Ce que je comprends sur cet article du Codex, c'est, comme l'a dit le Procureur, je PEUX déposer une demande d'analyse du cas de Ladoce aux doléances, à côté de cette plainte, puisqu'elle peut être jugée comme n'importe qui.
Aussi, si le Conseil le souhaite, il peut, en son sein, débattre du cas Ladoce.
Nul part il n'est indiqué que le Conseil doit d'abord statuer ou que le procès doit avant tout être fini, non non.
D'ailleurs, moi, quand j'étais Conseiller, des procès, j'en ai pris. Devant le tribunal. On n'a jamais débattu de mon cas, ni analysé mon cas avant, pendant, ou après. Ce sont deux choses différentes.
Eragon n'était pas en taverne aux moments des faits. C'est un fait.
Marque sur la joue, personne ne peut témoigner qu'elle provient d'une éventuelle gifle de ma part, sauf les témoins présents en taverne, qui eux, n'ont rien vu de cela.
Pour terminer, baffe ou pas baffe, l'attitude d'un Prévôt n'est pas celle-la. Un Prévôt ne frappe pas ses citoyens pour n'importe quelle raison. Si baffe il y avait eue, vous auriez pu déposer plainte, Ladoce, chose que vous n'avez même pas penser à faire.
Maintenant, si nous pouvions nous concentrer sur la plainte et ne pas tourner en rond (Bloudas et Ladoce) afin de trouver une issue bidon, ce serait chouette.
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Membre de la Section d'Extermination des SAY.