il décida donc de commencer à trouver non seulement le réglement des Joutes, mais aussi la façon de procéder afin de pouvoir acquérir le matériel nécessaire.

En pensant à cela, son coeur faillit s'arréter. Trokinas avait enfin pris conscience qu'il n'avait même pas d'armes ou de lances. Mais comment allait il se battre? Et puis, il avait bien manier la lance pendant son entrainement de policiers, mais bon, là ces gens savaient de quoi ils parlaient visiblement. Qu'est-ce que cela voulait dire? Et bien que Trokinas allait être ridicule, et pas qu'un peu, et avec lui le Limousin car il était censé faire partie de la réprésention officielle du Comté.

Il décida donc d'aller vers la seule personne capable de l'aider en ce lieu : Bess. Il arriva devant la tente, et attendit patiemment de voir s'il pouvait entrer après avoir demandé à l'intendant/bras droit/secrétaire/ange gardien s'il pouvait voir la Baronne.
Alandrisse
Le jour était enfin arrivé. Un sentiment de joie avait déferlé en elle, lorsqu'elle avait aperçu au loin la forteresse. Plus l'imposante bâtisse s'approchait plus l'exaltation se ressentait. La jeune Dame Blanche leva la tête pour mieux observer ces murailles et retenir l'air léger loin des réjouissances et de la tumulte. Après le passage de la porte, un autre monde s'ouvrait à ses yeux, des myriades de tente rivalisant les unes des autres par leurs couleurs et leurs décorations. On s'affairait à ranger, lustrer, une fourmilière qui se hâtait à se préparer pour les joutes. Une main posée sur le flan du cheval qui tirait le chariot, elle avait tout loisir d'observer. Ses soeurs étaient visiblement habituées, marchant avec assurance. Un tel panel d'étendard, d'odeur et de bruit fit sourire l'aspirante. Elle cajola le dos du canasson et avança d'un pas plus rapide. L'étendard des Dames Blanches volait fièrement dans le vent et elle serait là pour encourager ses soeurs.
Carmody
[ La tente de la Tresse.]

Suite son appel, il n'eut pas tant a attendre dans sa pose de bravade avant que de voir les pans de la tente s'ecarter pour laisser apparaitre un visage radieux et de recevoir l'habituelle marque d'accueil dont il e voudrait se passer. Profitant de cet instant où son amie se trouvait toute proche de lui a nouveau, il déposa un léger baiser sur la joie de celle ci et lui adressa un petit regard malicieux, imaginant deja comme il pourrait réitéré certaines de ces si particulière situations qu'il connaissait avec la Dame verte.

Elle prit le temps de vérifier son état et de l'examiner de ses yeux aguerris de Capitaine sur un soldat revenant d'une blessure. Ou bien était ce plus ceux d'une femme heureuse de revoir celui qui était resté si longtemps éloigné et dont elle se languissait. De cela, il ne le saurait jamais et donc la question n'avait a se poser. Dans le même instant, le Carmo détailla la jeune femme face a lui mais comme bien souvent, cela ressemblait plus un grossier regard tentant de deviner ce qui pouvait bien se dissimuler sous les atours. Comme toujours elle était vêtue des braies et pourpoint qu'elle affectionnait tant, pourrait il un jour la voir en robes ou même.... le sourire de Carmo s'élargit en repensant au jour où elle lavait surpris a limoges furetant prés de sa tente. Mais une légère impression de changement dans l'attitude de son amie, le frappa, il avait bien sur eu vent de ce qui s'était passé mais il n'avait vécu vraiment cela et ne pouvait en connaitre l'ampleur.

Un bras prenant place contre le sien, Auzances se laissa entrainer vers le 'domaine" de la Limousine. Ainsi elle voulait savoir ce qui avait pu lui arriver depuis qu'ils s'étaient séparés et bien elle pourrait finir par être déçue si elle s'attendait à beaucoup. Une fois bien installé sous la tente devant un prune que l'intendant avait apporter, le Carmo pencha la tête en regardant la jeune femme face a lui et se replongea dans les souvenir pas si lointains pour relater ce qui était arrivé.


Mon temps sera tien pour cette histoire et ensuite pour entendre la tienne, tu me sais fort curieux de tout ce que tu peux me dévoiler. Petit sourireAinsi comme tu le sais je me suis remis de mes blessure avec ton époux a Rohan, nous avons dissimuler nos identité sous celle d'ecclésiastiques le temps de pourvoir voyager de nouveau. Mais il du te le dire cela. C'est a ce moment là que nous nous sommes séparés donc je suppose qu'il a du revenir en Limousin pour sa part. quant a moi je suis parti a ce moment là vers la Normandie pour rejoindre tes frères et sœurs de la Licorne avant que la démobilisation royal soit complète. Ensuite et bien ma foi, j'ai profiter de la presence de certains auvergnat pour revenir sur mes terres en leur compagnie et depuis j'ai voyagé au sein du duché pour raison diverses et autres dont la préparation d'une allégeance envers le nouvelle duchesse de Combrailles.

Mais dis moi, j'ai entendu nombre de rumeurs venant du Limousin. que s'est il passé exactement et en quoi la lettre que je t'ai fait parvenir a eu de l'importance? L'on n'as point encore besoin de moi là bas?


Son regard ne quitta pas les yeux de son amie comme pour essayer d'y déceler des réponses qu'elle pourrait ne pas vouloir lui apporter.

Parle moi de tout ce qui t'es arrivé, ma Bestouille.

A ces mots, il effleura doucement la main de son interlocutrice puis se ravisa en les laissant suspendus au dessus de la peau douce avant de la tapoter doucement pour encourager la jeune femme a parler.Du coin de l'œil, le seigneur s'aperçut que l'intendant paraissait s'affairé a une nouvelle tache a l'entrée de la tente.

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