mysouris
Une voix lui parvient. Drizz se redresse et aboie joyeusement. La torpeur est encore là. Elle murmure : Baile ? mais les idées redeviennent vite claires. C'est Teia. Le sol est froid sous elle, et dur aussi. Lentement elle se relève. Tête basse et idées en vrac. Question sur le bord des lèvres. Demandera à Nanny, saura mieux répondre.
Voix endormie qui sort de sa gorge : Bonjour Teia. Ils font du bruit hein. On peut même pas dormir en paix. Léger sourire qui s'esquisse sur ses lèvres.
Tu sais on reçoit toutes une fouragère, c'est la plus haute distinction militaire pour acte de bravoure..
Elle avait donc raison, une babiole inutile. D'un pas lent elle suit Teia vers la salle où le bruit règne encore bien que diminuant un peu.
Le brouhaha la saisie et elle se prend la tête qu'elle secoue de dépit. Pourquoi donc font ils tant de bruit ? Mais presque aussitôt elle rabaisse son bras droit. Cicatrice qu'elle souhaite garder pour elle. Pas la peine de laisser les questions raviver la douleur et le manque. Trouver Nanny. Question posée à Teia :
Tu sais où est Nanny ? je ne la discerne pas dans ce boucan
Voix endormie qui sort de sa gorge : Bonjour Teia. Ils font du bruit hein. On peut même pas dormir en paix. Léger sourire qui s'esquisse sur ses lèvres.
Tu sais on reçoit toutes une fouragère, c'est la plus haute distinction militaire pour acte de bravoure..
Elle avait donc raison, une babiole inutile. D'un pas lent elle suit Teia vers la salle où le bruit règne encore bien que diminuant un peu.
Le brouhaha la saisie et elle se prend la tête qu'elle secoue de dépit. Pourquoi donc font ils tant de bruit ? Mais presque aussitôt elle rabaisse son bras droit. Cicatrice qu'elle souhaite garder pour elle. Pas la peine de laisser les questions raviver la douleur et le manque. Trouver Nanny. Question posée à Teia :
Tu sais où est Nanny ? je ne la discerne pas dans ce boucan
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Aveugle
Les mots sont comme les sacs : ils prennent la forme de ce qu'on met dedans. [ Alfred Capus ]
De nouvelles routes bien tracées, pour aller toujours plus loin nulle part. [Emile Ajar]