Lili.
Et voilà, Bérénice était partie en Normandie avec la licorne, elle réalisait son rêve, alors que Lili, était restée cloitrée à Delle à récurer les douves, les écuries avec de la paille. Conséquence d'une désobéissance chronique de sa part, et cette fois marraine avait sévie. Daucuns dirait quelle avait raison de vouloir discipliner pareille enfant, cétait sans compté le point de vu complétement erroné de la gamine. Nétait-elle pas douée pour arranger la vérité à sa sauce ? Très même, au point même de nentendre et de faire que selon son bon plaisir. Elle avait du tout de même sexcuser pour pouvoir prendre la route
Et pourquoi, pour provoquer en duel, un espèce de vieux nobliaux sur le retour. Il avait dit au bâton, tant mieux, cétait son arme de prédilection, de toute manière, malgré ses fanfaronnades, personne, navait voulu quelle touche, depuis sa prime enfance autre chose.
Donc rapide digression : arrivée en taverne en douce, sans la nourrice, sans prévenir personne, assise comme une grande avec des adultes et lui qui se permettait de la prendre de haut. Encore que dans une tout autre réalité, lhomme ne laurait même pas remarqué, mais là, il devait être dhumeur joueuse car à peine lavait-elle provoqué, il répondait présent, non sans la promesse de nen souffler mot à tatie marraine, qui surement lui mettrait le coquillard en feu.
[Dans une clairière au Mans]
Lili avait troquée lune de ses nombreuses robes couteuse contre un simple pantalon de coton, à la fois léger et ample pour ne pas bloquer ses mouvements. Une petite chemise fabriquée dans la même matière que le pantalon et des petites bottines quelle nutilisait que pour les entrainements. Après tout, elle se préparait depuis toujours à devenir la protectrice de sa cops Béré. Treize ans et naïve. Pas vraiment, dans son monde édulcoré où elle devenait mercenaire et Bérénice chevalier.
Son bâton dentrainement à la main, la gamine attendait dun pied ferme, son adversaire, dont elle avait oublié le nom. Oups.
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Donc rapide digression : arrivée en taverne en douce, sans la nourrice, sans prévenir personne, assise comme une grande avec des adultes et lui qui se permettait de la prendre de haut. Encore que dans une tout autre réalité, lhomme ne laurait même pas remarqué, mais là, il devait être dhumeur joueuse car à peine lavait-elle provoqué, il répondait présent, non sans la promesse de nen souffler mot à tatie marraine, qui surement lui mettrait le coquillard en feu.
[Dans une clairière au Mans]
Lili avait troquée lune de ses nombreuses robes couteuse contre un simple pantalon de coton, à la fois léger et ample pour ne pas bloquer ses mouvements. Une petite chemise fabriquée dans la même matière que le pantalon et des petites bottines quelle nutilisait que pour les entrainements. Après tout, elle se préparait depuis toujours à devenir la protectrice de sa cops Béré. Treize ans et naïve. Pas vraiment, dans son monde édulcoré où elle devenait mercenaire et Bérénice chevalier.
Son bâton dentrainement à la main, la gamine attendait dun pied ferme, son adversaire, dont elle avait oublié le nom. Oups.
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