--_kory_
Au Salon
Korydwen regardait son amie, ou plutôt ses amis, si heureuse pour eux deux, la venue d'un enfant est chose merveilleuse, enfin pour le premier, pour le deuxième aussi, et le troisième l'on commence à penser que l'on est fou, que l'on ne trouvera jamais le temps pour lui, quand au quatrième et au cinquième Aristote a préféré les rappeler à lui, mais il n'a pas empêché un petit bouchon de les rejoindre, un petit Alexandre, fils de cousins malheureusement plus de ce monde et puis également une jeune fille prochainement, enfin peut-être, tout dépendrait de la suite des évènements, mais Korydwen avait assuré son époux de son soutien le plus total dans cette affaire. Jehanne s'était levée pour les saluer, malgré le rire qu'elle avait provoqué chez elle, elle voyait bien que la jeune femme était fatiguée, ses traits étaient tirés quand au pauvre Nerval, il semblait très angoissé. Un simple sourire de la baronne pour tenter de le rassurer. Qu'Aristote soit avec elle ce jour-là pour cette naissance future.
Merci Jehanne, je ne doute pas qu'Al en sera ravi.
Elle se tourna vers son époux et d'un air plutôt malicieux lui glissa un doux baiser sur la joue, de taquinerie en taquinerie, il règlera sans doute cela plus tard sur le coin d'un oreiller. La douce atmosphère qui régnait dans la pièce lui faisait oublier un instant son lot de tristesse... Bien difficile cette fin d'année, enfin, elle était aux côtés de son époux.
Le voyage un peu trop froid, mais c'est bientôt l'hiver. Sinon aucun brigand à l'origine, bon... Sauf mon époux, mais cela est une autre histoire.
Korydwen accueillit avec plaisir les mets de Sarah, elle se pencha pour commencer à servir quelques verres de vin et en attrapa un, après tout Jehanne les invitait et elle avait besoin d'un petit remontant...
Tu es bien silencieux Nerval... Ne t'inquiètes pas, tout ira pour le mieux.
Puis se tournant vers ses deux amis.
Bien, je profite de ce moment pour vous annoncer quelque chose. Il y a de cela quelques jours, un ami est venu me voir et souhaite m'anoblir, la cérémonie aura sans doute lieu en début d'année prochaine en Bourbonnais-Auvergne, si cela vous dit de venir... Chlodwig von Frayner, Baron de Carlat en Auvergne.
Et d'une invitation lancée. Un sourire aux lèvres, cette fois elle savait qu'elle ne récolterait pas un "condoléances". Et puis une petite tornade fit son entrée, elle les salua tous et les embrassa.
Choco !! Quel plaisir de te revoir !! Comment vas-tu ?
Une autre tornade arriva et se jeta sur le couple d'anciens jeunes mariés et de nouveaux jeunes parents. Froncement de sourcils en entendant le mot guerre et Jehanne, ainsi Jehanne avait fait la guerre enceinte, cela expliquait sa fatigue. Korydwen regarda son époux qui durant ses grossesses lui avait dit qu'elle était fort peu raisonnable et bien il y avait encore pire qu'elle. Elle se souvenait encore de l'annonce de sa troisième grossesse et de son époux qui lui avait ordonné en lui criant presque dessus pour faire comprendre à cette bourrique qu'elle devait écrire à l'Etat Major du duché pour les informer de son état et pire encore, elle avait jouté et avait fini à l'épée et là... Telle une furie Althiof était entré dans la tente. "Madame Korydwen de Marigny, ici je vous prie !" Des mots qui résonnaient encore aujourd'hui dans sa tête, l'inquiétude et l'attitude survolté d'un époux, ayant peur pour son épouse et son enfant en devenir, à même pas trois mois. Mais son époux n'avait pas fait attention aux propos de guerre, sans doute n'avait-il pas bien entendu.
Le plaisir est partagé Melisse ! Ravie de te voir !
Korydwen s'approcha de Jehanne et posa sa main sur son épaule.
Ma Jehanne, pendant cette guerre, tu n'as rien eu ?
Inquiète la Baronne d'un coup et bien des années après les remontrances de son époux, elle comprenait encore mieux son agissement, agissement qui n'avait pas été contre elle. Elle le regarda avec un simple sourire et lui colla une grosse bise sur la joue.
Merci de veiller aussi merveilleusement bien sur moi.
D'ailleurs son époux semblait paumer dans la discussion ou bien il s'en donnait l'air, pour sur que ça allait ressortir prochainement. Elle l'écouta simplement marmonner et ne put s'empêcher de rire. Pour sur qu'il allait chercher la cave, comme du temps où il cherchait la chambre secrète du château de Seltik, le bon temps en BA...
Je sais pas vous, mais j'ai soif ! Donc à la santé des futurs parents et de ce futur petit bout qui devrait bientôt nous rejoindre !!
Korydwen regardait son amie, ou plutôt ses amis, si heureuse pour eux deux, la venue d'un enfant est chose merveilleuse, enfin pour le premier, pour le deuxième aussi, et le troisième l'on commence à penser que l'on est fou, que l'on ne trouvera jamais le temps pour lui, quand au quatrième et au cinquième Aristote a préféré les rappeler à lui, mais il n'a pas empêché un petit bouchon de les rejoindre, un petit Alexandre, fils de cousins malheureusement plus de ce monde et puis également une jeune fille prochainement, enfin peut-être, tout dépendrait de la suite des évènements, mais Korydwen avait assuré son époux de son soutien le plus total dans cette affaire. Jehanne s'était levée pour les saluer, malgré le rire qu'elle avait provoqué chez elle, elle voyait bien que la jeune femme était fatiguée, ses traits étaient tirés quand au pauvre Nerval, il semblait très angoissé. Un simple sourire de la baronne pour tenter de le rassurer. Qu'Aristote soit avec elle ce jour-là pour cette naissance future.
Merci Jehanne, je ne doute pas qu'Al en sera ravi.
Elle se tourna vers son époux et d'un air plutôt malicieux lui glissa un doux baiser sur la joue, de taquinerie en taquinerie, il règlera sans doute cela plus tard sur le coin d'un oreiller. La douce atmosphère qui régnait dans la pièce lui faisait oublier un instant son lot de tristesse... Bien difficile cette fin d'année, enfin, elle était aux côtés de son époux.
Le voyage un peu trop froid, mais c'est bientôt l'hiver. Sinon aucun brigand à l'origine, bon... Sauf mon époux, mais cela est une autre histoire.
Korydwen accueillit avec plaisir les mets de Sarah, elle se pencha pour commencer à servir quelques verres de vin et en attrapa un, après tout Jehanne les invitait et elle avait besoin d'un petit remontant...
Tu es bien silencieux Nerval... Ne t'inquiètes pas, tout ira pour le mieux.
Puis se tournant vers ses deux amis.
Bien, je profite de ce moment pour vous annoncer quelque chose. Il y a de cela quelques jours, un ami est venu me voir et souhaite m'anoblir, la cérémonie aura sans doute lieu en début d'année prochaine en Bourbonnais-Auvergne, si cela vous dit de venir... Chlodwig von Frayner, Baron de Carlat en Auvergne.
Et d'une invitation lancée. Un sourire aux lèvres, cette fois elle savait qu'elle ne récolterait pas un "condoléances". Et puis une petite tornade fit son entrée, elle les salua tous et les embrassa.
Choco !! Quel plaisir de te revoir !! Comment vas-tu ?
Une autre tornade arriva et se jeta sur le couple d'anciens jeunes mariés et de nouveaux jeunes parents. Froncement de sourcils en entendant le mot guerre et Jehanne, ainsi Jehanne avait fait la guerre enceinte, cela expliquait sa fatigue. Korydwen regarda son époux qui durant ses grossesses lui avait dit qu'elle était fort peu raisonnable et bien il y avait encore pire qu'elle. Elle se souvenait encore de l'annonce de sa troisième grossesse et de son époux qui lui avait ordonné en lui criant presque dessus pour faire comprendre à cette bourrique qu'elle devait écrire à l'Etat Major du duché pour les informer de son état et pire encore, elle avait jouté et avait fini à l'épée et là... Telle une furie Althiof était entré dans la tente. "Madame Korydwen de Marigny, ici je vous prie !" Des mots qui résonnaient encore aujourd'hui dans sa tête, l'inquiétude et l'attitude survolté d'un époux, ayant peur pour son épouse et son enfant en devenir, à même pas trois mois. Mais son époux n'avait pas fait attention aux propos de guerre, sans doute n'avait-il pas bien entendu.
Le plaisir est partagé Melisse ! Ravie de te voir !
Korydwen s'approcha de Jehanne et posa sa main sur son épaule.
Ma Jehanne, pendant cette guerre, tu n'as rien eu ?
Inquiète la Baronne d'un coup et bien des années après les remontrances de son époux, elle comprenait encore mieux son agissement, agissement qui n'avait pas été contre elle. Elle le regarda avec un simple sourire et lui colla une grosse bise sur la joue.
Merci de veiller aussi merveilleusement bien sur moi.
D'ailleurs son époux semblait paumer dans la discussion ou bien il s'en donnait l'air, pour sur que ça allait ressortir prochainement. Elle l'écouta simplement marmonner et ne put s'empêcher de rire. Pour sur qu'il allait chercher la cave, comme du temps où il cherchait la chambre secrète du château de Seltik, le bon temps en BA...
Je sais pas vous, mais j'ai soif ! Donc à la santé des futurs parents et de ce futur petit bout qui devrait bientôt nous rejoindre !!