Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., 8, 9, 10   >   >>

D'une reconnaissance militaire

spix
Aprés un passage aux étuves bien mérité afin de faire disparaitre la crasse corporelle de cette journée de chantier poisseux, Spix prit un peu de temps pour elle. Instant de réflexion silencieuse, de repos de l'âme, et il faut bien l'avouer instant privilégié pour se rappeller qu'elle était une femme, pouvant se vétir autrement qu'en charbonnier.
Les robes n'envahissaient pas son armoire, cependant il en restait une ou deux en bon état et présentables si peu que l'on les accéssoirise avec goût.
La robe noire de satin à la fois discrète et habillée, la petite étole orangée, cadeau de sa défunte mère....il manquait un détail, farfouillage typiquement féminin dans la boite à bijoux, non, non, pas celui là, voila la broche d'ambre offerte par Papa pour mes 18 ans.
Un dernier coup d'oeil dans le miroir, elle est en retard pour ne pas changer, pas rapides vers la salle de cérémonie, les couloirs sont déserts, elle est donc définitivement en retard.
La porte, respiration, ne pas faire sentir son malaise de ce manque de ponctualité. Elle pousse délicatement le battant, pointe le bout de son nez, la cérémonie est à son comble, le brohaha ambiant lui permet de se glisser en toute discréssion dans la salle où déjà bon nombre de ses soeurs sont présentes.
Coup d'oeil rapide, elle appercoit Jarianne et son époux Silec, c'est vers eux que ses pas se dirigent afin de les saluer.

_________________
Ninjaturtel
De plus en plus de monde venait dans la salle de cérémonie, la salle se remplissait mais ne faisait pas plus de bruit.
Enfin si quand même, mais il était toujours amusant de voir comment le silence régnait avant les discours.

Les écuyères qui les avaient accueillit prenaient la parole. Elles les remerciaient d'être venu a cette fêtes, Ninja les remercia d'un signe de tête pour cette charmante soirée, regardant par la suite les nouveaux arrivant, les saluant également à chacune des entrées.

Il remarqua d'ailleurs l'entrée du Duc Tixlu et de la Baronne Galswinthe... Bras dessus bras dessous, il était amusant de voir Gals avec un homme, enfin elle qui s'en tenait toujours un peu a l'écart...
Hum... Moment de réflexion... Étaient ils ensemble ? nannnn, il le saurai sinon !

Il irait les salué également, et pourquoi pas les taquiné un peu sur leur arrivé pensa t-il avec un grand sourire.

Des déplacements, et un nouveau discours, cette fois ci de Wondy.
La Coba et la les DB a l'honneur, en fait en y regardant de plus près... C'est vrai que y'avait pas mal de gens d'armée si on regardait bien...
Est ce qu'il ne se serait pas trompé en lisant l'affiche ? Un air inquiet se lit sur son visage, il n'est ni dans la Coba ni chez les DB...

Des interrogations plein la tête, des remerciements pour les COBAteux et DBteux... Et pour finir un discours de la part du maitre de camps...
La ça sent le roussit... Tof remercie les DB et Wondy... Il l'a décore même...

Un peu perdu, instinctivement il sourit a Wondy pour la fourragère, pour ensuite essayer de trouver des personnes civils comme lui...
Seulement... Il ne sait pas qui est dans l'armée ou pas...


Finalement, il était bien avancé...
Puis, révélation, il vit une charmante âme seule, perdue dans les eaux troubles...
Bon en fait aucune révélation, il a vu Ali seule et s'est dit qu'il allait l'a voir pour peut être la questionné et puis lui rendre visite par la même occasion.

Il arrive a ses cotés, doucement afin de ne pas faire trop de bruit, puis d'une petite voix dit dans son dos:


Charmante dame, puis je me permettre de venir quelque temps a vos côtés ?

_________________
Pherea
Pherea avait bien fait de rejoindre Atalante. Grâce à elle, elle se sentait beaucoup moins perdue dans cette grande réception. Il faut dire qu'Atalante était d'excellente compagnie. Très bavarde mais qui mettait très vite à l’aise. Tout à coup, Pherea se fit entraîner par sa soeur à la rencontre de grands noms.
Sans trop comprendre pourquoi, Phe se retrouva face à un duc. Petite révérence hésitante :

Euh bonsoir messire... mes respects.

La minute d'après, Phe, toujours entraînée par sa camarade se retrouva face à une duchesse. Rebelote de politesses maladroites.

Dame, enchantée…

Un peu mal à l’aise face à de si grandes personnalités qu’elle ne connaissait absolument pas, Phe chercha des yeux une connaissance un peu plus à l'écart qui lui permettrait de s'éloigner à son tour. Elle reconnue sa marraine Jades qui semblait très occupée. En balayant la salle du regard, l’aspirante crue reconnaître un visage familier. Elle plissa légèrement les yeux, réflexe stupide qui ne servit à rien… Elle s’excusa auprès de la Duchesse et d’Atalante et s’approcha de l’entrée de la salle.

Ysa ! Toi ici !

Phe sauta au cou de son ami berrichon en lui adressant un large sourire.
Lulue
Ca y est, elle avait invité Anny à prendre la parole, elle pouvait enfin un peu s’effacer et reprendre son souffle.
A courir à droite et à gauche, elle n’avait pas eu le temps de réaliser complètement le nombre de personne qu’il y avait.
Ceci fait, le stress s’accentua encore un peu.

Les yeux firent le tour de la salle, mais où peut-il bien être ?
Son regard accrocha enfin celui du ténébreux, qui visiblement avait perçu l’état dans lequel elle se trouvait.
La Dame Blanche lui sourit en retour, puis fronça légèrement les sourcils.
Des semaines qu’elle ne l’avait pas vu, et ce soir, elle ne pourrait pas vraiment profiter de sa compagnie, ni le taquiner en lui disant qu’elle lui trouvait les traits un peu tirés ou qu’elle avait l’impression qu’il avait maigri.
Petit rire retenu en imaginant sa tête face à de telles paroles.

Sa tête se tourne alors vers Merenwen et lui chuchota un petit…


Je crois qu’à la fin de cette soirée, on pourra tout de même être fière de nous.


Voilà, elle se sentait mieux… enfin presque…

_________________


Je prends ce monde pour ce qu'il est : un théâtre où chacun doit jouer son rôle (WS)

"Lucky Luke de la Commanderie & Parfaite Scribounette" dixit la GA.
Invité
Pherea a écrit:


Ysa ! Toi ici !

Phe sauta au cou de son ami berrichon en lui adressant un large sourire.


Réception de la Dame qui atterri de façon inattendu dans ses bras.....

Oula!! Phé? Voyons on est pas chez les porcs ici, un peu de tenue....

Léger sourire indiquant à son amie qu'il était heureux de la revoir.

Alors comment se passe ton intégration? elles ne sont pas trop dures avec toi?
silec
Duchesse, puis je disposer pour dire bonjour comme il se doit à votre époux?

Silec la vois pas arriver, grave faute pour un militaire, mais bon Silec etait en confiance ici. Il reconnais la voix et avant meme de se retourner.

Atalante tu es là aussi? Tu as pû te liberer de tes taches? se retournant pour lui faire face un grand sourire aux levres.
Tu es resplendissante, je n'en dirais pas plus la regardant de la tete aux pieds.

Euh bonsoir messire... mes respects.

Damoiselle Pherea bien le bonsoir.

_________________
Wonderanny
Attentive, les yeux fermés fixés sur le sol elle écoutait le Mestre de Camps.

Wonderanny Au nom du Bourbonnais Auvergne et de la COBA je remet a l'ordre de la Dame Blanche la plus haute distinction militaire pour acte de bravoure.

Elle releva un regard plein d'étincelles. Vague d'émotions.

Tof attache la fourragère sur son épaule droite. Salut militaire entre les deux amis.

Il va de soit que chaque membre actuelle et futur de l'ordre de la Dame Blanche devront porté cette fourragère.

Un regard vers la fourragère, un regard vers ses soeurs qui ce soir en ce geste sont récompensées, un regard vers les membres de l'EM.

La fourragère. Cet insigne si particulier. Un marque, une distinction exceptionnelle du BA remise à l'ensemble des soeurs de l'ordre.


VIVE LES DAMES BLANCHES !
VIVE LA COBA!
VIVE LE BA!
VIVE LE ROY!


Le regard se fait tendre et complice parcourant la salle. Un sourire vers ses soeurs, vers son Duc, vers les membres de Montpensier et tout spécialement la Sénéchal et le Sergent Chef, à son ami Lan, un à son fidèle compagnon Ben, un autre à son compagnon de route tout particulier Raianui, un autre sur la Douce Azélie... Baraka... La tête lui tourne un peu. On lui avait demandé des futs... N'avait on pas oublié de sortir des hautes caves LA cuvée spéciale ?! Froncement de sourcils.

Rapide mot espiègle glissé à l'oreille de Tof.

Tu es venu avec des porteurs j'espère. Les Dames sont nombreuses ! Je crois ne t'avoir jamais dit le nombre exact !

Je te laisse leur remettre maintenant ou au cours de la soirée ? Comme tu le souhaites... ou...
Ou... préfères tu que je demande de l'aide aux autres membres de L'EM. J'en connais deux qui seraient ravis.

_________________
Invité
Romuald arriva comme à son habitude, silencieusement. Mais cette fois-ci il le faisait d'un pas beaucoup moins véloce qu'à l'habitude. Son pas calme et mesuré était adapté au pas de sa fille.
Pénétrant dans la salle, Romuald remercia la personne qui les avaient guidé puis se mit aussitôt à la recherche de son épouse parmi les gens présent.
Il y avait du monde et des paroles ... Mais Romuald n'y prêtait pas beaucoup d'attention, il observait sa fille marcher...
sofio
wonder fidéle a elle même arbore la fourragère d'un naturel discret elle se tourne vers sofio et lui sourit , sofio repense au passé a cette femme connue voila un bon moment déjà, un sergent chef a l'époque qui filait l'amour, et le bonheur avec ange, ange...soupirs, la première rencontre date d'un soir a l'infirmerie, wonder était blessés, les infirmières zélés ne voulaient pas la laisser sortir sofio l'avait aidé a filer en douce, pour retrouver son mari.

wonder n'avait jamais oublié sa caserne , Montpensier, elle y venait aussi souvent qu'elle pouvait précieuse en conseil et si sollicitée parfois, ange et elle avait su faire grimper cette caserne d'une main de maître, ange parti si vite si tôt.......

une larme coula le long de sa joue, ange son mentor tant de souvenirs en ce jour, elle se ressaisit vite le jour était aux festivités et non pas a l'amer, tof sembla écouter wonder , que pouvait t'elle donc lui dire qui le fit ainsi rougir, tiens il s'était change il semblait propre a présent...
Alix de Vaisneau
Alix avançait doucement, d'un pas encore mal assuré, au côté de son père. Voyant la dame la regarder, elle se senti un peu genée et jeta un regard à son géniteur.

Pourtant celui-ci l'incitait à continuer dans les couloirs qui menait à une grande salle magnifiquement décoré. L'enfant esperait pouvoir bientôt retrouver sa mère parmi toute les grandes personnes présentes en ces lieux.

Celle-ci ignorait le but de la cérémonie et faisait observer avec des yeux pétillants ce qu'il se passait tout autour. Essayant de comprendre...

Mais Alix se sentait pas chez elle et préféra s'arrêter net et l'attendre. Souhaitant se faire prendre dans les bras. La filette commença à l'appeller lui tendant les bras pour mieux lui faire comprendre ses vœux.


_"Papa...."
Invité
FaVdB pénétra dans la salle d'apparat. Une foule nombreuse s'y pressait et la cérémonie semblait avoir débuté. Impressionné par les nombreuses dames présentent il en reconnaissait néanmoins quelques unes.

Préférant se faire discret il se déplaça sur le côté, vers une large fenêtre.

Un léger mouvement de l'assistance lui permis d'apercevoir Wonderanny. Déjà la fougère était accrochée à son épaule. À proximité Tof à qui elle murmurait quelque chose, un sourire aux lèvres.

La foule était joyeuse et l'ambiance générale était détendu.
chlodwig_von_frayner
Il avait suivit la personne qui l’avait accueillit qui l’avait emmené à une étuve. Sans plus penser au pourquoi de sa venue, il s’était laissé aller, se délassant de la fatigue du voyage et de la saleté accumulée… il fallait dire que ses voyages ne lui laissaient guère le temps d’en profiter ainsi. Un instant dans sa tête avaient défilé les lieux traversés… Franche-Comté, Champagne… Bourgogne… Lyonnais Dauphiné… Languedoc aussi… sans compter les nombreuses villes du Bourbonnais Auvergne qu’il avait découvert au fil de ses voyages… Ça changeait des guerres… et des deuils qui noircissaient désormais le tableau et se retrouvaient inlassablement associés à la Bretagne… Alors une pause, un instant d’arrêt, de détente, au milieu de la course du temps qu’il suivait comme il pouvait… il en profitait. Le bain… le bonheur du voyageur harassé… l’eau glissant sur la peau, nettoyant et délassant à la fois… Et la chaleur qui emplissait la pièce, une douce chaleur qui ouvrait les porcs et contrastaient avec le froid mordant de l’extérieur. Il aurait pu y passer des heures… Et c’Est-ce qu’il se serait bien passé si il ne s’était pas soudainement souvenu qu’il était venu avec une raison précise : la cérémonie, et une raison officieuse, en fait deux, mais… de cela, nous n’en parlerons pas.

(petite précision avant d’entamer la suite, le narrateur se soumet à toute insulte crachat et jets de pierre que ses écrits lui feront valoir, notamment sur les jeux de mots minables, les vannes vaseuses et les blagues pourries)

Or donc lorsque cette idée le frappa, que croyez vous qu’il fit ? Qu’il se dépêcha ? Non bien sur. Visiblement il était en retard, il n’était plus à quelque minutes près, et un Chlo se faisait toujours attendre (même si pour le coup personne ne l’attendait mais cela est une autre histoire). Le plus calmement du monde, il se leva de son bain et se sécha. Tout était apprêté pour lui, il faudrait qu’il fasse une remarque positive à Nanny… ou pas, tout dépendrait si il avait le temps. Il lui fallut ensuite choisir ses vêtements, une sacrée affaire… Braies et surcot… velours et tissus de grands prix… il fallait au moins ça… Un peu d’argent piqué dans les caisses de maman, ça aidait pas mal. La grande valeur des tissus ne se voyait pas au premier coup d’œil vu leur couleur noire, mais pour quelque un qui s’y connaissait un temps soit peu, l’on pouvait distinguer la richesse de la maison de l’Aigle rit en que par ces quelques attributs. Il ne s’agissait pas d’afficher son rang ses titres et son fric, non, c’était bien plus subtil que cela… l’on pouvait se permettre de se les procurer, alors pourquoi s’en priver ? D’autant qu’ils étaient seyants et confortables. Il vérifia la mise à peu près convenable et passa ses bottines ferrées, seule vision martiale de la tenue, enfin… si l’on exceptait la bâtarde passée au côté, portant un aigle gravé sur le pommeau. Il vérifia instinctivement la présence de la chaîne en or à con cou, ainsi que du médaillon et de la bague ancienne et ouvragée qui l’accompagnaient en tous lieux depuis la campagne d’Artois. Quand à ce qu’ils signifiaient… rien en soit… et tellement en même temps. Un passé révolu… un bonheur consumé mais inachevé… un « R » grave au fer rouge sur son âme, et l’image d’un père mort par sa faute, sans pour autant qu’il parvienne à en être triste. Et puis… les morts. Amour et mort… Mais loin de lui ces pensées néfaste en cette heure et avec un léger soupire à l’idée de quitter la pièce agréable, il passa sur ses épaules le manteau de zibeline bordée de velours qu’il accrocha avec une fibule en or frappé elle aussi d’un aigle. Puis sa main se tendit vers ses affaires et il en sortit deux gants en cuir noir brodés d’or qu’il passa à ses doigts, les faisant craquer un instant. Léger sourire en regardant rapidement sa tenue… Noir… toujours et encore le noir. Pourquoi… Toujours du noir depuis cet été… Seuls tranchaient dans cet ensemble les cheveux blonds, s’accordant à la fibule et aux fils d’or de ses gants. Placés en bataille, ils contrastaient à l’époque avec ceux de feu son père, habituellement toujours bien coiffés et dont on disait qu’il était le portrait craché… Bien mince rébellion contre cet homme qui avait tout fait pour lui arracher le moindre bonheur et dont le faciès était étonnement semblable avec le sien. Passé… tout cela était passé, mort pour la plupart… et pourtant il continuait à en porter les conséquences sorte d’éternel défis au temps et à la mort… à sa mère aussi qui avait toujours aimé son mari… et… à lui-même peut être.

Il traversa les longs couloirs le menant à la salle de cérémonie. Déjà commencé, mais cela il le savait un peu inconsciemment. Avant de pénétrer dans la salle, il afficha son air froid et dédaigneux de circonstance. Peu de gens connus, alors autant réserver ses sourires à ceux qu’il appréciait, et ses colères à ceux qu’il détestait. Enfin… si beaucoup de gens connus en réalité, dans les faits peu de véritables amis. Et à part ses tantes et son ange au final…Il entra dans la pièce, refermant derrière lui la lourde porte. Un gars qu’il connaissait, hum… un truc comme Tof, qui faisait parti de la COBA si ses souvenirs étaient bons, à un poste assez élevé, remettait un truc tout rouge (voir rose) et tout moche à sa grande tante Nanny. Il fallait sûrement y voir une marque de respect, voir une sorte de décoration, mais à dire vrai, devant un truc de ce genre, elle semblait lui échapper. Il se mit un peu derrière, assistant muet de la cérémonie, essayant de capter le regard d’un ange tant attendu. Visiblement, la cérémonie était pleine d’émotion, tant l’attention des présents étaient tourné vers les deux personnes qui occupaient le devant de la scène. Wonder, semblable à elle-même gardait les pieds sur terre et un soupçon d’espièglerie. Qu’Est-ce qu’elle avait la classe quand même… une pensée traversa son esprit, un souvenir plutôt… Lointaine discussion avec sa mère quant à son baptême… oui, il faudrait… quand il aurait le temps… quand l’un et l’autre prendraient, durant quelques minutes le temps de se poser et de discuter… chose impossible pour le moment. Pourtant il faudrait bien… Mais… il n’oubliait pas qu’un autre évènement qui aurait du le réjouir suivrait juste après… mais il ne parvenait qu’à l’assombrir… le mariage… Une pensée vers le portrait de la gosse qui doit lui servir de femme… 12 ans… à peu de choses près… Leur avis ? Depuis quand importe-t-il ? Union décidé par les parents… alliance familiale… il a l’habitude de n’être qu’un sur les stratégies matrimoniales… mais cette fois, la pilule était plus dure à passer… Un voile passa devant ses yeux… mon ange où es tu ?
Invité
Avançant lentement mais d'un pas régulier, Romuald sentit son bras tiré vers l'arrière.
Alix s'était arrêtée, là... Elle refusait de faire un pas de plus et l'exprimait de part l'utilisation d'un seul mot.
Prenant conscience du monde qui les entouraient, Romuald esquissa un sourire et prit Alix dans ses bras.


Tu as bien marché mon ange. Viens là... Ainsi nous pourrons tout les deux chercher maman.

Et Alix s'agrippant au cou de son père Romuald continua de chercher Adela.

Tu vois maman mon ange ?
khaliama
Khaliama n'avait pas vu Escalibur sa marraine arriver près d'elle. Elle sursauta donc en l'entendant...

Citation:
Bonsoir ma soeur,
Comment vas-tu en cette belle soirée ? Tu me sembles un peu perdue au milieu de tout ce monde.


Elle lui sourit légèrement embarassée...

Bonsoir Marraine,
Oui j'avoue que je le suis un peu ... je ne connais personne à part nos soeurs et elles sont fort occupées avec les invités...et je ne voudrais pas faire d'impair...Oh mais regarde Merewen va parler.


Elle sourit à sa Marraine, reconnaissante de ne pas l'avoir laisser toute seule.

_________________
Margaux.
Les discours sont émouvants mais ce qui l'avait émut le plus fut le "merci" soufflé par Nanny à leur attention avant de s'adresser à l'assemblée.

Elle les avait remercié de nombreuses fois au cours de la préparation mais cette fois-ci était encore plus importante vu leur état de tension, il l'avait touchée droit au coeur.

Lulue se tourne alors vers Merenwen et lui chuchote…


Je crois qu’à la fin de cette soirée, on pourra tout de même être fière de nous.

Je crois oui, chuchoté en réponse avec un grand sourire.

Des yeux, elle parcouru l'assemblée..., elle fronça les sourcils à la vue de ses jeunes soeurs pour la plupart qui discutaient et dont les éclats de voix venaient jusqu'à elle. N'étaient elles pas émue de cette distinction qui leurs était remise en ce jour... car pour son cas personnel elle allait l'arborer fièrement en repensant aux campagnes menées et cela même si elle n'avait pu être présente à toute, elle aurait ainsi une pensée et un honneur pour ces soeurs.

Elle croisa le regard de Jades dans l'assemblée et cru y déceler de la fierté, fierté vis à vis d'elle qui n'avait pas trop bafouiller durant ces quelques mots dits en publics ou pour le travail mené en amont, pour avoir utiliser la branche des soeurs à sa juste valeur ou la même fierté qu'elle ressantait elle même en ce moment, fierté de voir le courage de ses soeurs récompensée...

_________________


"Reinette de l'enluminure" dixit la GA
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)