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[RP]Les Estuves publiques de Montauban sont ouvertes !

Ciboulette
Comment çà Ciboulette trempait dans l'eau ??? mais surement pas !
Comment aurait-elle pu faire ?

En effet son corsage se dénoua...en effet elle entreprit d'enlever le reste...mais ce qu'elle vit dans le baquet, à ce moment précis, la gêna au plus haut point !
Il y a de la vie au fonds du baquet ! si ! si ! on n'enfume pas une poissonnière comme on enfume des harengs !
Elle le voit bien, l'eau a bougé ! ... alors même que Severant a les deux mains sur ses yeux...alors même qu'il est installé et bien assis et qu'il ne bouge pas !...enfin un peu ...c'est lui ...mais ...pas lui tout à fait...

Elle ne peut mettre son compagnon dans l'embarras à ce point ! non ce n'est pas possible... !


Ciboulette avait encore sur elle sa ceinture et son coutelas...
Savonnette la tenait afin qu'elle ne glissât point ...

Cibou fit une volteface avec une telle vivacité que son couteau trancha brusquement la ceinture de Savonnette !
Sa robe tomba à ses pieds et elle se trouva du coup nue comme un ver....

Savonette réagit très vite en essayant de remonter sa robe tant bien que mal...

La voir avec la robe à ses pieds fit sourire Ciboulette ...puis regardant Severant... puis le baquet .. puis Savonette et encore le baquet....constata que l'eau bougeait tout autant ...
Des remous ! hou ! hou !

Quelle folie meurtrière lui prit à cet instant...elle ne le saura jamais !
Elle poussa Savonette dans le baquet !

Severant ouvrit enfin ses mains, il était temps !. ..d'ailleurs les avait-il réellement fermées?...et reçu le paquet dans le baquet !

Frottez-le bien Savonette et de partout !^^

Cibou en profita pour remettre son corsage avec une dextérité inégalée...

Elle gardera donc avec elle cette bonne odeur de poisson pourrit qui la suit depuis deux jours tant sa poiscaille cogne !


Elle se retourne vers Severant une dernière fois et lui dit :

Profitez-en mon ami ! Je file ...c'est mieux ainsi !

Je vous attendrai à l'église ! soyez sans crainte !
Ciboulette s'éclipsa d'une belle vitesse tant elle avait compris que ça sentait l'embrouille...
_________________
--Bulleau
Le gros bonhomme avait été engagé afin de faire régner l'ordre là d'dans !
Il se devait de surveiller et les clients et les estuviers(vières)!

Lorsqu'il entendit un bruit inhabituel venant du fonds de l'établissement, il s'enhardit devant mettre en place sa première intervention..

Il se posta dans le chambranle de porte et demanda :

Que se passe-t-il là d'dans ? personne ne sortira tant que je n'aurai pas compris ce qui se passe !
Il avait bien vu filer une femme mais n'y avait prêté aucune attention, vu qu'on lui avait bien dit qu'il n'y avait que des hommes aujourd'hui !

Et lui Bulleau il comprend tout ce qu'on lui dit... toujours
et il fait tout ce qu'on lui dit ...toujours aussi.

J'attends ! dit-il ..
Personne ne pouvait ni entrer, ni sortir...
Mais il y a une femme dans ce baquet ? femme je vous ordonne de sortir de ce baquet et de vous couvrir !

Quant à vous Messire, veuillez excuser l'intruse !
Je vous en prie vous pouvez sortir...

Il le laissa passer

Quant à vous ma Belle, allons voir la Dame patronne !
Et je pense qu'elle vous houspillera tout ce qu'il faudra !
C'est INTERDIT aux femmes aujourd'hui bougre de niquedouille !
Scath_la_grande
[Quand la belette n’est pas là… les souris dansent]


L’ombre, noire, se dressa telle un des fléaux ravageant l’Egypte, s’étendant sur le comptoir et enveloppant de sa marque sombre la rousse qui y travaillait à ne rien foutre.
Les yeux se relevèrent bien vite, arpentant à la hâte la stature du Sicaire et arrivèrent à l’acier.
« P’tain de merdouille, manquait plus que lui maintenant ! »
L’angoisse arriva à grand entrain. Voilà une visite bien impromptue qui annonçait une pléthore d’emmerdouillements dont la belle se serait passée.

Le blême prit possession de son museau, les prunelles quant à elles, fouillèrent un point invisible entre ici et là-bas et Scath plissa ses lèvres dans une moue d’enfant prise en faute.


Salutation à vous, Sancte…

Il n’avait rien remarqué, car déjà il l’honorait à sa manière, lui bousculant le dard de son empreinte. Sans brusquerie ni même douceur.
La belette se cambra, tous naseaux dehors sous la méfiance de le savoir à rôder dans son périmètre de sécurité, piaffant sur ses plates bandes. Il véhiculait avec lui un trouble déplaisant, assurant l’emprise qu’il avait sur la demoiselle.
Emprise qu’elle niait, qu’elle abhorrait. Scath retint avec peine son frissonnement.


Ravie que cela soit à votre goût.

Vite, il fallait trouver de quoi détourner l’attention de l’Amiral de la salle des bains, le renvoyer à sa mairie au plus vite où le travail urgent ne devait pas manquer.
P’têtre le charmer avec une parade nuptiale, l’embelleter… et ainsi le faire fuir.


...


Des cris provenant de l’antre halitueuse de la salle d’eau la coupa nette dans toute tentative de fricotage avec le Sicaire.
Moue renfrognée, s’était pas le moment qu’il y ait esclandre dans l’établissement quand le « propriétaire » et « récolteur de bénéfice » à fort pourcentage se trouvait dans les lieux.

Les poings serrés, la petite silhouette se dirigea ipso facto vers la provenance du bruit, pour endiguer l’agitation honteuse qu’il y régnait.

La scène qu’y s’y déroulait lui parut surréaliste, digne d’une toile peinte par un atrophié du ciboulot. En premier lieu, elle jeta un regard en coin à l’employée trempée par on ne savait quel miracle. Elle réglerait le problème plus tard et lui exposerait sa façon de pensée bien carré à la minette Savonnette. Les fauves devenus sombre de colère se posèrent sévèrement sur le beuglard de service.


IL SUFFIT !

L’ordre fut sans appel, et même si le visage de la rouquine revêtait un air placide, le regard fut implacable sur le cerbère du bain dont elle n’avait aucunement le souvenir d’avoir engagé. Parfois sa mémoire lui faisait défaut.
« Toi mon coco, si tu l’ouvres encore, je t’cabosse la tignasse à coups de latte »

Elle essaya de ne pas se laisser déborder par la situation, car derrière elle, Scath sentait bien qu’on ne ratait pas une miette et au moindre faux-pas, elle serait remercier à coups de panards dans l’fondement.


Bien… Machin-chais-plus-ton-nom, Ma Dame a dû s’introduire par erreur quand j’étais à la remise, ce n’est pas la peine d’hausser le ton pareillement.
C’est un lieu de quiétude, bordel-de-mierde, alors ne trouble plus ainsi la clientèle.
Escorte la Dame à la sortie, et sans la molester !


A la prise-en-faute.

Revenez demain, ça sera le jour pour les femmes, je vous prie.


Une fois les affaires réglées, où tout du moins c’était son souhait, La Grande prit un peu le large de la scène et s’amena avec un faciès affable vers le bourgmestre, se montrant rassurante.

Ne vous inquiétez pas, quelques soucis d’horaires. Fit un léger mouvement de la main comme pour éloigner le problème. Certaines personnes ont dû mal à comprendre ! Cafouillage d’ouverture…

Puis appuyant son regard sur l’Amiral, continua d’une voix plus sereine.

Dites ? Est-ce que votre mirifique personne serait tentée par un bain ? L’eau est bien propre et chaude, c’est celle du matin.
Je m’occuperai personnellement de vous, un ôte prestigieux tel que vous se doit d’avoir le meilleur des services.


Sourire en prime, compris dans le service.
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--Zeus_apollon
Zeus ou Apollon, de toutes manières qu’importe, la maîtresse-estuvière n’était jamais fichue de les appeler de la même façon, ni même d’usité leurs vrais noms.
Le matin Zeus, et le soir Apollon et inversement, bon, ça aurait pu être pire comme Andouillette et Brocoli par exemple.
La rouquine l’avait envoyé à la criée, ça ne dérangeait pas l’estuvier, bien au contraire, payé pour prendre l’air et réveiller les bourgeois.
Enfin là, en l’occurrence c’était les bourgeoises. D’ailleurs sa maîtresse adorée, lui avait donné consignes à cet endroit, enfin donné… intimé plutôt.

Dans l’air frais du matin, dans cette lumière incertaine du levé du jour, le bonhomme, Zeus ou Apollon c’était selon, entama sa tournée dans les rues bardées du silence matinal.


Oyez, Oyez Grandes Dames et Damoiselles venez vous baigner et estuver sans plus attendre... Les bains sont chauds et les estuves publiques sont prêtes, c'est sans mentir !

Venez, venez donc vous frotter le séant
Votre baron en sera des plus contents
D’avoir une espouse qui sente le bon
Et des norteils à la tête avoir odeur de savon !
Et se soir, il n’en sera que plus aguérri
Lorsqu’il rejoindra la tendre couche de son nid
C’est Dame Scath qui vous le prédit…
Sancte
Aux premières lueurs de l'aube, la ville était vide de ses habitants. Dans la boucherie de son manoir dans laquelle il restait souvent jusqu'au soir, le bourgmestre fumait sa viande. Mal lui en prenait souvent, car à repousser ses obligations de Maire, une surcharge toujours plus importante de travail l'attendait infailliblement. Maintenant son attention sur son labeur pour ne pas avoir à y passer la nuit en sus de la journée, il darda un regard hautain à l'encontre des hurlements enthousiastes qui provenaient de l'extérieur. Il finit alors rapidement ce qu'il avait à faire et se fit une virée par la grille extérieure pour interpeller le zigoto qui braillait dans la ruelle qui débardait en écho son tapage matinier.

Zeus ou Apollon, c'est selon a écrit:
C’est Dame Scath qui vous le prédit…


Prédit ou pas prédit, qui aime tendrement ne châtie point durement, mais châtie quand même. Alors tu iras dire à la belette que si j'aperçois encore un de ses larbins gueuler dans les rues à l'aube ... je lui éclate sa gueule.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Gouverneur de Montauban-la-Réformée.
Melina
Samedi, le jour des bains pour femmes et enfançons était arrivée, et Mélina avait aucun désire de rater cette occasion. Peut être une occasion familial qu'elle regretterait rapidement, sachant que Heka détestait l'eau et encore plus les bains. Brunehaut avait prise son après midi pour des courses. Mélina avait donc 4 marmots et sa cousine Yanci pour l'aider. La bande arriva à l'établissement tel une horde de chevaux arrivant du fond des prés pour la ripailles donner par leurs mestre d'écurie. Mélina arriva donc à l'accueil, la petite fille de sa suzeraine dans les bras, tenant Habibah par la main. Redsen qui aimait les bains s’amusait à pester sa sœur qui avait peur de l'eau, et qui se débattait dans les bras de Yanci. Mélina fit de gros yeux à sa fille et tendit la petite vers Yanci pour faire l'échange. Une fois Heka dans ses bras, Mélina lui dit: "ça suffit là" Sur un ton ferme et autoritaire. Cette dernière se figeant et boudant. Mélina pouvait bien la laisser bouder, au moins cela serait assez. Redsen vint pour taquiner encore une fois celle ci mais le regard réprobateur de sa mère l'invita à oublier ses taquineries pour son propre bien.

- Bonjour, j'espère que nous ne vous donnerons pas trop de fils à retordre. Nous venons pour un bain, 2 adultes et 4 enfants. Nous aurons besoin d'un Savon parfumé ainsi que de 3 draps.


Souriante, elle regardait la bande, qui d'un coup lui faisait peur. Oui, trop d'enfants, elle était devenu ce genre de femme qu'elle admirait mais ne voullait devenir, et ce bien malgré elle.
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Zorgl
Bien sa veine....Jour de bain alors que le match de soule est prévu pour l'aprés midi.... C'était sans doute pas raisonnable de se faire parfumer avant , pas ca qui détournerai les poutreurs de coller des baffes , bien au contraire... quoique ... un ptit massage lui détendrai les muscles...

Aussi pris elle , ce matin la , la direction des étuves..
Une femme , accompagnée d'une tribu de marmots attendaient à l'entrée... les momes jouaient à chat , en courant de tout coté... l'un d'eux vint se planquer , en position , derriére ses jambes.

Passant sa main dans les cheveux du marmot, elle s'adressa poliment à celle qui devait, sans doute, etre sa mère.

le bonjour , Dame, ca fait longtemps que vous attendez là?
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Chancelière de Guyenne
Melina
Regarde la nouvelle dame et lui sourit en faisant petite révérence.

- Non non, ont semble préparer l'endroit. Je me prénomme Mélina , voici ma cousine Yanci et mes enfants.

Mélina ne désirait point expliquer que la plus jeune n'était la sienne, mais bon la simplicité et de toute façon, appart la nourrice de Niria, c'était elle qui veillait sur les enfants et à leur éducation.
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--Angelique


La jeune Angélique se souvenait que l'endroit se devait d'être fermé en l'absence de la maîtresse, mais le maigre salaire qu'elle recevait en tant qu'apprenti ne se résumait qu'à quelques écus par mois, et la chance de pouvoir faire un peu de profit en voyant les deux dames avec 4 enfants ne pouvait qu'être une bonne opportunité pour faire valoir ses talents à la maitresse, puis... n'étais-ce pas elle qui avait dit que les clients avaient toujours raison? Elle pouvait certes pas les refuser. La crainte de se faire mettre à la porte ne lui passa que rapidement dans la tête.

Elle avait écouté les demandes de la dame et s'était assurer que les bains pouvaient les accueillir. En fait le grand bain serait parfait pour cette petite troupe. Puis en revenant du fond, ses yeux pétilla. Une autre dame venait d'entrée.


- Bien l'bonjour au estuve chères m'dames.

Puis s'adressant à Mélina et sa petite bande.

- Nous pourrions tous vous accueillir dans l'grand bain, qui vous attends. J'vous y guide dès maintenant.

Elle tenait les 3 draps demander par la dame et 1 savon parfumé. Elle les guida jusqu'au fond.

- J'vous laisse un instant. Si vous avez besoin d'quoi que ce soit, j' s'rai pas loin, vous n'aurez qu'à m’appeler, moi c'est'Angélique.


Puis, sans attendre elle se dirigea vers la dame qui venais d'entré, un sourire, une révérence. Elle pensais qu'aux écus qu'elle se feraient, sans réalisé le travaille qui viendrait avec.

- Que puis-je pour vous, vous offrir un bon bain? Il y a des plus p'tit bain ou vous s'riez bien!
Zorgl
Zorgl se présenta aux deux femmes , qui tenaient en leurs bras chaqune une enfant , et leur rendit courtoisie.

Et bien , vous avez là belle compagnie...

Regardant avec atendrissement le mioche qui restait planté à ses cotés, la bouche barbouillée de rouge des fruits sauvages dont il avait du faire son gouter, et ses braies tachées de boue et sur lequelles s'étalaient comme oeuvre d'art de longues lignes vertes d'herbe fraiche et quelques fils tirés .

Sans doute revenaient elle d'une promenade le long du Tarn et des ronciers qui le bordent probablement.

Et pour laquelle un bon bain semble de la premiére nécessité.

Elle sourit et s'assit sur un banc de pierre , a proximité.

Alors , attendons que les miasmes de ces messieurs aient été éclaircis.
Je n'aimerai trouver dans mon eau poil de barbe et chique flottante.



D'un air un peu dégouté...

Qui sait si un pustuleux n'a pas trempé en quelque bassin..

Une femme s'avanca .
Comme elle s'occupai de la petite troupe, la chancelière en profita pour l'observer discretement.
Pauvrement mais proprement vétue, fleurant bon l'eau de lavande, sa mine fraiche finit de la rassurer .

Elle ne tarda pas a disparaitre, ainsi que Melinda et sa famille, dans la vapeur des étuves.

Et comme les grenouilles ,aller passer sa vie en vadrouille , dans les étangs et dans les prés....

Assise sur la pierre , les yeux dans le vague, elle fredonnait lorsque revint la donzelle.

Réverence, les manières étaient chatiées, promesse de bien des plaisirs...

Un petit bain , oui , et des sels parfumés aussi.... L'eau est elle tiéde ou bien me faudra t'il suffoquer jusqu'a devenir rouge comme une écrevisse... j'ai la peau délicate, voyez vous, aussi pour le massage..... cela est bien prévu ,n'est ce pas, j'y mettrai les écus qu'il faut... pour le massage donc...

A basse voix...

Est t'il un jeune homme bien bati qui puisse m'huiler comme il le faut? J'ai un match tout a l'heure, et il me faut etre prète et les muscles solides , vous comprenez , jeune damoiselle?

Léger battement des cils , un écu se place dans la main de celle ci.

Voila pour vous.
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Chancelière de Guyenne
--Angelique


L'écu placer dans sa main, elle devrait trouver l'un des masseurs. Elle allait en entendre parler par la maîtresse, mais comment refuser ces écus? Et puis, elle ne garderait que ce qui lui revenait de droit. Un sourire forcer, remplis de doute la fit acquiescer sans en rajouter.

- Il y a un des p'tits bains que j'n'ai eu l'temps d'rajouter l'baquet chaud, il devrait être à votte Goût sinon j'ajusterai M'dame. Veillez m'suivre, j'vous prie. Pendant qu'vous tremperez un peu, j'vous trouverez un masseur. Habituellement c'est la maitresse qui fait les oignements, mais elle est absente aujourd'hui. Vos muscles devrait se détendre avant votte joute.


Elle y prit un drap, les sels et un savon parfumé avant de guidé la cliente. En marchant vers le fond, juste avant de passer le voile elle lui demanda.


- Désirez vous un bon frottage juste avant ou préférez vous l'faire tout seule?

Puis elle poursuivit dans la grande salle et se dirigea vers un des petit bain, déposant le drap sur le banc adjacent celui ci.

- Voilà m'dame
Zorgl
A travers les vapeurs, elle distinguai les silhouettes et les cris des enfants qui s'ébrouaient déja.

Elle suivit la jeune femme jusqu'à un petit bassin , tout en rondeur, et agréablement décoré de céramiques bleues.

Et bien , Mademoiselle,, je crois qu'aprés avoir trempé un peu, une friction me fera le plus grand bien.

Aprés que les sels eurent étés versés , elle donna congé, tira le voile et se glissa doucement dans la fraicheur de l'eau.

Les carreaux , lisses comme des coquilles de Nacre, l'accueillirent comme caresse .

Elle ferma les yeux .
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Chancelière de Guyenne
Melina
Mélina qui avait refusé le frottage cette fois, préférait s'occuper elle même de ses petit monstre. Yanci en faisant de même, pour aider sa cousine. Elle regardait les enfants en général apprécié l'eau. Niria semblait heureuse dans les bras de Yanci. Quand à Heka, elle se cramponnait au cou de Mélina, sans vouloir lâcher prise. Mélina savait qu'il serait inutile d'essayer de la déloger, alors elle fit un jeu avec les enfants pour les encourager à se frotter eux même dans le bain. Des éclaboussure il y en avaient, par contre, que des rires et des petites comptines étaient récité pour ne pas déranger la dame du bain voisin. Les enfants étant habituer qu'en public ils devaient bien se tenir, il en était tout autrement dans leurs appartement. Mélina ne désirait brimer leur jeunesse, déjà si courte, ils devaient en profiter, tout en respectant voisins.

Après un menu frottage, Angélique qui passait de temps à autre pour s'assurer que la bande était confortable, elle avait aussi même ajouter de l'eau chaude puisque le bain semblait s'éterniser. Il fallait dire que Habi, elle avait plus de difficulté à se laver seule, et l'obstination d'Heka de ne point vouloir se retirer des bras de sa mère et les bras charger de Yanci avec Niria, laissa que le petit Redsen qui se proposa, faisant un jeu du frottage. Les deux toujours sous sa supervision, le bain allait bon train. Elle profiterais un de ces jours d'un bain seule, ou elle pourrait profiter de tous les services.

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--Angelique


Après avoir visité ses clientes, elle s'était affairer à ce que tout soit prêt. Dame Mélina semblait bien se débrouiller toute seule et aillant refuser le frotage, et ce heureusement sinon elle aurait jamais eu le temps de s'occuper de l'autre dame. Faut dire que 6 personnes à frotter aurait bien prit du temps toute seule. Une fois après un p'tit regard vers le grand bain elle repassa derriere le paneau qui séparait les bains.


Et bien , Mademoiselle,, je crois qu'aprés avoir trempé un peu, une friction me fera le plus grand bien.

- Bien M"dame

Angélique essayait bien de tout faire seule, mais elle était pas habituer et connaissait pas encore tous les dessous de ce beau métier. Elle avait répondu , mais réalisa qu'elle était pas certaine de ce que voullait vraiment la dame Zorgl, car frottage ou soins pouvait être définit comme friction... ho la la la barrière du langage des classes... cela elle ne saurait s'y faire .. ou bien elle le devrait si elle tenait à son poste. Heureusement elle avait bien été quérir son ami de toujours, et il était aux côtés dans la salle de soin. Elle lui avait fait changer sa chemise pour une toute propre et il avait les bras propres...en fait il avait l'air propre, c'était ce qui comptait en ce moment. Elle avait été fier de pouvoir le faire échapper à la forge, qu'il détestait de toute façon.

- N'désirez vous point un bon frottage avant les soins M'dame? C'est ma tasse de thé l'frottage, et j'ai pas peur de ça, en moins que vous soyez pâs à l'aise.. j'comprendrais bien m'dame. La salle des soins est prête quand vous voullez!

Elle attendit la réponse de la dame avant de s'atteler à la frotter ou à la guider dans la pièce à côté des bains, pour les soins, ou attendait Pépin.
Zorgl
Les piaillements avaient laissé place à un léger murmure, tandis qu'une mélodie douce parvenai jusqu'a elle.

Elle n'allai pas tarder à s'endormir , bercée par la chanson , lorsque la jeune employée apparu de derriére le voile.
Citation:

N'désirez vous pas quelque frottage...


Et bien si , Angélique, je ne saurai me passer de vos mains expertes .. vous utilisez les sels n'est ce pas ?

Elle se demandai si ce frottage allai lui couter plus que de raison , car l'insistance de la jeune femme portai en soi, promesse d'écus en supplément.


Dites moi,.... elle porta regard sur sa main gauche rapidement... Mademoiselle.... Auriez vous dans vos murs flacon de poudre d'os de Seiche?
_________________
Chancelière de Guyenne
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