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[RP] Pilori sur la place du village

--Pere_plex
Père Plex n'en revenait pas de la commande que la mairesse venait de lui faire, un pilori, lui pauvre charpentier que tout le monde ignorait, qui ne faisait que des batons qui ne se vendaient jamais, un pilori, il allait pouvoir gagner un mois de rétribution.

Il devait le livrer avant la nuit et laissant sa germaine encore en tenue de nuit, souleva son le pompom de son bonnet de nuit pour lui poser un baiser sur ses lèvres défraîchies, ce qu'il n'avait pas fait depuis des lustres.


Ma bo'ne Germaine, j'men va toute la j'née et tut cupe de Marg'rit, va me gagner de l'or ma germaine.

Il travailla sans relâche toute la journée, coupant, sciant, ajustant, limant, tenon, mortaise, le pauvre bougre mouillait la chemise sans pensait même à boire, il voulait le livrer à temps et lorsque la nuit tombait, l'engin était finit. Il alla chercher sa ache et sa charrette pour acheminer son œuvre sur la grand place, l'installa et fila comme un beau diable au devant de la mairesse qui devait se trouver en taverne pour se faire payer.

Af.macey
Loupie regarda étonné ce pilori

"-J ai une question cher sire,
A quoi cela peut il bien servir?
A torturer quelques birgands,
Sorcières ou manant?
Ou pour une victime déja choisie?"

Elle avait ses temps ci des inspirations poétiques...
Kehl
Kehl regarde le pilori, bien perplexe. Un pilori à Bourg, c'était nouveau !

Je parie que c'est pour quelqu'un qui a essayé de piquer sa vieille branche à Tine. Piquer une vieille branche : il y en a qui ont de ces idées, pour se faire mettre en procès, aussi...
Valentine_e


Tine passa sur la place avant de se rendre à la mairie et vit le superbe Pilori que le Père Plex avait installé à sa demande. Elle sourit en apercevant Khel qui lança une phrase entendue sur le sort d'une éventuelle voleuse de vieux gribouille. Elle rit aux éclats.

Bonjour Khel, je t'ai entendu, mais sache que le pilori serait bien trop doux comme châtiment pour celle qui s'aventurerait à me "piquer ma vieille branche", je l'écartèlerai et la dépouillerait, lambeau de peau par lambeau de peau de mes mains, la laisserait sécher au soleil et me délecterai de la voir mourir à petits feux.

Ses yeux ronds et ses mimiques auraient fait peur, elle en était certaine, à toutes celles qui usent même eut juste une pensée pour son homme.

Reprenant visage humain, elle sourit à Khel.


Le pilori à été demandé par Jehanne de Genevois, pour son écuyer je crois, mais j'ai trouvé l'idée alléchante pour certains brigands ou malotrus.

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Af.macey
"-Brigand ou autre malotru...."
Elle esquissa un sourire
"-Si tu devais tous les écarteler..tu n aura jamais fini avant la nuit.."
Jehanne_du_genevois




La grand place de Bourg et ...Pas son marché mais son pilori ...

J'arrivais tranquillement sur la grand place du village en souriant de voir le pilori monté rapidement suite a une demande une peu saugrenue je dois avouer à la bourgmestre .
On avait trouvé l'idée bonne ...Un pilori ...Punition pour un escuyer fautif de la gestation de ma jument .

Certes il n'y avait pas mort d'homme mais quand mesme
Quoi qu'il en estait il y aurait fait exposé aux villageois et eux décideront si fouet ou coup de rame en l'absence de fouet seraient donné à l'escuyer .

Tine se tenait là en grande conversation avec un sieur que je ne connaissais point .Je m'avançais .


Bon jour chère Bourgmestre .
Sieur bien le bon jour ainsi qu'à vous Dame Loupie


Une bise sur la joue de mon amie .

Je vois que tu as été rapide pour dénicher un pilori Tine .Nous allons pouvoir lancer le procès de l'escuyer en ce cas .

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Nerval
Enfin sa Suzeraine daignait abaisser son épée. Elle semblait troublée mais pas parce qu’il attendait. La perle traversant le tissu plutôt que la fleur cueillie avec respect. Il ne put qu’esquisser un sourire lorsqu’elle tenta de justifier son agression en règle. Elle n’en n’avait pas besoin de toute façon, cette légère blessure n’était rien de bien important, la dernière qu’il s’était faites pour sceller son allégeance envers elle avait coupé bien plus de peau et avait fait verser beaucoup plus de sang.

Que pouvait-il répondre à sa question? Oui boulette il a fait, mais bon elle allait être toute heureuse d’avoir un bébé sale bête alors pourquoi râler autant. Les mots allaient sortir de sa bouche quand ils furent bloqués par une autre bête qu’il apprécie bien plus, un pigeon. Par respect pour sa Suzeraine il attendit patiemment qu’elle lise ce mot. Elle semblait encore troublée de ce mot, c’est la journée. Mais pas un mot de la part de l’écuyer. Les affaires de sa Suzeraine sont ses affaires et si elle ne souhaite pas en parler il ne la poussera pas.

Et comme pour enlever cette missive de sa tête, voila que sa Suzeraine désirait faire une petite balade. Ce qui lui semblait étrange fut la destination. Souvent ensemble ils déambulaient en discutant mais toujours loin du village. Le choix lui parut donc fort étrange mais elle devait sûrement le sa voir, il ne pouvait rien lui refuser. Acquiescant de la tête, et dans le silence le plus complet ils prirent la route pour arriver à l’endroit que sa Suzeraine avait nommé lui lançant de temps à autre des regards espérant qu’elle daigne lui expliquer où elle voulait en venir.

La Vicomtesse était présente, la demoiselle tavernière également mais son regard fut attiré par l’enchevêtrement de morceau de bois juste à coté d’elles. Un pilori... Nerval ne peut s’empêcher de sourire, pauvre personne qui sera mis dans les mains de cet appareil. Des salutations envers les personnes présentes. Avant de bloquer sur les paroles de sa Suzeraine.


Le quoi?

Un froncement de sourcils envers sa Suzeraine, elle seule a le droit de faire cela. De quel droit les autres pourraient-ils le juger. Il allait finir au pilori et il ne l’accepterait pas surtout à cause d’une sale bête.
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Valentine_e


Tine sourit à son amie Jehanne.

Oui, que pourrais je refuser à une amie quand elle me dit qu'elle va mettre les fesses du Sieur Nerval à découvert.


Elle se pencha vers elle et lui chuchota

"c'est qu'il est pas mal fait ton écuyer, plaisir des yeux"

Elle ignora l'Écuyer qui faisait drôle de tête au côté de sa suzeraine, sa Suzeraine oui certes, mais n'était-elle pas plus que ça, à son attitude, Tine pensait fortement que l'homme était en train de se prendre d'amour mais se garderait bien même de le penser trop fort.


Elle attendit que Jehanne fasse son office et s'installa sur une barrière qui bordait la place en souriant

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Af.macey
Loupie assistais à la scène et ne pus s empêcher d afficher un sourire narquois en voyant la figure de sir nerval.
La partie promettais d être belle et rien n était joué..et elle; elle allait se contenter de regarder, sourire et commenter les dialogues...comme de coutume..
Jehanne_du_genevois




Le pilori ............Place de Bourg ...........Procès !
Coup de fouet ou de rame ?????????????????


Quelques mots Tine ...
Une grimace du coté de Nerval ...Je me demande bien pourquoi ?
Trop de monde peut estre ...
Et pourquoi crit il "LE QUOI" ?
Le quoi ,le quoi c'est pas un quoi mais un pilori ....

Enfin ...Tine elle veut voir ou revoir le fessier de l'escuyer ,Loupie elle arbore un sourire qui en dit long sur son idée ...Moi ...Je veux justice et pour cela procès !
Bon il me fallait maintenant ouvrir ce petit procès et expliquer ma requeste .
Je monte sur la petite estrade afin de m'adresser au village ,amis ,inconnu ...


Cher Burgiens ,Burgiennes ,amis ,inconnus ,je suis Jehanne et je viens vous exposer le pourquoi du pilori sur nostre belle place .
Voila quelque temps ,un faute à été commise par mon escuyer Sieur Nerval ici présent .

Je ne sais si cela est un fait exprès ou involontaire de sa part mais ma jeune jument est pleine .Me voila sans montures pour au moins 8 mois et impossible en ce cas de voyager ou et surtout de jouter .
Pourtant le travail d'un escuyer est de prendre soin des chevaux et d'éviter tel soucis .
Si j'avais voulu que ma jument soit gestante je lui aurait dit me semble t il
.Enfin ...Bref ...Je fais icelieu procès du Sieur Nerval ,lui laissant une chance de se défendre devant vous qui aller jugez cet homme .
Je me doit d'estre impartial donc je ne juge point moi mesme !

Je demande juste fouet ou coup de rame !

Sieur Nerval a vous de vous défendre !



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Kehl
Kehl se gratte la tête. Ce n'est pas habituel ce genre de procès. Mais il s'arrête et écoute ce qu'a à dire l'écuyer.
Nerval
Ses inquietudes furent confirmer lorsque la Vicomtesse parla à sa Suzeraine. Comment reagir? Il ne savait pas mais le plus troublant fut lorsque Jehanne monta sur l'estrade pour s'adresser à tous le monde. Melange de colere et d'humilation parcourut son échine. Que cherchait-elle à faire la? N'était-il que le pantin pour qu'on se permette de le juger ainsi devant tous le monde? Lui qui n'en n'a que faire de l'avis des autres, il allait devoir s'expliquer. S'expliquer ou fuir au choix. Il fut rapidement fait, il était certes devoué totalement à sa Suzeraine mais il était ecuyer non pas une serpiere.

Il lança un regard noir à sa Suzeraine lorsqu'elle s'adresse à lui et fit quelques pas en avant prenant place à coté d'elle. Avant de commencer à son tour le poing serré mais tentant d'avoir le visage le plus serein possible. Il ne la comprenait pour la premiere fois depuis qu'il était à ses cotés et l'agacement était la.


Burgienne, Burgien,
Savoyarde, Savoyard,
Badaudes, Badaud,
Ma Suzeraine préférée,
Mesdames et Messieurs les jurés,
Noble assistance,
Public ché...


Nerval s’arrêta quelques instants, léger égarement dans sa plaidoirie. Avant de reprendre d’un ton calme, tout du moins en apparence.

Comme j’ai déjà eu l’occasion de le démontrer moult fois à ma Suzeraine avec un brio qui m'étonne moi-même malgré la haute estime en laquelle je me tiens depuis que je sais que mon séant est aux goûts de la gente féminins, je suis un piètre écuyer. Le débat auquel vous allez assister ici n’est pas celui d’un vrai tribunal. En réalité je le répète ce n’est qu’un exutoire, exutoire dit comique, ou qui tente de l’être.

Alors nous sommes ici pour rire, alors parlons en du rire alors que Dame Jehanne du Genevois n’est la que pour atténuer sa culpabilité de me punir elle seule. Je ne suis point un habitué de la gaudriole para judiciaire et cela pose problème. Les questions doivent vous hanter avec un H comme dans Halibi. Mais je n’aurai rien à dire pour ma défense. Mais vous vous méprenez sur un point. Ce n’est pas Moi qui n’aime pas les sales... les chevaux, c’est le contraire.


Il pointa le doigt vers les gens qui le regardait.

Je vous vois tous sourire et prendre mes mots pour des paroles comiques. Sachez que mon humour est la politesse de mon désespoir envers ces animaux. S’il est vrai que je vous fais rire dans mes paroles, sachez que ceci permet de désacraliser le bêtise, d’exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles même si l’humour peut être sacrilège blasphématoire que les bigots de toutes les chapelles taxent de vulgarité et de mauvais goût, je continuerai d’être comme j’ai toujours été envers vous Dame Jehanne. Je préférerai toujours regarder s'agiter ces malheureux dans les champs, je préfère regarder gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à cent à l'heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d'un coup, ça s'arrête, sans plus de raison que ça n'avait commencé et, le pauvre gueux, le pompeux comte, la princesse d'opérette, nous sommes fauchés, un jour, par le croche-pied de la mort imbécile et les droits de l'homme s'effacent devant les droits de l'asticot.

Il se tourna enfin vers Jehanne sans baisser les yeux, la regardant sur de lui et fier de ce qu'il est.

Ainsi oui j’ai failli ce jour la j’ai sûrement préféré m’allonger dans l’herbe et observer le ciel, les étoiles, préféré partir dans mes rêves plutôt que de surveiller ces animaux. J’ai fait un serment envers vous ma Suzeraine non envers vos animaux. Vous m’avez accepté comme je suis vous me l’avez assez dit, rêveur et incompatible avec vos animaux.

Si je mérite un punition pour avoir laissé créer la vie je l’accepterai, si je mérite une sermon pour avoir laissé la nature se faire je l’accepterai, si je mérite une sanction pour avoir le plaisir de distinguer une sourire sur votre visage Jehanne lorsque vous aurez un bébé cheval à vous occuper, oui j’accepterai la sentence.

Si par contre tout cela n’est que colère et n’a pour but que l’humiliation publique de ma personne je réfute tout cela. Et la je m’adresse à vous ma Suzeraine, si vous pensez que je vous ai floué en devenant votre écuyer, si vous pensez que je ne vous ai pas prévenu de mon ressentiment envers vos chevaux, si vous pensez que je ne me suis pas assez pris de coups de sabots ou de dents de la part de votre Opis, alors oui allez y, humiliez moi, ainsi prendra fin ma fonction auprès de vous car j’aurai échoué dans le serment que je vous ai fait. Celui de ne jamais vous décevoir.


Aucun geste meme pas un regard envers elle, il n'était pourtant pas particulierement penible comme homme, toujours de bonne humeur, devoué au possible pour sa Suzeraine et la voila qui tentait de faire il ne savait quoi. Nerval ne souhaitait pas rester à ses cotés pour la premiere fois depuis qu'il l'accompagnait. Que pouvait-il dire? Rien? Non il était dévoué pas un simple torchon. Quelques pas pour s'éloigner et se poser sur la petite fontaine en face de tous ces gens qui le regardait. Il n'était pas question de baisser le regard, assumer ce qu'il était et vu que sa Suzeraine ne semblait plus le vouloir il n'avait qu'a etre fier de ce qui faisait son charme. Et dire qu'il était arrivé il y a quelques instants avec une fleur pour elle...


Defense fortement inspiré d'un requisitoire de P. Desproges

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Spacemaker
Nerval a écrit:


Defense fortement inspiré d'un requisitoire de P. Desproges


Space passait par là. Loin de prendre partie, il pensa qu'il n'avait pas d'avocat. Il en avait bien connu un, lusitanien mais c'etait un incroyable farfadet ankylosé du bavoir qui broutait son ennui en agressant mollement ses parasites crâniens grâce au peigne à poux en épine dorsale de morue que sa Tata Rodriguez lui avait envoyé de Lisbonne en paquet fado.

il continua son chemin...


Désolé, pas pu résister ^^

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Melisse


Melisse avait été éloignée de Bourg juste une journée et voilà qu 'en arrivant sur la place se tenait assemblée. Elle approcha, s'assied sur un petit muret et écouta Jehanne et ensuite son ecuyer, Sieur Nerval.

Elle buvait sa plaidoirie, fût prise de frissons tant il y mettait du coeur.... son regard perçant et son doigt pointé sur eux ensuite la glaça, se dit qu'après tout, le seul tord qu'il avait eu était celui d'avoir rêvassé un peu et que les bêtes en aient profité, ce n'est que naturel..... Elle chassa une pensée qui lui traversa l'esprit, pensant de plus en plus que l'écuyer éprouvait bien plus que son dévouement total à sa suzeraine, sourit à cette idée et balançant les jambes, attendit la suite de l'affaire.

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Jehanne_du_genevois




Toujours et encore la place des grands hommes ....Pardon de Bourg !

Voila l'escuyer qui s'avance et commence sa plaidoirie .
Un ton doucereux et comique ...Comment amadouer son monde ...Comme à son habitude ...Il passe de la pommade.

M'agace par moment j'aurais du le châtier moi mesme de mon épée plutôt que de lui laisser une chance de se défendre ,ma générosité me perdra !
Il estait pas trop tard mon épée estait à mon ceinturon mais trop de monde et forcement trop de témoins de son suicide ...............

Bon il avouait estre un escuyer vraiment plus qu'incompétent soit par moment plus comp que pètent quoi que ....
Bla bla bla ,laisser la nature faire Pfffffffffffff ben oui une jument de juste deux ans à peine finit de débourré et dressé ...La nature ...la nature ...Ben oui j'estais déçue et en colère car il ny avait rien de compliqué dans la mission surveiller les chevaux vu que je m'occupais du reste les nourrir ,les panser ,je m'occupais mesme de SA monture à lui !

Voila que tout l'auditoire boit ses paroles ...Ils sont comme subjugués par l'escuyer mauvais escuyer mais très bon parleur .
Impossible de donner le blâme.Verte de rage .Malade de honte.
Doit être épuisant jeu.
Égoïstement haï,pas étonnant que tu es fatigué.Rentre te coucher .
Il ne joue pas la comédie se croit vraiment victime ...Maintenant aprés ma faute c'estait celle de la jument ...

Agacée ,une colère sourde grondant en moi je me retiens de lui jeter des noms d'oiseaux au visage .
Une solution ...
Il avait enfin finit de plaidoyer .
Un sourire aux lèvres je repris la parole .


Bien Jolie plaidoirie Sieur Nerval .
Et en vous écoutant j'ai eu aussi le mesme sentiment que vous ...Supporter vos incompétences sans jamais rien dire ,vous remplacez auprès des chevaux quand il fallait les panser et les nourrir vous aviez juste à les surveiller rien de bien difficile en soit mais encore trop pour l'épicurien que vous estes .
Donc je vous relève et vous soulage en vous renvoyant du post d'escuyer .Vous estes dorénavant libre sans suzeraine ou maitre comme vous le souhaitez .

Sur ce braves gens je vous laisse avec le comique plaideur.Je pense pas que le pilori servira cette fois ci mais un brigand passera bien par là se faisant prendre ainsi on l'aura pas construit pour rien !


Je sautais de l'estrade et filais vers ma maison à grand pas réprimant ma colère .


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