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[RP]L'Evêché est ouvert de l'intérieur

Clodeweck
Mon fils,

Je suis parfois las de discuter pour savoir qui de l'œuf ou de la Poule a commencé.
Lorsqu'un enfant fait une bêtise, si sa mère le gifle, il s'en trouvera toujours pour dire que c'est de la faute de sa mère...C'est comme ça.
L'Anjou a élu un brigand...C'est un fait
Ce brigand ruine l'Anjou et fuit, il a d'ailleurs quitté le duché.
Il se prend pour le pape et vole le siège épiscopal, pour y mettre une enfant de 15 ans...

Sur ces entrefaites, le primat de France prend la décision, sans concertation avec la province de Tours ou la Curie de négocier avec personnage excommunié.
Les négociations échouent car l'ex duc Aurélien n'avait pas plus envie de négocier que de faire dire une vraie messe.

Le primat de France a été abusé, il a cru négocier, mais en fait il n'y a eu aucune avancée, si ce n'est la proposition faite de vendre la place de la fausse évêque contre une amnistie personnelle....

L'église décide donc de venir reprendre ce qui lui appartient. Afin de rendre aux fidèles l'espoir de retrouver la vraie foy sans se cacher.

Il y a de vrais fidèles en Anjou, pas que des fantoches, il eu suffit que le conseil d'Anjou rende à l'église ce qui lui appartient pour que cela soit évité.

Maintenant l'Anjou cherche à amener le Ponant dans son hérésie...

Pourquoi ?

Pourquoi jeter un peuple dans la guerre, pour sauver la place d'une fausse évêque et de trois curés illettrés ?

Je veux bien que l'on me fasse porter la responsabilité de cette guerre, je ne suis pas venu pour entendre les ennemis de Dieu se justifier mais pour aider les fidèles, les vrais.

Il est facile d'éviter une guerre, il suffit de rendre à l'Eglise le cathédre qui est le sien.

C'est si simple la Paix mon fils !

Mais peut être y 'a t il une autre raison à ce refus ?
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Passionpomi
Votre Eminence, je doute le but soit de vous faire porter la responsabilité de la guerre qui se profile, seulement.... vous êtes le seul haut dignitaire romain à avoir les épaules assez larges pour vous présenter ici... Logiquement c'est auprès de vous que nous cherchons réponses, réconfort, et surtout orientation...

Pour ma part les responsables de cette guerre je les ai déjà nommés...

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Acar
Il enstra sans bruict puis vinct se positionner peu loin de Son Esminence... Une fois grasvement blessé suffira, pensa t-il.
On l'avaict en effect presvenu et il ne se pouvaict qu'un cardinal sans garde aille en lieu souillé.

Adoncques, il salua ceux alenstour d'un signe de la teste tout en courbanct petitement le buste. Si faict, il observa ceslle qui avaict pousvoir spirituel de fantoche en ce triste dusché malmené par l'herésie...

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Clodeweck
Ma sœur, comme je le disais à Killia, il faut penser qu'un jour il va falloir reconstruire, cela devrait être dans les cœurs et dans les esprits de tous. Las, ma charge est de sauver des âmes, pas de soigner les corps, en notre siècle moderne, quoi de plus important que le salut de notre âme ?
Même si le corps doit en périr, ce n'est pas cette enveloppe charnelle qui doit nous préoccuper, mais ce qui fait de nous ce que nous sommes, notre âme.
Je n'ai pas à me préoccuper de ceux qui ayant trahi Dieu sont excommuniés. Comme ce vil fuyard d'Aurélien, la Guérande, son prédécesseur, les membres de la liste d'Aurélien aux élections...
Pas plus d'ailleurs que ceux qui lèverons des armées contre l'église pour soutenir une hérésie et seront excommuniés à leur tour.
Ce n'est que leur choix. Il en répondront devant le Créateur.
Je ne me soucierai d'eux que le jour où le repentir les étouffera, faisant de leur vie un enfer pis que la mort.
Les fidèles, je les accueillerai toujours avec la plus grande amitié Aristotélicienne, et je les aiderai tant que le le pourrai.

Sais tu que la fausse évêque d'Anjou pourrait arrêter tout ?
En rendant la place à un véritable évêque...
D'après toi pourquoi ne le fait elle pas ?
Donne moi une seule autre raison que l'ambition personnelle, pour une soit disant religion sans clerc et sans fidèles.
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Passionpomi
Eminence, je sais qu’elle le pourrait, je prie pour qu’elle le fasse…

Cela dit pour 3 curés illettrés et aucun fidèles il y a tout de même pas mal d’hommes d’armes sur les routes… J’ai vu Rome rester muette pour bien plus que cela…

Je sais également que le peuple doit assumer les choix qu’il a fait par les urnes, je sais surtout qu’il ne comprend pas la moitié de ce qui se passe hélas et qu’il ne voit que l’Eglise et ses armes envahir le duché qui les a vu naître… Après tout c’est là, la conséquence de leur politique de simplicité, on fait avaler ce genre de choses en les dispensant de comprendre…
A une autre époque, j’aurais agit de la même façon, c’est pourquoi je me fais du souci à la fois pour leurs âmes mais aussi pour leurs corps, car c’est un corps vivant qui leur assure de racheter leurs fautes sur cette terre… Et par la même occasion de sauver leurs âmes… Le peuple n’est pas responsable, il est dans l’erreur car il suit ses dirigeants face à une Eglise qui lui est dépeinte comme le septième fléau…

Alors Eloïse par pitié, réfléchissez à une façon non schismatique de porter la foy en ce duché que visiblement vous avez adopté comme seconde patrie… Apporter votre souffle nouveau n’est pas impossible de façon réellement pacifique…


Serrer les poings, discrètement mais surement, pour résister à l’envie de dire le fond de sa pensée… Songer à Gabriel… Ah Gabriel… Longtemps qu’elle ne l’avait pas prié celui là…. Il était grand temps…
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Clodeweck
Le prêtre hocha la tête, tristement.

Ma fille, Il est facile, Eloïse si elle avait voulu porter la foy, aurait pu rejoindre l'Eglise, et se racheter mais elle m'a dit qu'elle devait être fidèle à Aurélien l'excommunié !
Dont acte...
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Clodeweck
La journée touchait à sa fin.

ELLLLLLLLLLlOIIIIIIIIIIIIIIIISE !!!

Les mots raisonnaient dans l'édifice durant que le prêtre s'époumonait à appeler la jeune fille

ELOIIISE !!

L'écho seul renvoyait le son de sa voix au père de Montfort il continua d'appeler comme si des vies en dépendaient, or des vies en dépendaient...
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Eloise.de.guerande


Elle s'était tenue à l'écart depuis quelques moments. Elle avait besoin de réfléchir à la folie des hommes, à la nature humaine. Envie de comprendre comment l'amour pouvait devenir de la haine en si peu de temps. Elle avait sorti de sa grande poche le livre des vertus qui ne la quittait jamais et le relisait inlassablement l'Histoire de la Création. Elle savait qu'ici même, en Anjou, nombre de personnes la tenaient pour responsable des malheurs actuels et de ceux, pire encore, à venir. Plusieurs des membres du conseil lui avaient signifié clairement leur hostilité. Elle demeura longtemps, dans le doute, dans la réflexion, puisant du réconfort dans la lecture attentive.
Particulièrement le passage sur Oane, celui là même, le Premier, qui, tout humble et méprisé qu'il était par sa communauté, avait donné LA bonne réponse et permit à tous les hommes, à sa suite, de devenir les préférés du Créateur, Ses Enfants, les seules parmi toutes les créatures qui avaient compris ce qu'était l'Amour.
Citation:
Livre de la Création
Chapitre VII - « L’amour »

1 Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort sur le faible.

2 Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

3 Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

4 Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

5 Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

6 Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

7 "C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

8 "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes." Spyosu

Elle avait perdu la notion du temps et se sentait, dans sa méditation intense si proche des pensées divines, si près de la bonté qu'IL avait eu, qu'IL montrait encore et toujours pour le peuple des hommes que soudain, en un éclair de conscience inspirée, la solution lui apparut, simple, naturelle et si évidente.
Elle posa son livre et se saisissant de son coffret d'écriture, sans aucune hésitation, rédigea aussitôt un texte définitif.

Citation:
Au peuple angevin,
A la curie de Rome,
Aux armées massées sous nos remparts,
Aux dirigeants de l’Anjou,

Je, Eloïse de Guérande, nommée il fut presque deux mois, évêque de la religion schismatique d’Anjou,

Déclare, ici, sans aucune hésitation, à la suite d’une longue réflexion et par la grâce d’Oane, le premier des hommes, celui qui fit que le Créateur, depuis, appelle tous les hommes « Ses enfants »,

Avoir entendu, compris, fait mien l’appel de la raison, la voie de la sagesse, la force de l’amour qui se doit de rassembler tous les hommes,

Reconnait mes égarements, ma faute immense d’avoir imaginé une autre voie que celle qui nous fut dictée par le Très Haut,

En conséquence,

Annonce prononcer ici et maintenant abjuration de la religion angevine, et prie humblement pour qu’IL m’accorde Son Saint Pardon,

Demande également pardon aux hommes de l’église et confesse, devant tous témoins, mon péché d’orgueil, ma faute qui me fit supposer que je n’étais pas une parmi tous, humble comme chacun d'entre nous se doit de l'être Sous Son bienveillant regard,

Demande,

Que cela soit écouté, entendu et que ceci permette que cesse la guerre, que la croisade soit annulée et que la paix revienne en les terres angevines.


Parce que le bonheur ne se trouve que dans la foy, l’amour que nous porte le Très Haut et l’amour que se doivent donner les créatures humaines.
Fait, dit et écrit en ce jour du dix-huitième du mois d’aout 1457 en place d’Angers,

Eloïse de Guérande.



A peine venait-elle de terminer qu'elle entendit crier son nom. Elle sursauta vivement, ramassa prestement son attirail. Voyant le primat de Bretagne s'époumoner, elle s'approcha, regard humide mais planté droit dans les yeux du vieil homme, et sans un mot, lui tendit la lettre, parchemin encore plein de l'odeur d'encre fraiche, petit courrier porteur de tant d'espoir.
Elle recula de quelques pas et attendit, sans crainte, coeur redevenu pur par la raison retrouvée, la réaction de l'archevêque.

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Eloïse,15 ans,fille de Pit l'ancien et de Evenice.
- Evêque Aristotélicienne du nouvel Anjou neuf -

~~Je veux être tout ce que je suis capable de devenir ~~








Clodeweck
Ha te voilà, je te cherchais vainement,...

Les paroles restèrent en suspend devant ce que lui tendait la jeune femme, bizarrement elle semblait soudain plus vieille, il avait eu hier une presque gamine en face de lui et aujourd'hui il trouvait une jeune femme, mure grave dans son port et dans son regard, il en fut presque surpris. Presque...
Elle avait un regard qui lui était inconnu, comme si des siècle étaient passé dans ces yeux..Il failli reculer d'un pas, mais n'en eu pas le temps et prit ce qu'elle lui tendait...
Il lut...
Après un long moment il regarda la jeune femme et lui tendit la main.


Ma fille, ma sœur, il est permis à chacun de se tromper seul le fait de persister est une faute. Il t'a sans doute fallu plus de courage pour écrire ces quelques lignes qu'à bien enfants du seigneur. Je ne peux te dire qu'IL, te pardonnera, je n'en sais rien mais je le souhaite. Pour ma part je ne peux que te donner l'absolution au nom de l'Eglise, je vais de ce pas faire publier cela officiellement. Je pense que tu n'as pas besoin de grandes phrases je ne vais pas en faire maintenant. Nous aurons l'occasion tous deux d'en parler si tu le souhaite.
Reste maintenant à faire que ton geste puisse sauver des vies.

Nous n'avons pas beaucoup de temps

le père réfléchissait vite, le temps travaillait contre eux

Tu es encore et malgré tout l'évêque en place que veux tu faire ma sœur ?
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Eloise.de.guerande


Elle lut dans son regard son contentement ainsi qu'un éclair de sincérité lorsqu'il lui accordat l'absolution au nom de l'église. Un instant de partage dans la foy. Un moment de cet amour qu'elle venait de côtoyer qui s'était installé ici quelques secondes.
Elle laissa le temps à l'émotion de passer son chemin et répondit d'une voix douce mais claire :


Certes, nous aurons, plus tard le temps de parler. J'en aurai bien besoin, je pense.
En attendant, vous le dites, Monseigneur, évêque je suis, aristotélicienne et romaine revenue. Et je ne suis pas de ceux ou celles qui abandonnent leur devoir. Surtout lorsqu'il est juste !
Je compte , si celà m'est possible, mener à bien la tache qui est la mienne et surtout, pour l'heure, prier.. prier..prier pour que l'Ankou ne se montre pas cette nuit.

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Eloïse,15 ans,fille de Pit l'ancien et de Evenice.
- Evêque Aristotélicienne du nouvel Anjou neuf -

~~Je veux être tout ce que je suis capable de devenir ~~
Simeon_mareuil
Comme le petit Siméon écoutait davantage qu'il ne parlait, il assista à tout cela, revenant de temps à autres sur le parvis d'Angers.

Mais en fin de compte, il baissa la tête, et s'en fut.

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Passionpomi
Aparaissant devant le Primat les yeux rougits...

Votre Eminence...

Salut de rigueur...

Je crois.... enfin... J'aimerais.... que soit donnée une messe pour... les morts et les blessés...
Mon filleul est entre la vie et la mort... Il y en a bien d'autres... Nous avons besoin de prier pour eux... Et ensembles c'est plus réconfortant...

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Clodeweck
Je serais ravi de la donner si j'étais sur qu'elle n'attire pas tous les fantoches qui seraient ravis de cracher leur venin sachant qu'ils ne risque rien.
Mais j'ai un doute.
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Saltarius
Saltarius était légèrement blessé au bras. Il pensait pourvoir se panser dans l'auberge sise face à l'évêché.

Il vit l'évêque angeviniste, jolie fille. Connaissant bien l'hypocrise et la force morale que donne aux clercs la certitude d'avoir toujours raison, bien il savait le Simplet que pour y résister et ne pas plier, il aurait fallu une solidité d'âme miraculeuse qui plus est, soutenue par une foule chaleureuse.
La fille évêque semblait du dernier bien avec le corbeau noir venu avec l'armée.

Il entendit sa voix coassante



Il haussa les épaules.
Que de bonnes paroles, de franche amitié ! Comme on a envie de se soumettre à personne aussi claire dans ses affections ! Comme on aimerait être le troupeau dont le pasteur a si belle opinion !

Il s'approcha des oiseaux de clocher.


- Ah Monseigneur, vous ne dites point de messe...
C'est pourtant votre tâche. Mais sommes toutes j'en suis fort aise...
Vais pouvoir vous arroser, non pas de mon venin mais de mes plus baveux glaviots.

Un monstrueux mollard vint s'écraser sur la botte du maître es amitié aristotélicienne.

- Et quant à ne prendre aucun risque... Par le bras de Saint Cubitus et les genoux de Sainte Rotule, je suis déjà blessé... et risquerai ma vie pour vous renvoyer avec un grand coup de pied au cul sur le chemin de Rome.
Je ne vous salue pas.


Il s'en alla écluser un petit vin d'Anjou et soigner sa paluche.
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Acar
Pas en asvant : Hola l'héretique, mosderez céans vos propos, je ne vous le dirai poinct austre fois !

Il réajusta son chapelet d'oreilles séchées tout en se disant qu'une nosvelle fournée ne serait pas du luxe...

Néanmoins, main sur la garde de sa Rebelle, resflexe... Il attendait juste un ordre, un seul. Mais l'homme, s'il en estait enscore un, tourna les talons et partict rsjoindre surement ses desmons.

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