*atalante
Je traverse le campement de toile, ça me rappelle Fougeres et Avranches, juste que c'est plus joyeux, les gens sourient ici, et ça sent meilleur surtout, pas cette odeur de mort.
Je garde toujours en vue ce bel étandart, ne pas me perdre parmis ces tentes.
Voila, enfin je voie les premieres tentes de mes soeurs, quelqu'unes sont là a s'affairer, s'occuper des armures de celle d'entre nous qui vont avoir l'honneur de nous representer aux joutes, faire les corvée inérante à la vie en communauté sur le terrain d'exercices.
Campement des Dames Blanches
Bon, en m'approchant, je cherche voir ou je pourrai bien me raffraichir un coup.
Salut les filles, comment allez vous, je suis contente de vous voir. Moi, je suis un peu plus loin par là bas.
Je montre de la main d'ou je viens.
Je suis venue avec l'épouse de mon parrain pour l'aider, car la pauvre, c'est pas avec son valet qu'elle va aller bien loin, bon, on peu boire un coup ici, parceque la bas, bin, il y a pas grand chose, enfin pas pour moi, n'étant pas noble, je suis cantoné avec le valet à monter les tentes de ces gens.
Soignez le ! Il me le faut en forme !
Oula, c'est la grande amazone qui arrive, accompagné de ma marraine et d'un homme, c'est qui lui, je croyais qu'elle était célibataire. Un prétandant? Bon, il est pas vilain, faudra le voir une fois lavé de la poussiere des routes.
Je regarde autour de moi, mes soeurs présente dans le campement sont toutes occupées.
Je m'en occupe wondervanille, je vais en prendre soin.
Je lui sourit, à ma marraine aussi, puis je prend l'animal par le licol. Il est transpirant le pauvre, un bon brossage lui fera du bien, je le regarde mieux, il est pas tout jeune, mais c'est un bel étalon racé encore vaillant tout de même.
Cela doit faire longtemps qu'elle le possede, ça doit etre une bonne monture, il est calme, se laisse mener vers le parc.
Je l'attache à la barriere, dépose la selle et le tapis. Puis je le brosse, une poignée de paille pour finir de le secher.
Je vais lui chercher de l'eau et un peu à manger, mais pas trop, qu'il ne soit pas en pleine digestion au mauvais moment. Bonb, le soleil chauffe un peu, tant mieux, sinon, il aurait fallu le couvrir.
Il fini de manger, je le carresse, ça presence me rassure, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'il veux me parler, on dirait qu'il m'aime bien.
Je détache la longe, le laisser se dégourdir les pattes.Il caracolle, fait le fou, reviens vers moi, me humme une fois de plus. Je lui carresse les naseaux, il aime bien, subitement, il fait un ecart et recommence à courir en faisant le fou. Il n'est pas si fatigué que ça apparament.
Bon, je vais le mettre dans un enclot plus petit, faudrait pas qu'il se fasse mal à une patte, je pense que la grande amazone ne me le pardonerait pas, surtout juste avant les joutes. Faudrait pas non plus qu'il se fatigue à gambader comme ça.
Chose faite, l'animal se repose, il a à boire, un petit enclot juste assez grand pour se tourner, les chevaux des autres soeurs devant faire les joutes sont a coté, il les humme, les reconnait. un petit hennissement. Je lui donne une petite tape amicale sur le flanc, je vais le laisser, il me fait signe de la tete, il est marrand comme cheval.
Je retourne vers les bipedes, bon, cette fois, je vais peut etre pouvoir boire un coup.
Je garde toujours en vue ce bel étandart, ne pas me perdre parmis ces tentes.
Voila, enfin je voie les premieres tentes de mes soeurs, quelqu'unes sont là a s'affairer, s'occuper des armures de celle d'entre nous qui vont avoir l'honneur de nous representer aux joutes, faire les corvée inérante à la vie en communauté sur le terrain d'exercices.
Campement des Dames Blanches
Bon, en m'approchant, je cherche voir ou je pourrai bien me raffraichir un coup.
Salut les filles, comment allez vous, je suis contente de vous voir. Moi, je suis un peu plus loin par là bas.
Je montre de la main d'ou je viens.
Je suis venue avec l'épouse de mon parrain pour l'aider, car la pauvre, c'est pas avec son valet qu'elle va aller bien loin, bon, on peu boire un coup ici, parceque la bas, bin, il y a pas grand chose, enfin pas pour moi, n'étant pas noble, je suis cantoné avec le valet à monter les tentes de ces gens.
Soignez le ! Il me le faut en forme !
Oula, c'est la grande amazone qui arrive, accompagné de ma marraine et d'un homme, c'est qui lui, je croyais qu'elle était célibataire. Un prétandant? Bon, il est pas vilain, faudra le voir une fois lavé de la poussiere des routes.
Je regarde autour de moi, mes soeurs présente dans le campement sont toutes occupées.
Je m'en occupe wondervanille, je vais en prendre soin.
Je lui sourit, à ma marraine aussi, puis je prend l'animal par le licol. Il est transpirant le pauvre, un bon brossage lui fera du bien, je le regarde mieux, il est pas tout jeune, mais c'est un bel étalon racé encore vaillant tout de même.
Cela doit faire longtemps qu'elle le possede, ça doit etre une bonne monture, il est calme, se laisse mener vers le parc.
Je l'attache à la barriere, dépose la selle et le tapis. Puis je le brosse, une poignée de paille pour finir de le secher.
Je vais lui chercher de l'eau et un peu à manger, mais pas trop, qu'il ne soit pas en pleine digestion au mauvais moment. Bonb, le soleil chauffe un peu, tant mieux, sinon, il aurait fallu le couvrir.
Il fini de manger, je le carresse, ça presence me rassure, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'il veux me parler, on dirait qu'il m'aime bien.
Je détache la longe, le laisser se dégourdir les pattes.Il caracolle, fait le fou, reviens vers moi, me humme une fois de plus. Je lui carresse les naseaux, il aime bien, subitement, il fait un ecart et recommence à courir en faisant le fou. Il n'est pas si fatigué que ça apparament.
Bon, je vais le mettre dans un enclot plus petit, faudrait pas qu'il se fasse mal à une patte, je pense que la grande amazone ne me le pardonerait pas, surtout juste avant les joutes. Faudrait pas non plus qu'il se fatigue à gambader comme ça.
Chose faite, l'animal se repose, il a à boire, un petit enclot juste assez grand pour se tourner, les chevaux des autres soeurs devant faire les joutes sont a coté, il les humme, les reconnait. un petit hennissement. Je lui donne une petite tape amicale sur le flanc, je vais le laisser, il me fait signe de la tete, il est marrand comme cheval.
Je retourne vers les bipedes, bon, cette fois, je vais peut etre pouvoir boire un coup.
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