--Jontas
Le joueur de Jontas n'ayant pas accès à la gargote normande (ni à la halle dieppoise donc), nous utiliserons un PNJ afin de poster ses textes. Bonne lecture !
Citation:
Mon fils,
Voilà un mois que je t'ai écrit pour la dernière fois et la vitesse d'écoulement du temps semble bien faible en cette période calamiteuse pour notre belle et grande province qu'est la Franche Comté. Les pouilleux de nobles qui osent défendre les sales gueux qui pullulent et empestent nos douces narines semblent proliférer tels de simples lapins. Sans compter ces déjections qui couvrent toutes les terres impériales, qui se reproduisent dans les rues, tels des chiens, et qui montrent la plus détestable image de la race humaine, ces gueux qui vouent un culte à ce qu'ils appellent égalité ne méritent que notre dédain, souviens-t-en mon fils.
Ces temps difficiles me font t'annoncer notre départ prochain, ta mère et moi-même, pour venir te rejoindre. Nous souhaitons quitter ces terres décadentes pour que ta mère puisse te pouponner comme elle le fait si détestablement bien et moi te montrer ce qu'est la vie de noble, telle que tu dois la vivre.
A ce propos, comment se passe la vie en cette ville si lointaine que celle de Dieppe ? J'espère que cette sale gouvernante prend soin de ta si importante personne. As-tu pensé à ce que je t'avais demandé dans ma dernière missive ? Il faut que tu montres à tous les gueux à quel point tu es meilleur qu'eux, ne l'oublie jamais.
N"oublie pas également de faire les quelques exercices que je t'ai demandé de préparer avant mon arrivée, il faut que tu saches manier l'épée efficacement pour que tu sois à même d'affronter les vils brigands qui parcourent les routes de nos jours.
Quoiqu'il en soit, sache que ta mère est bien triste de te savoir loin d'elle. Elle passe ses journées à se balader en songeant à toi dans les forêts de Beaufort, qui sont très jolies en cette période de l'année, je suis sûr que tu dois t'en souvenir d'ailleurs.
En tout cas, vis noblement, c'est la seule chose qui importe pour ton futur et sache que nos pensées t'accompagnent, malgré l'éloignement.
Faict à Beaufort en cette année mil quatre cent cinquante sept, le 8 février.
Jontas de Valfrey,
Comte de Beaufort,
Baron de Clairvaux-les-Lacs
Voilà un mois que je t'ai écrit pour la dernière fois et la vitesse d'écoulement du temps semble bien faible en cette période calamiteuse pour notre belle et grande province qu'est la Franche Comté. Les pouilleux de nobles qui osent défendre les sales gueux qui pullulent et empestent nos douces narines semblent proliférer tels de simples lapins. Sans compter ces déjections qui couvrent toutes les terres impériales, qui se reproduisent dans les rues, tels des chiens, et qui montrent la plus détestable image de la race humaine, ces gueux qui vouent un culte à ce qu'ils appellent égalité ne méritent que notre dédain, souviens-t-en mon fils.
Ces temps difficiles me font t'annoncer notre départ prochain, ta mère et moi-même, pour venir te rejoindre. Nous souhaitons quitter ces terres décadentes pour que ta mère puisse te pouponner comme elle le fait si détestablement bien et moi te montrer ce qu'est la vie de noble, telle que tu dois la vivre.
A ce propos, comment se passe la vie en cette ville si lointaine que celle de Dieppe ? J'espère que cette sale gouvernante prend soin de ta si importante personne. As-tu pensé à ce que je t'avais demandé dans ma dernière missive ? Il faut que tu montres à tous les gueux à quel point tu es meilleur qu'eux, ne l'oublie jamais.
N"oublie pas également de faire les quelques exercices que je t'ai demandé de préparer avant mon arrivée, il faut que tu saches manier l'épée efficacement pour que tu sois à même d'affronter les vils brigands qui parcourent les routes de nos jours.
Quoiqu'il en soit, sache que ta mère est bien triste de te savoir loin d'elle. Elle passe ses journées à se balader en songeant à toi dans les forêts de Beaufort, qui sont très jolies en cette période de l'année, je suis sûr que tu dois t'en souvenir d'ailleurs.
En tout cas, vis noblement, c'est la seule chose qui importe pour ton futur et sache que nos pensées t'accompagnent, malgré l'éloignement.
Faict à Beaufort en cette année mil quatre cent cinquante sept, le 8 février.
Jontas de Valfrey,
Comte de Beaufort,
Baron de Clairvaux-les-Lacs
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Jontas de Valfrey
Comte de Beaufort
Baron de Clairvaux-les-Lacs