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Au Campement de la Noblesse

modsognir
[Une demande par ci, une autre par là]

Moment de répis et c'est reparti au triple galop. Lui qui croyait que c'etait aux chevaux d'aller au galop...eh bien non. Alors dans l'ordre.....bride, aller à droite, estrade, non bout de lice, réparer lance......et heaume. Naluria était un vrai débit de...d'informations. Apres avoir fait la recette Naluria, il devait mélanger cette salade pour faire quelque chose de mangeable...humm il réfléchit et mis les mots dans l'ordre......heaume,bride, aller à droite, au bout de lice puis réparer lance.......oui il devait avoir le quinté juste!.

Il se répéta l'ordre des choses. Il se doutait bien qu'il ne fallait pas lui faire répéter. QUoique entendre pousser un peu sa voix, c'est pas si désagréable......euh si si....bon reprenons


Euh oui je crois avoir tout compris.
Je dois dire que tu es belle, c'est tout ce que j'ai à faire c'est bien ca?


Il lui fit un large sourire....ca ne devait plus être le temps de l'embêter, ce qui voulait dire que ca l'était en fait!

Il se retourna pour prendre son heaume puis prit la bride de son Lys d'Orléans


A droite donc?

Il emmena le cheval vers la lice l'ecoutant pour avoir les nouveaux ordres
Korydwen
Chez la Gondole ou l'art de la préparation aux joutes. Fin

Korydwen avait fait place au rire, la gêne fut rapidement oublier, elle riait tout en préparant Beths, la sachant peu sur d'elle, elle avait préféré que sa vassale se protège bien, certes si chute il y avait cela risquait d'être drôle connaissant le phénomène, mais si elle en venait à se faire mal. Elle l'aida bandage, sous vêtements d'armure, armure, lance, écu... Cheval.

Beths demandait de temps à autre de l'aide, Korydwen l'aidait en souriant, elle passait un très bon moment avec sa vassale et l'appréciait de plus en plus, elle l'aimait déjà beaucoup, mais plus les mois passaient et plus le choix de son époux avait été judicieux. Elle sourit en la voyant traîner sa lourde armure, mais pour sur que Beths finirait par s'habituer, elle avait peur de l'abîmer, Korydwen la rassura de suite, une armure abîmée se changeait et puis, elle avait déjà du la changer quelques fois. Il ne fallait pas que Beths s'en fasse.

Elle essayait de la faire décompresser avant sa joute, si elle se posait trop de questions, elle risquait de rater. Beths prête, elle la laissa filer vers la lice et partit à son tour d'un pas rapide vers la lice.
Beths
[Fin du 1er tour, retour au campement, joyeuse compagnie du BA, direction la tente de la Gondole, grognements en vus]



Après avoir quitté perdante la lice, Beths se dirigeait rouge colère vers sa tente. D'une part, elle n'avait qu'une hâte, retirer cet attirail métallique, bruyant, pesant et aidant fortement à la transpiration!
Elle avançait donc à pieds en armure, tenant Canasson au bout de sa longe, seul le heaume manquait, heaume qui devait d'ailleurs toujours se trouver au beau milieu de la lice puisqu'elle l'avait balancé en direction du jouteur adversaire, mais qui permettait à la jouteuse de respirer et de laisser ses cheveux libres.
Et puis elle râlait la Gondole, elle râlait non pas parce qu'elle avait perdu, car au final, passé la 1ere déception, elle était heureuse d'être venue pour avoir pu affronter au moins un adversaire valeureux, et puis pour avoir eu la chance d'avoir une suzeraine écuyère, non elle râlait contre les hommes. Contre tous les hommes, et plus particulièrement contre celui qui avait été son adversaire.
Tous les noms d'oiseaux y passaient, et pas que les noms d'oiseaux d'ailleurs ...



Bête ignoble, crétin des bas fonds, moineau présomptueux, triple idiot, corbeau borné, bécasse malodorante, ...


Elle n'était jamais à court d'idées dans ce domaine la Gondole. A croire qu'elle s'entrainer à réciter ce genre d'épithètes tous les soirs avant de s'endormir.

Elle traversait ainsi le camp jusqu'à sa tente. Et fort heureusement, aucun homme n'eut la mauvaise idée de venir la trouver en cet instant. Sinon le pauvre hère se serait vu envoyé sur des roses pleines d'épines, ou dans un champ de ronces, si tant est qu'on lui avait montré où en trouver.

Cling clang cling ...

Naturellement bruyante, habillée d'une armure et avançant à pieds, et bien, elle faisait encoooooore une fois du bruit. C'en était ... désespérant ? Changerait elle un jour ? Hum ... qui sait ...

Enfin, SAAAAAAAA tente en vue, elle allait pouvoir se changer tout en continuant à rouspéter.

La question qu'elle ne se posait pas encore mais qui viendrait surement ... partir ou rester ? Assister aux joutes des autres Nobles ? Voir qui emporterait le tournoi ? Pourquoi pas, et puis, elle s'était dit qu'elle noterait qui était le meilleur jouteur du BA pour pouvoir demander à cet individu de l'aider à se perfectionner ... Et puis ... n'avait elle pas proposé à Al si elle perdait et pas lui de s'occuper de son cheval ?
Toutes ces questions viendraient ... assurément.
Duncan_Idaho
L'agitation était terminée à la tente Morteau, les bagages étaient prêts, Sigismonde, Duncan Idaho et leur petite étaient montés dans le carrosse.
Fortement indisposée, il fallait à nouveau du calme à Sigismonde, et donc un retour rapide à leur demeure.

Avant de partir, Duncan remit un pli à l'attention du Duc Llyr, puis le carrosse entama sa route ...

_________________
Naluria
[Nalu revient de joute, mironton, mironton, mirontaine]

Il n'y avait pas de temps à perdre, déshabillage, bain, belle robe et banquet. Naluria pressait Modso.

Aller vite vite Modso, on va être en retard.

Naluria lança ses gantelets au sol, descendit de Lys d'Orléans.

Allez aide moi à retirer tout ca, nous sommes pressés.

Modso s'accomplit nonchalement, mais lorque Naluria retrouva sa chemise ses brais, bas et bottes, ca allait beaucoup mieux. Elle se dirigea vers la tente où se trouvait le baquet.

MODSOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO.

Bon oui, elle ne rivalisait pas avec Beths mais au moins ca alertait son étuvier.

Peux tu mettre l'eau qui chauffe sur le feu dans le baquet pendant que je me déshabille s'il te plait.

Elle retira ses bottes, releva ses braies afin de délacet les jarretières et faire glisser les bas le long de ses jambes. Ceci fait, elle retira sa chemise et regarda ce que faisait Modso, l'étuve était remplie. Elle défait son chignon et remercia Modso.

Merci Modso, tu peux sortir afin que je finisse de me déshabiller. Tu reviendra après pour me mettre de l'eau sur les cheveux.

Une fois parti, elle retira la mousseline qui lui tenait la poitrine puis ses braies avant d'entrer dans le baquet, chaud, relaxant. Naluria fermit les yeux et posa sa nuque sur le rabord du baquet. Ceux ci touchait le sol tant la chevelure de Naluria était longue. Profitant plusieurs minutes de la chaleur du bain comme si elle était revenue en enfance lorsque ca mère la pressait contre ses seins et où la chaleur et l'odeur maternelle la rassurait. Revenant aux festivités, elle prit du savon et commença a s'en oindre et se laver tendant un bras, puis l'autre, une jambe, puis l'autre, puis s'en mettant que les mains pour se laver le reste du corps.

Pour se rincer, elle s'immergea dans l'eau, ses cheveux flottant à la surface de l'eau. Depuis toute petite elle aimait la sensation d'être sous l'eau, au calme, sorte de bien être intérieur où l'esprit peut nager avec le corps, communion réelle entre son âme et son corps. L'obligation de faire attention à sa respiration pour ne pas se noyer aidant.

Avec une impulsion,elle se releva et invita Modso à entrer.


Peux tu me mettre de l'eau sur les cheveux s'il te plait ?

Elle s'avança au centre du baquet et se recroquevilla pour laisser le moins paraître toute partie d'intimité. L'eau coulant sur ses cheveux et ses épaules, elle frisonna.

Tu as de l'huile parfumée sur le coffre en bois, c'est pour me laver les cheveux.

Elle se laissa faire, étant dans un cas d'infériorité incontestable.
modsognir
[retour des joutes.....autre moment important]

Le retour des joutes, il savait ce que cela signifiait......elle lui en avait tant parler pour le titiller depuis son arrivée ici.

Allez aide moi à retirer tout ca, nous sommes pressés.

Dire ca à un homme....humm cela ne peut être qu'excitant. Elle le faisait expres? ben bien sur qu'elle le faisait expres. Naluria était une de ces femmes qui aimait taquiner les personnes proches d'elle et montrer sa sensualité et sa féminité en bien des circonstances. Il l'aida à se dévêtir, enlever toutes les couches qu'elle avait mise. Bien plus de temps de préparation que de temps effectif........bien la peine tiens. Après faudra laver au lavoir tout ca et ca sera pour ma pomme se dit il.

Mettre de l'eau chaude dans une grande bassine.....ca c'était dans ses cordes. Il prit l'eau la deversant delicatement dans lebaquet surveillant que la température soit bonne pour s'y introduire.

Il dût sortir un moment dehors. Il n'avait pas à être là lorsqu'elle se mettait nue pour ne faire plus qu'un avec l'eau qui allait pénétrer en elle et la délaisser
.

Peux tu me mettre de l'eau sur les cheveux s'il te plait ?

Euh...oui bien sûr

Il répondit cela par instinct sans véritablement réagir. Il rentra dans la tente et la vit agenouillée dans le baquet cachant au mieux ses formes mais s'il pouvait voir son magnifique corps qui s'offrait à lui. Il ne dit mot et aller chercher l'huile essentielle. Il ne savait pas vraiment si cela était sa place. Il se placa derriere elle et passa sa main dans ses cheveux caressale haut de sa tête de temps à autre. Il regarda droit devant lui n'osant baisser les yeux pour mieux la regarder. Elle ne pouvait cacher toute sa poitrine. Il avait du mal à résister mais il faisait du mieux qu'il pouvait jetant quelques coups d'oeil furtifs.
Naluria
[Precipitation Pleaudienne]

Modso semblait mal à l'aise tellement les bruit du dehors pouvait être entenfu aisément par Naluria.

Tu peux parler tu sais.

Naluria sourit malicieusement.

Peux tu me rincer les cheveux s'il te plait ?

Naluria baissa sa tête en arrière ce qui laissait dévoiler un peu plus sa nudité. Tout en laissant couler l'eau sur ses cheveux, elle donna de nouvelles instructions à Modso.

Nous avons avons pas le temps de manger, du moins pas moi. Tu ira donc prendre un panier de ripaille dans la salle du banquet comme l'ont préparé les gens du Lavardin pour des éventuelles repas champêtre. Nous mangerons donc après, peut être que d'autre se joindront à nous.

Le rinçage étant fini, elle se lève, dos à Modso et presse et essore sa chevelure comme si c'était un linge de soie tanée.


Un linge pour me sécher s'il te plait.

Naluria tend le bras en arrière pour réceptionner le linge tendu par Modso, puis elle s'enroula dedans avant de sortir du baquet.

Je vais m'habiller. En attendant va chercher le Seigneur d'Auzances afin que l'on se retrouve aux chasses. C'est mon Grand Louvetier et se doit d'être là. De plus j'ai un présent à lui faire.

Naluria fait une pause en souriant.

N'oublie pas le panier champêtre.

Elle laisse Modso disposer, puis commenca à s'abiller : Robe à tournure pourvu d'une traine de gueules, journade de sable , des bottes d'équitation et d'un couvre chef de même. Un peu de parfum, un peu de safran comme fard et elle fut bientôt prête.
modsognir
[Encore du travail....]

Caresser les cheveux de Naluria, jamais il n'avait pensé à faire ça un jour. Déposer ses mains sur sa belle crinière et les effleurer dans un premier temps, les caresser dans un second temps et enfin les laver. Sa chevelure était ce qui faisait que Naluria était Naluria : cette femme d'une beauté rare, unique comme un vin peut l'être.....un beau contour, une belle robe, et une senteur qui réveille tous ses sens.

Il avait du mal à décrocher un mot, comment fais-t-on déjà? Articuler? Humm bien quelque chose de dur à faire. Un silence se fit ressentir mais elle essayait de le faire parler avec bien du mal.


HUmm oui je vais te rincer les cheveux.

Il ne s'était jamais senti aussi gêné, aussi peu sûr de lui même. Il ne se sentait pas vraiment à sa place. Il avait souvent pensé à la voir dans le simple appareil mais....là non. Un frisson parcourait son corps. Elle était belle, trop belle peut être même, sans doute le soucis, il ne pouvait rien faire à part rincer ses cheveux. La tête penchée en arrière....humm oui vraiment belle, c'était bien le mot.

Elle lui demanda d'aller chercher un repas champêtre après le bain pris. Voilà quelque chose qui faisait retomber un peu la tension


Oui j'irais le chercher.

Elle se leva découvrant mieux son dos, ses fesses, ses jambes élancées. Son regard pétillait, un sourire se dessinait peu à peu sur son visage. Il reprenait peu à peu son assurance et son envie de la taquiner.

Un linge pour me sécher s'il te plait.

Tu sais tu peux rester comme ça. Tu peux même te retourner si tu as envie

Un sourire en coin lui tendant en même temps le linge le mettant dans sa main.

Chercher le Seigneur d'Auzances? Euh oui...je le trouve au campement des limousins?

Elle voulait s'habiller en toute tranquillité. Il sortit donc de la tente avec deux tâches qui l'incombaient. Une fois dehors, il s'arrêta un moment, ne bougeant plus. Il lâcha un grand soupir et un "Waouh". Il reprit sa route vers la recherche du panier et de l'homme
Beths
Entre le 1er et le 2nd tour

[Tente Gondoliale, déshabillage]


Sueurs et grognements étaient les maitres mots de l'instant dans la tente de la Gondole. Et noms d'oiseaux aussi. Et délectation de mille souffrances imaginaires qu'elle pourrait appliquer à cet ignoble individu, et aux hommes de façon générales, parce que humpf ... tous pareils!
Il lui fallait retirer l'armure, mais elle rêvait ... elle rêvait d'aller se plonger dans une rivière, dans un lac, dans le lac aux fées ... Soupirs ... ce désir là ne pouvait être satisfait. Sortant alors la tête de sa tente, elle alpagua un jeune garçon, serviteur apparemment



EH TOI!!!!
Va me trouver un baquet et fais le amener ici dans ma tente. Et amène moi des seaux d'eau aussi!!! De l'eau chaude hein!!!!



Le garçon comprit il qu'elle n'était pas tout à fait d'humeur pour discuter ? Et qu'il valait mieux accéder rapidement à ses souhaits ? Toujours est il que rapidement il revint accompagné d'autres et que miraculeusement une baignade improvisée allait pouvoir se faire.
Il faudrait qu'elle pense à remercier l'hôte et maître des lieux pour l'efficacité de son personnel. Hum ... plus tard, quand elle serait ... présentable.
Attendant que les serviteurs soient partis, elle s'assura de la fermeture des liens de sa tente. Elle préférait éviter les mauvaises surprises ... c'est toujours au moment le moins opportun que l'on s'adressait à elle, et elle mourrait de honte si on la voyait ... dans son baquet en train de vaquer à ses ablutions.
Sans l'aide de Kory, retirer l'armure s'avéra difficile, mais elle parvint à cet exploit avec quelques perles de sueur supplémentaire.
Au fut et a mesure les pièces métalliques s'amassaient au sol dans un grand BLIIIIIIIIIING.
Elle fut enfin en dessous d'armure. Elle retira les bandages, et les dessus. Grimaçant elle remarqua quelques traces rouges de-ci, de-là sur son corps. Puis elle haussa les épaules devant sa puérilité, qu'importait ces traces puisque personne ne les verrait.
Tâtant du pied la température de l'eau, qui était juste comme il fallait, elle entra entièrement dans le baquet avec un énorme soupir de contentement. Elle s'efforça à faire le vide dans sa tête pour ne profiter que de l'instant de douceur et pour réfléchir tranquillement.

Le temps passa un peu, et c'est un frisson qui lui fit prendre conscience que l'eau avait nettement rafraichit. Sortant alors, elle se sécha et remit ses habits .... de maréchale. Elle avait retenu la leçon, paaaaaaaas de robe lors de joute. Déjà qu'elle en mettait jamais ...
Elle s'était décidé, elle resterait, et si Al l'acceptait, elle s'occuperait de son cheval.
Lorsqu'elle fut prête, elle sortit de sa tente



[Re-belotte, devant la tente des Cournon d'Auvergne]


YOUHOU DE LA TENTE!!!

C'est encore votre pire vassale!



Al devait bien être rentré de son 1er tour vu qu'il avait jouté avant elle, et elle espérait qu'il n'était pas déjà reparti ... Et Kory, enceinte jusqu'au cou, devait bien etre la, en train de se reposer ... enfin tenter ... avec sa pire vassale dans les parage ... ce n'était pas gagné ...
chlodwig_von_frayner
On ne pouvait gagner à tous les coups en effet… Habitué qu’il était à perdre au premier tour, il s’était laissé griser par sa victoire rapide et nette sur son premier adversaire. Mais il avait oublié qu’il y avait souvent plus fort que lui. Et il était tombé sur le marquis Turenne… Mais au moins perdait il contre un adversaire de grande valeur et il n’y avait nul démérite. Mais il avait tout de même perdu et c’est en râlant et en pestant qu’il revint vers le campement. Sur le chemin, il se demanda comment Sybille aurait pris cette défaite. Sûrement en lui disant qu’il était le meilleur et que de toutes façons, il n’y aurait jamais de plus adorable grand frère que lui (en même temps il était le seul). Mais bon… elle n’était pas là et elle lui manquait par moments… il avait beau être le grand, le fort, l’invincible Chlo… il était souvent triste quand elle n’était pas là… et cela arrivait trop souvent. Quand s’étaient ils vu pour la dernière fois ? Pendant l’enterrement…

Il chassa les noires idées de sa tête… il avait mieux à faire… Retourner dans sa tente ? Pourquoi ? Il n’avait nulle envie de revoir sa mère et les autres… Il préférait flâner seul au grés des rencontres sans avoir d’autres but que marcher… à cheval cela n’en aurait été que mieux, mais sincèrement, retourner à sa tente pour se faire déshabiller par son écuyer ne le tentait nullement… Aussi choisir il d’errer là où le conduiraient ses pas…

Il marcha pendant pas mal de temps, jetant un regard à droite et à gauche, histoire d’apercevoir les blasons… Sourire et saluts de temps à autres… et puis soudain… une silhouette bien connue se profila devant lui… une silhouette qu’il n’avait vu depuis longtemps et toute colère, toute noire pensée et tout ennui le quittèrent. Il avait retrouvé son ange, l’une des rares personnes à apporter un peu de soleil dans sa vie; un léger sourire se déposa sur son visage. Son ange… Il se retint de courir la prendre dans ses bras… parce qu’avec l’armure ce ne serait sûrement pas très pratique. Il prit son mal en patience et se résolut d’avancer à son rythme… c’est-à-dire comme il pouvait.
zya
[Tente meymacienne, avant l'attaque d'un rapace]

Cliquetis, cliquetas au lointain... alors qu'elle renvoyait servantes au Belzaizien. Sourire aux lèvres, un peu de coin, il ne chercherait pas un peu les potins?

On ne peut pas dire qu'il ait fait dans le genre discret. Bien à vue de tous, il envoie femmes à la rescousse de son dos meurtri par le sol, comme si elle avait besoin qu'on la console.
Bien entendu, dans un camp comme celui ci, on peut être assuré que les langues se délient et qu'on parle vertue et ineptie pour que la rumeur sorte de son lit comme il y a quelques mois, lorsqu'ils s'étaient vu en terres Icoises.
Sourire qui s'accentue. Jeu amusant? Se gausser des gausseurs? Farcer les farceurs? Médire des médi...sants? Jouer à leur insu?

L'Ange se retourne. L'Aigle se profile et fond sur elle, avec, ma foy, une drôle de gestuelle. La malchance tourne.
Lui rendre la monnaie de sa pièce? Petit diable qui l'en défend. Pensée pour le père absent. Du coup, hautainerie sur le facièce.
Et c'est d'un verbe haut et d'une stature raidie, que de quelques paroles le plaisantin, la Belle acceuillit :


Voici donc le doux sieur qui cherche remède à mon dos engourdi? Baronnet de son état... cachotier que voilà! Bienvenue à mon antre... Et si mon cher ami le veut, qu'il y entre.

Et la Dame se relève, toutefois un peu étourdie, car diablotin se révèle être, celui qui en son ventre vit.
Et de lui tendre la main, dans le but d'un baiser.

Petit jeu qui, de courtois, n'en a que l'aspect.
althiof
[Tente des Cournon d'Auvergne]

Il venait juste de finir sa joute et était rentré à sa tente. Son épouse l'avait aidé à enlever les pièces de son armure. Le calme régnait mais nul doute que cela ne durerait pas et cela ne manqua pas...

YOUHOU DE LA TENTE!!!

C'est encore votre pire vassale!


Il sourit à son épouse. Il serait de toute façon bientôt ammené à retourner sur la lice.

Ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiii patate c'est ouvert !

Il sortit grand sourire aux lèvres. M'enfin le nécessaire pour brosser Pégase est pas dedans.

Enfin si ça te tente toujours. T'es plutôt pas mauvaise pour ça... On pourrait même aller jusqu'à potable.

Bon alors sinon raconte. Ces premiers joutes ? On te reverra sur la lice j'espère

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chlodwig_von_frayner
Rencontre entre un Aigle et un ange… C’était bien évidemment l’ange qui gagnait. Son ange… Et il lui concédait sans mauvaises grâces, car quel intérêt d’en avoir un à soi si c’était pour lui ôter les ailes ? Bien qu’il veilla plus souvent sur elle que l’inverse, il continuait à l’appeler ainsi, autant par plaisir de faire enrager son mari lorsqu’on lui rapporterait, mais aussi parce qu’il le pensait vraiment… Une relation de franche amitié s’était installé entre eux, bien qu’émaillé de gestes qui auraient put prêter à confusion, surtout lorsque son mari l’avait lâchement abandonné pour partir au monastère. Elle ne lui avait jamais parut aussi fragile que pendant cette période où il l’avait récupéré au bord de la crise de nerfs et de la faillite mentale. Et il savait que son mari, malgré son retour n’était guère présent. Alors qu’en penser ? C’est pour cela qu’il avait envoyé des servantes lui apprêter un bain, parce que si personne n’y pensait… au moins il y aurait lui… à qui il n’avait pas échappé que l’enfant était devenu femme et méritait attention.

L’ange se retourna, éclairant un court instant la vie et l’âme de l’Aigle lorsque leurs regards se croisèrent, regard bien vite assombris. Il s’approcha un peu plus, et pris la main tendue pour y déposer un baiser. Que se passait il donc ? Où était passé l’habituel sourire qui d’ordinaire flottait sur ses lèvres à sa vue . Se put il qu’il lui ai déplut ? Cette idée passa sur son cœur et le serra. Il avait si peu d’amis qu’il ne pouvait se permettre d’en perdre de tels… surtout en ce moment où la faucheuse visitait sa vie et ses proches. Et face à l’air hautain se dressa soudain un regard profondément ennuyant et un semblant de faciès blasé. C’est qu’il savait le faire ainsi l’Aigle.


Le doux sieur ne cherche qu’à prendre soin de l’ange qui soigne son cœur… Quand à ma dame… j’ose espérer qu’elle va mieux… et qu’elle me dise ce qui depuis tout ce temps a changé… pour que je me retrouve accueillis comme un va-nu-pied. Mais soit entrons dans votre maison, ma chère amie pour qui j’aurais, il y a peu encore, donné ma vie.

L’Aigle et l’Ange entrèrent sous la tente, ou dans son antre, pour reprendre les mots qui venaient de la propriétaire des lieux. Un air embarassé sur les lèvres, le clos la regarda mal à l’aise. Il ne savait que dire… L’attitude peu engageant le rebutait… Allons… pourtant… c’était zya… SA ZYA ! Pourquoi cette distance ? En quête de réponse, il guetta geste et paroles venant d’elle… Car courtois ils le sont, mais d'ordinaire... le jeu seul les habites... Alors que penser ?
Korydwen
[Tente des Cournon d'Auvergne]

Joute terminée, retrouvailles après la joute de son époux, regarder Beths jouter, puis un instant qui lui paru une éternité pour retourner dans leur tente, elle aida son époux à retirer ses pièces d'armure, elle faisait ça doucement, son ventre volumineux, l'en empêchant un peu et il valait mieux faire attention, ne pas accoucher maintenant... Pauvre enfant. Elle savait aussi que sa "chieuse" de vassale finirait par se pointer en hurlant vers leur tente, ainsi avait-elle prévu le coup, un peu de laine dans les oreilles, pour ne pas être déranger par le hurlement de Beths et ne surtout pas sursauter...

Elle sourit et attendait en regardant son époux, lorsque... Ce qui devait arriver arriva, la merveilleuse, la surprenante, la volumineuse Beths tanaaaaaaaaa !

Laisse son époux répondre et se demande si il faut ou non retirer la laine de ses oreilles... Après tout... Elle risquait d'encore hurler suite aux réponse que devant lui donner Al.

Elle ne sortit pas beaucoup trop fatigué et ne voulant pas affronter le "monstre" bein oui une Beths hurleuse est un monstre pour une femme en fin de grossesse. Elle s'allongea sur la paillasse et regarda le plafond, en gardant les yeux ouverts, pour ne pas rater la joute prochaine de son époux... En espérant qu'il aille loin, très loin.
Beths
[HRP : désolée pour le retard /HRP]


[Entre le 1er et le 2nd tour, tente des Cournon d'Auvergne, mon royaume pour un cheval]

Amusée elle attendait devant la tente se demandant si ses suzerains étaient présents. Elle pensa à cet instant à une histoire qui lui avait été raconté de nombreuse fois lorsqu'elle était enfant ... Toc toc toc, mais qui est là ? Entre donc loup et mange moi!
Elle se mit à rire doucement en s'imaginant plutôt comme une chouette hululant mais comme un loup, mais l'idée était là. Elle braillait pour savoir si ses suzerains étaient là en se présentant, et ces derniers, entendant un cri dans la journée déchirante ne devaient absolument pas se douter qu'il s'agissait d'elle ... Un petit sourire narquois naquit sur ses traits.


Ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiii patate c'est ouvert !

Devant pareille invitation, elle ne put que se glisser à l'intérieur de la tente. Ce qu'elle y vit la fit rire. Kory, ventre rebondi, allongée sur la paillasse et admirant le plafond, et Al debout, débarrassé de son armure et se servant un verre d'hydromel. Touchant tableau romantique.

J'arrive à point nommé à ce que je vois


Elle s'approcha doucement de Kory, voulant s'assurer qu'elle allait bien et qu'elle n'allait pas accoucher sur place. C'est en se rapprochant d'elle qu'elle cligna des yeux, mais .. mais ... qu'était ce dans ses oreilles ? non ? Elle ... un immense éclat de rire la prit.
Sa suzeraine avait protégé ses oreilles en vue de son arrivée certaine.
C'était ... désespérant. D'une part, elle était aussi prévisible qu'un agneau qu'on menait à l'abattoir, et d'autre part, tout le monde était convaincu qu'elle ne saurait jamais s'arrêter de hurler. Hum ... vraisemblable en même temps.

Entendant qu'elle s'était mise à rire Kory avait tourné la tête et la regardait. La vassale s'accroupit devant sa suzeraine, et d'une voix douce, tout contre son oreille



Vas tu bien ? Et merci pour ton armure, elle n'est pas abimé, je vais pouvoir te la rendre, j'ai ... perdu.


Et puis, elle se redresse la Gondole et regarde Al qui avait un grand sourire sur ses traits


M'enfin le nécessaire pour brosser Pégase est pas dedans.

Enfin si ça te tente toujours. T'es plutôt pas mauvaise pour ça... On pourrait même aller jusqu'à potable.



Au tour de la vassale de sourire. Rien n'aurait pu lui faire plus plaisir que de s'occuper de Pégase, et d'aider Al sur le bord de la lice. Après tout, elle était son écuyère.

Mais avec grand plaisir mon cher. Ravie d'apprendre que je sers à quelque chose ... pour une fois. Et puis après tout, Pégase et moi partageons les mêmes abreuvoirs, alors, on est copains tous les deux quoi.

Rho mais quel dommage que cette tente ne comportait pas d'oreillers, elle lui en aurait bien envoyé un ... à défaut, elle le regarda amusée.

Bon alors sinon raconte. Ces premiers joutes ? On te reverra sur la lice j'espère

Elle hausse des épaules la Gondole.

Ben j'ai perdu tu sais. Ainsi va la vie, il fallait s'y attendre avec ma non expérience. Mais je suis contente d'avoir participé. Et bon, même si c'est contre ce rustre d'Azdrine que j'ai jouté, je suis finalement heureuse. D'une part parce que je n'ai pas eu à jouter contre Sibella enceinte, et d'autre part parce qu'Azdrine ... est bon jouteur. Donc perdre contre lui n'est pas déshonnorable je dirais.
Par contre ..... gnnnnnnn ... il n'a pu s'empêcher de se moquer!!!! Je suis donc tombée et je n'arrivais pas à me relever ... j'ai innocemment demandé son aide. Tu imagines la suite.


Beths soupira doucement. Et elle se demanda pourquoi elle racontait cela à Al, il allait encore se moquer d'elle, tout comme Az l'avait fait. A croire qu'elle aimait recevoir des coups de batons. Humpf


Mais sinon, je compte bien revenir sur la lice pour d'autres joutes! C'est que l'on y prend goût à ces petites choses là!


Elle éclata de rire. Puis se rendant compte que le temps passait et que le second tour n'allait pas tarder ...


Oooooh!!! Je cours préparer Pégase!


Ni une, ni deux, elle sortit précipitamment de la tente, et se dirigea vers les écuries. Elle n'eut aucune difficulté à repérer Pégase parmi la multitude de monture et les écuyers qui en prenaient soins.
Elle s'approcha main en avant du cheval. La reconnaitrait il ? C'est que la bête pouvait avoir le caractère du maître et décider de la faire tomber par amusement. Le tranquille hennissement qu'il lui lança la rassura. Le cheval se rappelait de l'écuyère, et apparemment un bon coup d'étrille le tentait. Elle s'attela aussitôt à la tâche.

Las les cors sonnaient déjà le second tour, et elle n'avait pas eu le temps de finir de préparer le cheval d'Al. Tant pis, elle finirait plus tard. Rapidement elle plaça la couverture sur le dos de l'animal, siffla un serviteur qui était la pour qu'il l'aide à enfiler l'armure du cheval. Ouf il était temps, Al arrivait.


Voilaaaaaa, voilaaaaa on est prêt. En route pour le second touuuuuuuuuuuur!


Et la v'la chargée telle un mulet, telle une écuyère, et ils se dirigeaient vers la lice.
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