Orandin
Orandin entra dans la stade de Montauban car celui de Bazas était encore en rénovation... après quelques mois de sommeil, les gradins, la buvette et le terrain n'était plus en état ce qui pouvait être dangereux pour les Guyennois ainsi que les Souleurs !
Il laissa les grandes portes du stade fermées, où se trouve derrière celle-ci les supporters de chaque équipe et quelques Guyennois venu pour voir le match, pour laisser les souleurs des deux équipes pénétrer tranquillement par une petite porte dans l'enceinte du stade, les souleurs se dirigeait vers les vestiaires afin de se changer et suivre les instructions du Cap' ou du Co-Cap'.
Une fois les souleurs dans les vestiaires, Orandin fit signe aux quelques hommes qu'il avait embauché bénévolement pour gérer le monde qui allait se précipiter, pour leur donner lordre douvrir les portes. Pendant ce temps, il entra dans son vestiaire pour se mettre en tenue. Une fois toute son équipe en tenue de soule, il fit un discours à son équipe :
« Dans quelques minutes, on est sur le terrain devant les tigres sanguinaires de Montauban sous les encouragements de nos supporters !
Donc je compte sur vous pour être sans pitié, montrons à ces tigres qui nous sommes !
Pour Bazas ! »
Son discours fini, il donna les emplacements de chaque joueur sur le terrain. Une fois ceci fait, il ouvra la porte des vestiaires de Bazas et sortit avec son équipe sous les acclamations de ses supporters. Regardant de lautre coté, Ayanah sortir aussi avec son équipe. Il fit signe à son équipe de le suivre pour venir saluer dune bonne poignée de main leurs adversaires.
Une fois quOrandin tomba sur Ayanah, il lui sourit en coin et lui adressa la parole :
« Que le meilleur gagne mais naturellement, on sait tous que cest Bazas ! »
Lambiance était tendue entre les équipes, le match allait pouvoir bientôt commencer. Il manqua juste un truc avec son équipe, il salua leur public et attendit larbitre qui allait les rejoindre dun moment à lautre sur le terrain.
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Il laissa les grandes portes du stade fermées, où se trouve derrière celle-ci les supporters de chaque équipe et quelques Guyennois venu pour voir le match, pour laisser les souleurs des deux équipes pénétrer tranquillement par une petite porte dans l'enceinte du stade, les souleurs se dirigeait vers les vestiaires afin de se changer et suivre les instructions du Cap' ou du Co-Cap'.
Une fois les souleurs dans les vestiaires, Orandin fit signe aux quelques hommes qu'il avait embauché bénévolement pour gérer le monde qui allait se précipiter, pour leur donner lordre douvrir les portes. Pendant ce temps, il entra dans son vestiaire pour se mettre en tenue. Une fois toute son équipe en tenue de soule, il fit un discours à son équipe :
« Dans quelques minutes, on est sur le terrain devant les tigres sanguinaires de Montauban sous les encouragements de nos supporters !
Donc je compte sur vous pour être sans pitié, montrons à ces tigres qui nous sommes !
Pour Bazas ! »
Son discours fini, il donna les emplacements de chaque joueur sur le terrain. Une fois ceci fait, il ouvra la porte des vestiaires de Bazas et sortit avec son équipe sous les acclamations de ses supporters. Regardant de lautre coté, Ayanah sortir aussi avec son équipe. Il fit signe à son équipe de le suivre pour venir saluer dune bonne poignée de main leurs adversaires.
Une fois quOrandin tomba sur Ayanah, il lui sourit en coin et lui adressa la parole :
« Que le meilleur gagne mais naturellement, on sait tous que cest Bazas ! »
Lambiance était tendue entre les équipes, le match allait pouvoir bientôt commencer. Il manqua juste un truc avec son équipe, il salua leur public et attendit larbitre qui allait les rejoindre dun moment à lautre sur le terrain.
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