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Au Campement de la Noblesse

teia
[i]

Les Dames Blanches, aprés une longue route étaient enfin arrivées. Teïa n'en revenait pas, le Castel était impressionnant. Passé l'entrée, elle ne savait où regarder. Que de tentes, que d'oriflammes différents. C'était la première fois qu'elle assistait à un évènement pareil, elle était trés heureuse d'avoir pu venir avec Les Dames Blanches.

Elle descendit de Démon un peu vermoulu, elle frotta ses ......fesses discrètement et ses jambes enquilosées. Il fallait faire attention car la noblesse était nombreuse et malgré que Teïa ne fréquentait pas ce milieu, elle savait se tenir. Elle décida d'aller poser ses affaires dans leur tente et voulu enlever la selle de son cheval et s'en occuper. Mais où metait-on les chevaux ici. Elle lui enleva tout et l'attacha à un piquet de tente. Pourvu qu'il ne tire pas sur la longe se dit-elle!

Elle décida d'aller faire un tour pour visiter le campement, mais comment faire? Elle allait comme d'habitude se perdre. C'était un vrai cas de conscience. Elle était entrain de réfléchir lorsqu'elle entendit une soeur proposer une promenade.

Avec plaisir moi je veux bien venir avec vousi. Aprés cette longue traversée à cheval, ça va nous faire du bien
Naluria
[Arrivée du couple improvisé]

Marty et Naluria arrivèrent bras dessus bras dessous, devisant de part et d'autre soit de la meilleure manière de regarder discrètement soit du meilleur maintien lors des joutes.

Faisant de nouveau un grand geste vers Beths puis le groupe Kory, Sib et Al, pour les saluer, elle s'approcha près de la Gondole puis du groupe.


Comment va tout ce petit monde ? Tout le monde à ce qu'il faut, sinon j'irais prévenir Llyr qu'il nous prête des équipements. Notre bon Billy sera assurément trouver l'endroit, je lui soupçonne des compétences à trouver et observer avec intérêt toute chose qui pourrait l'intéresser.


Naluria se mit à rire puis lâcha le bras de son partenaire impromptu afin de s'écarter d'une éventuelle vengence amicale.
Tarrelian
[Walking after you]

Bien longtemps… Trop lointain…Le souvenir en est presque éteint
Ce sentiment de sérénité, le calme feutré, la fureur étouffée
La petite Mara contre son ventre, chassant de sa présence les augures de son destin, les séides de sa chute…

Plusieurs semaines qu’il les avait retrouvées
L’incompréhension, le doute laissaient place jour après jour à une domestication, une confiance toute relative

Première requête, premier test d’une nature encore sombre, l’accompagner jouter…
Cela prêterait à sourire si le lourd passé de Tarrelian ne planait toujours pas au dessus de sa tête tel un rapace prêt à s’abreuver de la moindre goutte de sang

Il avait néanmoins accepté, conscient des risques et des aléas, mais sachant qu’il lui faudrait passer ce genre d’épreuves pour rallier à lui la confiance effritée d’Alcyone

C’est donc sous la frondaison d’arbres presque nus en cette saison froide qu’il cheminait, le dos de la jeune femme et mère de sa fille face à lui

A se cotés, benoit, l’intendant du domaine de l’ex prévot, il lui jette par moment un regard mauvais, le vieil homme ne lui avait surement pas pardonné son « intrusion » à Saint Anne il y a de ça plus d’un an…Et finalement il n’avait pas à le faire…


Les murailles du domaine du seigneur organisant les joutes se dressèrent bientôt face à eux, en contrebas, le campement, arborant couleurs flamboyantes et oriflammes claquant dans le vent froid du matin.

Un léger malaise quand il du laisser Alcyone palabrer avec les gardes à l’entrée, crispement quand l’un d’eux avait louché dans sa direction…Penser à Mara contre lui… La confiance est parfois dure à garder, mais plus encore à regagner…
Les poumons reprennent u peu d’air quand les deux gardes s’écartent et désigne un point du champ, saluant les cavaliers, les ignorant déjà…

Le campement est rapidement dressé, le vieil homme cachant des ressources insoupçonnées, surement pour ne pas avoir d’aide de quiconque…Surtout pas de Tarrelian

Alcyone vient le voir tandis qu’il attache un des chevaux reçu au domaine du Dorat, des années qu’il n’as plus monté, son dos est en bouillie…

Citation:
- J'aimerais faire un tour, saluer les gens que je connais... Si tu ne veux pas te ballader, toi aussi, tu peux veiller sur Mara, s'il te plaît?


Il hoche la tête, que faire d’autre…
De toute façon, que ferait il parmi ces nobles…
Autant rester là…Aux pieds du fossé, regarder au fond….Sans tomber, la regarder s’éloigner de l’autre coté, mais surtout…Espérer la voir revenir…
Cristòl
[Campement des Hospitaliers]


-« Puis je vous aider a autre chose mon frère ? »

Alors que la jeune cadette emplie de volonté posait cette question, le Chevalier d'Aberdeen arriva, Hook, qui avait pris Cristòl en grippe. Celui-ci le regarda saluer les présents, et l'ignorer superbement. Et son cœur en fut peiné, mais il ne dit rien ; car il croyait dur comme fer que le pardon était la plus louable des vertus, mais pensait aussi que l'Homme avait dans son cœur des détours inconnus, qui l'éloignaient souvent de la raison.
Alors, il se tourna vers Pyrotess, et lui dit :


-« Je vous remercie, ma soeur, mais il n'y a rien à faire de plus immédiatement... Je vous rends au Chevalier que vous servez, et vous souhaite une bonne journée. »

Alors il eut un regard pour Jehan de Proisy, un autre pour son frère d'armes Hook, et il entra dans sa tente, afin d'y disposer les rares effets qui restaient paquetés. Mais alors qu'il en ressortait, et échangeait quelques mots banals avec son écuyer du jour, une heureuse apparition vint éclairer la quiétude du jour : après l'époux, l'épouse.

-« Seigneur, Dòna Sibella ! Je suis heureux de vous voir... Je viens à peine de croiser votre époux, et deviser un tantinet avec lui. Vous me semblez épanouie, et après tout ce temps, c'est un plaisir de vous voir avec cet air heureux. »

_________________
Apolonie
[une vache ? où ça ? … Réunion tupperware à l’orée du camp]

Lorsque l’éventualité d’un moment consacré à l’apparat et le déguisement d’une combattante en femme du monde s’envisage, Apolonie observe attentivement les traits de son amie, cherchant sans vergogne à y déceler une pointe d’humour, pincée de taquinerie, quelque chose qui permettrait de penser qu’il s’agit là d’une plaisanterie. Mais non, nenni, nada… Marie-Alice semble terriblement sérieuse, bien qu’on puisse apercevoir une étincelle enjouée dans la pupille.

tu passeras te préparer sous ma tente. Prendre un bon bain avant que de t'habiller et d'enfiler une tenue plus féminine. J'ai même quelques parures qui pourraient t'aller. Nous verrons cela.

Oui, comme tu dis… Nous verrons.

Ou comment poser en évidence la possibilité réfléchie d’une dérobade probable. Le sourire se fait en coin, alors que sous la tignasse emmêlée l’esprit ébauche déjà moult fuites et échappatoires. Pas qu’elle rechigne à l’idée de prendre un bain. La vie sur les routes ne dispense pas d’un minimum de savoir vivre, et jusqu’à récemment, la belle occupait tout de même des fonctions diplomatiques importantes. Mais c’est justement à ça qu’elle repense quand s’effleure l’idée d’une tenue d’apparat. Flot de souvenirs plus ennuyeux les uns que les autres, quand Apolonie n’était pas encore devenue Apo, quand elle savait alors se glisser sous les étoffes, agrémentant de ses formes féminines de fins velours, offrant au regard intéressés sa gorge blanche ornée d’une simple médaille de baptême offerte par Melkio, son parrain. Quand son sourire était timide, ses pommettes roses et qu’elle étouffait par pudeur les bâillements que la longueur des bals et cérémonies ne manquaient pas de lui arracher. Le sacre de Lancelote, le mariage de Valatar… Ce souvenir-ci force un sourire sur ses lèvres. C’est à cette occasion que sa suzeraine lui avait proposé de lui apprendre le tricot, pour passer le temps.

Toujours est-il qu’elle n’est plus cette jeune fille naïve, et qu’aujourd’hui elle porte sur le monde qui l’entoure un regard creusé par le sang, les deuils, les histoires, les guerres et autres magouilles dont elle se fait le réceptacle involontaire, étant de ces rares personnes qui savent garder leurs pensées pour elles et leurs cuisses serrées. Et qu’elle se trouve bien plus à l’aise en braies avec une épée ceinte au coté qu’en robe les pieds engoncés dans des chausses inventées pour donner aux femmes l’envie irrépressible de les enlever. Le rire de la vicomtesse l’arrache à ses pensées, elle entend les mots « frère » « poussière » « force » et répond d’un sourire.


Là-dessus je te crois sur parole. J’en ai tu.. hum.. je me suis battue également contre plus forts que moi.
A l’entrainement… Quand j’étais sergent…


Pupille en pétillement malicieux. Marie sait très bien que la moulinoise avait fait partie de la joyeuse épopée gasconne, et qu’elle avait occis plus d’un crétin –comprendre ici gascon- avant d’être elle-même blessée presque mortellement par une diaconnesse –les gens d’Eglise ne sont plus ce qu’ils étaient. La discussion se poursuit, tel un ruisselet joyeux serpentant entre les deux femmes, bien plus proches qu’on n’aurait pu le penser étant donné les circonstances de leurs rencontres et les étiquettes respectives que leur accordent la rumeur et les demi-vérités. Un voile de douleur passe furtivement dans le regard de Marie, quasi imperceptible, mais si connu d’Apo que sans le voir elle en ressent une émotion étrange qui lui évite de poursuivre sur le sujet. Si elles en parlaient, si elles étaient de ce genre de femmes qui se confient et se plaignent, alors elles sauraient qu’elles partagent un peu de cette douleur, Apolonie masquant sous une haine exacerbée de tout ce qui ressemble à un enfant l’impossibilité dans laquelle elle se trouve d’envisager un jour la grossesse, à la suite d’un coup d’épée auvergnat.

Ceci dit, tu peux parler, après ta récente rencontre avec une armée, du haut des remparts de Moulins, je pense que la plus mise à mal n'est pas moi.
Tu as reçu l'autorisation d'un médicastre pour prendre part à cette joute.

Grommellement de la brunette, qui s’apprête à grogner vraiment à l’idée de cette blessure au dessus de son sein gauche, quand l’interruption en forme de cyclone polignacois lui cloue le bec. Le sourcil se hausse, amusé, ravi, les lèvres s’étirent jusqu’à former un sourire à en faire pâlir la nénette de la pub colgate, si longtemps qu’elles ne se sont croisées… Rend l’étreinte en faisant attention à ne pas plier sa plaie déjà suffisamment moche, observant la demoiselle que Mimi est devenue, si jeune à leur dernière entrevue.

B’jour la belle ! Un sacré moment dis donc… T’as changé, ravissante.
Tu participes aux joutes ou tu accompagnes ?


Puis, se penchant à son oreille, d’une voix douce. Toutes mes condoléances pour Max et Tang… Tu sais combien je les appréciais aussi…

Apo se redresse, l’sourire plus doux envers la jeune fille, et allait compléter les présentations quand… L’ex commun de la vicomtesse et de la libertadienne fait son entrée, sûr de lui, comme d’habitude. La mine guillerette, en galante compagnie, pour changer…

Bien le bonjour mes chères amies... C'est un plaisir de vous revoir toutes deux ici... j'en suis vraiment heureux.

B’jour Rhân ! Tu peux l’être, depuis le temps… A croire que tu me fuis, à toujours partir guerroyer dans des directions opposées aux miennes…

Et de clore sa phrase par quelques notes d’un rire cristallin qui amène une main inconsciente à effleurer sa plaie douloureuse.Signe de tête vers la jeune femme qui le suit. Puis elle avise près du petit groupe qui se forme une barrière, sur laquelle elle s’appuie, d’une façon qu’elle espère nonchalante. Et se tourne vers Marie Alice pour répondre enfin à sa question.

Tu as reçu l'autorisation d'un médicastre pour prendre part à cette joute.

Un médicastre ? Mais pourquoi ? Tout va bien…
Comme si une épée pouvait me mettre hors d’état de nui… En mauvais état quoi.


Devant eux le monde s’agite, les tentes se dressent les unes après les autres, et elle reconnait ça et là quelques têtes. Signes de caboche pour marquer le salut, avant de se concentrer sur la conversation .

_________________
Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Beths
[Campement Auvergnat, des cris, fallait s’y attendre]



Pendant qu’elle … hum … s’exprimait devant leurs tentes respectives, celle de ses suzerains et la sienne, Beths pu apercevoir une certaine activité sur le campement. D’autres cris se faisaient entendre. Amusée, Beths se dit qu’elle avait un concurrent, et que pour le plaisir de vocalises surprenantes, elle devrait peut être le rencontrer.

Elle verrait cela plus tard.

Naluria passa également et s’arrêta quelques instants avec eux.



Je suis inscrite et j'espère te voir en lice suffisamment longtemps pour jouter contre toi.


Beths n’eut pas le temps de répondre que Naluria était déjà loin, enfin loin, elle se dirigeait vers sa tente où un noble enrubanné l’attendait.

Beths retourna son attention vers Kory et Al.

Kory avait bien fait signe a ses gens de déposer le paquet à l’intérieur de sa tente. Parfait, elle serait magnifiquement équipée.

Pendant ce temps là, elle prit congé de ses suzerains, impatiente de savoir contre qui elle allait jouter pour la première fois de sa vie. Cela devait être marqué d’une pierre blanche.

Sur un dernier grognement, ou presque, elle faisait demi-tour et tomba nez à nez, enfin … presque avec Naluria au bras de Marty qui rejoignait leur petit groupe



Bonjour Naluria, bonjour Marty


Ooooooh c’était lui l’enrubanné … ahem … heureusement qu’elle s’était montrée discrete pour une fois et n’avait pas annoncé quelque taquinerie

Nalu, cela serait un immense honneur et un immense plaisir que de jouter contre toi.

J’allais justement vers la lice voir les tirages au sort des premiers tournois.

A tout à l’heure autours d’un verre



Elle fait quelques pas, et songeant soudain à une chose se retourne et interpelle l’homme


Maaaaarty ?!

Elle se rapproche de nouveau du couple


Pourrais tu me prêter, juste pour quelques jours, ton arme fétiche d’ex Porte Parole ?
Allez dis oui !! Je te promets d’en faire bon usage !



Elle lui adresse un sourire angélique et puis remarquant que vraiment … elle lui chuchote plus ou moins dicrètement


Marty, va falloir faire des efforts vestimentaires pour compter fleurette à celle que tu poursuis.

Tu peux déposer l’objet dans ma tente ? Merciiiiiiiiiiiii Marty



Et sans même attendre de réponse, elle laisse le groupe, et se dirige vers la lice



[Aux abords de la lice]


La jeune Noble voulait d'une part observer le terrain, se familiariser avec les yeux, tenter de faire baisser son appréhension pour ses premières joutes, et d'autre part ... connaitre son adversaire.

Des énormes parchemins avaient été affichés de-ci, de-là.

Elle était impressionnée par le nombre de jouteurs.

Elle chercha son nom et le trouva. Toutefois elle palit en voyant le nom de son adversaire
!

Citation:
Sibella de Vissac
Beths


NNNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNN!!!


D'une part, il s'agissait de l'une de ses compagnons, une représentante du BA, tomber sur une personne de son duché dès le premier tour ...

Et puis c'était une Dame enceinte contre laquelle elle allait jouter!!!! Enceinte !!!!!!!
Sibella! La femme se son Prévôt, enfin, son Prévôt si elle prenait comme référentiel son insigne de maréchale, mais étant également Prévost Royal des Provinces Vassales, il devait techniquement répondre à ses demandes.

Beths se mit à secouer la tête, cela allait devenir compliqué la!!!


Toujours était-il que pour ses premières joutes, pour le premier tour, le hasard avait été bien vicieux, elle devait jouter contre Sibella, enceinte, femme d'Azdrine, suzerain de son suzerain.
Que faire ?
Beths commença à se mordre les lèvres.

Elle devait retourner au campement



[Campement de nouveau, un troupeau charge, une Gondole s’agite en eaux troubles]


Elle n’allait pas jouter contre une femme enceinte tout de meme !!!! Malgré sa totale inexpérience, enfin surtout a cause de sa totale inexpérience, elle pourrait perdre ET blesser Sibella !!! Non !

Elle devait parler à Al.

Arrivant devant la tente tel un mouton chargeant sur … un mur, elle stoppa net en entendant son suzerain. Elle ne remarqua meme pas qu’il s’était mis à hurler et que décidemment il la fréquentait trop s’il se mettait à brailler comme elle, non, non elle n’entendit qu’une chose. Le nom … « Sib »

Sib ? Sibella ?

Boudiou !!!

Elle fit aussitôt demi-tour. Que faire ? A qui demander conseil ?

Elle étudie les tentes autours d’elle. Et la … un oriflamme. Oh oui, elle savait ce qu’elle allait faire. Chargeant de nouveau vers une nouvelle cible, elle arriva …

Devant la tente du Baron d’Usson !!!!

Le garde a l’entrée semble quelque peu étonné. De méchante humeur, elle prend une belle goulée d’air



AAAAAAAAAAZZZZZZZZZDRIIIIIIIIINEEEEEEEEEEEEEUH

J’ai deux mots à te dire !!!!



C’était de sa faute !!! comment pouvait il laisser jouter sa femme enceinte ?!!! Même Al avait réussi à convaincre Kory de ne pas jouter, alors quoi ???!!
Comment pouvait elle accepter l’idée de potentiellement la blesser ?
Il était inconscient.

Son hurlement avait une nouvelle fois percé le relatif calme du campement. Mais Beths ne s’en rendait pas vraiment compte en fait … et puis, elle ne faisait plus trop attention au volume de sa voix qui pouvait impressionner qui n’avait pas l’habitude.
Et puis … qu’importait la tête du garde en cet instant précis ?
La Gondole prenait l’eau ne sachant que faire pour son premier tour ? Abandonner ? Ou risquer de blesser une Dame enceinte par un geste qu’elle n’aurait pas contrôlé et par maladresse ?
Korydwen
Lavardin - campement du BA - Pas loin des tentes de Cournon et Gondole.

Elle avait suvi son époux sous la tente, blottie dans ses bras... Faut bien en profiter un petit peu beaucoup... Elle le regarda avec ses grands yeux et se gratta légèrement le menton.

Bein pourtant je te l'avais dit... Enfin je crois...

Elle essayait de se souvenir ce n'était pas très évident. Elle déposa une bise sur sa joue pour se faire pardonner de l'oublie et sourit en entendant une voix qui n'était pas celle de Beths pour une fois. C'était Sibella, elle venait les voir.

Bonjour Kory, toujours sur les routes ? tu vas bien finir par accoucher dans une tente, comment vas-tu ?

Légère moue de la Baronne, elle ne se voyait pas du tout mais alors pas du tout accoucher dans une tente... Faire subir à la noblesse ses hurlements... Elle s'approcha pour lui faire la bise... Mais c'était sans compter sur son hurleur d'époux qui hurla... En la voyant lui arrachant le tympan par la même occasion... Elle allait répondre à Sibella, mais elle était déjà partie, léger haussement d'épaule de la part de la Baronne, tant pis une autre fois... Entre temps vassal number one Ptitoliv entra dans la tente en hurlant tavernier... Décidément ils ne savaient que crier et messire s'incrusta dans la tente...

Je n'ai pas prévenu, comme d'habitude d'ailleurs, mais je suppose que quand il y a de la place pour un, ou deux, il y en a pour quatre ou cinq ?

Oui oui t'as perdu ta femme ? Aeryn est là ? Y a une Gondole qui cherche des rames, j'ai pensé que Sun pourrait l'aider...

Elle éclata de rire, enfin pas trop non plus... Puis Nalu et Marty arrivèrent à leurs tours, petit signe de la main.

Comment va tout ce petit monde ? Tout le monde à ce qui faut, sinon j'irais prévenir Llyr qu'il nous prête des équipements. Notre bon Billy sera assurément trouver l'endroit, je lui soupçonne des compétences à trouver et observer avec intérêt toute chose qui pourrait l'intéresser.

Bien bien et vous deux ? J'ai pour ma part fourni Beths... Il semblerait que vassal numéro 1 Ptitoliv est apporté ses affaires vu le boucan qu'il a fait...
Sibella de Vissac
[Tente des Hospitaliers]

Sibella se retrouvait en arrière de quelques temps devant Messire Cristol de Siarr qu'elle appréciait beaucoup à l'ordre des Hospitaliers.

Cristol mon ami, comme je suis heureuse de vous revoir. J'ai gardé un excellent souvenir de vous.

Passant les mains machinalement sur sa robe afin d'enlever les plis qu'il n'y avait pas

Ah vous avez vu mon époux ? comme quoi les grands esprits se rencontrent. Oui je suis heureuse, même très heureuse comme jamais.
Et vous, comment vous portez vous ? toujours en Languedoc et chez les Hospis ?


Elle était vraiment ravie de revoir Cristol, elle se souvient de son émotion lorsqu'elle avait quitté l'ordre quelques temps auparavant avant d'aller à l'Ordre Royal du St Esprit.

Je vous souhaite bonnes joutes et qu'Aristote prenne soin de vous, mais nous nous reverrons près de la lice je pense. Si vous permettez, je vais rejoindre ma tente, j'en suis partie depuis un grand moment. Franchement, j'ai été heureuse de vous revoir.

Elle adressa un grand sourire à Cristol en espérant bien le revoir bientôt en d'autre endroit

_________________
ramon
Après s'être absenté du campement pour la lice, ramon revint informer son écuyer, que le premier tour des joutes allé pourvoir commencer.

-Je vois que tu as houssé Bucéphale et que tu as tout préparé pendant mon absence, je te félicite Louis. Comme il nous reste un peu de temps, nous allons en profiter pour prier.

Ramon ouvrit un coffret et posa la croix d'Aristote sur une petite table. Il s'agenouillèrent devant ramon commence par réciter le credo

-Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
Amen!


Ramon fit silence et eut une pensé pour Auralie, il aurait aimé l'avoir à ses cotés. Il pria pour le repos de son cousin et de tous les êtres chers qu'il avait aimé.
Puis après ses quelques minutes, il reprit le chant de l'ordre teutonique:


- Rendons grâce au Très-Haut!

Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accordes-nous la victoire!

Déploies Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du sans nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice acceptes-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivres-nous de notre enveloppe sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.

DEUS MANUM DUCIT!!!!


Les deux hommes se relevèrent, Ramon alla voir Bucéphale, alors que le jeune écuyer faisait les cent pas devant la tente.

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kalimalice
[Campement des dames blanches]

Les filles arrivaient, chacune mettait pied à terre, et se mettait à l’ouvrage .Kali vit bien que la grande amazone n’avait pas sa tête des meilleurs jours .Il y a parfois des départs que l’on digère mal.
Elle s’activait a faire tous son possible pour que Wonder soit le mieux installée possible .L’installation terminée, elle voulait faire le tour du campement, sachant que la duchesse de saint nectaire était la ainsi que le jeune chlodwig_von_frayner. Tout en avançant la voix de Magdeleine



Y en a-t-il qui souhaitent venir se dégourdir un peu les jambes avec moi, après cette longue chevauchée ?

Elle s’approche déjà du petit groupe qui se forme.

Avec joies mes sœurs, je me joins à vous, mais vous n’auriez pas le gosier un peu sec vous ?

Déjà elle était hors de la tente, regardant ça et la, impressionnant des tentes à perte de vue .Ces joutes étaient prometteuses .Des oriflammes flottaient au vent, elle en reconnu certain, pour les avoir vu flotter sur les champs de batailles

_________________
Azdrine de Vissac
Tente de Riom ... En plein clocher



Après avoir gravi des centaines de marches, il était enfin arriver tout en haut. Il s'accouda sur le rebord et contempla la ville qui se réveillait peu à peu. Une légère brume flottait au niveau du fleuve et se répandait peu à peu dans les ruelles. Quelques charettes faisaient leur apparitions et tels des fourmis, les habitants, sans le savoir étaient surveiller par le chevalier Azdrine qui avait profiter de son séjour pour aller rendre visite au Bourdon. Notre Dame était une merveilleuse bâtisse, et la visiter ainsi que son clocher était un pelerinage en soit. Sauf bien sur quand l'angelus était sonné ... et la il compris sa douleur ....

DDDIIIIIIIINNNNNNNNNNNNGGGGGGGGGGG DAAAAAANNNNNNNNNG DDDDDDDDDIIIIIIINNNNNNGGGGGGG OOOOOOONNNNNNNGGGGGGGGGG AAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNGGGGGG AANNNNNNGGGGGZZZZZ AAAAAGGGGZZZZZZEEEEE AAAAGGZZZZZERRRRRRREEEEEEE AAAAAZZZZZZZRRRRRRRRNNNNNEEEEE

AAAAAAAAAAZZZZZZZZZDRIIIIIIIIINEEEEEEEEEEEEEUH


Légère ouverture des yeux mais tout de suite refermé a cause de la lumière qui rentré dans la tente. La soirée d'hier fut hydromelement parlant difficile et il ne se souvenait plus d'ou il se trouvait.

Il posa son bras sur la paillasse a coté de lui. Sibella n'etait plus là. Ceci dit heureusement car vu la douceur du baron le matin, il aurait manqué de l'assomer en posant son bras avec la légèreté d'une maréchale thiernoise.

Ses sourcils se froncèrent, et il comprit à cet instant que le moment allait encore une fois être douloureux. Imbibé d'alcool comme il l'etait depuis hier, il s'assied sur son lit et se passa la main sur le visage avant d'aller ouvrir le pan de la toile.

Son rêve en plein sommeil se transforma en cauchemar éveillée... Beths était belle et bien là, dehors, les joues rouges de rage. Il se demanda un instant si elle n'avait pas regouter au fameux calva normand mais son regard n'était pas celui de la femme éperdue qu'il avait vu en Normandie.

Il avait pensé prendre un peu de repos loin du BA et de tout ces évènements agaçant qui lui glacer le sang par moment. Rien que d'y repenser il en eut un frisson qui lui parcoura tout le corps.

Premier déclic réel de la journée, il baissa ses yeux et son regard ne pu s'empêcher de tomber sur la lance du Baron, toute droite érigée comme chaque matin. C'était donc ca, le sentiment de frisson...
Beths
[Devant la tente d'Usson, dialogue de sourd ? ]


Cet ... cet ... cet énergumène la faisait en plus attendre. Elle ne savait pas pourquoi elle n'avait pas encore sauté à la gorge du garde pour passer et entrer dans la tente.
La peur de trouver le Baron d'Usson en tenu indécente, ou bien accompagné, quoi que sa femme était dans la tente de Kory et Al ...

Hum

Au bout de longues minutes ou sa colère ne fit qu'amplifier, il daigna apparaitre.

Un relent nauséabond lui arriva aux narines. Elle se retint pour ne pas en avoir la nausée.

Comment ? Un prévôt rond comme une barrique ? Quelle honte.

Sa colère ne fit que croire un peu plus, si cela était encore possible.

Le garde, sentant le bouillonnement qui la prenait eut la bonne idée de s'éclipser discrètement. Elle marcha alors vers le baron jusqu'à lui arriver ... sous le menton.

Ses yeux n'étaient que deux fentes, son corps bouillonnait de colère ce qui pouvait se voir à la certaine rigidité qui s'était emparée d'elle, et avec rapidité, elle colla un index menaçant sur le thorax du Prévot du BA, Baron d'Usson, etc etc etc, elle n'allait pas tout détailler.



Comment oses tu laisser ta femme jouter espèce d'ignoble individu ?
Comment oses tu mettre en jeu la vie de ton enfant ?
Cela ne t'importe donc pas ?

JE SUIS CENSÉE JOUTER CONTRE TA FEMME AU PREMIER TOUR!!!!!!!!!!

Alors que dois je faire dis moi ?
Hum ?

Tenter de la faire chuter de son cheval ? Oh certes, je suis moins douée qu'elle très certainement et elle a de grande chance de l'emporter, mais et si jamais j'étais maladroite hum ?



Petit à petit sa voix était montée sans même qu'elle s'en rende compte.

Elle était hors d'elle : devrait elle abandonner ? Ses premières joutes ? Son premier combat ? Elle en avait été si fière ...
Daiguorniss
[Au bas de la colline proche du camp des Dames Blanches]

Daiguorniss arriva lentement au pied de la colline et s'avança vers le campement. Personne ne vint à sa rencontre aussi poursuivit il d'avancer. Le premier campement qui fut à sa portée était celui des Dames Blanches. Cette bannière lui rappela des souvenirs heureux. il s'approcha de la première personne qui se trouva sur son chemin.

"Dame la bonne journée. Vostre étendart me semble indiquer que vous appartenez à un ordre qui pris sa source dans les montagnes de la belle province de Savoie, mais n'étand point expert en la matière, je puis parfaitement me tromper.

Qoui qu'ile en soit, pourriez vous avoir l'extrême amabilité de bien vouloir m'indiquer où je puis trouver Dame Naluria Marthun Vaast ?"
Sibella de Vissac
[Campement d'Usson et de Riom]

Après avoir fait le tour des tentes de ses amis afin de les saluer, Sibella revint à son campement afin de prendre soin de son faucon pèlerin et surtout de son époux, qu'elle n'avait pas vu depuis très longtemps. A quelques pas de la tente, elle entendit la voix mélodieuse et agressive de sa consoeur Auvergnate, Beths, nouvellement Dame de Gondole. Elle se demanda ce qui pouvait se passer, mais néanmoins était ravie de la savoir dans les parages afin de lui souhaiter bonne chance pour ses premières joutes.

Elle arriva devant la tente rouge et blanche et vit son époux torse nu et Beths qui avait l'air de lui faire des reproches. Sans savoir de quoi il s'agissait, Sibella s'approcha en riant en voyant le doigt de Beths pointé sur son époux


Eh bien Beths, ça tombe bien, moi qui te cherchais, te voilà enfin. Apparemment tu es en colère contre mon époux. Cela sont vos problèmes de travail certainement, mais moi je voulais te souhaiter bonne chance pour ta première joute et je suis très fière de jouter contre toi. Je souhaite seulement, ne pas te blesser


D'un coin de l'oeil, elle regarda son époux qui paraissait en grande forme physique, bien qu'encore imbibé d'alcool. Elle sourit en le regardant se disant que si la voix de la soprano lui faisait autant d'effet, dans ce cas, elle appellerait Beths plus souvent au manoir.

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jariane
Tente de Chlo

Jariane accueillit sa vieille amie enorig et ne pus que rire en voyant une deuxième épée plantée près de l'etendart d' azayes. Avant même qu'elle ne put parler un mot, atalante son ecuyère minaudait en regardant chlodwing dans les yeux.

Beau lui faire des signes discrets, plus elle continuait, les dames blanches allaient avoir du mal avec elle.


Atalante, arretez de vous pavaner et cachez moi cette gorge, planchet va arriver allez me planter cette tente à coté face au perigord, les joutes ne vont pas tarder.

Enorig comment vas tu ? je suis certaine que ton fils est heureux de nous voir icelieu.

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