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[RP Election] La Source n'est pas tarie !

Fabien74
Et voilà. Décidément, mais décidément. Incompréhension totale, to-tale. D'une on lui prêtait des opinions qui n'étaient pas les siennes, de deux on se permettait de statuer sur des mesures déjà effectives.

La politique était la politique, et si l'Apo, toute amie qu'elle était, pensait jouer la carte de la sensibilité avec lui, c'était peine perdue, non mais.

Lui aussi avait perdu ses illusions, y'a pas de raison.


Il me semble qu'au sujet de la liste noire du BA, un contrôle accru est déjà effectif, je suis en mesure de t'assurer que notre Duc a pris la chose bien en main. Et pense bien que ce que tu dis tiens du bon sens. Du bon sens auvergnat du moins.

D'autre part sache que tous les partis présents sur cette place souhaitent agir pour le bien du Duché, moi y compris, en tant que membre de la liste fondue. Et douter de cela serait un terrible affront, tu l'imagine.

Je suis également extrêmement déçu que tu puisses me prêter des propos et des idées qui ne sont pas les miens.

Tout ceci passe au-dessus de nos relations, et il n'est pas question de politique en amitié, surtout pas. Tu es et sera toujours la bienvenue à Aurillac.


Et toc.

Il sourit.

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Procureur du BA / Consul du BA en DR / Diacre d'Aurillac / Membre du Directoire de la Fondation
Baronsengir
Il sourit à la brune demoiselle.

Ce serait plaisir de vous offrir un verre en retour. Et je ne dis jamais non à une tournée!

Il écouta avec compassion le récit de la dame. L'administration de son duché pouvait hélas estre fort stricte et parfois sourde. Il espérait que le vent de la clairvoyance y souffle durant son voyage. Il fut un peu surpris de sa question.

Eh bien, il s'agit d'aider au mieux la diffusion de la foy. Je ne sais si le diacre d'Aurillac tient à discuter de cela ici plutost que demain devant une chopine.
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Apolonie
Il sourit, celui de la brunette se glisse en coin, encore. Clin d'oeil amusé d'une diplomate à un autre, qui lui semblerait l'avoir un peu oublié. Les joutes, elle les fait à cheval ou à l'épée, surement pas électorales. Parce que c'est pas son genre, à l'Apo, parce qu'elle sait qu'elle travaillera avec eux, de toute façon, 100 % pour le coup c'est plus de l'utopie mais du miracle.

Et bien tu vois, Fabien, si elle était publique cette liste, on le saurait.
Le secret entretient le doute, et la suspicion, et permet de penser à une mauvaise gestion, puisqu'on a vu des innocents poutrés il n'y a pas si longtemps...


Et voilà... Pour peu elle siffloterait.

Et je ne doute pas que tu veuilles le bien du duché. Mais Kimi32 aussi à ce compte là hein... Ou les Loups, qui pensaient nous délivrer...

Bon j'exagère là, je sais ta valeur, je sais que tu es quelqu'un de travailleur et d'efficace, du moins, avec ce que l'on en voit, je le pense. Mais je suis sure qu'on peut, tous, faire mieux. Et c'est ce qu'on propose, ce qui nous motive. Faire mieux, plus clair, plus vivant.

Quant à Aurillac, j'espère bien, vu que j'y passe dans pas longtemps ! Manquerait plus que tu me jettes des pierres !


Elle sourit, tranquillement. Sachant très bien que si certains aiment la politique c'est pour les joutes orales qu'elle permet. Apo elle n'y cède que pour agir pour son duché, pour autant, des années de diplomatie, d'âpres négociations en plein combat et savoir répondre à Fab ou Bireli lui ont appris à entendre les mots, en jouer, les faire rouler, amener de son interlocuteur la réponse qui lui permet de porter l'estoc final... La répartie, son terrain, le sourire, son arme, la naïveté, sa force, et ses armes, le dernier recours. La main se tend vers un godet de vin.

Un verre avant le jus d'orange ? Je suppose que vous finirez par poser une estrade également non?

Et puis le blond revient, et elle sourit doucement. Il l'intrigue. Elle écarte d'un geste flottant de la main la question de l'administration. Cristol et Ewaele ont accepté de la recevoir et l'ont accueillie en Languedo et Limousin... si Toulouse ne veut pas d'elle, il reste bien des terres à visiter.

J'accepterai avec plaisir, et je suis sure que votre conversation l'accompagnera fort bien. Quant à la diffusion de la Foy, je suis sure que notre diacre fondu se fera un plaisir d'en parler avec vous... Et s'il ne répond pas à toutes vos questions, alors j'arriverai ensuite. Et peut-être pourrais-je vous aiguiller vers les personnes à contacter.
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Fan de Constant Corteis.
Martymcfly
Rassurez vous, Martymcfly de Montfort-Balmyr Duc de Billy-en-Bourbonnais Seigneur de Terves, ma santé est très bonne. Vous savez autant que moi, si ce n'est plus qu'il faut avoir une bonne santé pour être Conseiller.
Ah oui cette semaine là. Sacrée semaine, en effet. Quand j'y repense.
Savez-vous qu'au monastère, nous n'avons pas même le droit de boire un verre de jus d'orange? Un vrai calvaire qu'ils m'ont fait endurer, si vous saviez. Une absence prévue oui, j'avais besoin de 7 jours au monastère pour tenter de ne pas vous décevoir ces deux mois durant, je ne sais quel a été le résultat.


Etait-ce vraiment la peine de l'appeler par toute sa titulature ? Curieuse façon de faire. Enfin bref, ce qu'il fallait retenir de cet échange c'était qu'il était venu pour ne pas lui parler du programme.

Il faut en effet une bonne santé pour être conseiller, et aussi, à mon avis, un sens des responsabilités très prononcé. Je crois qu'il vaut mieux ne pas se présenter si l'on sait déjà qu'on sera absent. Surtout si c'est dès le début du mandat. Enfin vous me direz que tout dépend de la longueur de l'absence et du poste que l'on obtient. Mais le sens des responsabilités me parait primordial et je le répète, il ne faut pas oublier d'où l'on vient ni qui vous a élu.

J'en profite pour vous remercier d'être passé nous voir, et vous souhaite une bonne fin de mandat, ainsi qu'une bonne campagne, j'ai hâte de voir ce que nous réserve la Fondation cette fois-ci, car je ne crois pas l'avoir vu afficher.


Il lui sourit poliment. Un bon bougre que ce Seigneur. Même s'il ait des actes, perfides et sournois, qui ne s'oublient jamais.

Se vassale s'appuie un peu sur son bras. Marty en profite alors pour lui glisser une niaiserie à l'oreille.

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