Isadora.staicquachet
Isadora ouvre les yeux, elle se sent courbaturée un peu partout d'avoir dormi sur une paillasse de fortune en pleine nature, mais elle est heureuse d'humer aux premières lueurs de l'aube les douces senteurs des arbres, de la rosée et de la liberté.
La voilà enfin sur les chemins, armée et formée pour. Prête à mettre en pratique les enseignements de Simone, et à parfaire sa propre technique. En plus, elle a eu droit à un cadeau quelques jours avant de partir, et elle est impatiente de pouvoir baptiser son nouveau bouclier. Pour l'instant elle s'en est servi comme oreiller pour sa tête, mais elle doute que cela soit une si bonne idée étant donné le mal de cou qu'elle a en se redressant.
Tout est silencieux, mis à part les quelques oiseaux qui commencent leurs piailleries matinales.
Ses compagnes de chemin dorment encore. Elles sont quatre en tout. Quatre jeunes femmes ayant pour point de commun l'envie de se sortir de la torpeur d'une vie trop bien réglée. Manger, boire, travailler, dormir... Quel ennui au bout d'un certain temps !
Isadora est celle qui doit avoir le moins d'expérience... en tout cas c'est la moins bien fagotée, et celle qui semble la moins costaude... Mais vaille que vaille, elle est prête à donner maille à partir au premier manant qui passe !
Elle se sent déjà toute enthousiaste à l'idée d'un peu d'action.
En attendant que les autres se réveillent, et qu'elles partent prendre leur poste de surveillance, elle s'attèle à la tâche de faire une petite flambée et cuire son bout de viande. Prendre des forces histoire d'affronter la journée en pleine possession de ses moyens lui semble judicieux.
Le feu crépite, elle y suspend son bout de viande, et patiente.
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La voilà enfin sur les chemins, armée et formée pour. Prête à mettre en pratique les enseignements de Simone, et à parfaire sa propre technique. En plus, elle a eu droit à un cadeau quelques jours avant de partir, et elle est impatiente de pouvoir baptiser son nouveau bouclier. Pour l'instant elle s'en est servi comme oreiller pour sa tête, mais elle doute que cela soit une si bonne idée étant donné le mal de cou qu'elle a en se redressant.
Tout est silencieux, mis à part les quelques oiseaux qui commencent leurs piailleries matinales.
Ses compagnes de chemin dorment encore. Elles sont quatre en tout. Quatre jeunes femmes ayant pour point de commun l'envie de se sortir de la torpeur d'une vie trop bien réglée. Manger, boire, travailler, dormir... Quel ennui au bout d'un certain temps !
Isadora est celle qui doit avoir le moins d'expérience... en tout cas c'est la moins bien fagotée, et celle qui semble la moins costaude... Mais vaille que vaille, elle est prête à donner maille à partir au premier manant qui passe !
Elle se sent déjà toute enthousiaste à l'idée d'un peu d'action.
En attendant que les autres se réveillent, et qu'elles partent prendre leur poste de surveillance, elle s'attèle à la tâche de faire une petite flambée et cuire son bout de viande. Prendre des forces histoire d'affronter la journée en pleine possession de ses moyens lui semble judicieux.
Le feu crépite, elle y suspend son bout de viande, et patiente.
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