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Au Campement de la Noblesse

*atalante
Je traverse le campement de toile, ça me rappelle Fougeres et Avranches, juste que c'est plus joyeux, les gens sourient ici, et ça sent meilleur surtout, pas cette odeur de mort.
Je garde toujours en vue ce bel étandart, ne pas me perdre parmis ces tentes.

Voila, enfin je voie les premieres tentes de mes soeurs, quelqu'unes sont là a s'affairer, s'occuper des armures de celle d'entre nous qui vont avoir l'honneur de nous representer aux joutes, faire les corvée inérante à la vie en communauté sur le terrain d'exercices.




Campement des Dames Blanches


Bon, en m'approchant, je cherche voir ou je pourrai bien me raffraichir un coup.

Salut les filles, comment allez vous, je suis contente de vous voir. Moi, je suis un peu plus loin par là bas.

Je montre de la main d'ou je viens.

Je suis venue avec l'épouse de mon parrain pour l'aider, car la pauvre, c'est pas avec son valet qu'elle va aller bien loin, bon, on peu boire un coup ici, parceque la bas, bin, il y a pas grand chose, enfin pas pour moi, n'étant pas noble, je suis cantoné avec le valet à monter les tentes de ces gens.


Soignez le ! Il me le faut en forme !

Oula, c'est la grande amazone qui arrive, accompagné de ma marraine et d'un homme, c'est qui lui, je croyais qu'elle était célibataire. Un prétandant? Bon, il est pas vilain, faudra le voir une fois lavé de la poussiere des routes.
Je regarde autour de moi, mes soeurs présente dans le campement sont toutes occupées.


Je m'en occupe wondervanille, je vais en prendre soin.

Je lui sourit, à ma marraine aussi, puis je prend l'animal par le licol. Il est transpirant le pauvre, un bon brossage lui fera du bien, je le regarde mieux, il est pas tout jeune, mais c'est un bel étalon racé encore vaillant tout de même.
Cela doit faire longtemps qu'elle le possede, ça doit etre une bonne monture, il est calme, se laisse mener vers le parc.
Je l'attache à la barriere, dépose la selle et le tapis. Puis je le brosse, une poignée de paille pour finir de le secher.
Je vais lui chercher de l'eau et un peu à manger, mais pas trop, qu'il ne soit pas en pleine digestion au mauvais moment. Bonb, le soleil chauffe un peu, tant mieux, sinon, il aurait fallu le couvrir.
Il fini de manger, je le carresse, ça presence me rassure, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'il veux me parler, on dirait qu'il m'aime bien.
Je détache la longe, le laisser se dégourdir les pattes.Il caracolle, fait le fou, reviens vers moi, me humme une fois de plus. Je lui carresse les naseaux, il aime bien, subitement, il fait un ecart et recommence à courir en faisant le fou. Il n'est pas si fatigué que ça apparament.

Bon, je vais le mettre dans un enclot plus petit, faudrait pas qu'il se fasse mal à une patte, je pense que la grande amazone ne me le pardonerait pas, surtout juste avant les joutes. Faudrait pas non plus qu'il se fatigue à gambader comme ça.

Chose faite, l'animal se repose, il a à boire, un petit enclot juste assez grand pour se tourner, les chevaux des autres soeurs devant faire les joutes sont a coté, il les humme, les reconnait. un petit hennissement. Je lui donne une petite tape amicale sur le flanc, je vais le laisser, il me fait signe de la tete, il est marrand comme cheval.

Je retourne vers les bipedes, bon, cette fois, je vais peut etre pouvoir boire un coup.

_________________
Korydwen
Tente des Cournon d'Auvergne -- Campement BA

Korydwen après les nombreux échanges, les retrouvailles et autres entre amis, s'était retirée sous sa tente pour apprécier le confort de sa paillasse et des nombreux coussins moelleux qui s'y trouvaient. Elle avait fait son enquiquineuse, mais arriver à ce stade si avancé d'une grossesse, il fallait être merveilleusement bien installée. Elle s'allongea entre les coussins tira doucement une couverture sur elle et ne tarda pas à s'endormir. Le bruit autour d'elle ne la dérangeait absolument pas. Elle n'entendit pas son époux revenir sous la tente, elle sentit juste que l'on venait se blottir près d'elle sur cette couche on ne peut plus confortable.

Instinctivement elle se déplaça pour se rapprocher de lui et profiter de sa chaleur, elle sentit des caresses très douce, qui la firent doucement frissonner, elle bougea doucement gardant toujours les yeux fermés, poussant de temps à autre de petits gémissements, elle se laissa faire un long moment avant d'ouvrir doucement les yeux, d'abord en ouvrant et fermant ses paupières de nombreuses fois, puis en les gardant ouvert un peu plus longtemps, se les frottant et baillant doucement. Elle le regarda et lui fit un léger sourire, fermant encore un peu ses yeux. Après un petit instant, elle était bien réveillée, mais elle ne comptait pas se lever, elle resta avec lui, lui caressant le visage du bout des doigts. Et d'une voix très douce.


Cela fait longtemps que tu me regardes dormir ? Tu as été voir contre qui tu joutais ? J'ai pas raté ta joute au moins ? Tu veux que je t'aide à te préparer ? Certains sont déjà passés ?

Elle lui posait beaucoup de questions, mais elle l'aimait tellement et puis elle voulait tellement le voir gagner, il en avait déjà gagner quelques unes et puis c'était un grand jouteur, son grand jouteur, qui porterait ses couleurs, il devait toujours l'avoir d'ailleurs son ruban rouge. Elle l'embrassa tendrement et le regarda attendant des réponses...
Wonderanny
Invitation acceptée semble il. Quelques moments de repos avant de rejoindre la lice. Au bras du Baron elle avance vers ses sœurs. Regard circulaire, dernier regard vers son compagnon à quatre pattes qu’une jeune aspirante prend en mains semble il avec grand soins, puis retour vers le campement : quelques unes pour les accueillir, quelques autres autour d’un bon feu revigorant, elle note la présence motivée et organisée puis se laisse bercer par une douce odeur qui plane, manque plus que les bouteilles !

Parfait !


C'est vrai que des duels entre deux sœurs c'est assez inhabituel, c'est la première fois que je vois un tel cas se produire lors de joutes.

Et cette boule qui revient, sur le duel prochain. Fronçant les sourcils :

N’en parlons plus veux tu ? Nous avons bien le temps ! D’ailleurs et toi ? Contre qui joutes-tu ?! ça n’a pas l’air de t’inquiéter !

Ne pas y penser ! Ne pas y penser ! Garder le rôle de l’hôte ingénu… Peu de temps… Profiter de l’instant. Amitié. Complicité. Bras dessus, bras dessous, l’entrée est faite et les dames rejointes. Chaleur apaisante d’une grande tente perdue au sein d’un énorme bruyant campement.

Si tu lui trouves une bonne jument, sans aucun doute auras tu de forts poulains de bonne race.

Et oui Dames… un homme ! Rires.

Mes sœurs, permettez que je vous présente le Baron de Boiscommun, mon ami Rhân, et son écuyère, Dame Justine. Faites leur honneur ! Attention à vos pt’is cœurs.

La dernière phrase est soufflée discrètement tandis qu’elle les invite à prendre place d’un geste de la main.

Une bonne jument dis tu ? Ho mais… ce gaillard m’a déjà prouvé ces capacités figure toi ! Et sans que la bonne ne soit convié ! Je te le dis moi… A la retraite bientôt il sera et meilleure jument il aura !

Une portée marqué Fouc le Camp était déjà bien vaillante, mais la Dame avait de plus grandes aspirations pour le vaillant combattant. Elle prit place tandis que quelques dames s’affairaient autour des invités. Victuailles légères, boissons quelques peu enivrantes.

Trouver une bonne jument n’est pas de tout repos ! Mais je lui trouverai ! Il le mérite ! Sans lui… je ne serais peut être plus là pour te parler de sa lignée.

Souvenirs, faible sourire rapidement dissipés, enfin tentés...

Alors mes sœurs… La tente est asséchée que vous laissez ainsi nos invités !
modsognir
[Entre plaisir et travail, joie de l'escuyer]

Ils étaient sortis en dehors de la tente. Le soleil était à son zenith, il brillait de mille éclats qui gênait la vue. Le temps était une de ses journées d'automne, les feuilles qui tombaient, les arbres prenaient leur couverture d'hiver se recroquevillant sur eux mêmes. Le soleil venait frapper leurs joues, d'une chaleur qui ressemblait à un court retour à l'été. Le sol était jonché de feuilles jaunes qui le rendait glissant. Une légère brise faisait ressentir tout de même le mois d'octobre. Un regard vers la vaste plaine qui s'offrait à leurs yeux que Naluria le secoua pour aller chercher autres montures. Elle va plus pouvoir se déplacer c'est pas possible se dit il.

Il fit demi-tour vers la tente aller chercher son bordel. Il se gratta la tête......


un tabar à mes armes, ruban de satin azur........ca ressemble à quoi ca

Il chercha un moment dans cette fameuse malle. Il plaignait à ce moment le pauvre cheval qui dût porter tout cela, sacré charette qu'il faut....à moins que les nobles aient une meilleure technique. Il trouav enfin ce qu'il cherchait, ca ne pouvait être que ca. Il ressortit et retrouva Naluria lui montrant si c'était bien ca.

Tu vas pouvoir porter tout ca? Tu vas doubler de volume c'est pas possible

Un léger rire s'échappa la regardant avec un large sourire.

QUOI? Tu veux encore autre chose? Mais porte la malle sur ton dos, tu auras tout comme ca

Il retourna vers la tente en riant chercher ses gants. Ca il savait à quoi ca ressemblait et refit demi tour la rejoignant vers son cheval

Il est pret pour les joutes ton cheval?

Il avait l'impression de l'asssomer de questions,il avait hâte de voir enfin des joutes surtout
teia
Teïa avait fait le tour du campement, elle était allée boire à la taverne, avait perdu de vue Mys et était revenue vers la tente des Dame Blanches. Elle aperçue Azz et des soeurs prés du feu.

Tu vas bien Azz, veux-tu que je t'aide? Il y a un monde fou, je n'aurai jamais cru qui y avait tant de nobles dans le Royaume et tous n'ont pas l'air de s'entendre. J'ai entendue des conversations, pas tristes et le BA qu'est ce qu'ils sont bruyants!.


Elle s'approcha du cheval et déida de le panser encore un peu, il n'en sera que plus beau. L'animal est superbe, je crois que c'est celui de Wondernny pense-t-elle. J'aurai dû amener mes huiles pour que son poil brille plus mais...... je les ai laissé à la commanderie. Dommage!

Dites le filles, Wonderanny a trouvé un cavalier, dommage qu'il n'y est pas un bal mais des joutes dit Teïa en souriant en regardant le couple qui s'avance vers elle.


Alors mes sœurs… La tente est asséchée que vous laissez ainsi nos invités !

Teïa s'empresse d'entrer dans la tente pour chercher les bouteilles. Ben non, on n'est jamais en manque de gâteaux ou de boissons.
zya
[Métal et compagnie]

Multiples émotions qui passent sur le visage de Kirah et qui cause un bref sourire accentué sur le visage de l'Ange, déjà en train de fouiller à droite et à gauche après la fameuse malle.

Moi? Déliée? *claquement de langue significatif* Et qui t'as dit que j'étais d'accord? Et puis, je te suis peut être supérieure... même si dans les faits, je ne pense pas que les titres m'apportent une quelconque supériorité... mais je reste aussi ta vassale. Et en tant que telle, je te dois un devoir d'aide, de conseil et de protection. Et ça tombe bien, parce que pendant que je remplirai mon office d'aide à l'enfilage de ta protection que je m'assurerai comme bien protégeante, nous pourrons parler stratégie et donc je me chargerai de la partie conseil en prime.

Et le sourire se fait jusqu'aux oreilles, ravie de son petit tour de mots.

Tu sais bien que je me fiche des qu'en dira-t-on. Tu sais pertinemment que si ça permet à quelques langues en soif de médisance d'étancher ce besoin, et bien, qu'elles le fassent. Je ne suis plus à ça près. Après tout ce qu'on peut dire sur mon compte, de toute façon...

Eluder la question du mari? Pas sûre... Connaissant la GEF, ce ne serait que reculer pour mieux sauter... Allons-y donc.

Quant à mon mari... Et bien, disons que depuis une certaine journée de septembre où il s'est... retiré du monde, je n'ai guère de contact avec lui. Mais si cela peut te rassurer, je lui ai laissé un mot en Meymac lui décrivant mon petit voyage et notamment, mon arrêt icelieu. Je doute simplement de l'y voir arriver. Je ne l'ai déjà pas vu venir en Roubaix, alors...
Et non, je n'ai personne... hormis quelques gens qui m'accompagnent pour cette première, en effet.


Soupir qui devient joyeux quand elle tombe sur la dite-malle. Mais la face se fait grimaçante en voyant l'état de son contenu...

En effet... prend un gamin du coin... nous ne serons pas trop de trois à réparer les dégâts.... Oui oui, trois... parce que toi aussi! Non mais... t'as vu l'état de ces pièces d'armure?? Si mon Maistre d'Arme voyait ça, il serait fou!!

Et de sortir une à une les pièces, grimaçant plus ou moins, histoire déjà de les aérer... et d'observer l'ampleur des dégâts.

Et te distraire? J'ignorais avoir le rôle de Bouffon de la Duchesse... *pouffe de rire* Tu préfères quoi? Les cabrioles? Les jeux de mots? Les taquineries? *et sur un ton condescendant* Dites, mon Seigneur, et j'obéirai...
Finute
Quelques pas en avant... brouhaha complet, comprendre ses soeurs étaient difficile. Certains criaient...non hurlaient... mais ces hurlements se calmaient au fur et à mesure...
Un petit regard des yeux vers ses soeurs et.... disparues!


Grumpf... où sont-elle passées?! Voilà que je tourne trente secondes la teste pour que je les perdent de vue....

La jeune femme tournait la tête dans tous les sens, trouver les couleurs des Dames Blanches, mais cette fois à pied...plus dur.
Alors.... tente à droite, tente à gauche, nobles de partout.... Chercher Anny ou Chloé... peut estre essayer de les entendre....mauvaise idée, même pas la peine d'essayer...

Un valet...trouver un valet! De ses yeux pénétrants elle chercha un valet. Là! un tout beau tout propre...enfin beau peut être pas...


Excuse moi, où puis-je trouver le campement des Dames Blanches? Je..... honte à moi! Je me suis perdue.

Plissement des yeux pour lui faire comprendre qu'elle ne souhaitait aucune moquerie venant de sa part. Il lui indiqua alors l'endroit, elle suivit.

Merci.

Anny était avec un Baron du nom de Rhân.... ce nom lui disait quelque chose, il devait être du Bourbonnais-Auvergne, pour cela, elle avait entendu parler de bien du monde de ce Duché...vu qu'elle y avait habiter...
Les tâches allaient commencer, Finute se dépêcha alors pour aider ses soeurs. Préparer à boire pour ces personnes, et oui... enfin non, la tente n'était point asséchée... elle était remplie de victuailles pour après les joutes... Et Finute avait même amenée une spécialité Gasconne ainsi qu'un cru... bien oui...
Demi tour vers la tente pour aller aider Teïa.


Prends pas toutes les bouteilles...il en faut pour Anny et Chloé après les joutes....

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Magdeleine
[Campement des Dames Blanches]

Mysouris avait regagné le campement, Chloé avait retrouvé son écuyère, et l’aide de Mag n’était donc plus requise. Elle hésitait néanmoins à s’éloigner, devait-elle rester à proximité en cas de besoin ?
Elle savait la jeune aveugle capable de se débrouiller, elle le prouvait régulièrement à la Commanderie. Mag était admirative de la façon dont la Dame faisait face au handicap qui la touchait. D’autres se seraient repliées sur elles-mêmes, mais Mysouris faisait montre d’une force de caractère qui forçait le respect.

Songeant que si la jeune femme avait proposé à Chloé d’être son écuyère pour ces joutes, c’est qu’elle s’en sentait capable, elle les laissa donc et se rapprocha d’un petit groupe qui se formait.
Oreille attentive à la discussion en cours sur l’adversaire de Wonder. Ainsi ce serait donc l’ancienne Grande Amazone contre l’actuelle. Mais surtout deux sœurs de sang qui allaient s’affronter.
Petite moue, elle comprenait les réticences de leur Grand Maître, elle-même n’aimerait pas se trouver face à l'un de ses proches le jour où elle se déciderait à jouter. Si elle se décidait un jour …

Retour aux civilités, la Grande Amazone avait des invités.
A la suite de Téia et Finute, elle se dirigea vers l’endroit où avaient été entreposées les provisions de bouche. Petit sourire amusé en s’apercevant que ses sœurs s’était chargées des bouteilles, elle s‘occuperait donc d‘apporter des victuailles plus solides. Fouiller puis attraper une boîte de petits gâteaux aux épices.
Au moment où elle s’en saisissait, elle sentit brusquement le sang se retirer de son visage, en même temps que le sol semblait vaciller sous ses pieds. Elle s’agrippa à un piquet qui par chance se trouvait à proximité, inspirant profondément dans l’espoir de faire passer le malaise. Malaise qui n’était pas sans lui en rappeler d’autres qu’elle avait subis en d’autres circonstances. Mais cela ne se pouvait, alors quoi? Les odeurs, l’agitation, la fatigue accumulée sans doute…

Elle attendit quelques instants, se redonner une contenance. Puis pincer légèrement ses joues afin qu’elles retrouvent un semblant de couleur, avant d’aller déposer les biscuits devant les invités de Wonder.
Sibella de Vissac
[Tente d'Usson]

Le temps était radieux. Un doux soleil perçait les feuilles des arbres qui avaient déjà pris leurs couleurs automnales; Quelqu'unes jonchaient le sol et recouvrait d'un tapis, l'herbe verte. Il faisait très bon et l'ambiance était fort agréable et conviviale.

La jeune femme s'était rendue à la lice afin de regarder les premiers jouteurs, puis en attendant le passage de son époux qui jouterait en son honneur, elle était revenue à sa tente pour prendre soin de son faucon pélerin et s'enquerrir du devenir de sa chambrière qu'elle n'avait pas vu depuis fort longtemps.

Elle entra sous la tente et failli suffoquer tellement la chaleur était concentrée. Elle ouvrit deux pans de la tente qu'elle attacha afin de faire circuler un peu d'air.

Derrière la tente, toujours à sa place et bien à l'ombre d'un grand platane, son faucon avait l'air de dormir. Il était très calme malgré l'agitation aux alentours. Elle passa son doigt doucement sur son dos en lui murmurant quelques mots


Urios ? ça va ? tu es bien là. Il fait beau. Sois sage

Elle regarda autour d'elle le spectacle multicolor qu'offrait ces tentes, toutes plus belles les unes que les autres et les oriflammes qui flottaient au vent.

Sibella pris un siège qu'elle installa dehors devant la tente, ainsi qu'un manuscrit et profita de ce repos pour lire un peu. Elle aurait bien voulu que sa chambrière arrive afin de lui faire préparer quelques rafraichissements et des biscuits. Il lui semblait avoir faim. Elle passa sa main sur son ventre en souriant en pensant au bébé.

Azdrine avait raison, comme bien souvent d'ailleurs, elle devait se reposer. Les grandes chevauchées à cheval à travers les terres du manoir, les joutes, les longs voyages en carrosse devaient s'interrompre encore pour quelques temps afin qu'elle prenne soin de sa santé et celle de leur enfant. Il était tellement heureux de savoir que la famille allait s'agrandir, certes il restait discret, il n'était pas très démonstratif c'était sa façon d'être, mais il prenait grand soin d'elle et il était plein de délicatesse à son égard.

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Aélis Amandine
[Bazar berrichon, devant la tente de Chlo]

eh la blondasse, ton duc l'est là

Enorme soupir de la "blondasse" en question tandis que le sale gosse se fait traîner par sa mère vers l'intérieur de la tente. "Ca tu me le paieras mon petit !" pensa in petto Aélis avant de retenir un éclat de rire en voyant le jeune homme mimer quelqu'un qu'on étrangle. Ces maternelles, j'vous jure.... Encore une à qui il valait mieux pas désobéir tiens!

Se disant qu'il faudrait qu'elle aille voir le marmouset jouter, en priant pour qu'il tombe en plus bien sûr, elle s'approcha de l'homme qu'il lui avait désigné comme étant le régnant de Berry. Lassée de cette commission qui trainait en longueur, et pressée e retrouver l'auberge et son vin chaud, elle s'inclina néanmoins poliment devant le duc avant de l'aborder aussi gracieusement que possible.


Votre Grâce. Je vous prie de bien vouloir m'excuser de cette interruption... Je suis envoyée vers vous par son altesse Morgennes de Mortain. Il se trouve présentement à l'auberge du bourg, et vous invite à l'y rejoindre quand il vous siéra .

[hrp]Action sur le perso de Chlodwig évidemment accomplie avec l'accord de son joueur et selon ses directives.
mysouris
[Dame Blanche : campement]

Mysouris se demandait où était passé Chloé. Elle l'avait bien entendu l'appeller, mais ensuite plus rien...
Etait elle déjà partie jouter ? Angoise qui la prenait. Avait elle manqué à son rôle par son petit tour ?
Trop de bruits ici, elle n'aurait pas du venir. Mysouris se demandait que faire pour retrouver son amie. Drizz le fol l'avait pourtant bien sentit. Mais après plus rien. Mysouris fini par s'asseoir dans un coin du campement et attendre que Chloé vienne la réclamer pour se préparer.
althiof
[Tente des Cournon d'Auvergne]

Il n'arrivait pas à trouver le sommeil. L'excitation des joutes était bien trop forte mais le seul fait d'observer l'amour de sa vie si paisible suffisait à l'appaiser lui même et évacurer une partie de cette pression qui était nécessaire et bénéfique mais à dose modérée. Et puis elle était tellement belle, tellement gracieuse et sensuelle quand elle venait se coller naturellement contre lui dès qu'il se couchait. Il caressait régulièrement son ventre arrondi mais aussi sa poitrine dénudée ce qui la faisait frémir. Puis doucement elle commença à ouvrir les yeux. Il était tourné vers elle la tete contre son bras et attendit qu'elle ouvre grand les yeux. Ellle lui sourit et caressa son visage.

Cela fait longtemps que tu me regardes dormir ? Tu as été voir contre qui tu joutais ? J'ai pas raté ta joute au moins ? Tu veux que je t'aide à te préparer ? Certains sont déjà passés ?

Il sourit devant autant de questions et essaya de ne pas en oublier.

Ca fait quelques minutes que je t'observe. Tu es si belle quand tu dors je voulais pas te déranger. Oui je suis allé m'imprégner de l'atmosphère de la lice. Il y a vraiment beaucoup de monde mais cela a visiblement pris du retard.

Sun a perdu contre Marie Alice malheureusement. Moi je ne sais pas trop quand je passe mais autant se préparer ça ne sera pas à faire et puis comme ça on aura tout le temps pour que tout soit parfait.

Tu as quelqu'un pour préparer Pégase ?

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Naluria
[Eh Oh, Eh Oh, Il a plein de boulot]

Modsognir apparu les bras plus que chargé, lui posa une question mais était déjà reparti. Naluria sourit, son escuyer semblait prendre sa tâche à coeur. Etait-ce la fonction d'escuyer ? Travailler pour une femme ? Travailler pour elle ? Elle qui lui avait tant de fois dit non, dont la confiance avait été difficile à gagner, elle avec qui il avait des souvenirs en commun...

Il revient pour la seconde fois, chargé comme une mule, elle sourit puis prit les affaires qu'il tenait dans ses bras pour les mettre au sol.

Le temps des réponses aux questions était arrivé.


Je me dois de porter tout cela Modso, sinon c'est mon corps qui y restera. Il serait dommage que je m'abîme en joute et non en guerre, même si ces blessures réapparaissent parfois.

Elle sourit puis prit les lambrequins et commenca à les nouer dans la crinière de Lys d'Orléans.

Quand à doubler de volume... J'avoue qu'il est dommage que ce ne soit que du tissu et que par quelques prières pour le Très Haut, il m'offrirai une poitrine un peu plus importante afin que lorsque je serre mes corsets elle soit encore plus rebondit.

Naluria éclata de rire puis prit la couverture d'azur.

Tiens aide moi à habiller Lys d'Orléans. C'est un cheval des Ecuries Royales. J'ai déjà courru avec lors d'une course privée aux Chasses. J'avais adoré. D'ailleurs, il me faudra trouver la Peste.

Elle flatta sa monture et la regarda avec admiration, puis se sentant regarder par Modso, elle tourna son regard vers son escuyer et sourit. Que pouvait il bien penser.

Lorsque je serais appellée, tu aura la lourde tâche de prendre mon oriflamme, une lance et mon épée, puis, prendre la bride de Lys d'Orléans pour nous emmener sur la lice.

Tu penses que ca ira tout ca ?
kirah
[Parait que faut décrasser]

Mimique amusée devant la hardiesse de ... bah oui... son ecuyère...
Pour peu, elle l'aurait comparée à de la mélasse ou ces papillons attirés par le miel et ne se décollent plus au final. Mais l'attention est flatteuse... et au vu de l'absence du flatteur éhonté qui hante ses reves, c'est qu'elle serait presque en manque. Zut, il allait falloir trouver un nouveau tailleur, voir contacter celui du cher et tendre, qui avait l'expérience de la chose. Allons allons ! retomber sur terre, et répondre à Zya. Bougre, c'est qu'elle a le verbe aussi haut que ce qu'on lui prete... attention au double, triple et multiples sens et contresens !


Ah ? parce qu'il y a de la stratégie dans les joutes ? Ce n'est pas "on tient le baton et advienne que pourra ?"

Osera-t-elle ? oui, elle ose le visage angélique et innocent suite à cette remarque, curieuse d'entendre ce que son ecuyère va lui proposer donc. Et voir quelles lecons elle a appris de celui qui fut - est toujours ? - son maitre d'armes.

Eh bien soit, travaillons de concert. Note que... on ferait bien de rassembler notre attirail au meme endroit et nous aider mutuellement. Après tout, sans les gantelets et le heaume on arrive encore à se remuer, meme si c'est... quelque peu ardu et réclame de la souplesse.
Mais peut etre de ton coté, un membre de l'Ordre est il pret à te seconder.


Courte réflexion quand elle lui parle de Rehael... Mwais... ca lui rappelle quelque chose cela... PEF ... paf pouf... Mais bon, mieux vaut ne pas en rajouter.

Qui sait... imagine un blanc destrier, nimbé de lumière, une armure scintillante, les cheveux au vent... Charmant tableau. Après... imagine une grosse flaque de boue. C'est qu'il recommence un peu à pleuvoir en ce début d'automne...et pouf... finie l'armure et la robe rutilante. Tout de suite, ca perd un peu de sa poésie non ? Donc bon... ton mari, mieux vaut éviter l'entrée en fanfare, il risquerait une belle glissade. Et malgré sa haute spiritualité, il m'étonnerait qu'il flotte par dessus.

Imaginant la scène, elle retient un fou rire... qui augmente encore plus quand elle voit la grimace que retient difficilement Zya en découvrant la malle et son contenu.

Alors ? tu veux toujours etre mon écuyère ?
Un gamin dis tu ? Humm attends donc...


Elle s'approche de la malle, soudain plus sérieuse, la militaire reprenant le dessus, et jette un oeil expert à l'ensemble.

Plus d'un je dirais. Il va falloir débosseler ceci... Leve une épaulière qui a bien souffert en Bourgogne... récurer celles là...
Et cette lanière de cuir... aie ... la honte !

Avance une moue faussement contrite...

Bon d'accord tu peux me faire la lecon... Mais d'abord...

D'un geste elle sort hors de la tente, appelle un gamin, l'envoie au chateau... aux cuisines plus précisément, et aux ecuries ensuite, avec différentes choses à lui ramener.

Bien ! sortons donc tout cela au dehors, au moins verrons nous l'agitation du campement, et commenter tout cela nous occupera-t-il pendant que nous avancons... les joutes sont pour dans combien de temps ?
Beths
[Tente de Gondole ... intenses réflexions]


Elle avait regardé Sibella partir. Ainsi, cette dernière ne connaissait pas son adversaire ? Étrange, mais après tout ... pourquoi pas. Que lui importait de toute façon.
Elle jouterait et c'était bien là le plus important.

Apparemment les premiers tours avaient commencés puisque certains d'entre eux avaient été appelé. Parfait, elle avait hâte.

Retournant à l'intérieur de sa tente, elle commença à remettre d'aplomb toutes les affaires que Kory lui avait prêtées.
Elle tombait des nues en voyant tout l'attirail qu'il allait lui falloir porter.
C'est qu'elle avait été écuyère, mais hormis s'occuper d'un cheval et tendre les différentes armes, elle n'avait jamais aidé "son seigneur" à s'habiller. Il valait mieux d'ailleurs pensa-t-elle amusée, sans quoi Kory lui aurait sauté à la gorge, expérience qu'elle ne préférait pas tenter.

Elle souleva les pièces métalliques une à une.
Pfiou c'était lourd tout ça. Et surtout, surtout, mais ... comment allait elle faire pour s'habiller ?
Elle passa en revue les autres possibilités : Kory ... sauf qu'elle était enceinte jusqu'au cou et qu'elle devait déjà s'occuper d'Althiof. Sibella, ben ... un peu moins enceinte, mais même configuration.
Arg. Oh il lui restait l'option de héler un quelconque écuyer qui passait par la. Ou bien prendre sa belle plume et demander assistance de l'un des Nobles du BA pour qu'il lui prête écuyer digne de ce nom. Oui mais qui ? Marty ? Hum il serait capable de lui envoyer des orties plutot qu'un écuyer, Naluria ? euh ... elle devait déjà être occupée, Le Doyen n'était pas suffisamment alerte, bon qui d'autre ? Elle n'allait tout de même pas demander à leur hôte!

Aucune des solutions ne lui plaisait à vrai dire.

Gnnnn. Elle aurait du s'occuper de cette question bien avant boudiou !

Regardant de nouveau le matériel, elle tenta de se débrouiller seule.

Après moult essais infructueux, une chemise trempée de sueur et soufflant comme un boeuf tirant charrue, elle n'eut d'autre choix que de constater qu'il lui faudrait de l'aide.

Soupirant, elle se dit que ses suzerains seraient les plus à même de ... au pire, elle serait envoyée vers un abreuvoir, et présentement elle n'aurait pas dit non tant elle avait chaud de s'être battue avec ses morceaux de métal!

Sortant de sa tente, respirant et profitant de la douce brise, elle se dirigea vers la tente d'a côté.


[Devant la tente des Cournon]


Toussotant et prenant souffle



Koryyyyyyyyyyyyyyyy ? AAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaallllllll ?


Elle attendit patiemment que quelqu'un lui réponde. Et ... et s'ils étaient déjà sur les bords de la lice ?
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