Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[RP]La DTC en avant

Garance
[Et de un.. et de deux.. ]

Un petit plaisir de Garance, c'était de viser là où le sang giclait le plus fort.
Le jeu après était de ne pas étre dans le chemin.
Elle avait touché une femme brune assez belle et vêtue comme pour aller à un bal.

Ravissante
De la pointe de l'épée, Garance fit tomber la coiffe
Vous serez plus à l'aise , je vous assure
Et d'un geste rapide visa l'aisselle.
Du beurre.. Et un flot épais de sang jaillit.

Ah mais!
En plein sur sa robe blanche.
Vous pourriez mourir sans faire de saletés au moins!. Quel manque de savoir-vivre.
Et d'une pour venger Drannoc. Huru tout près d'elle avait son regard de tueur.
Un effort Huru ! On va pas y passer la nuit!
Et v'là qu'un jeunot s'approchait d'elle. Une hésitation.. Mourir si jeune.. Mais son regard était sans pitié. L'échange fut bref et Garance visa l'aine bien profondément.
Ca ne fera pas mal, je vous le garantis, mais le sang n'arrêtera pas de couler. Vous vous sentirez engourdi.
Les corps s'écroulaient tout autour. Goût de métal et odeur fétide et chaude.
Un coup d'oeil pour savoir comment s'y prennaient les saltimbanques.

_________________

Pas de réponse HRP à du RP
Debba_1er
La sortie de Montpellier, nuit du 9 au 10 Juin.

Le séjour dans la capitale tenait enfin à sa fin, les brigands avaient quitté la ville et aussi, le Languedoc. Domenc retrouvait le train-train quotidien profitant d'être à Montpellier pour suivre les cours dans sa faculté. Mais les nouvelles n'étaient guère bonnes, les brigands avaient décidé d'un repli stratégique pour mieux attaquer à nouveau.

La nouvelle n'était pas réjouissante, il fallait à nouveau reprendre épée & bouclier et renfiler sa cotte de maille. Fin prêt, il alla chercher les instructions de la part des instances militaires du Comté qui lui ont conseillé de rejoindre qui gardait la frontière à Lodève, alors qu'une seconde quittait la capitale pour la rejoindre & qu'il pouvait faire le voyage avec.

Chose impossible, sa compagne refusait catégoriquement de rejoindre n'importe quelle armée et encore moins de le laisser partir seul, et il était aussi hors-de-question pour lui qu'ils voyagent séparés et ils avaient fini par se mettre d'accord pour faire le voyage ensemble séparés de l'armée.

Par chance, par retard de la compagne, par rigueur militaire ou toute autre raison qu'on peut trouver bonne, la compagnie militaire avait quitté Montpellier avant leur groupe. Les évènements qui passèrent durant cette nuit restent encore difficile à expliquer ici, mais le résultat était quant à lui clair, un vrai massacre sur la route entre Montpellier & Lodève.

Le lendemain, l'arrivée à Lodève se fait sans encombre. Il chercha alors une place pour loger ses accompagnateurs avant de rejoindre les places occupées par les militaires. Cela s'agitait grandement, durant la nuit, un combat avait eu lieu entre les hordes brigandes et l'armée stationnée aux alentours de Lodève. On comptait parmi les rangs des languedociens morts & blessés et l'heure était à l'évacuation de ces derniers et la réorganisation de la défense pour d'éventuels futurs attaques.

Cherchant comment il peut bien être utile, Domenc courrait parmi les différents soldats cherchant des instructions à suivre.
Korrigans
[Nuit du 9 au 10 Juin 1458]

Comme tout le monde, le brun croyais que les brigands avaient enfin été chassé du Languedoc, battu par un peuple uni contre toutes menaces extérieur, il apprit quelques jours après la retraite des couards, qu'ils étaient de retour, fiélaux ils étaient et sans scrupules, le jeune soldat prit la tête d'une lance armée sous ordre de l'EM.

Cela faisais plusieurs jours qu'il était à Lodève, le soleil venait de se coucher et un vent glacial vînt s'écrasser sur sa peau frissonnante, la garde se passais à l'entrée, surveillant tout mouvements où toutes arrivées des brigands.

Korrigans ne souhaitait pas passer toute la nuit sans une goûte de calva, profitant de se calme, où les hiboux chantaient et les loups aboyaient, pour se servir quelques verres, les mains tremblantes de haines, buvant sans s'arrêter quand du fracas se fit entendre derrière lui, il se retourna brusquement et vit Le sergent qu'il attendait depuis longtemps le rejoindre.

Ah, êtes en retard ! j'ai commencé la bouteille sans vous moi ! j'vous serre un verre ?

Il sourit chaleureusement, lui servant un verre ayant même entendu sa répondu, il avait juré de la protégé, coûte que coûte, quand soudain, après de nombreuses bouteilles vidés , il se leva doucement, balayant la ville du regard, les yeux flamboyants et la main sur son épée, se demandant se qu'il se passerait si il tombait au combat, certes, se fit une noble cause de mourir pour son comté contre l'envahisseur...

Sergent, je vais me vide....euh....ben voila, c'est bon le Rhum mais faut pas en abuser !

Le jeune Soldat se dirigea vers un coin tranquille, même pas le temps de vider tout le rhum qu'ils avaient bu, qu'il entendit d'horrible bruits derrières lui, les couards étaient là ! il accourut vers la foules pour retrouver le sergent qu'il avait laissé, bruits ineptes et les gémissements sans fin étaient insupportables, les corps tombaient devant lui et les cadavres se faisaient plus nombreux...

SERGENTTTTTTTTTTTTTT ETES OUUUUUUU ??????

Il sortit son épée....tellement longtemps qu'il voulait en découdre avec ceux-là, frappant le premier qu'il croisa, déposant la pointe de son épée le long de son coup, le fixant du regard, il se demandait ses pensées, avait-il peur ? tellement de questions, mais l'heure n'était pas aux sentiments, Le jeune soldat appuya fortement, voyant l'homme s'écrouler à terre, le sang coulait et une odeur mortuaire commençait à se faire sentir, toujours à la recherche du Sergent, quand il tomba nez à nez avec une brigande où il s'abaissa avant de lui donner un coup circulaire...... l'heure n'était pas aux pitiés, mais aux recherches et à la défense.
Auriia
[ Nuit du 9 au 10 juin]



La journée avait commençé doucement, Auriia était à Lodève depuis quelques jours avec le reste de ses soldats, a peine quelques jours de repos que le combat était prêt a recommencer. Quand…? Le sergent Auriia allait le savoir ce soir. C'est à la tombé de la nuit qu'elle rejoignit les troupes. Elle se faufila entre les têtes familières et aperçue Korri de dos, le pas d'avantage pressant elle ne prêta pas attention à la pierre au sol et buta son pied dedans.


Humpf !!

En retard moi? Mais non jamais…

Auriia regarda la bouteille a moitié vide dans la main du soldat.

Heu ….

Elle le regarda sourire aux lèvres en attrapant le premier verre… Combien de temps passa? Combien de bouteille vidé?

Sergent, je vais me vide....euh....ben voila, c'est bon le Rhum mais faut pas en abuser !

Humpf humpf ! Faite soldat , faite … Pas de détail merci.


Une grimace sur son visage puis elle reporta son attention droit devant elle. Une légère brise se leva, balayant des yeux les alentours elle aperçue la masse ennemi …Le moment était venu.


Korri reviens erf et zut !!

Prête, armée, cheveux relevés et le corps recouvert de son uniforme, un sourire narquois aux lèvres le sergent chargea dans le tas. Elle ajusta son bouclier à bonne hauteur devant elle, armée de son épée elle entama le combat.

Elle poursuivi l'effort, repoussant la situation de faiblesse, sa rage sortait dans ses mouvements, se qui lui valu de dérouiller son épée en touchant un première homme d'un coup sec et rapide.

Un coup de pied dans son flanc, il paraissait mort…Les troupes se mélangées, elle avait de plus en plus de difficulté à évité les morts et blessées au sol.

Quand d'un coup, par surprise… Une douleur atroce dans son dos… Le sergent palissa sous la douleur, le souffle coupé elle sentit ruisseler le sang le long de sa colonne. le regard vague, a peine la force de serrer ses poings, elle tomba d'abord à genoux avant que sa tête heurte et résonne à son tour sur le sol. Puis le silence...



[HRP supprimé par Lulu modo]
Dulin
Toute la nuit Dulin avait lutté avec panache au cotés des siens

Après de longues minutes de combat, il était venu à bout de son adversaire, le blessant et le mettant en fuite


A peine eut t'il le temps de reprendre son souffle, qu'il du reprendre le combat, face à un soldat, soit pas très intelligent ou peu courageux d'ailleurs, pour preuve il lui tourne le dos.
Se sauve t'il?? sans réfléchir et , on est en guerre après tout, Dulin enfonce son épée profondément dans les cotes de son adversaire

Il le regarde gisant au sol, renfonçant sa lame à plusieurs reprises afin d'être vraiment sur de l'avoir achevé


Dulin , satisfait essuie sa lame sur le cadavre inerte et se remet a l'affut d'éventuels ennemis
--Boucletteblonde
bon bon bon ben la voila embrigué dans une drole d'histoire... alors un pas en avant un pas en arriere. mais finalement elle est entrée dans l'armee..

nœud le 10 juin

et chef on fait quoi? dis chef tu nous dis si on attaque ou pas?

la ferme le boulet fout ton nez dans l'herbe et attend.

un coup d'oeil a droite un a gauche, elle regarde ses boulets, regarde la troupe et sourit.

ca va faire de la poussiere tout ca...
a l'attaqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

la bouclette, se jette en avant suivit de ses boulets, ca cogne ca blesse ca tue..l'odeur du sang lui rappelle des bon souvenir, elle aime ca..
puis elle se tourne et hurle

bouletttttttttttttt attention

trop tard, elle le regarde tomber un genoux a terre, puis les deux, puis le corps. la bouclette est furieuse, l'epee tourne au dessus de sa tete, les yeux remplis de haine et tue décapites...

la rage au ventre la tuerie fini elle s'approcha de son boulet, elle les aimait comme ses freres personne ne devait leur faire mal, ou elle devenait lionne enragée.
elle le prit dans ses bras, puis doucement elle le ramena a la charrette.

t'inquiètes on va te soigner, UN MEDECIN S IL VOUS PLAIT ET VITE

puis elle regarda le ciel. et hurla

notre peuple vaincra
Sofio
Montpellier

Nuit d'angoisse, a se bouffer les ongles et la peau, a maudire pester, loin de tout, loin de lui .. elle en mourra bien plus que de prendre ce risque insensé, passer a tout prix, elle en crève, se décide, action insensée, ils sont partout en chemin, elle les sait en mode destruction totale, ils se sont déjà acharné a 15 sur elle seule, le combat a la loyale ils en tournent le dos , préférant traquer les gens derrière les buissons.

Chercher un cheval dans Montpellier, autant chercher un autochtone en taverne, inexistant.... aux abords des forets elle réussit a trouver une ferme, silence de la nuit, juste quelques frémissements dans les arbres, personne ne semble être présent, pénètre dans l'écurie, une monture en piteuse état, squelettique, air abattu,pauvre bête de paille...


héé toi, t'as l'air aussi bien fichu que moi, on va s'entendre nous deux.

Resserre la licol, et la détache, la bête ne bouge pas, reste paisible,pas le temps, pas le moment, elle voudrait déjà être loin d'ici, et la voila embarqué a sauver un cheval, cherche du regard, appercoit un seau rempli d'avoines, qu'elle se hâte de lui apporter, il renifle, tourne autour, fourre son museau dans le seau et le dédaigne, elle s'approche de la bête, s'accroupit face a lui, pour saisir l'éclat presque éteint de son regard

Une main s'égare pour venir se poser, sur la bête, passe doucement dans son pelage rêche, une caresse tendre quelques mots....

On va pas se laisser mourir ,ni toi ni moi, tu vas te redresser, la jouer a la fier , et je te jure que on se tire ce cette terre de fiente.

L'élan soudain de l'animal la surprend, elle en tombe a la renverse, il se redresse, a l'air bien plus haut qu'elle ne l'aurait cru, repasse sa main sur son museau le flatte, l'amène a la porte, l'air est chaud, elle sent le souffle qui émane de lui froid, il tiendra, il veut comme elle une seule chose s'enfuir.

Le chemin de la sortie, ne sera pas celui du sentier, mais bien par détours, la colline, escarpée et tortueuses, le jeu en vaut la chandelle, l'ascension se fera a pied, la bête ne supporterait pas son poids en montée, alors elle le traine , s'accrochant a lui parfois, les lueurs de la lune se cachant entre deux cimes de grands arbres,pour en arriver enfin a une vaste clairière, derrière le plateau elle sait qu'elle a dépassé les barricades, il ne reste plus qu'a descendre, sur son dos, d'un pas tranquille, revêtir sa cape et son fichu sur la tête, la route est encore longue.

Lueurs de Lodeve, encore un os mon beau, elle grimace deux étendards sur la ville, sera pas du gâteau, deux étendards, et une colline a flanc de ravin, quand il faut y aller, faut y aller....

Elle croise un groupe de cavaliers, les salue,en hochant la tête, croise le regard de l'un deux, manque de s'étouffer...klanacier....le comte lui même du Languedoc vient de la croiser, sans lui jeter un regard, les dépassent, se retourne et se met a rire en entamant la montée de la colline.


Croisement des chemins, une forme la seule, au bord de la route, de loin on voit que c'est une femme, a l'air hébétée, perdue peut être la pauvrette, elle s'approche et la toise et..................

Garance!!!!! mais qu'est ce que tu fous la???
_________________
Garance
[Y en a qui ont de ces questions..]

Garance!!!!! mais qu'est ce que tu fous la???

Elle l'avait vue arriver de loin la Sofio. Assise dans sa robe maculée de sang séché sur un rocher, Garance l'attendait.
Herbe foulée, terre retournée gorgée de sang, la bataille de la veille avait fait rage.
Morts et blessés transportés de part et d'autre, Garance avait passé la nuit sans dormir.
Un homme aussi semblait attendre que les corbeaux finissent leur travail.
Veiller.. ne pas fermer les yeux. Main sur la garde de l'épée.
L'adrénaline volatilisée, elle ne sentait que fatigue et se remémorait la dernière scène jouée.


Bon, faut quelqu'un pour attendre Sofio
Un grand silence en réponse.
Ne vous bousculez pas tous, on tire à la courte paille.

Pas besoin de faire un dessin pour savoir qui s'y collait. A la question de Sofio, elle se leva donc et essaya de défroisser ce qui lui tenait de lieu de robe. Elle n'aimait pas qu'on la toise Garance. Quique ce soit d'ailleurs. La jeune femme semblait amaigrie. Elle l'avait croisée en sortant des geôles du Languedoc.

Eh bien comme tu vois, nous avons joué à cache-cache toute la nuit. Tu as raté le meilleur.

Avec un sourire narquois

Il te fallait un comité d'accueil pour t'aider à faire les dernières lieues, apparemment. Et crois bien que j'aurais préféré être avec mes compagnons et avoir pris un bain bien chaud plutôt que de faire le planton dans ce coin perdu.


_________________

Pas de réponse HRP à du RP
Azoura

[ attendre sur la coline... ]


Après la bataille qui avait fait rage,ayant échappé à la mort,aux blessures, l'Azou était revenu sur Millau .
Il ne tarda pas à prendre la plume et coucher quelques mots rassurant à sa douce toujours captive croupissant dans sa geôle...



Chérie...

Rassure ton coeur...
Je me suis battu avec ardeur...
Ton "pot de miel" n'a pas une égratignure et pourra encore déverser, te couvrir de tant de douceurs...
Il me tarde de te serrer fort contre moi et te souffler..enfin plutôt faire le "gniangnian"
Tu ne quittes pas un instant mes pensées,je t'm

ton Amour Az


Fourbu,il se trouva un coin tranquille ou il ne tarda pas a s'assoupir...

Quand le beau gosse au bois dormant rouvrit ses mirettes,la journée touchait à sa fin et près de lui un pigeon dandinait...

Tiens donc...un message....

Après lecture il s'affaira,réunissant en hâte toutes ses affaires éparpillées...

HOOOO défection !!!! elle va traverser cette nuit...mais...elle est pas bien elle...avec toutes ses armées....



S'énervant tout seul dans son coin,de grand geste vigoureux,il pestait car il ne pouvait pas faire grand chose ,lui qui était son garde du corp,il était mal là maintenant ...

Pourquoi je l'ai laisser la-bas moiii!!!! merdouille..pourvu qu'elle fiche sa cape et arpente tout les recoins sombres....

Reprend ,les mains tremblotantes le message et survole du regard celui-ci..


haaa voila...rendez vous sur la coline....

Elle m'a dit:

"""Elle m'a dit d'aller siffler là-haut sur la colinne,
de l'attendre avec un petit bouquet fleur sans épines!

J'ai cueuilli des fleurs et je siffle tant que je peux
j' attend et j' attend...mais punaise pas un ch'veux !!!

Zaî zaî zaî zaî!
Zaî zaî zaî zaî!....
Korrigans
[Après la Bataille...L'heure aux recherches et aux préparations]

La bataille venait à peine de se terminer, le jeune soldat balayait la ville du regard, corps et âme sans vit gisant au sol, tant de haine, de de barbarie par certains, et trop de pitié pour d'autre.
Il se laissa tomber, emporté par sa fatigué, ses mains de réagissaient plus, ses jambes était devenu racine, ne pouvant plus se lever, mains sur le sol et le petits cailloux ensanglantée, il les serra fort et hurlant un cri horrifiant, remplie de haine et de chagrin.

AAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!

Il usa ses dernière force pour se lever, son esprit fut occupée par la recherche du Sergent, qu'il devait protéger et que par son incompétence il l'avait laissé seule, au milieu des couards qui tuaient tout sur leurs passages,avançant lentement mais sûrement, divaguant, ses yeux qui voyaient troubles et qui l'empêchait d'agir plus vite.



Korrigans tournait sur lui même, regardant avec peine le carnage, quand son regard aperçu un corps parmi les autres, sans vie apparemment du Sergent, il accourut d'un pas engagé et se mis à genou à côté, attrapant sa mains et la regardant, examinant son corps, apercevant une plaie dans le dos.



Ces couards n'avais pas eu de pitié, avaient attaqué par derrière, il logea sa tête dans cou, versant quelques larme avant de se levé, les yeux flamboyants de vengeance, le Jeune Soldat pris le soins de porter délicatement le corps du Sergent, l'allongeant dans un coin tranquille, déposant un dernier baiser sur sa peau pâlissante.

Il accourut dans la Ville à la recherche d'autres de ses amis, criant leurs noms désespérément..

FREEEEEDDDDDDDDDDDD? ARVERNEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE OU ETES VOUS ??

Arrivant dans une grande pièce, où les cadavres fut mis avant d'être brûler où enterré sûrement pour éviter toute maladie, il avançant prêt de deux corps, se fut ceux de ses amis, d'un mouvement brusque, il frappa la table, maudissant la terre et les horreur de la Guerre, mais il ne contait pas s'arrêter là, se fut le début, et la fin ne s'arrêtera pas tout de suite..


Il sortit, prêt à garder la ville et à défendre ses terres, en mémoires de tout les soldats tombés et qui ne seront pas mort en vînt..
Rackam_de_la_lergue.
Domaine de la Lergue Lodeve … le matin après la bataille ….

L’homme descend de cheval sans savoir qui est le plus fourbu de l’homme ou de l’animal … des nuits sans sommeil sur les remparts … trop de veille … trop de boisson …. Trop d’attente …. Trop d’hypothèses ….
Une certitude … défendre sa terre …. Renvoyer ses renégats a leurs égouts et leurs utopies …. Pas d’honneur chez ses gens là … l’appât du gain et de la rapine ….

Hier soir le départ … le secret a été bien gardé … les sabots des chevaux sont protégés …. Les armes dans leurs étuis … la consigne : pas de bruits …. La frontière du Rouergue est franchie … des lueurs face a nous …. Un brouhaha confus …

Ils croyaient nous surprendre c’est eux qui le sont … des ordres précis … secs … claquent ..

Archers … en formation … prêts … tirez … essaim de traits …. Prets …. Tirez … sifflements des flèches au dessus de nos têtes … qui s’abattent sur le troupeau en face … des cris … un ordre …

Languedoc per totjorn …………

La ruée … arme levée … le choc … les coups … le bruit des fers qui se cognent … des cris de haine et de douleur … l’ odeur du sang … des images qui frappent la retine … le grand gaillard blond avec un casque vert qui s’écroule un pouce de fer dans la poitrine …. Une furie brune échevelée la hache rougie … un main tranchée qui serre encore son épée …

Fureur … une trompe de retraite chez les renégats qui se débandent …
Hébétude … le calme soudain ….. l’adrénaline qui retombe …
retour a Lodeve ....

Tout défile dans sa tête … il regarde autour de lui ...

Le domaine a été sur son ordre ouvert aux blessés qui s’éparpillent sur la pelouse attendant d’hypothétiques soins … les femmes s’activent …changent les bandages rougies … bassinent les tempes … offrent un sourires ….

Rack confie l’étalon a un gamin et rentre dans la demeure … un baquet d’eau …
Dormir … . s’écroule sur sa couche dans un sommeil sans rêves …
Sofio
Arrivée sur Millau

L'espoir, l'attente, une route droite, derniers temps passés au coté de Garance, avant de rejoindre l'armée et lui....

L'armée s'élève aux porte du village, l'étendard rose..même pas on l'a voté bref, flotte au vent, le campement s'étend a perte de vue tant l'appel a été entendu, des hommes des femmes tous unis, comme des irréductibles pourfendeurs.


Hé toi prend mon cheval prend y soin retape le

D'un pas claquant,elle avance cherche le blondinet, peut être une tente rose aussi....qui sait, mais bon sang azou ou es tu.

Grande tente, elle entre, trouve quelques têtes connues, grand sourire ca sent les plans, ca sent les discutions et la rage.


hoo parait que les fourbes ont franchi la frontière

L'étonne même plus d'entendre ca, ils ont déjà fait le coup l'an dernier, apparemment en a peu de chez eux qui savent mener leurs montures a pied, l'excuse de l'année, les chevaux s'emballent on peut rien faire cheffff.


Bon on mange?on va être a la bourre la, apres on ira chercher de quoi faire un pique nique
_________________
Arelio
Lodève le lendemain de la bataille

Aurélio rentre épuisé à Lodeve , lui, qui est un pacifiste né se demande encore comment il a pu tuer un homme et en blesser un autre.

Ses amis lodévois l’ont embrigadé dans l’armée pour défendre la ville et comme il est très influençable et que ses amis compte plus que tout au monde il a décidé de les suivre.

Aurélio est pourtant le plus trouillard de Lodève. Les 1ere nuits d’observation sur les remparts lui on bien plu tout le monde discutait tranquillement en buvant quelques coup sous un ciel étoilé.

Quand arrive cette fameuse nuit !.


Allez les gars c’est le grand jour tout le monde en rang serré.

Aurélio décide de se planquer derrière son chef lieutenant un grand gaillard blond assez baraqué.

Arrivé sur le champ de bataille Aurélio est tout tremblant, il empoigne son épée qui pour l’instant n’avait servi que de décoration dans sa bicoque.

Elle est si lourde que ses mouvements deviennent incontrôlés l’épée fait des va et vient de droite à gauche quand soudain elle s’enfonce dans le corps d’un homme, celui-ci s’effondre sur le sol.

Ah mince qu’ai-je fait là ! se dit il.

Vite il rejoint son lieutenant.

Parfois il doit enjamber les corps d’hommes allongés a même le sol ensanglantés.

Soudain un homme lui fonce dessus, le reflexe d’Aurélio est de lever son épée , celle ci se plante dans l’épaule droite de l’homme.

Ah mince qu’ai-je fais encore là ! oh heu et bé excusez moi messire !

Ouf les ennemies battent en retraite. Aurélio suit son lieutenant et rentre péniblement à Lodève sain et sauf.
Nenuphar
[Premier round passé sans encombre - Retour à la case Millau]

Les ruelles fourmillaient mais l’ambiance d’après combat était lourde…
Des soldats courraient cherchant à retrouver leur unité, des villageois se hâtaient de faire des réserves en prévision des jours à venir, des blessés étaient rapportés sur des brancards de fortune, le tout dans un bourdonnement incessant. De jour comme de nuit, on entendait le bruit de la ferraille des armes et des armures, les cris racoleurs des marchands, les râles des blessés... Les visages étaient tendus, sales et fatiguées.
Il fallait maintenant se préparer pour la suite, essentiellement un travail de logistique pour essayer de reconstituer l’armée. Nénu était spectatrice, pas trop utile comme d’habitude. Elle avait l’esprit ailleurs… à Genève ! Elle avait compté les jours. Si elle arrivait à quitter le bourbier Languedocien vendredi, et si elle trouvait un cheval rapide, si elle ne croisait pas d’armée hostile sur son chemin, si… C’était bien là le problème !
Elle savait que l’intérêt collectif… bla bla bla…, et qu’elle suivrait le GuénérAll jusqu’au bout, mais elle avait besoin d’espace et la vie communautaire commençait à lui peser de plus en plus.
C’est sur ces considérations que la cloche retentit.


[Ding ! Ding ! Ding ! Reprise !
Alexchandra aurait pu tenir une pancarte à bout de bras sur laquelle on aurait pu lire Round 2]


Même route, mêmes rangs serrés que quelques jours plus tôt, mais cette fois personne n’avait rien vu venir, pas de lapin, ni d’escargot.
La seconde d’avant c’était le calme…
Instantanément elle s’était retrouvée encerclée d’ennemis et sous le coup de la surprise avait à peine eu le temps de sortir son épée. Son bouclier avait déjà volé…
Un premier coup la projeta à terre… Le souffle coupé par la violence du choc, elle lâcha son épée. A peine le temps de réaliser la gravité de la situation, qu’un second coup lui fut fatal.


[Neuf… dix… KO !]


Elle est dans du coton, elle flotte, il fait chaud, elle est bien, elle sourit et ferme les yeux pour profiter pleinement…

- Nan mais t’as vu dans quel état tu es ?
- Non ! Pitié ! Pas elle, pas maintenant…
- Nan mais franchement, je t’ai pas élevée comme ça ! T’es sale, amochée de partout, et tes cheveux, je te parle même pas de tes cheveux…
- Bah non… C’est exactement ça…Tu parles pas tout court…
- Ttt, Nénu ma blonde ! Tu ne peux pas mourir, pas encore… C’est moi qui dirai quand j’aurai décidé !
- Mais si je peux… Trois fois en moins d’un an, je crois que j’ai le droit là…
- Nop ! T’as une assurance vie à Bordeaux. Si tu meurs personne ne la touche ! C’est bête, hein…
- Humpf…
Elle était soulante cette entité supérieure ! Pire que l’alcool de cailloux des fois… Bah ! Personne ne la touchera avant 45 jours de toute façon l’assurance vie…
- Oui, je suis d’accord, mais c’est mieux dans 45 jours que jamais !

A quoi bon lutter, essayer de négocier à la rigueur…
- Dis donc, heu… faudrait qu’elle lui demande son nom à l’occasion... toi là… tu peux me mettre chez les nonnes en attendant, un séjour ou je serai logée nourrie blanchie ?
- Vais voir ce que je peux faire…
Gwennie
[ deuxième round, dans la lance du GuénérAll]

Main dans la main pour aller au combat. Deux bêtes fauves domptées, encore choquées par l’incongruité de leur situation. Le Manouche et la Bretonne regardent les deux étendards et les feux trop nombreux qui s’etendent devant eux. Pas besoin de causer. Les mains se serrent et se séparent, machoires serrées. Une curée à venir. Dernier regard avant que chacun ne regagne son poste, l’un derrière le GuénérAll , elle derrière la Rouquine.

Gwen a protesté pour la forme. Escort girl autoproclamée prêtée pour un soir de déculottée. Soit. Elle observe plus attentivement de Dame de Mercurol etc etc…La couronne de traviole, le visage blême, stigmates de son dernier combat. Elle sort son épée et salue la dame avec un sourire en coin.

Tain, défendre une noble rouquine..Une première… Qui l’eut cru…


Charriote !! Engagement !!!!!!!!!!!


Violence et chaos. ça cogne, ça tombe. Eux encore en retrait. Protection du capitaine oblige.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, Gwen n’a pas peur, alors qu’elle serre la poignée de sa courte épée. Elle est d’un calme étonnant. Même pas un tressaillement quand un homme s’approche de Sofio avec un air goguenard. Cette dernière saisit son épée…Mais Gwen se place devant elle.

Permettez Votre Divinitude ? Votre popotin est encore un peu vacillant pour un gaillard comme celui là. Au pire je vous l’affaiblis, vous terminerez le boulot…Et remettez moi cette couronne correctement !!! On a l’air de quoi là ???????

Dureté adamantine du regard de bretonne qui se fixe sur le visage de l’assaillant. Il la toise avec arrogance en jouant avec son épée. Rien à fiche mon grand. Marre toi…David contre Goliath.

La guérisseuse se fait tueuse alors que le combat s’engage, elle tenant son épée à deux mains, ne cherchant pas à tuer, mais à affaiblir. Elle n’est pas de taille. Elle le sait .L’autre la sous estime, tant mieux…loin de suffire cependant. Elle n’ a jamais tué.

Elle connaît l’anatomie, elle sait où les coups handicapent. Elle taillade à deux mains, se baissant pour esquiver, chipant une pierre dans la main après un roulé boulé loupé. Elle fatigue aussi…Voilà ce que c’était de pas aimer courir…Tsss…

Elle pense qu’elle va mourir. Bizarrement, ça lui convient, alors que ses bras lui font mal. Elle tape et frappe encore , cherchant les ligaments, encore indemne.

Bénie des dieux ? Prières minimalistes adressées aux déesses Laki et Séléna.


Fallait croire…L’andouille surement lassée se précipite vers elle pour en finir, aveuglée par la rage. Sur que c’est vexant…s'faire découper comme un poulet par une demi portion...

Elle reste interdite alors qu’elle lui balance la pierre dans la tête, pour stopper son élan


L’autre s’arrête rien qu’un instant alors qu’un gout de cidre envahi la bouche de la blonde. Deux bolées qui s’entrechoquent dans sa tête …D’un geste , elle chope la dague ornée de pierres bleues planquée dans sa botte et la lance en direction du cœur du gaillard languedocien.

Semper fi…

Enfin.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)