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Au Campement de la Noblesse

ramon
Ramon, n\'avait encore rencontré personne de sa connaissance, mais il ne s\'attarda pas d\'avantage sur ce détail. Louis était revenu avec sous le bras un tonnelet de bon vin de Touraine et une volaille, qu\'il ne tarda pas a embrocher.
Le fumé était des plus agréable, mais il allait falloir commencer à se préparer.


-Louis, pendant que notre pitance cuit, aide moi à me préparer.

Ramon s\'était déjà enveloppé les bras de bourre, mais moi 5 pouces sur les épaules.
Louis s\'exécuta et une fois finie, prit une branche durcie au feu et tapa l\'échine et les épaules de Ramon.

-je n\'ai pas senti le bois, Mais remets un peu de tissu et couds les.

Louis couru chercher se qu’il fallait et s’appliqua à la tache, il savait que les protections etaient vitales lors de joutes. Une fois terminé, il alla prêt de du feu et l’éteingnit pour ne pas que le repas des deux hommes, ne soit plus que cendre.

-Nous pouvons manger mon seigneur, lacha t’il.

Ramon qui faisait des mouvements de bras et de buste regarda son jeune ami.

-Tu as raison, je vais mettre mes jambières, tu peux commencer a servir. Et prévois une assiette et un verre en plus, hospitalité oblige mon ami.

Ramon sourit et se dirigea vers la tente pour finir de se préparer seul
jariane
Devant la tente de Chlodwig

Son mari alité, la guerre en Bretagne l'avait déjà affaibli et il n'avait plus que manqué la rencontre d'une des dernières nuits avec des soudards du Perigord qui se disaient soldats, le laissant grièvement blessé ainsi que leurs amis et, la Duchesse, a l'invitation se résolut à s'y rendre.

Escortée simplement de sa garde personnelle, elle arriva alors que fleurissaient les étendards des nobles venus de tout le royaume.

A sa demande où se trouvait la tente de Chlodwig Von Frayner d’Azayes, l'on lui répondit qu'elle était facile à trouver, légèrement le cheval au trop, elle traversa le terrain repérant un étendard aux couleurs d'azayes et manqua de s'étouffer en voyant face à la tente de son jeune ami, celle de l'homme dont on en parlait à voix basses dans les salons.

D'un claquement de doigt, elle signifia à un de ses gardes de l'aider à descendre de sa monture, le petit pied bien chaussé foula l'herbe, elle détacha un sac de lin avant de sortir le cadeau de son époux, une épée frappée aux armes de la licorne de son fourreau.

Une lueur de défi dans les yeux, elle regarda fixement la tente du Louvelle puis ficha son épée pointe dans la terre aux cotés de l'étendard d'Azayes.

Le pan de la tente se souleva, elle aperçut chlo pensif,


Bonjour Chlodwig, je suis enchantée de te revoir malgré les circonstances, tiens ceci est pour plus tard, elles proviennent de la cave de silec.

Elle tendit le sac puis regarda à l'extérieur, haussa un sourcil, regarda à nouveau le jeune homme avec un regard de connivence.

Tu as choisi un très bon emplacement Chlo, je n'aurais pas fait mieux

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ursin
Tente de l'Ordre Hospitalier

Le grand Maitre de l'ordre Hospitalier avait répondu à l'appel du Maréchal d'arme pour les festivités de la Saint Michel.
Il avait convié ses soeurs et ses frères qui s'étaient fait un plaisir de venir à Lavardin pour ces joutes qui promettaient d'êtres les plus belles organisées depuis beau temps dans le Royaume.
Ursin connaissait Lavardin pour avoir voyager sur les routes du beau Duché de Tourainne avec ses soeurs et ses frères et pour avoir combattu en la belle ville de Vendôme sis non loin du domaine de Llyr.
Pret de lui Hook et Cristol, non loin sa tendre épouse Marie qui s'affarait avec d'autres soeurs et frères dans la tente, non loin encore soeur Tiboulola qui se promenait dans le campement pour marquer la présence de l'ordre
Ursin voyait de loin en loin les représentants de la noblesse de France et des ordres royaux
Assurément la partie serait serrée de de grands jouteurs étaient annoncés à ces festivités.
Alandrisse
[Tente de l'Ordre de la Dame Blanche à l'Ecu Vert]

Les Dames Blanches s'étaient enfin arrêtées, non sans joie, Al profita de ce moment pour s'étirer. Une occasion de se détendre qui n'était pas du luxe dans toute cette agitation. Sa vision des joutes changea, cela ne faisait que très peu de temps qu'elle y était, mais ici on se retrouvait, on se réunissait on ne faisait pas que guerroyer. Elle flatta l'encolure du cheval et lui caressa doucement le museau, sa main sortit de sa besace, un morceau de sucre qu' elle lui donna de manière discrète.

Ne jamais se fier à des idées préconçues.

Au même instant, une soeur déboula comme une trombe. Elle reconnut immédiatement le destrier, l'aspirante leva un oeil desaprobateur sur Gaïa qui avait bien failli lui piétiner le pied.

Ta monture a été sur le point de me marteler son fer dans ma botte.

Alandrisse poussa la croupe du destrier, parfois le Très Haut était avec elle. Psalmodiant quelques phrases de remerciement, elle salua Alixe.

Alors ma soeur, tu as voulu m'écraser avec ton cheval. Je suis mais profondément déçue par une telle attitude.

Alandrisse porta un mouchoir au coin de ses yeux, feignant une profonde tristesse. D'une voix tremblotante, elle reprit.

Je pense qu'il te faudra t'acquitter d'une bière ou deux pour me consoler.
Enorig d'Azayes
Elle ne pouvait participer aux joute son deuil l'en empêchait mais elle n'avait pu par contre s'empêcher de venir. Du beau monde oui il y aurait mais surtout une personne qu'elle voulait voir de ses yeux et jauger aussi car il n'est pire engeance que celle qui s'attaque à un homme seul avec une troupe. La couardise devait sûrement être le for intérieur de ce pleutre. Son Chlo serait là aussi mais pas que lui. Izara, une amie dont la fille devrait sous peu épouser Chlo, et bien d'autres mais surtout elle se réjouissait de retrouver Llyr, le maître des lieux. Celà faisait bien longtemps et elle avait un petit cadeau pour ce fin gourmet.

Son cheval allait et venait à travers le campement. Elle saluait de la tête les uns et les autres connaissances d'un jour ou de plusieurs qu'elle avait croisé. Elle se promenait admirant les bannières sans se presser. Elle vit la bannière des Azayes et sourit. Son Chlo était là avec la tente du Duc du Berry un de ses amis. Il n'était qu'écuyer mais vu ses expériences malheureuses de jouteur peut-être fallait-il mieux.

Elle regarda autour d'elle et vit en face de la tente une autre avec des couleurs connues. Il serait bien qu'elles soient un jour enlevées à leur maître vu les infâmies qu'il faisait à travers tout le Royaume. Bien des personnes rêvaient de lui trnaspercer le bide gonflé et elle en était maintenant ainsi que toute sa famille. Les ennemis de cet homme se faisaient maintenant aussi nombreux qu'une fourmilière et pas mal se regroupaient dans l'espoir de ficher un jour sa tête sur une lance. Elle sauta de cheval. Une épée était fichée à côté de l'étendard Azayes, elle sourit en coin la reconnaissant et sortit la sienne qu'elle planta à côté. Puis entra dans la tente espérant bien trouver son fils.
Bess Saincte Merveille

[St Angel/Le Mazet : oh purée.... il l'a fait]

Pas besoin de faire les présentations, c'est déjà ça, Carmo laissant Trok s'exprimer, Bess écouta ce dernier avant de se tourner vers un Beau qui semblait s'etouffer dans sa prune, sur le coup elle ne comprit pas le compliment, se demandant ou il avait trouvé qu'elle était une experte...1 voir 2 joutes auxquelles elle avait participé ne lui avait que laissé le gout de la terre qu'elle avait mordu dés le premier tour. Elle fronçait les sourcils la Bess, cherchant encore ce que son ami avait en tête.

Les yeux d'abord ronds, les joues virant au pourpre, espérant que tout coeur et priant intérieurement Aristote pour que Trokinas ne comprenne pas l'allusion, elle en resta coite de toute manière. Ne sachant plus que dire, à part tenter un assassinat par regard interposé en réponse au clin d'oeil du Seigneur d'Auzances.

Petit rire benet en regardant le Baron de Perpezac le Noir, sourire crispé, joues cramoisiée c'est d'une voix fluette qu'elle dit
: Il...il plaisante ...

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*atalante
A la suite de la duchesse Jariane, je penetre l'endroit, je la suit, un poney me sert de monture, faut dire que j'ai pas l'habitude d'etre sur le dos d'une bete moi, je prefere leur courir aprés, l'arc ou la dague à la main.
Bref, je suis là à la demande de mon parrain afin de surveiller la sécurité de son épouse.

Que de monde, de belles tentes pleines de couleurs, toutes sortes d'étandarts, d'oriflamme vogue au grés du vent. J'en connais pas beaucoup, voir aucun, ah, si la bas, celui de mes soeurs, faudra que j'aille faire un tour les saluer, puis je pourrai peut etre amener la duchesse les voir, aprés tout elle aussi a fait partie de l'ordre bien avant moi.

On avance, taillant notre chemin dans la foulle, elle me montre du doigt une tente, je n'en connais pas les couleurs. Tiens si, une partie il me semble deja l'avoir vue, oui, sur le blason de notre chef, oui, elle a les même, peut etre de sa famille, on verra bien.

Jariane descend de sa monture, tend les renes a son escuyer, je fait de même, il me sourit le bougre, beuh, de bien vilaine dents qu'il a. non mais, il espere quoi lui.
Je rajuste mon chemisier et ma cape, faudrait pas que je prenne froid, la saison n'est plus aussi belle qu'il y a un mois.

Elle entre dans la tente sans trop prevenir, un peu comme moi avec Silec, elle doit bien connaitre le proprietaire.


Bonjour Chlodwig, je suis enchantée de te revoir malgré les circonstances, tiens ceci est pour plus tard, elles proviennent de la cave de silec.
Tu as choisi un très bon emplacement Chlo, je n'aurais pas fait mieux


Des bouteilles, j'y crois pas, elle a piquée des bouteilles a son mari et en plus, apparament, les meilleurs. Enfin, ça lui fera toujours ça de moins a boire, le pauvre, vu son état a ce que j'ais appris, ça vaut mieux.
Quan da l'emplacement, il a rien de formidable, peut etre protefer du vent, une legere pente pour l'ecoulement de l'eau, mais sinon, je vois pas, enfin, ça doit peut etre pour le mettre en confiance, il semble bien jeune, un peu pres mon age semble t'il.
Mais j'y pense, il doit etre noble lui, huhuhuuu.
Vite, sans qu'ils ne me regardent, je dégraphe un peu mon chemisier, ce que regardait l'escuyer devrait bien plaire aussi au jeune homme sait on jamais.


Bonjour messire

je fait une legere révérence.
Ninjaturtel de Glénat
Un groupe, celui du BA, Ninja aussi est dedans...

Joute, Voyage organisé...

Trois mots, voila c'est finit...
Non quand même pas, ça serait bien trop court, et on me le reprocherai.

Donc, Auvergne avait prit les candidatures des nobles, et certain d'entre eux avaient proposé un voyage en groupe.
Bonne idée, un peu a la va vite malheureusement mais bonne idée. Tellement a la va vite qu'il ne s'est rien passé de bien intéressant durant le voyage ^^

On avait pu observer un Ninja peu bavard, qui restait dans son coin et qui suivait le groupe sans mot dire.
Il répondait aux questions, il mangeait avec le groupe, mais rien de dynamique ne s'en dégagé...

Fatigue ? Tristesse ? Blessure ? Qui sait, même moi je le sais pas.
Bref, affalé sur Médor, la masamune accroché a sa taille du côté gauche, et son épée au blason de Glénat du côté droit, Ninja suivait le groupe en compagnie de Médor de façon fort sage.

Tellement qu'il se laisse sommeillé rapidement, jusqu'au moment ou il croit entendre qu'ils arrivèrent a destination.
Souriant, il se relève et se réveil doucement, les nobles avancent et se présentent devant les gardes. Auvergne leur montre la liste et lorsque c'est au tour de Ninja de passer il les salue leur montrant son épée de Glénat, cadeau et symbole de sa Seigneurie.

Emmenez vers le coin du BA, il faut maintenant monter la tente... ha ha ha, quelle bonne blague pensa Ninja.

Il chopa les gardes et leur demanda quelques valets pour qu'on lui monte sa tente, aussitôt dit, aussitôt fait.
Deux personnes sont arrivé et ont monté la tente de Ninja qui regardait oisivement, surement pas content, les deux personnes ont exécuté les ordres sans rien dire et de façon fort bien. Ninja afficha un sourire puis lança quelques piécette afin de les remercié.

Les deux gardes filèrent et Ninja pouvait enfin finir le montage de tente !
Il bondit de Médor et sortit son oriflamme, il ne l'avait pas eu pour les joutes précédente, mais cette fois ci elle était bien la !

Et c'est ainsi qu'il mit son superbe oriflamme :





Une fois fait, il file dans sa tente, il était une nouvelle fois venu seul, il allait se reposé de ce voyage...
Ben Elazar Kamps
Le Coms de Tolosa arriva après une longue route, il apercu au loin les campements et chercha du regard l'endroit ou ce trouvait celui de ses frères hospitaliers....

Il repera ce qu'il cherchait et se dirigea prestement en cette direction il voulait y installer sa tente, car sa place était au milieu de ses frères...

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althiof
[Campement de la joyeuse colonie du BA]

Attention le grand show commence.

Aaaaaaal ?

Non c'est Eugène V tu vois bien.


S'en suivit alors des piques pis d'autres piques et railleries et sa scène préférée. Beths qui essayait desespérement de lutter pour par exploser. Ca fumait un peu de partout la dedans et le neurone devait pas être loin d'être grillé.

Hum, je monte ma tente avant celle de mon suzerain pour la simple et bonne raison que je suis arrivée avant ! J’ai le droit de préséance donc.

Le droit du premier venu à la limite mais celui de préséance c'est au plus haut gradé enfin noblé quoi.


Il rit et accrocha son propre oriflamme sur la tente juste à côté.



OH !!!!!

Hihi on en était pas loin. Allait-il battre son meilleur temps ? Pour garde le suspense je ne le dévoilerai pas pis à cette époque les horloges suisses de grande précision ne sont pas encore monnaie courante de toute façon.

Meuh non je ne me fais pas remarquer, et ils ne connaissent pas encore ma voix je suis sure. Mais pour t’occuper, tu peux aller questionner tous les participants hors BA un à un.
Et puis cela te permettra d’étudier tes adversaires, vois comment je suis prévenante avec toi.


Ah pas bête ça pis je te dirai lesquels tu peux espérer battre aussi. Ca ira plus vite que de faire le décompte de ceux qui sont trop forts. Pis y'a peut-être des ducs célibataires que j'ai pas vu parmi les inscrits. Ca s'rait bête tu crois pas ?


Ca chauffe ca mijote ça bouillone ça sera bientôt prêt à dégsuter.

HEIN ? tu ne sais même pas où est ta douce ???? Mais …. MAIS !!!!

BARON ALTHIOF ALLEZ IMMÉDIATEMENT VOUS QUÉRIR DE L’ETAT DE VOTRE ÉPOUSE !!!!!


Bein elle arrivait par calèche directement ici. Pis d'abord tu sais même pô non plus. D'ailleurs pourquoi je m'etonne que tu saches pas quelque chose.


Elle s'était calmée. Zut il y était presque. Encore un petit effort et enfin ces joutes pourraient débuter comme il se doit.

NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!!

Pour quoi faire une robe à une joute hein ? s’pece d’oiseau sans cervelle !


Bein j'sais pas moi un bal, une réception on sait jamais. Desfois qu'on t'inviterait. Euh bon d'accord ça c'est peu probable... Mais tu pourrais squater attirée par l'odeur des bonnes bouteilles. Vi vi voilà. Alors une fois que t'y es autant faire bien.

Heureusement j'ai pensé à tout.


Léger sifflottement avant de sourire à son tour.

Bon sinon tu as vu mon bel oriflamme ?

J’suis contente d’être là Al


Moi aussi Beths. Pis pour l'oriflamme de rien ça fera 100 écus. Tu connais mes tarifs


Bon c’est où qu’on boit ici ????!!!!!!

Pas le temps d'une dernière pique qu'une princesse venait de faire son apparition, plus belle que jamais. Son visage s'illumina encore plus. Elle se balançait légèrement d'avant en arrière les mains dans le dos. Il savait d'où Eléa tenait ça maintenant. La malice de sa mère et la taquinerie de son père. Beau mélange.

Bonjour mon amour, tu as fait bon voyage ? Pas de problème ? Pas trop fatiguée ? Tu es radieuse ma belle Kory. J'ai pris la tente à côté de Beths comme ça si t'as un problème bein tu hurles elle rapplique.

Hésite pas hein... surtout la nuit...

Les enfants étaient pas trop tristes de pas venir ?


Il s'inquiétait comme toujours. Après la tendre bise il s'approcha pour la serrer tendrement et l'embrasser longuement et langoureusement à nouveau mais aussi pour attraper ce qu'elle cachait avec un sourire malicieux. Bein un pot vide ? Pourquoi tant de mystères. Déjà Kory les joues un peu rouge avait embrassé Beths et elles commençaient à faire des messes basses. Elles complotaient ? Encore un truc tordu dont les filles ont le secret surement. Pô juste lui aussi il allait comploté... enfin quand il aurait trouvé quelqu'un pour.

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Martymcfly
[Montage de tente...]

Trouver un endroit bien abrité, encore un peu ensoleillé, et surtout bien visible de tous. Il était surtout venu au Lavardin pour s'amuser. C'est donc avec un léger sourire aux lèvres que le Duc vit sa tente se monter.

Plus qu'à y déposer devant l'oriflamme...




Marty restait un peu dans sa tente bien aménagée. Quelques vivres amenés ainsi qu'une ou deu bouteilles de son alcool de châtaigne préféré. Rien de tel qu'un moment de détente, seul, isolé, à l'abri des regards.

Installé sur un siège, le Duc se demandait s'il y avait une chapelle au château. Probablement. Il irait bien se recueillir un peu avant d'aller tenir sa lance. Et sûrement essayer de trouver les cuisines... Il paraitrait que les choux du Duc Llyr étaient un régal... Marty en salivait d'avance... En attendant, il prit une coupe et se délectait de son alcool fétiche. Mieux valait ne pas trop en boire pour tenir sur son cheval...

Sa bonne vieille Doloréane qui le suivait depuis bien longtemps. Elle était prête. Sellée et sanglée. Y avait plus qu'à !

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Azdrine de Vissac
Le couple mirait les différents attroupements autour d'eux. Chacun était venus accompagnés de ses hommes de main à tout faire et le campement était passés soudainement d'un simple endroit verdâtre au pied des remparts à une foire incroyable ou chamailleries, cordages, toiles, piquets, vins, rires et excitations était parvenus en un éclair.

Par ci un oriflamme auvergnat, par la un oriflamme d'ordre royal, et par là bas, un oriflamme champenois. Bientôt une multitude de dôme furent élevées. Et les tentes étaient nombreuses pour ces joutes du Lavardin, et toutes les festivités qu'il y aurait autour. A n'en pas douter, cela serait un évènement remarquable et chacun pressentait cela.

Alchimiste rejoignit le couple et le baron et son écuyère montèrent la tente ensemble, laissant Sibella assise non loin de là, profitant de l'air frais de la Touraine.

Très souvent, voir même à chaque fois qu'Azdrine et Alchimiste avait partagé le même campement, cela était pour des guerres et l'installation des tentes été souvent fait à la bonne fortune puisque démontées le lendemain au petit matin.

Ce jour, ils prirent le temps de monter la tente et le chevalier de Pardaillec expliqua à son écuyère la façon de tendre une tente pour qu'elle résiste suffisamment au vent et qu'elle ne soit pas trop tendue afin de pouvoir nouer les deux pans des toiles qui faisait guise de portes.

Alors qu'il discutait de la technique la meilleur qu'il soit pour agencer ce lieu de vie, le baron coupa court et après un bref coup d'œil à l'extérieur pour s'assurer qu'il n'était entendu de personne, il chuchota à son amie :


Alchi ... Sibella m'inquiète au plus haut point ... J'ai l'impression qu'elle s'en veut de son état et qu'elle fait tout pour le perdre ... Elle va jouter malgré que je lui ai fortement déconseillé de le faire ... Je ne peux aller jusqu'a lui interdire tout de même ... Jouter ... quelle idée ... Tu ... tu peux lui en toucher quelques mots ? Je lui ai dit que la vennerie serait mieux mais elle semble si négative ces jours ci ...

Elle lui répondit puis ils finirent d'installer l'intérieur. Azdrine sortit avant Alchimiste et alla ordonner à un de ses hommes de faire installer le ratelier d'armes prêt de sa tente. Et d'y monter la garde. Des armes de valeurs avait été apportées pour l'occasion, dont l'arme de sa soeur, Tchii, et la lame issue du Trésor Royal lors de son accession au poste de Grand maitre de l'Ordre du Saint Esprit.

En détournant le regard, il vit au loin flotter l'oriflamme de l'Hospital, mené par son suzerain très certainement. Sibella lui chuchota qu'elle allait se reposer quelques peu. Il l'embrassa avec délicatesse et se dirigea ensuite vers la congrégation hospitalière.

Il y aperçu Cristòl près de ses chevaux et il alla le saluer. Il était en compagnie d'une femme apparement.


Chevalier Hospitalier, bien le bonjour. Votre route jusqu'ici n'a point souffert d'embuche à ce que je vois. Cela est rassurant. Je suis heureux de vous savoir ici. A n'en pas douter, ces joutes seront d'une grande qualité et le gagnant aura un prestige indéniable dans tout le royaume.
Rhân
(Musique officielle)

En passant par la Touraine avec mes chevaux
En passant par la Touraine avec mes chevaux
Rencontré trois jolies femmes
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux

Rencontré trois jolies femmes avec mes chevaux
Rencontré trois jolies femmes avec mes chevaux
Elles m'ont appelées beau sire
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux

Je ne suis pas cœur à prendre avec mes chevaux
Je ne suis pas cœur à prendre avec mes chevaux
Puisque ma vicomtesse m'aime
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux

Puisque ma vicomtesse m'aime avec mes chevaux
Puisque ma vicomtesse m'aime avec mes chevaux
Elle m'a donné pour étrennes
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux

Elle m'a donné pour étrennes avec mes chevaux
Elle m'a donné pour étrennes avec mes chevaux
Un ruban de ses couleurs
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux

Un ruban de ses couleurs avec mes chevaux
Un ruban de ses couleurs avec mes chevaux
L'ai attaché à mon heaume
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux

L'ai attaché à mon heaume avec mes chevaux
L'ai attaché à mon heaume avec mes chevaux
Car je vaincrais pour elle
Avec mes chevaux mesdames
Oh oh oh, avec mes chevaux




En chantonnant, le baron de Boiscommun arriva à son tour avec sa petite troupe composée essentiellement de sa vassale et écuyère qui l'avait rejoint sur le jeu qui l'avait mené vers la Touraine et le duché du Lavardin. Il avait quitté sa vicomtesse sur la chemin peu avant que le chemin ne devienne envahis par les nombreux jouteurs qui venaient rivaliser d'adresse et de courage pour la Saint-Michel car il ne fallait pas qu'on les vit trop ensemble pour le moment comme auparavant même s'il avait fait quelques folies précédemment en venant à Avize pour la visiter, ne pouvant plus résister à être si loin d'elle pendant tant de temps. Ils logeraient séparément, loin l'un de l'autre, lui dans le campement des jouteurs, elle au château. Peut-être cela apaisera-t-til la tension que créait sa présence si près de lui et pourtant si loin, inaccessible tant que quelqu'un d'autre était présent. Pas certain... il n'en serait que plus tenté et prêt à bien des folies.. Mais celà.. seul l'avenir nous le dira.

A vrai dire, il venait plus pour les mondanités et le plaisir de revoir un certain nombre d'amis chers à son cœur et dispersés dans tout le royaume plus que pour la victoire. Et Leah était là aussi qui allait le regarder jouter et avec qui il aurait le loisir de chasser et de chevaucher à ses côtés en toute innocence et avoir à craindre d'être surpris l'un près de l'autre. Enfin bon.. tout semblait aller pour le baron du mieux possible en ces début de joutes.

Il arriva donc à cheval, accompagné de la dame de Montperthuis, sa vassale et un peu plus loin ses bagages, tentes, armements et tout ce qu'il fallait pour camper et jouter en pleine Touraine.
Il entra dans le campement en cherchant des places vides pour s'installer. Un coin semblait encore quelque peu désert et un sourire éclaircit son visage quand il vit côte à côte les armes d'Orval et d'Arnac-Pompadour. Les deux demoiselles semblaient en grand discussion devant leurs tentes. Avec un grand sourire, il s'arrêta tout à côté d'elle en donnant l'ordre d'y monter sa tente en sortant ses bannières afin que tous puissent reconnaître sa tente à ses armes et de déballer ses affaire et de les ranger dès que l'édifice de toile serait monté.




Il salua les deux dames qu'il connaissait fort bien et qui avaient été rejoints par une troisième en descendant de cheval.

Bien le bonjour mes chères amies... C'est un plaisir de vous revoir toutes deux ici... j'en suis vraiment heureux.

Puis se retournant vers sa vassale qui en petite fille étonnée ouvrait de grands yeux étonnés sur les tentes, les oriflammes volant au vent, la concentration de nobles et de blasons et tout et était resté en haut de sa monture.

Je vous présente aussi ma vassale, la dame de Montperthuis si celle-ci veut bien sortir de sa rêveries amoureuse... Il faut lui pardonner... Un poitevin lui fait tourner la tête et pas moyen de le lui faire oublier... et pourtant.. Il n'a rien.. m'enfin... C'est à défier toute la logique qu'elle n'a pas d'ailleurs.
Cristòl
Alors qu'il parlait à Pyrotess, prêt à monter son campement, et ayant visité le Grand Maître de l'Hospital sous sa tente, Cristòl vit un homme s'approcher, et il se souvint l'avoir déjà vu, et aussi plus anciennement avoir jouté pour ses noces... Lui semblait-il. Un homme connu, en tout cas, et plus en bien qu'en mal.

-« Adissiatz, Monsénher de Vissac ! Ma route est une éternelle embuche, et ce n'est bien qu'à la mort que j'en serai délivré... Mais point de brigands en chemin, et c'est déjà un grand bien. Je suis heureux également de vous voir ici, Chevalier de Pardaillec, et j'espère que votre épouse, notre ancienne soeur, se porte bien. Pour le reste... Je ne sais quel sort nous réservera à chacun aux joutes, mais puissions-nous briller ! »

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kirah
Pensive et morose, elle avait rejoint le campement se demandant au final ce qu'elle faisait là. A quoi bon finalement ?

A quoi bon chercher quelque chose qui n'existait pas ? A quoi bon résiter ? A quoi bon ... A quoi bon ?
Des liens avaient été rompus dernièrement. Avait-elle vraiment envie d'en nouer de nouveaux ? Elle sentait bien que lui manquait un recul auquel elle aspirait. Tout son coeur y aspirait. Loin... loin de tout, sauf peut etre de ses rares intimes... et encore...

Neaufles ! Elle avait besoin de Neaufles...
Pourquoi s'attarder alors ici ? Terre de souvenirs entre chien et loup. Pourquoi était-elle venue ?

Visage dissimulé, vetue simplement et sobrement, elle avait choisi la discrétion totale. Se fondant ainsi parmi la valetaille qui commencait à s'échauffer alentour des tentes qui se dressait, elle vaquait... seule. Monter sa tente, une petite tente, sans grands ornements, veiller à sa monture.
Pas d'écuyers d'ailleurs pour l'assister... Soupir à ce souvenir. Et puis, inutile d'y revenir. Gestes machinaux, un piquet, un maillet, tendre les cordes. La toile...
A l'intérieur, une simple banquette, un baquet, un paravent... une table de fortune. Et un tas de pieces métalliques dont elle ne savait meme plus si elle avait envie de les revetir...

Gonfanon à l'image de son ressenti. Après tout, vu le peu d'utilité de la chose... Trouver les ... non... ce gonfanon serait le sien à l'avenir, plus besoin du reste... Le planter, se retirer. Dormir peut etre ? Le planter... se couvrir de sa cape au marron terne. Vaquer tout simplement.


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