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[RP] Croisade en croisé : Que gicle le sang du goupillon !

Titoukiki
[ce n'est qu'un au revoir..........]

et c'est a ce moment là qu'on se dit "mais qu'est ce que je fous la!"
la miss pétard vient encore de se faire choper
d'accord elle n'aime pas les couleurs qu'elle doit porter et elle avait bien dit que ca ne donnait pas envie de sortir mais quand même!!!!

à cet instant, nul besoin de savoir le pourquoi du comment,ni qui lui a porté le coup "fatal", le fait est qu'elle baigne dans son jus la baronne et qu'elle commence à brayer comme un cochon qu'on égorge


pétard!!! AHHHHHHHHHH , hans? A l'aide....

la aussi, à quoi cela sert-il de beugler et d'appeler à l'aide? autant laisser ses compagnons d'armes mettre une raclée aux ennemis
peut être qu'ils arrivent à se défouler d'ailleurs....

le problème qui vient de se poser est le suivant:

si elle y reste, elle laisserait l'homme de sa vie dans la souffrance et ses enfants chéris sans leur maman.......... mauvais ça!

si elle arrive à survivre, son homme risque de lui faire la morale et la cloitrer à la maison sans aucune possibilité de sortie........ encore mauvais ça!

elle se creuse un peu la cervelle la baronne, mais tout flotte autour d'elle
serait ce le moment de tirer le rideau? possible oui, en tout cas elle n'a plus la force de lutter et advienne que pourra

le noir....le néant....crotte, elle connaissait que trop bien cette impression mais c'est un passage obligé quand on s'est fait poutrer

au revoir.... hans, mes enfants...je...vous..aim....
_________________
Sensuline
Au côté de son bien aimé, Line combattait avec force et rage.
Elle était faite pour ça, faite pour l'action.
Laissant son petit à Laval et y pensant fortement avant l'attaque.


*Mon tout petit si on doit y rester sache qu'on se sera battu vaillamment*

La fierté qu'elle éprouvait au côté de Légo était incommensurable.
Elle l'aimait depuis si longtemps, le suivre vers Aristote ne lui faisait pas peur.

Elle engagea le combat avec ses frères d'arme, une boucherie sans nom.
Les tintements des épées à lui en faire mal aux oreilles, le sang qui coulait de part et d'autre.
Les hommes et les femmes qui tombaient.


Une seconde d'inattention et la voilà privée de son épée.
Désarçonnée et sans défense, elle sentit l'épée de l'adversaire la transpercée.
Une douleur effroyable se fit sentir.
Son cri étouffée dans la bataille, elle s'écroula.
Une chance pour elle que son adversaire la laissa pour morte.
Elle se traîna comme une limace cherchant désespéremment son arme.
Epuisée et douloureuse, elle finit par s'évanouir, ses dernières pensées fut pour son aimé.......


*Mon amour, qu'Aristote te protège ! Reviens moi je t'en supplie....*
_________________
Spikelilou


[Arrivée sous les remparts d'Angers... 18 août 1458...]


Spike avait poussé sa blanche jument derrière la monture de Lothilde tout au long des quelques jours de marche qui les avaient fait rapprocher de leur but... cette capitale de l'Anjou.
Et brusquement au sortir d'une courbe de la route, Angers et ses murailles qui surplombaient le fleuve se dressa devant eux.

Elle jeta un regard vers la charrette du sénéchal qui discutaillait en faisant force de gestes avec cette autre rousse qu'elle, un autre regard vers sa chef de lance, encore un à Adrien juste derrière elle.


Diantre, cette ville est une sacrée forteresse...

Elle aligna sa blanche aux côtés des autres cavaliers et observa dans l'attente des ordres, l'activité et déjà des cris au bas des remparts avec presqu'un sourire.
Si longtemps qu'ils avaient attendus pour faire et ils y étaient enfin à nouveau.

Un jet de carreaux fit siffler l'air, instinctivement elle s'écrasa à la selle et brusquement l'agitation à la charrette, la plateforme oscillait et crissait sur ses essieux du déplacement de l'homme à la hallebarde qui s'agenouillait sur l'arrière... et lui lançait un regard.
De suite elle sut qu'il était le temps... sa main se referma sur son épée et ses doigts se moulèrent à la poignée.

La salve des archers au signe de la descente du bras du sénéchal... la volée de flèches qui fit fibrer l'air devant elle, pression aux flancs, la rousse lança sa jument à la suite avec les autres vers la murailles... nettoyer la place... les ordres..

Les foulées rapides... déjà des corps...
Mais que faisait cette jeunette en travers de son chemin... l'ancienne militaire brandit son épée et entailla devant elle sans se soucier... la femme s'effondra...
La rousse hurla...


On dégage la place.... on dégage...

D'autres se jetèrent en travers des cavaliers... elle fit son travail... à coups d'épée rapides... pas besoin d'en faire plus sur cette jeune piétaille qui devait croire qu'on pouvait amusement à un tel endroit...
_________________
Raulvolfoni
Troupes comtoises

(Nuit du 17 au 18 août, suite)

Quelqu’un repère du mouvement au loin, sur la route qui mène à Angers. Des gens qui essayent de se faire discret.
Donc suspects.
Qui dit suspects dit danger virtuel.
Qui dit virtuel dit potentiel.
Potentiel donc possible.
Possible donc dangereux.
Z’ont pas une chance.


Citation:
18-08-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre Laprincessedumonde.
18-08-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre Vitorino.


Raul ne s’arrête même pas, des croquants aux sacs vides, visiblement. Aucun intérêt.

On arrive sous les murs d’Angers, et on commence à nettoyer les abords. Pas grand monde.
Tout d’un coup, des insultes fusent des murailles. Un garde qui montre ses fesses, et qui donne le mauvais exemple aux autres, visiblement.
Bah, dans la patrouille, y’a des vieux briscards, on laisse faire, c’est pas grand-chose, inutile de…

Un carreau part des murailles et se fiche dans un bouclier à une centaine de pas derrière dans la colonne.
Les ordres fusent. Chevaux amenés à l’abri des arbres. On s’installe avec sa réserve de carreaux.

Rien vu de la réplique d’Arnaud.
De prime à matines, la patrouille et les remparts d’Angers échangent des tirs.
On vise, on patiente, on lâche un vireton (dans le désordre le plus souvent). Au bout d’un moment, on réutilise les projectiles de l’ennemi pas trop abîmés.


- Heu, j’ai deux carreaux de douze...
- Je te les échange contre un vireton pour craquelin de 15…
- Ouais mais non, ça le fait pas…
- Eh, c’est du vireton barbelé quand même…
- Ah ouais quand même…

Près de 600 projectiles échangés.
Un blessé.
Infirmiers et curés s’ennuient.


Citation:
18-08-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Aimbaud et de Liame.
Arnaud_giboint
Le calme était revenu au pied des murailles d’Anger on voyait bien de temps à autres quelques silhouettes apparaitre en haut des remparts mais plus un cri ne fusait de nulle part.
Arnaud avait continué de converser avec ses compagnons tout en partageant quelques fioles de gnole, comme toujours avant le combat. L’atmosphère était pesant e on sentait une certaine fébrilité parmi les hommes qui fourbissaient leurs armes en silence tous s’apprêtaient pour l’assaut, on savait que les tentatives des dignitaires de l’église pour éviter de faire couler le sang avez échoué devant l’entêtement d’une petite faction d’Angevin aux ordres et à la botte des tristement célèbre Penthièvre.
La nuit commençait à tomber lorsqu’un messager vint le prévenir


Sir Arnaud vous et les vôtres tenez vous prêt nous allons donner l’assaut

Arnaud prévint le contingent Mainois de s’apprêter puis il entra sous sa tente réveilla son épouse endormie sur le lit de camp

Mon ange c’est l’heure nous allons au combat il faut nous apprêter

Arnaud enfila le haut de son armure ajusta ses jambières de protection saisi son bouclier et son épée il était prêt. Accompagné de Line il rejoignit leur compagnon et attendit le signal
Puis tout alla très vite le signal vint alors qu’il commençait à faire sombre une flèche enflammée traversa le ciel signal de l’assaut.
Arnaud tête nue se dressa brandit son épée


COMPAGNONS POUR ARISTOTE ET POUR L'HONNEUR
A L’ASSAUT !!!


Et tandis que les archers envoyaient des volées de flêches vers le haut des remparts il courut avec les siens vers le pied des remparts.
Très vite les échelles furent dressées Arnaud gravit la première en place et se retrouva en haut des remparts passant une jambe de l’autre côté de la muraille pour s’assurer une certaine stabilité et maintenant ainsi l’échelle plaquée contre la muraille permettant aux siens de prendre pied il faisait virevolter son épée frappant à droite à gauche


TRANCHE TAILLE ET COUPE ! TRANCHE TAILLE ET COUPE !

Puis soudain il ressentit une douleur au défaut de son épaule droite son bras armé sembla vouloir ne plus lui obéir Que lui arrivait-il. Il ne comprenait pas les choses se broyaient dans sa tête, une nouvelle douleur au creux de l’Haine il sent qu’il lâche quelque chose, sa vue se brouille, il voit des ombres s’agiter autour de lui puis il a l’impression de planer une image fugace traverse son esprit, Line, Jeanne portant Richard dans ses bras, son épouse, sa dame de compagnie son fils que font ils là, où est il, des images défilent à une vitesse vertigineuse dans sa tête. Puis soudain les bruits se font plus sourds, les images s’estompent, il à l’impression de flotter tandis qu’il sent quelque chose de chaud couler sur son bras et le long de sa jambe, puis le silence se fait il a l’impression de flotter dans l’air tout se brouille il lui semble s’endormir.
Arnaud au plus fort de la bataille vient d’être frappé d’un trait d’arbalète à la jointure de l’épaule droite un Angevin alors à son côté et qu’il s’apprêtait à embrocher le frappe d’un coup d’épée porté à hauteur de l’haine. Sous les coups conjugués il perd l’équilibre lâche bouclier et épée et bascule par-dessus les remparts pour s’écraser plusieurs pieds plus bas au milieu des assaillants qui se pressent pour grimper à l’assaut des murailles amortissant ainsi sa chute en lui faisant un matelas bien involontaire e leur propre corps.
Il gît maintenant au sol ensanglanté inconscient tandis que les combats continues à faire rage.

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Epsonstylus
Sous les remparts de la cité d’Angers :


Hier déjà l’armée de Hans avait eu l’occasion de fracasser des personnes ; des jeunes gens un peu fous qui pensaient pouvoir rejoindre ou quitter la ville d’Angers de nuit en se faufilant dans le camp des armées croisées, pauvres d’eux. Mais Epson ne les avait même pas touché, dans le doute elle avait engagé le combat contre eux mais avait donner à d’autres le plaisir de les neutraliser.

Comme chaque fois, la rouquine n’avait blessé personne et encore moins tué. Elle était pourtant une fine lame, redouter par ses adversaires, mais chaque fois qu’elle intégrait une armée, par le plus grand hasard elle ne donnait jamais la mort. Et une fois encore, au sein de cette armée croisée, elle pouvait répondre au surnom de « sainte ».

Et cette nuit ?

Epson avait rejoint les autres combattants, aux pieds des remparts, ils attendaient le feu vert pour attaquer, souhaitant prendre la Villèle plus rapidement possible. Une consigne : tuer en se défendant et non tuer pour tuer. La comtoise avait discuté avec le Sénéchal, puis voyant quelques soldats ennemis se rassemblaient et s'agitaient en haut du rempart, elle laissa son cheval le plus loin possible du lieu des combats et rejoignit Spikelilou - l‘autre rousse - épée en main, bouclier en position de protection, le regard braquait vers l'ennemi. Soudain, une volée de flèches fendit l’air. Voilà qui commençait bien.

Suivant les consignes, l’ancien chevalier romain s’avança encore un peu plus, il fallait nettoyer la place. Les combat s’engagèrent. Epson fut attaquée par un homme de grande taille, qu’elle trouva le moyen de repousser par la ruse et dont d’autres se chargèrent du sort. Quelques pas en direction du rempart et quelques flèches atterrirent près d’elle. De nouveau deux assaillants, un homme et une femme, surgirent, à nouveau elle les repoussa, sans les blesser… ni les tuer. La bataille devenait difficile, certains compagnons étaient au sol, blessés, peut-être mort, qui sait. Son propre chef de section gisait au milieu du champ de bataille.

Tant pis si ils ne prenaient pas la ville ce jour, demain ils attaqueraient à nouveau, en attendant ils avaient éliminé assez d’ennemis pour en avoir moins à combattre la prochaine fois. Finalement du côté croisés relativement peu de pertes. La « Sainte » quitta donc le lieu des combats, sans avoir pu utiliser une seule fois sa nouvelle épée, sans une seule égratignure, juste de la crasse, de la terre et le sang que les autres avaient fait jaillir près d’elle du corps de leurs ennemis.


Post-speed, la flemme et manque d'inspiration.

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Epsonstylus Maledent de Feytiat de la Marche DiCesarini
Sensuline
Line légèrement blessée, se déplaçait sur les corps en rampant.
Il n'était pas question sans arme de se relever.
Elle chercha son homme désespérement.
La vue de ses hommes et femmes ensanglantés lui donnait la nausée.
Elle les voyait de bien trop prêt.


Soudain elle tomba sur.......

LEGOOOOOOOOO !!!!!!!
Mon amour, je t'en prie !!!!!!!!


Hurlant pour qu'on vienne les aider

LEGO EST A TERRE ! EMMENEZ LE !!!!!!!!!! LE LAISSER PAS ICI !!!!!!!!
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Hans
[Vont finir par le mettre en rogne...]


Les portes ne se sont pas ouvertes. Le fait était attendu.
Menant l'assaut aux côtés de son ami Goa, qui se débrouille fort bien au demeurant, comme quoi certains vieux ont encore de beaux restes, le germain se retrouve lui rapidement empêtré dans dans une mêlée confuse. Les défenseurs ont recruté parmi la populace pour gonfler les rangs, et forcer le passage ne sera pas évident. En une seule tentative c'était guère envisageable de toute façon. Prendre une ville n'est pas si aisé, surtout lorsque l'on est annoncé et attendu. C'est souvent une entreprise de longue haleine, parsemée de déchainements de violence.

Les troupes croisées insistent pourtant, mais finissent par s'épuiser en luttant contre ceux qui les attendent en s'étant retranchés.
Plusieurs membres de l'armée "In cruce figaris" en viennent à tomber durant les affrontement, et parmi eux, il y a... Elle.

Séparé de son épouse durant les combats, Hans sent qu'il est lui même touché. Un coup d'épée vient s'écraser sur sa carcasse mais il n'y prête pas vraiment attention. D'un coup d'épaule rageur il se dégage de sa position et émet un grognement guttural en fendant les rangs serrés pour rejoindre sa bien aimée.
A cet instant le chef de guerre ne cherche même plus à attaquer, à peine à se défendre.
Il ne la voit plus, il doit la trouver.

Finalement, alors que l'intensité de l'assaut commence à faiblir, c'est un germain au visage déformé par la peine et la colère qui rejoint le corps meurtri de sa déesse. Sans doute qu'il aura des remontrances à lui faire concernant son manque de prudence, et la belle finira certainement cloîtrée pour ne plus jamais prendre de risques aussi grands, mais pour le moment, l'heure est encore à l'inquiétude et aux soins.

Aussi délicatement que possible, la baronne trouée est soulevée de terre par une paire de bras très familiers, pour être conduite auprès des médicastres.
Elle est un peu cassée, mais ça doit être réparable. Il le faut, car elle lui est encore indispensable dans cette vie.

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Raulvolfoni
Camp des assiégeants

- Trois cinq
Boum
- Hein ?
- Je disais, trois cinq.
- Hein, heu, oui, bon je relance de 3 écus, attention…
Boum
- Ça devient fatiguant l’artillerie…
- Oui, au moins avec les balistes, on s’entendait jouer…
Boum
- Hein ?
- Rien, j’ai pas encore jeté les dés ?
- Oh, pardon…
- Aaaaaattention, c’est parti… Oui ! Trois six ! Ah, ah, envoyez la monnaie !
- Put’… Quelle chance !
- Ouais, beaucoup de chance. Trop, peut-être, non ?
- Oh. Non. C’est pas vrai. Tu m’accuserais de tricher ? Entre combattants ? Ce serait pas raisonnable, si ?
- Ben, c’est vrai que c’est tes dés, Raul, avec lesquels on joue depuis le début…
- Et c’est vrai que tu nous as ratissés d’une bonne trentaine d’écus, là… Sans compter…
Les mâchoires se resserrent. Les poings aussi. Une ou deux mains se déplacent lentement vers les poignées des armes. Raul se sent un peu seul, d’un coup…
Citation:
COMPAGNONS POUR ARISTOTE ET POUR L'HONNEUR
A L’ASSAUT !!!

- Bon, ben, j’vous dois une revanche la prochaine fois, hein, sans rancune. Il est temps de se mettre au boulot. A la prochaine, et qu’Aristote soit avec vous, hein ?! Salut !

Raul rejoint au plus vite sa lance. Court en ajustant ses pièces d’armures. Il était temps. Fichu habitude de jouer avec des dés pipés, mais il a du mal à s’en défaire, c’est vrai…
Raulvolfoni
Assaut des assiégeants

La lance parcourt les remparts, puis trouve visiblement un endroit dégarni de défenseurs. On pose les échelles. Arnaud est en tête.
Vite, vite.
Par Deos, quel mouvement, cette échelle, on se croirait sur un navire !
Ca grimpe. Tant pis pour le malaise.
Surtout, surtout, ne pas regarder en bas !
Vite, vite, il y a du mouvement là-haut.
Arnaud passe. Stabilise l’échelle. Passe totalement de l’autre côté. Hurle et balance ses coups. Le suivant enjambe à son tour.
Puis le suivant.
Puis Raul…

Citation:
TRANCHE TAILLE ET COUPE ! TRANCHE TAILLE ET COUPE !


Ouais, ça va, je crois qu’on a compris l’idée générale… grommelle Raul.
Puis les gestes se suivent. Se ressemblent. Défient toute analyse. Pas grave, tant qu’on survit…
Raul balance ses coups sans trop réfléchir.
Un type en rouge, qui a brillement évité ses coups jusque-là, doit éviter un corps au sol et oublie une seconde de trop Raul. Qui ne s’arrête pas…

Citation:
19-08-2010 04:06 : Vous avez frappé Letiti. Vous l'avez grièvement blessé.


Une silhouette, également habillée de rouge, passe dans son champ de vision. Raul frappe. Heu ? Pas d’arme visible ? Ah ? Jamais vue, en tout cas. Dommage pour elle, pas le temps d’analyser la chose.
Citation:
19-08-2010 04:06 : Vous avez frappé Aurlie1793. Ce coup l'a probablement tué.


On commence à repousser les défenseurs. Les assaillants prennent pied sur le toit de la tour. Ca s’accélère. On fonce. Surtout pas chercher à comprendre. La fatigue se fait carrément sentir, pourtant… Allez, un effort, avec les autres.
Un homme d’arme angevin tente de couvrir les siens, seul face à la horde.
Il tombe, percé de coups.

Citation:
19-08-2010 04:06 : Vous avez frappé Sirlancelotdulac. Ce coup l'a probablement tué.


Citation:
Je commence à en avoir par-dessus la tête, Deos ! Ca va durer encore longtemps ?! Bon, hé, pause, je souffle. Allez-y, oui, oui, je vous rejoins, c’est ça…
Où est ma gourde ? Ah… Percée par un coup… Dommage. Ca aurait pu être pire, c’est sûr…
C’est quoi ce cri ? Je connais cette voix. Arnaud ? Qu’est-ce que…
Non ?!

Ouah, quel gadin…
C’est pas pour dire, y’en a qui ont du bol, visiblement. Tomber d’une muraille sur un lit de compagnons d’armes…

Quelque chose me dit que je suis pas le seul, à fatiguer.
Surtout après ce qui vient d’arriver…
Bon, marre, ça va pour ce soir ! Cassos. Personne va le dire à tout le monde ?
Ah, la sonnerie de retraite, il était temps…
Joffrey
Après une dernière prière vers le Très Haut , après un moment d'espoir , elle avait rejoint les remparts.

C'est qu'elle les connaissait bien ces remparts , le chemin de ronde n'avait plus de secret pour elle . Le dénivellement , là bas , la pierre rehaussée ici, l'étroitesse du passage , là plus loin ... Oh oui , elle connissait que par trop bien.

Elle avait parcouru ce chemin de long en large et de travers plus d'une fois.

Jamais avec joie , toujours avec tristese , car elle n'aimait pas la guerre , et jamais elle n'y prendrait plaisir.

Mais l'Anjou était sa vie , son âme, sa terre ... comme à tout angevin , et personne n'avait le droit de la bafouer , de la salir.. Ainsi donc, elle attendait l'assaut , sans impatience , sans haine .

Tout à coup , le silence fut brisé. d'abord des sons sourds, lointains , puis les crys , les sabots des chevaux qui martelaient le sol , le sifflement des flèches et enfin le bélier contre les portes d'Angers.

Partout ce n'était plus que bruits de fers qui se croisent , cri de guerre ou de douleurs , son mou des corps qui tombent sous l'assaut des armes.

elle se lance dans la bataille... l'épée frappe , esquisse , cogne et du sang jaillit. Odeur acre qui prend au nez, gout amer qui se répand dans la bouche , coeur qui saigne du destin qui l'a fait guerrière.

Citation:
19-08-2010 04:06 : Vous avez frappé Gerard75020. Ce coup l'a probablement tué.


L'a t elle tué , probablement , mais elle ne veut savoir ....Si un filet e vie l'habite, et qu'elle s'en aperçoit , elle se devrait de finir ce qui a été commencé...

Partout autour d'elle , les bruits s'apaisent , les armées se retirent , le calme revient.... troublés par des gémissements , des murmures ... la nuit fut longue .
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Calixte
Sous les remparts de la cité d’Angers , l'assaut:

La nuit tombait sur la cité, lorsque l'ordre fut donné de lancer l'assaut. Calixte avait eu le temps de se préparer quelques heures avant. Le cor retentit et les armées croisées jaillir en direction de la ville.
Le jeune homme emboita le pas de ses frères d'arme sous une pluie de projectiles. Les corps de quelques uns, jonchaient déjà le sol, le bruit des armures et les cris montaient de toutes parts. Calixte atteignit le premier mur d'enceinte, il s'arrêta un instant derrière le corps d'un croisé, prepara son arc et encocha une flèche. il se redressa lança une première salve, puis il avança rapidement et réitéra son tir jusqu'à vider son carquois.


Citation:
19-08-2010 04:06 : Vous avez frappé Beno. Vous l'avez sérieusement blessé.


Le jeune homme avança rapidement en direction des échelles qui étaient maintenant en place tout en sortant son épée.
les croisés semblaient stoppés au pied du mur (oui parce que c'est au pied du mur... enfin bref)
Les assiégés, un temps surpris, s'étaient réorganisés et l'assaut commençait à fatiguer les troupes.
Calixte espérait qu'il en fut de même pour les défenseurs.
l'interminable nuit cessa, lorsque la retraite fut sonnée, les défenseurs avaient pour cette fois repoussés les Armées Saintes.
Mais quand serait il des jours suivant?
Leanice


La mère ressort intacte de cet affrontement et pour cause, elle a le maniement de l'épée dans la peau
alors qu'elle se la donne dans une lutte sans merci, Léa remarque à terre un tas humain recroquevillé dans la gadoue
fichtre! mais c'est que le tas émet un son à se crever les oreilles
cette voix......non de non mais ce ne serait pas sa p'tite fifille?
oh que oui!!! ni une, ni deux, la dame du buis fonce , non rampe vers les braillements

c'est pas qu'elle est lourde la baronne mais c'est pas un poids plume pour les petits bras

hop, le fardeau est trainé à travers champs en évitent les tirs de flèches et autres qui fusent de toutes parts..

reste à présent à trouver le baron pour lui annoncer la nouvelle ... mais non le Baron comme par enchantement arrive en courant ...
la belle mère devra y mettre les formes mais en attendant elle se met en quête auprès de l'imposant personnage d'un médicastre et pas d'un charlatant!

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Zephirin
Au bas des murailles et en montée

La course semblait interminable surtout avec sa cuisse qui semblait vouloir s’ouvrir a chaque fois que sa lourde carcasse sautait le pas. Déjà la cavalerie avait pris 50 toises. La salve des archers avait fait quelques victimes, pour la plupart des marchands pris entre les troupes et les murailles alors que plusieurs hurlaient encore au pied de la herse suppliant qu’on les laisse entrer. À gauche, de l’artillerie à poudre et a chaque coup, cette fumée lourde et épaisse qui avançait lentement poussé par les vents en direction des murs de pierres faisant près de 30 pieds. Cherchant à défendre leurs peaux, les civils devant la porte avaient sortie lames, fourches, bâtons, cailloux et tapis à leurs chariots tentaient tant bien que mal d’éviter les coups, les flèches et les éclats de pierres. Mais…qui menace un compagnon, peu importe son statut, risquaient sa vie…ainsi allait la guerre.

Déjà jonchait au sol quelques valeureux hurlant, implorant secours, quand ce n’était pas carrément qu’on les achève. Sautant et en contournant quelques uns en vitesse en regardant les échelles se hisser, le sénéchal s’arrêta brusquement en mettant sa hallebarde entre lui et un homme paniqué lui hurlant des invectives le pointant d’une dague tremblante. Cherchant vite un appuie arrière sur la jambe droite, l’artilleur s’était mis à suivre le poitrail de l’homme, la mâchoire serré et les trapèzes gonflé par la peur. Pas question d’arrêter, ni de discuter, toujours avancer. Plus rien autour n’arrivait a son champ de vision, il n’y avait qu’un homme, celui devant lui. Soufflant une mèche pendante à son nez, il pointa en vitesse forçant l’homme à contrer le geste de sa courte lame, avant de lui descendre la lance entre les jambes la pivotant des poignets en tirant, lui ramenant le pointu crochet derrière le genou droit, le faisant hurler et tomber au sol. Retirant sa pointe de fer en vitesse, Zéphirin s’étira les bras en faisant tournoyer son arme et frappa lourdement la tête de l’homme du plat de sa lance crochu alors qu’il tentait de se relever, l’envoyant complètement au sol.

Assailli par d’autres civils se portant à la défense d’un des leurs, le colosse s’était débarrassé d’une et de deux en assenant quelques coups du coude et de poing pour obtenir l’espace suffisant à la manœuvre de sa longue pièce d’arme et la faisant fendre l’air devant lui, se prenant tout de même quelques cailloux aux corps. Les sourcils froncé, la mâchoire raide et les muscles contracté un maximum, il se retourna en vitesse en entendant crier en sa direction et pointa sa lame en piquant, fermant les yeux l’espace d’un instant. Ouvrant rapidement, il recula nerveusement sa lance du ventre d’une jeune femme qui tomba vite sur les genoux en se prenant l’abdomen. Il figea un moment avant de se prendre un coup de poing derrière la tête et un coup de bâton au dos.

Revenant vite à lui, il envoya le bout du manche de sa lance au visage de son assaillant de derrière et fouetta le visage de l'autre de la pièce métallique à l'autre extrimité. Redressant le dos, il porta un regard sur la femme gisant dans la mare de sang devant lui en se massant de la main l’arrière de la tête.

Au calme près de lui, un long cri venant d’une femme au bas des murailles appuyée sur le bras d’un homme portant le blason des croisés. Relevant sa hallebarde en vitesse, il s’y dirigea au pas de course baissant les yeux sur l’homme au sol. Arff…l’officier Mannois. Pivotant en cherchant une brèche, le lourd sénéchal hocha faiblement la tête à la femme et referma sa large main sur une pièce de protection à l’épaule de l’homme et tira fermement pour l’arracher du sol. Le traînant en zigzaguant entre les corps jonchant le sol sur près de 30 toises, l'artilleur ne disait mot grognant seulement à chaque fois qu'il rammenait le bras traînant le corps. S’arrêtant en le relâchant sans trop de finesse au sol, Zéphirin pivota et observa l’endroit.
D’ici, il serait facilement repérable pour les soignants.
Se passant rapidement la manche au front, il se glissa la main au nez en faisant signe de sa hallebarde à d’autres de s’y rendre aux échelles en gueulant.


MONTEZ !! MONTEZ !!!!

Regardant les échelles et les nombreux défenseurs au chemin de ronde, il grommela les dents serrés. Ils n'y arriverait pas. Déja deux vagues... et peu avait gagné des positions aux murailles. Revenant vers l'arrière en agitant les deux bras dans les airs, il ordonna à l’officier sur son cheval qui était en retrait.

ARCHERS !!! LE CHEMIN DE RONDE !!! DÉGAGEZ-NOUS LE CHEMIN DE RONDE !!!! FAITES NOUS COUCHER CES FOUTUS ANGEVINS !!!

Pivotant en vitesse en retournant vers l’avant, il repassa à la course en bifurquant soudainement vers un coursier de combat qui était a proximité. Étirant le bras pour l’accrocher rageusement par la manche et le tirer vers lui, le sénéchal lui postillonna au visage lui fixant l'oreille.

QUE LES CAVALIERS SURVEILLENT LA POTERNE OUEST !!! S’IL EST DES ARMÉES EN AIDE , ILS ARRIVERONT DU FLANC GAUCHE !!! ALLEZ MON GARS !!!

Le relâchant, le colosse Comtois envoya sa large main gantée à la cuisse du cheval et retourna au devant tentant de courir au mieux voyant passer la volée de flèche par dessus sa tête.
Raulvolfoni
Suite nuit du 18 au 19, camp des assiégeants

On résiste comme on peut et on recule à peu près en bon ordre. C’était bien la sonnerie de retraite, non ? De toute façon, maintenant, c’est fait, c’est fait…

Comment repasser les échelles en marche arrière alors que les défenseurs angevins pressent ceux qui retraitent ?

Solution évidente. Flèches, carreaux et pierres fusent sur les remparts depuis les lignes assaillantes à l’extérieur.
Bon, un boulet manque de peu Raul et deux flèches s’enfoncent dans son bouclier. Mais les siens n’ont rien. Comme en plus les Angevins ont conscience d’avoir gagné cette manche sur ce rempart, ils préfèrent laisser partir les derniers…

Chance ou pas chance ?


En bas, c’est un sacré souk.
Raul pose deux ou trois questions, se découvre chef de lance, donne un ou deux ordres. Il a soif. Il sue de partout, un p’tit bain dans la Loire ne sera pas de trop.

D’ici là, il pose avec ses survivants quelques mantelets autour des blessés. Puis comme c’est l’ensemble de l’assaut qui ralenti, on les rapatrie avec plus ou moins de délicatesse.

Chef de lance. Donc faire un rapport.
Oh, non…

Bon, d’un autre côté, la solde sera peut-être plus élevée ?
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