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[RP] Document officiel de la guerre de 1458

Prunille
[19 août 1458]


Voici le document proposé pour être le document officiel de la guerre de 1458

Les Faits

Tout commence par une lettre de Levan III, roi de France écrite à son cousin Jean Long d'Argent, empereur du SRING. C'est de cette lettre qu'Alcann inspire son projet, préparé dès septembre 1457. Une guerre contre la Provence et le Marquisat des Alpes occidentales.
Que l'auteur de ce document apprenne à faire des phrases seul !
Spoiler:
 
Levan III a écrit:
Messire notre cousin,

Parmi nos vassaux du sud, d'aucuns sont
inquiets de ce qui se passe en votre turbulente Provence. En effet,
cette région qui vous fait l'offense de se prétendre hors de votre
giron, s'engraisse, paraît-il, de rapines, pillages et brigandages
pratiqués chez nos vassaux.

Tout comme vous, il est de mon
devoir de suzerain de protéger mes vassaux, vous le savez : aussi ai-je
besoin de savoir ce que vous comptez faire de ces sujets qui se
comportent si mal envers ceux de votre cousin. Vous vous doutez que si
vous préférez ne pas avoir à intervenir, nous serons amenés à autoriser
ceux de nos vassaux qui le souhaiteraient à se faire justice eux-mêmes.
Si
vous considérez que les Provençaux demeurent vos sujets malgré les
prétentions, nous comptons sur la bonne qualité de nos liens pour que
le calme revienne au sud. Si vous préférez vous en laver les mains, mes
vassaux ne se sentiront dès lors plus tenus par l'amitié entre nos deux
pays, et pourront dans ce cas faire valoir leur droit, sans que vous
n'y voyiez quelque problème entre nous
Que le Très-Haut vous garde, mon cousin.

Paris, le 24 juillet 1457
SMLIII

Le projet est clair, attaquer la Provence.

Spoiler:
 
Alcann a écrit:
Centralisons les données de qui participe avec quels effectifs et qui compte rester en Provence.


L'objectif est le suivant:
*mettre la main sur le Comté de Provence, Alcalnn en deviendrait le Prince Impérial (système un brin semblable à l'Orléans avec un Duc RP et un Gouverneur IG) et négocier après son rattachement à l'Empire en simple vassalité, ce qui en ferait un état vassal mais souverain.

Le plan:
*Prendre Aix par surprise, instaurer une armée intra muros qui évitera de perdre de suite le contrôle à cause d'une révolte.
*Tenir Marseille, la ville la plus peuplée.
*Poutrer l'armée qui est à Toulon si elle ne se rallie pas à nous.
*Eviter que Gênes s'en mêle -même si la diplomatie devrait rapidement la neutraliser-
*Une fois cela fait, éviter qu'une armée n'apparaisse à droite ou à gauche.
*Prendre un maximum de ville pour y récupérer ce qu'il y aurait d'intéressant et le donner au Duché, lui constituant de solides réserves pour la suite.

Pourquoi?:
*Car prendre la Provence me faisait envie depuis un moment.
*Cela permettra si nous faisons beaucoup de butin, je pense notamment si l'on pille toutes les villes pour les mettre en coupe réglée, d'amortir la croisade, peut être pas beaucoup, mais bon on essayera.
*La Provence risque à l'heure actuelle d'aider, à l'instar d'une Bretagne, tout sécessionnistes du Royaume de France.
*Ceux qui voudront rester et coloniser avec moi, soit en restant à la tête d'un noyau dans une ville pour éviter les révoltes, soit à l'a tête d'une petite armée pour poutrer les armées ennemis restantes, soit pour se présenter en tant que maire dans une des ville soit pour siéger au conseil ou dans les institutions qui ne manqueront pas d'être crées.

Les récompenses:
*Il est évident que des terres seront distribuées aux meneurs suivant leurs implications. Peut être pas un Comté à tous, mais baronnie et vicomté cela peut toujours se faire, pour ceux qui désireraient rester coloniser.
*De l'argent dans la mesure de ce que nous trouverons.
*Des vivres si il y en a.

Et après?:
*Instauration d'une Cort Senhorila (Cour Princière) rassemblant tout les nobles du Baron au Comte et les maires des villes et les guildes si il y en a. Ils auront pour tâche de proposer des lois et de discuter de doléances sur l'impôt et la petite justice.
*La Cort Senhorila aura aussi pour tâche, mais là, uniquement avec les Grands, de faire office d'assemblée nobiliaire pour statuer sur le sort d'un membre d'un noble. Elle sert aussi pour annoncer la levée de ban dans la Principauté. Elle aura un Jutge de Arma (héraut) indépendant.
*En plus des posts IG classique, le Duc IG sera en fait, durant son mandat, Senescalc de Provença. A la fin de celui ci, suivant son efficacité, la Cort des Grands lui attribuera ou non une terre.
*Pour l'économie, dans un premier temps elle sera extrêmement dirigiste. Prix plancher et pas de salaire minimal. Un bon CAC sera nécessaire.
*Niveau diplomatique, nous allons être la référence du Sud. Il nous faut être le pilier du Sud, tant pour le Royaume de France que pour la Savoie.
*Après toutes les suggestions sont les bienvenues, sans parler du fait qu'on aura une belle façade maritime pour commercer...

Maintenant, nous allons créer une salle spéciale, ceux qui veulent suivre et débattre sur le projet n'ont qu'a se signaler ici.
Je compte beaucoup sur vostre TRES GRANDE discrétion. Si vous voulez par la suite vous établir en Provence, j'en serais ravi, car elle n'est pas très peuplée, exceptée Marseille. Bref une aventure à l'instar des conquêtes normandes en Sicile, Normandie, Angleterre etc...

Si tout cela échoue et bien, nous aurons fait le plein et chacun pourra rentrer chez lui.


Et début 1458, les choses se précisent.

Des armées françaises parcourent la Provence entre Montélimar et Aix, et n’hésitent pas à attaquer les voyageurs qui reviennent mourant dans nos villes. La Comtesse LedZeppelin décrète la fermeture des frontières le 16/01/1458 afin de veiller à la sécurité des voyageurs et leur conseille de ne pas quitter les villes.

La Provence se prépare à se défendre. Des armées sont crées, la population est mobilisée et le 18 juin 1458, Aix subi sa première attaque.

Ah bon, on a été attaqué en juin ? Et ça veut en faire un document officiel !!

Spoiler:
 
Citation:

      Peuple de Provence,


      Ce matin quatre armées françaises qui depuis une semaine sillonnaient les routes de Provence, égorgeant avec barbarie hommes, femmes et enfants qui croisaient leur chemin, ont sauvagement et massivement attaqué notre capitale. Les combats ont fait rage pendant plusieurs heures mais l'ennemi a été repoussé, subissant de lourdes pertes. La défense des Provençaux a été héroïque mais plus d'un est tombé sous les coups de l'ennemi.

      Ce que nous défendons est juste et de nombreux peuples nous soutiennent dans notre combat, tant diplomatiquement que matériellement.

      Ces hommes, ces femmes de Provence se sont battus pour défendre leurs idéaux : vivre en paix, mais vivre libres! Et pour cela ils ont été prêts à sacrifier leur vie...
      Leur sacrifice n'aura pas été inutile. Frères Provençaux, continuons la lutte! Chassons ces barbares envahisseurs de notre pays!

      Pour que vive la Provence éternelle!



      LedZeppelin
      Comtesse de Provence Libre


      Hersende de Brotel
      Marquise des Alpes Occidentales



Elle va être repoussée et la Provence va devoir faire face à une autre guerre, interne cette fois ci, avec la prise du château, le 26 janvier, par les « loyalistes », non élus par le peuple, mais voulant le soumettre à l’Empire par la force.

Et l'objectivité ? Dans le livre cette lettre est là pour laisser un loyaliste s'exprimer mais non juste avant vous dites "voulant soumettre à l'Empire par la force" !!! J'ai demandé l'avis à Daemon pour publier cette lettre !

Spoiler:
 
Daemon a écrit:

A mes débuts j'ai dénoncé le coté opaque du marquisat et la première personne a m'avoir écrit fut Hersende pour me dire qu'elle en avait peur et ne savait pas trop à quoi s'en tenir. Elle fut vite acheté par Lordfear et vous connaissez la suite. Petite anecdote en passant -sourire-.
Le gros problème du Marquisat, pas reconnu à l'étranger, il donne une image prétentieuse de la Provence et hors des usages les plus basiques. Partant de là c'est un gros handicap pour le comté de Provence en ce qui concerne ses relations avec l'étranger.
Les diverses nominations et postes à durée indéfinie sont aussi pour moi quelque chose d'inacceptable. Quand on voit Hersende devenir présidente de la CSMAO puis pour garder le pouvoir passer régente. Quand revient Lordfear repasser présidente etc, non c'est indigne de l'honneur et de l'intégrité d'une charge que de se comporter ainsi pour ses propres intérêts. Et en parallèle elle était dans une liste comtale.
J'ai pu travailler pour le marquisat et arriver au sommet, c'est à dire le conseil marquisal lui même. Là j'ai pu constater l'inertie du système : au début LF absent, le marquisat coulait, sombrait même. Gênes ne sachant pas quoi faire, a fait retarder les réformes.
Bref en plus d'avoir des institutions vides, oui oui vous ne rêvez pas quand j'ai repris en main la hérauderie elle était vide et c'était pas la seule institution qui souffrait, le marquisat est toujours aussi mal connu en Provence.
Je n'ai pas aimé qu'un illustre Max1664 retire à Arwen son titre sans jugement que la marquise cautionne cela. Tout ça pour faire plaisir au comté de Toulouse.
Car il faut savoir que les félons provençaux, ont tout de même acheté des quantités astronomiques de fer à la Provence a un prix dérisoire. Il y a des liens entre les deux factions.
Accumulation de déception, de pratiques douteuses, d'arnaques, de coté gentils provençaux alors même qu'à chaque fois que des brigands pillent en France et en Empire, les autorités disent n'avoir pas de liens et condamnner ces actes. Personne n'est dupe, la Provence n'a pas de crédibilité à l'étranger...
Sa seule force réside en l'entêtement de son peuple prêt à défendre pour rien ses terres.
Une autre chose en tant qu'ex capitaine, et conseiller comtal durant plusieurs mandats, jamais un conseiller a pu débattre et discuter des manoeuvres militaires, ni même de la diplomatie. Pour la seconde la chancellerie marquisale a posé sa main mise et pour l'armée et la défense : le marquisat n'étant pas lui même compétent, il y a eu du coup des gens qui ont dirigé les manoeuvres de façon tout à fait hors la loi...
Mais le droit en Provence est une chose très... Hersende et quelques privilégiés ont fait avancer les pions provençaux sans que personne ne puisse rien y redire. Le sacro saint dogme de peu de personnes sont au courant mieux c'est. Or on a des élus, un Etat Major mais tous ces organes ont été vidé de leur substance.
L'ost a subi la plus belle trahison, car malgré les réformes qui servaient à rien, le système des volontaires a carrément courcircuité ses recrutements et son rôle.
Non en définitive, trop de choses ne vont pas, lorsqu'à l'ADN on a voulu créer des chevaliers, mettre en place des armées, il fallait l'accord d'Hersende. Mieux, c'était je vais en parler directement à Ilgrande.
La liberté en Provence est une utopie, l'indépendance vis à vis de l'empire une réalité mais à quel prix ?
Pour toutes ces raisons et non je ne suis pas rageux, ni plein de rancoeur, j'ai estimé que si l'empire me permettait de dégager certaines personnes, et remettre à plat le système provençal tout en permettant d'une part d'obtenir la paix et d'insérer de nouvelles personnes au pouvoir et que ça tourne, le jeu en valait la chandelle.


Les réactions des maires ne se font pas attendre. Ils refusent de se soumettre au Conseil IllégitimeOn se demande pourquoi j'ai écrit "réactions sans appels" Je n'étais pas maire Steiphens non plus!!! C'est ça de copier sans regarder et c'est au conseil comtal !

Spoiler:
 
Miladyw a écrit:
Au nouveau conseil et en particulier Dahut et Deamon. Je suis douanière et lieutenant de la ville d'Arles. Je viens signifier ici que je ne reconnais aucune légitimité à des traîtres et qu'à mes yeux coupables de Haute Trahison, Deamon est autant connétable, Dahut prévôt que mes chiens !

De ce fait si je veux assurer la sécurité du comté de Provence et du Marquisat il est évident que je préfère remettre mes rapports entre de bonnes mains plutôt qu'à des animaux. Aussi Arles ne donnera pas ses rapports de douane, ni même de police ou en tout cas pas de mes mains !

De même je ne ferai aucun dépôt de plainte ne reconnaissant pas Reinemab procureur, doutant de l'impartialité d'un juge coupable d'une telle trahison. Je n'oserai travailler dans une mine doutant de ce qu'Harding ferait de l'argent, je conseille aux MA de ne pas faire affaire avec Edelwyna, en armée je n'obéirai qu'aux ordres émanant du conseil élu Enored étant une usurpatrice. Je demande aux tribuns de ne reconnaître aucune légitimité dans les annonces comtales à venir et de le préciser dans leurs halles respectives. Cela sera fait en Arles !
Je me méfierai de chaque mandat fait par Rougeours.

Accepter de vous reconnaitre et travailler avec vous serait me rendre complice d'actes vils et hautement condamnables. Ledzeppelin reste comtesse je ne prends ordre qu'auprès d'elle et de ses conseillers.


Vive la Provence libre !
Vive le marquisat indépendant!
vivivivi a écrit:
En ce 27 janvier 1458, moi, Viviane Del Pégasus Baronne de Cannes,
en ma qualité de mairesse d'Arles; je déclare ne pas reconnaitre
le traitre Patrice14 comme comte de Provence.

Cette bonne ville d'Arles restera sous la souveraineté de la Comtesse
légitimement élue par le peuple Provençale; la comtesse Ledzepplin.

Qu'on se le dise.

Ab Ira Leonis

Fait à Arles le 27 janvier 1458
Par Viviane Del Pégasus
Mairesse d'Arles

whaou74 a écrit:
En ce 27 janvier 1458, moi, whaou74, en ma qualité de maire de draguignan la rebelle je déclare ne pas reconnaître
le traître Patrice14 comme comte de Provence.

draguignan la rebelle restera sous la souveraineté de la Comtesse
légitimement élue par le peuple Provençale; la comtesse Ledzepplin.

VIVE LA PROVENCE LIBRE , VIVE LE MARQUISAT.

whaou74

Fait à draguignan le 27 janvier 1458
Par whaou74
maire de draguignan la rebelle .

monfort a écrit:

En ce jour du 27 Janvier 1458,

Moi, Monfort, Maire de Forcalquier village de Provence libre,

Je déclare par la présente ne pas reconnaître le nouveau comte Patrice14 comme comte de Provence.

Forcalquier restera fidèle à la Comtesse Ledzepplin et à son conseil, élu légitimement par la voix du peuple.

Vive la Provence libre.

Fait à Forcalquier ce 27 Janvier 1458
Monfort, Maire de Forcalquier


Fred1003 a écrit:

En ce jour du 27 Janvier 1458,

Moi, Fred De Cianfarano, Maire de Marseille ville de Provence libre,

Je déclare par la présente ne pas reconnaître actuellement le nouveau comte Patrice14 comme comte de Provence.

Marseille restera fidèle à la Comtesse Ledzepplin et à son conseil, élu légitimement par la voix du peuple.

Vive la Provence libre.

Fait à Marseille ce 27 Janvier 1458
Fred De Cianfarano, Maire de Marseille
yueel a écrit:
[En ce 27 janvier 1458, moi, Yueel de Cianfarano, Curé de Brignoles,
en ma qualité de maire de Brignoles; déclare ne pas reconnaitre
le traitre Patrice14 comme comte de Provence, ni aucun de ses conseillers.

Brignoles se déclarant sous la responsabilité du Marquisat, c'est donc à Hersende de Brotel, la marquise que la ville rendra des comptes, ainsi qu'à l'ancien conseil.

Fait à Brignoles le 28 janvier 1458
Par Yueel de Cianfarano
Maire de Brignoles
Steiphens a écrit:


Au Régent Patrice14 le Battard et à son Conseil de Judas,

Des clous...

L'Ost Provençale, vous combattera vous et tout les François qui seront à vos côtés jusqu'à se que le dernier Soldat tombe ensanglanter sur sa terre natale qu'est la Provence Libre.

Nous ne mourrons non pas pour rien, nous mourrons pour défendre tout se qui nous est chère sur cette bonne terre. Vous pourrez nous ôtez nos vie mais vous ne pourrez jamais nous ôtez notre liberté.

J'ordonne à tout mes hommes de tenir, je demanderais à tout les citoyens de se battre. Nous tiendrons et reprendrons nos terre durant les futures battailles en reprennant chaque mètre carré de notre territoire. Nous utiliserons des haches, des lances, des épées, des batons et même des pierres pour vous boutez hors d'ici.

Rendez-vous en enfer.

Fait à Aix, 30/01/1458
Par le Général Vétéran Steiphens
Pour l'Ost Provençale, le peuple de Provence et pour la liberté


Fin janvier, une première ville tombe, il s’agit de Brignoles. L’armée Crepi Coronia, menée par P3r3v3rt prend la ville et ne tarde pas à transmettre un message d’Armoria.


Spoiler:
 
Citation:
21-01-2010 : Brignoles aux mains des Français

BRIGNOLES (AAP) - Le 20 janvier, la ville de Brignoles, en Provence, est tombée aux mains des troupes françaises. Ces dernières avaient traversé la frontière sans avertissement le 13 janvier et avaient entamé le siège d'Aix. N'ayant pu entrer de force dans la capitale provençale, trois des quatres armées en question s'étaient positionnées autour de Brignoles, à un jour de marche.

Dans une annonce aux Brignolais du 19 janvier, l'amiral de France Alcalnn Blackney, explique les raisons de présence française autour des murs. Il assure notamment que les armées «ne pilleron[t] pas [les caisses de la ville], pour une simple et bonne raison, c'est que c'est le soit disant "maire" qui ne veut que [le] "bien" [des Brignolais] aura tout dans sa propriété.» Il apporte aussi une nouvelle justification à l'attaque menée contre la Provence, accusant les autorités provençales de se livrer, prétendant que le Comté indépendant est en passe de devenir «un havre de paix pour les brigands, les rebelles de tout poil et les hérétiques» et affirmant avoir d'ores et déjà «occis des Sicaires du Lion de Judas, qui tentaient vainement de s'échapper de la ville après avoir profité de l'accueil de la Marquise!» Ce dernier élément ne serait toutefois qu'une tentative de désinformation visant à faire passer un simple brigand pour un membre de l'organisation religieuse, actuellement occupée en Béarn. Il est en effet notoire que de nombreux hors-la-loi figurent à la rubrique "Lion de Juda" sur les listes d'indésirables que se transmettent les prévôtés du royaume de France.

Deux des armées sont entrées en ville, tandis que la trace de la troisième a été perdue. Il faut noter que les défenseurs ne se sont pas opposés aux troupes françaises : aucune victime n'est à déplorer. Avant d'être destitué par les compagnies françaises, Yueel, le maire de Brignoles et par ailleurs curé de la ville, a pu escamoter les possessions municipales. Le 18 janvier, il déclarait : «Pour des raisons évidentes de sécurité des habitants de ma ville, j'ai donné l'ordre de ne point défendre la ville [...]. Refusant cependant que [les armées françaises] s'enrichissent, malgré leurs dires, j'ai anticipé leurs attaques en réfugiant les richesses de la ville dans l'Eglise.»

Kartouche, pour l'AAP


Spoiler:
 
Armoria a écrit:
Brignolaises, Brignolais,

Ce courrier me permet de prendre contact avec vous, et vous faire le point de la situation selon notre avis - parce que ne pas se contenter d'un seul son de cloche est la seule et unique façon de se faire un avis.

Vos instances, félonnes à l'Empereur, et allant à l'encontre de l'Ordre Etabli par Dieu, prétendent que la guerre touche à sa fin. Il n'en est rien : les alliés français et loyalistes tiennent trois villes. Arles, par armée, Brignoles et Toulon par révolte. Des renforts sont en route, il en arrive chaque jour. Vos dirigeants ont renié l'Empire, ils ont envoyé des brigands dans le Royaume, ont tenté de morceller celui-ci : ce qui se passe n'est ni plus ni moins que le retour de bâton de ces mauvais choix.

Mettez-vous à notre place : supporteriez-vous qu'un voisin envoie chez vous des voleurs ? Supporteriez-vous qu'il essaie de s'approprier une partie de votre propriété ? Vous savez que non.

Nous ne sommes pas les ennemis du peuple de Provence. Nous sommes les ennemis de ceux qui l'ont mené tout droit à cette guerre. Retournez à vos champs, retournez à votre vie, retournez à la paix que vous méritez : laissez-nous nous charger des vrais responsables de ce qui se passe.

Ce sont eux qui vous affament. Ce sont eux qui ont fermé les mines pour vous empêcher de travailler, et ainsi être sûrs que vous prendrez les armes. Ce sont eux qui, cette nuit, ont tué quatre Provençaux à Aix, qui ne voulaient que protéger leur mairie. Ce sont eux qui nous ont contraints à venir. Laissez-les payer le mal qu'ils vous ont fait, et qu'ils vous font encore. Ils veulent vous forcer à vous battre : dites-leur de le faire eux-mêmes.

Pendant que vous avez du mal à vous nourrir, les soldats de Gênes sont nourris avec le fruit de votre travail.
Que défendent-ils ? La Provence ? Les villes de Provence ? Non. Ils défendent leurs titres, qu'ils ont usurpés. Leurs titres. Pas les vôtres. Ils ont abandonné Brignoles, Arles, Toulon. Pour leurs titres. Ils ne méritent pas que vous mourriez pour eux, que ce soit de faim ou par les armes.

Sitôt qu'ils auront déposé les armes, les négociations de paix pourront commencer : en renonçant à les défendre, vous aiderez la paix à arriver plus vite.

Nous ne sommes pas vos ennemis.

Parce que défendre ces titres coûte cher à la Provence, et pour le jour où je ne serai plus à la tête de votre mairie, j'ai décidé de lever des impôts symboliques : cela vous laissera un répit.


Nos alliés bretons ne tardent pas à nous prêter main forte que ce soit sur le plan militaire mais aussi diplomatique et économique. Dès le début des combats, les autorités ducales et grand-ducales nous dépêchèrent un conseiller militaire, Alba, dont les conseils nous menèrent plus d'une fois à la victoire.
Diplomatiquement, le soutien breton ne s'est pas démenti tout au long du conflit. Nombre de déclarations illustrèrent les protestations du Grand-Duché contre la vile attaque française, et la Bretagne s'éleva à ce sujet comme à d'autres contre la France, n'hésitant pas à la menacer.


Bonne idée de parler d'eux c'est ça l'écriture dommage que le reste ne soit qu'une pâle copie....

Spoiler:
 
Citation:
18-03-2010 : La Bretagne hausse le ton contre la France

Rennes (AAP) - Un nouveau barreau a été grimpé sur l'échelle des tensions entre la Bretagne et la France. Le sujet de discorde, qui oppose les deux Etats souverains, est toujours le même : l'invasion de la Provence par les armées françaises. La Provence, qui se revendique indépendante, alliée de la Bretagne, continuant à résister, tant bien que mal, aux armées françaises sur son sol, depuis plusieurs mois. La Bretagne avait déjà eu l'occasion de manifester sa colère dans une première déclaration condamnant l'attaque française. La France avait alors répliqué en suggérant, pour résumer, à la Bretagne de se mêler de ses affaires.

Cette dernière n'en fit rien, puisqu'elle confirma son soutien à la Provence, dépêcha un expert militaire pour aider les défenseurs provençaux à élaborer leurs tactiques et convoya des vivres pour la population. Cette implication, pacifique mais concrète de la Bretagne aux côtés de la Provence, constituant une source d'irritation entre le Grand Duché armoricain et ses voisins français.

Ainsi la dernière étape en date tient à une nouvelle déclaration, publiée à un moment où le conflit semble s'enliser et où toutes les armées donneraient des signes de fatigue. La Bretagne, sur un ton plus cordial, puisqu'il est cette fois question de "conseils d'ami", suggère au roi de France de retirer ses armées et de conclure la paix. Remémorant au passage les guerres passées entre la France et la Bretagne, portant sur la question de l'indépendance de cette dernière, qui aboutirent finalement à la reconnaissance de celle-ci, après plusieurs années de lutte.

Malgré le ton adouci, voire amical, de la Bretagne envers la France, la déclaration ne manque pas de rappeler le principe de souveraineté de la Provence et de signaler qu'un acharnement dans ce conflit ferait perdre à la France sa puissance, son rayonnement mais aussi le respect que les autres peuvent avoir pour sa propre souveraineté.

L'autre détail important de cette proclamation tient au mécontentement affiché de la Bretagne suite à l'absence de suite aux demandes de discussions avec la France. En décembre dernier les Bretons avaient contacté les autorités françaises pour discuter au Mont Saint Michel, comme le prévoit le traité de paix entre les deux nations, afin de discuter des violations supposées dudit traité. Après plusieurs relances, la Bretagne se plaint de l'immobilisme français et dénonce un manquement à "la plus élémentaire des courtoisies".

Finalement cette déclaration illustre bien les problèmes et les oppositions croissantes entre la France et la Bretagne, mais la relative bienveillance du ton semble indiquer que la concorde est toujours de mise, ou, tout du moins, que la voie diplomatique reste ouverte entre les deux Etats anciennement ennemis.

Le Kozh, pour l'AAP


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Citation:
27-03-2010 : La Bretagne répond au roi de France

Rennes (AAP) - L'opposition entre le Grand Duché de Bretagne et le Royaume de France prennent une nouvelle tournure. Jusqu'à présent les deux Etats souverains s'adressaient remarques et provocations autour du sujet de la Provence. La France ayant attaqué et attaquant toujours la Provence, la Bretagne soutenant celle-ci, son alliée, se vantant même d'aider les stratèges provençaux dans leurs tactiques contre les armées royales. Dernièrement, la Bretagne avait relancé ses appels à la France, pour qu'elle quitte la Provence et avait remémoré son mécontentement face à l'absence (alors qualifiée de discourtois) de suite aux demandes répétées, depuis décembre, de discussions entre le Grand Duché et le Royaume, à propos de l'application du traité de paix.

Rappelons en effet que la France et la Bretagne avaient signé, à l'issue d'une guerre très longue et très violente, un accord de paix, reconnaissant la souveraineté de la Bretagne, prévoyant certaines obligations mutuelles et instaurant plusieurs entités d'entente diplomatique, à ce jour encore jamais utilisées. La Bretagne réclamant donc, depuis plusieurs mois, le recours à ces institutions de concertation, pour évoquer des problèmes liés à la paix.

La réponse du roi de France, Lévan III de Normandie, ne prit pas la peine de s'intéresser au cas de la Provence, ni de répondre aux demandes de discussion, pour se concentrer uniquement sur le sujet de l'Alliance du Ponant. Déclarant celle-ci illégale, accusant la Bretagne d'ingérence, tout en laissant ouverte la voie d'une résolution diplomatique, le roi de France provoqua une grande agitation en Bretagne. Une séance extraordinaire fut tenue au château de Nantes pour préparer la réaction bretonne.

La Bretagne rejette tout d'abord les accusations du roi. Elle se défend de toute ingérence, justifie l'Alliance du Ponant, en explique les finalités. Elle se montre taquine en rappelant que le roi n'avait fait aucune remarque sur cette alliance lorsqu'il vint faire hommage à la Bretagne, alors que celle-ci existait déjà depuis deux mois. Elle signale aussi que la Bretagne possède depuis des années des alliances avec certaines de ses provinces, sans que cela n'ait jamais posé de problème. Si le ton breton reste très courtois envers le roi, le conseil de celui-ci est par contre accusé de bien des maux. Persiflage, calomnie, haine revancharde, auraient, selon la Bretagne, insufflé de mauvais conseil au roi de France.

La Bretagne se déclare également vexée des accusations qui lui sont faites et demande, une fois de plus, à pouvoir discuter directement avec les représentants du royaume de France de l'application du traité de paix. Il est à noter que le Grand Duc breton, Myrlin de Pontcallec, termine son adresse par un témoignage d'affection, dont on ne peut mesurer la sincérité, en faisant un "gros bisou" à son homologue le roi de France.

Pendant ce temps, les provinces françaises membres de l'Alliance du Ponant, elles, discutent déjà avec les représentants de la royauté du cas de leur alliance. Pour le moment, la Bretagne n'a toujours pas eu l'occasion de faire face à ces représentants. Tactique diplomatique volontaire ou mauvaise organisation ? Quoiqu'il en soit l'Alliance du Ponant se retrouve divisée pour s'expliquer et la Bretagne reste, pour l'instant, mise de côté. Il n'est dès lors pas trop risqué d'avancer que les relations entre les deux Etats, jadis ennemis, ne vont pas s'améliorer immédiatement.

Le Kozh, pour l'AAP



Mais l'aide fut aussi économique... Bien en peine de trouver des ressources d'exportation pour nous maintenir à flots et de quoi nourrir nos troupes, nous avons trouvé dans notre partenaire breton un acheteur pour notre fer et un fournisseur de vivres de première nécessité qui nous ont permis de tenir si longtemps.

28 janvier : arrivée de l’armée Semper Fidelis menée par le Général Maghella Chef de l’état major de la République de Gênes. Cette armée a aidé à repousser les premières armées françaises et à les détruire devant Brignoles permettant un peu plus tard à l’armée "La Tuadouiro" , dirigée par Axle_x, de reprendre la ville. Les armées ennemies se replient sur Forcalquier.

Incohérences chronologiques, il aurait peut être fallu copier aussi la chronologie

L’armée Italienne participe également à la reprise du château le 6 février ainsi que des lances venues de plusieurs Cantons suisses : : Lausanne, Grandson, Sion, Fribourg et Murten qui ont activement participées à la défense de la Capitale.

Des catalans nous rejoignent également pour aider à la protection d’Aix. Ils vont ensuite monter une armée, Despertaferro, et vont se battre à nos côtés pendant 4 mois, d’Arles à Toulon.

Le 13 février c’est la ville de Toulon qui tombe aux mains des ennemies grâce à une révolte et l’armée In Phooka Memoriam entre dans la ville. La résistance locale se met alors en place.


Spoiler:
 
Patsy a écrit:
Bonjour à vous Toulonnais...
Je suis Pierre de Courtalain, dict "Patsy", Vicomtes de Conches et Officier et Vassal du Roy de France LevanIII.

Nos troupes viennent de se rendre maitre de vostre ville. Nous ne sommes pas là pour vous pillez et vous tuez comme se plait à dires vos autorités mais pour vous libérez de ce Marquisat qui vous néglige, qui vous affame, qui vous prive de vostre travail dans les mines.
Une marquise qui préfère défendre son titre plutôt que ses villes. Cette personne n'a aucune considération pour le peuple...la preuve est que les mairies sont vides, je n'ai rien pour vous nourrir fort malheureusement contrairement à Aix qui doit avoir quelques caches bien fouines et dont certains mets emplissent les tables de la marquise et de ses laquais.
Je pense que les Génois mange bien mieux que vous...
Vos mines sont fermées, afin d'affamer les "Méchant François, mais vos villes tombent et nous sommes bien vivants et ceux qui sont affamés...c'est bien vous.

Ne vous révoltez pas, nous ne sommes pas là pour vous combattre, le peuple provençale n'est pas nostre ennemis, bien au contraire de la propagande de la marquise.

Travaillez pour faire vivre vostre ville et nourrir vos concitoyens.

Bien à vous et que le Très Haut soutienne ceux qui oeuvre pour lui.
Citation:
Dans cette taverne, nous pouvons y voir tout ce que la politique marquisale vous réserve...

Rien...mais surtout Rien à manger, des animaux introuvables et des mines fermées.

Par contre n'ayez crainte, les tables des banquets en château d'Aix sont bien fournies, grâce à vostre labeur.


Les catalans vont se sacrifier sans hésiter pour bloquer l’armée française dans Toulon et l'empêcher de prendre nos troupes à revers.

A Forcalquier, les ennemies sont toujours présents. Sous l’impulsion de son maire, la ville s’organise et des volontaires vont tenir tête aux français et faire en sorte de les faire sortir de la ville et ce, au prix d’un grand sacrifice. Un premier combat le 24 mars va voir nombreux provençaux tomber au combat. Mais ils ne laissent pas tomber pour autant.


Spoiler:
 
Citation:
Expéditeur : Monfort de Forcalquier
Date d'envoi : 2010-03-25 22:04:53

Bonsoir,

Voilà bientôt un peu plus de 2 semaines que vous êtes devant nos remparts.
Ce n'est jamais agréable d'avoir des visiteurs dans de telles conditions mais bon nous faisons avec.

J'ai pris, au début de votre arrivée, l'initiative d'envoyer un courrier à plusieurs d'entre vous.
Ceci dans le but de voir la vie plus facile pour tout le monde au village.

Afin d'éviter les diverses spéculations sur notre marché, de la nourriture était mise dans la taverne publique et ceci afin d'en faire profiter pauvre, riche, blessers, villageois etc....

Rien n'a été respecté. J'ai vu de la spéculation dans les 2 "camps".

Des coupables se sont fait arrêter et sont en jugement.

Vous n'avez pas suivis les décrets de notre village, des gens de chez vous ont acheté et vendu sans se tracasser des répercussions sur la population.

Demandez par exemple au Sieur Obélix tout le bois qu'il achète...

La moindre des choses aurait été de nous respecter un minimum et respecter notre façon de vivre. Donc respecter nos prix, nos ventes.

Puisse que rien n'a été fait pour nous respecter un peu, sachez que ce jour était le dernier où la taverne était approvisionnée. Dès demain il n'y aura plus rien à manger... Sauf pour les villageois.


Dommage pour vos hommes, dommage pour vos blessés.

Bonne continuation tout de même.


Monfort,Maire de Forcalquier
Citation:
Expéditeur : Monfort de Forcalquier
Date d'envoi : 2010-03-30 17:48:27

Bonsoir,

A vous qui êtes ici chez nous en convalescence, sachez qu'il vous sera possible de quitter notre village avec un laisser-passer afin de retourner vers chez vous.

Pour avoir ce droit, il vous sera demandé de vendre à bas prix vos armes.
En échange, vous pourrez quitter la Provence, votre nom sera transmis aux chefs des armées Provençales.

De plus assurez-vous de bien respecter les décrets qui sont en application actuellement au village.
Se révolter ne sert à rien !!!!
La mairie a été patiente pour le moment.
Normalement vos chefs auraient dû vous demander de les respecter.
Si d'ici mercredi il y a encore des déboires sur le marché, la taverne municipale ne sera plus réapprovisionnée.

Ne quittez pas le village sans en avoir reçu l'accord... Il en va de votre vie.

Faites-le savoir autour de vous.

Bonne soirée.

Monfort, Maire de Forcalquier


Le 19 mars, après de nouveaux combats, les armées provençales vont avoir raison des armées françaises. Deux d’entres elles seront détruites ainsi qu’une armée provençale

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Citation:
28-03-2010 : Provence : destruction de deux armées françaises

Forcalquier (AAP) – Commencée il y a plus de deux mois, la guerre fait toujours rage en Provence, voyant l’opposition des armées du comté aux armées françaises. La nuit dernière, du 25 au 26 mars, deux de ces dernières ont été défaites.

Depuis plusieurs jours, deux armées françaises étaient présentes devant Forcalquier : "Pa Capituna" et "Pro Patria Semper". Dans un premier temps, ce sont les armées françaises qui ont tenté d’investir Aix, sans succès, car les armées provençales n’ont pas bougé. Ces dernières ont par la suite repris l’initiative en faisant mouvement vers le nord-est, et plus précisément vers Forcalquier. Après quatre tentatives successives, les deux armées, soutenues par "L'impasse provençale" dirigée par DameLita, qui était jusqu’à présent restée dans les murs de la ville, ont défaits les armées françaises "Pa Capituna" et "Pro Patria Semper". Ces dernières n’existent plus.

La guerre n'est toutefois pas terminée. L’armée "In Phooka Memoriam", qui tient Toulon depuis plusieurs semaines cherche désormais à atteindre Marseille, tandis que l’armée savoyarde "Compagnie St-Maurice" est toujours à Arles. Ces deux dernières cités sont toujours villes franches, Arles étant administrée par la princesse Armoria.
Du côté provençal, on trouve toujours quatre armées à Aix, ainsi que deux autres, présentes à Marseille et Brignoles respectivement.

Doch, pour l’AAP.


Forcalquier n’est plus envahi et quelques jours plus tard, c’est Toulon qui sera ainsi libérée. Les armées la Mistrale et l’Arlésienne sont venues renforcer l’armée catalane et reprendre la ville.

Pendant tout ce temps une autre ville a été franchisée. Il s’agit d’Arles, prise le 15 février par l’armée de Nkan. Elle sera totalement coupée de la Provence pendant de nombreuses semaines.De nombreux mois oui !

La résistance se met aussi rapidement en place là bas.


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Citation:
Bonjour,

Je me présente, je suis Funshine, Tribun d'Arles, et je suis ravie de vous accueillir.

Arles est une petite ville du comté de Provence, très dynamique, de part son marché, son verger, ses tavernes, sa Halle, sa loterie hebdomadaire … Du moins en temps normal. Nous subissons malheureusement une invasion ennemie, je vous invite donc à prendre contact avec moi pour organiser la Résistance.

Le maire actuel est le traître Nkhan. Un soldat qui a pris notre mairie de force et qui veut imposer sa volonté.

Vous pouvez bénéficier d'un cadeau de bienvenue, c'est-à-dire 2 miches de pain à 2 écus pièce. Il vous suffit pour cela de venir vous présenter en Halle au bureau du Tribun (Forum et aide > accéder au forum avec mon 1er compte > La Provence > Plaço de Arles- La Halle d'Arles (en souligné) > Bureau du Tribun ). Si bien entendu ce dernier accepte de fournir le pain.



Si vous le souhaitez, un Arlésien peut vous guider dans votre installation, répondre à toutes vos questions, etc … N'hésitez pas à me faire savoir si vous voulez être parrainé (vous me le dites en halle au bureau du tribun ou par courrier).



Une dernière chose, je vous incite aussi à venir en taverne ! C'est le lieu idéal pour faire des connaissances. J'y suis moi-même régulièrement, et j'espère avoir l'occasion de vous y croiser !


Pour toutes questions (comment se nourrir, comment travailler ...), je reste bien entendu à votre disposition.


Soyez le(la) Bienvenu(e) à Arles !


Funshine, votre Tribun.



le chancelier impérial, Roi-lézard arrive en compagnie de son détachement et d'Ingeburge et tente de rallier les arlésiens à leur cause. Mais ces derniers ne se laissent pas manipuler.

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Kehl a écrit:
Sans entrer dans les détails inutiles du genre de qui c'est la faute, qui paie la situation actuelle, selon vous ? Hé oui, les Provençaux. Qui meurt en attaquant le château d'Aix ? Qui meurt en attaquant les Français ? Encore des Provençaux.

Si quelqu'un souhaite expliquer à quelqu'un de neutre pourquoi il se bat, je suis prêt à l'écouter. Je suis arrivé hier dans cette ville, dans l'escorte du prime chancelier du Saint Empire. Nous ne sommes pas des soldats, nous sommes des diplomates. Et nous sommes ici pour comprendre pourquoi des gens intelligents détruisent leur province. On a l'impression, quand on est en dehors de vos frontières, que vous réagissez avec toute la force de vos émotions, mais sans vraiment savoir ce qui se passe. Quand nous le saurons, si c'est dans nos moyens, nous tenterons de régler le problème. Quelqu'un veut-il prendre la parole ?
Evenflow a écrit:
Je ne suis pas originaire de la contrée, mais du Limousin. A un moment de ma vie, j'ai pris la décision de quitter ma région natale et le destin m'a conduit par pur hasard en Provence. J'y ai trouvé la douceur de vivre.

Jamais d'embrouilles, pas de rivalités qui vous pourrissent les conversations de comptoir. Ma taverne, mon champ, mon moulin et le petit univers arlésien bien tranquillou.

Et un beau jour, ou plutôt un vilain jour, j'apprends qu'un lointain souverain (Rouen, c'est loin) a décidé de prendre par la force l'indépendance de notre province si paisible. Cela m'est apparu tellement aberrant et injustifiable que je me suis engagé dans l'armée, alors que ce n'était pas du tout dans mon tempérament.

Je défendrai coûte que coûte nos positions, notre indépendance jusqu'au bout (c'est déjà fait sur le champ de bataille). Si l'occupant du château persiste, je ne paierai plus d'impôts et je ne soutiendrai un maire que s'il est loyal à la Provence indépendante.

Alors, si vous êtes diplomate, messire Kehl, vous devez comprendre que nous avons été agressés et que notre colère ne s'éteindra qu'avec le départ des troupes du lointain souverain que je ne connais et reconnais point.

Nous vous serions gré d'œuvrer dans cette voie.

Ma taverne vous est grande ouverte pour boire et discuter.
Funshine a écrit:
Bien le bonjour mon ami!

Je vois dans votre lettre que vous nous dites de retourner à nos occupations. Je ne peux malheureusement le faire, puisque je suis lieutenant de police, tribun et tisserande.

En tant que lieutenant de police je ne peux assurer la maréchaussée, puisque je suis encore indisponible pour 38 jours, ayant malheureusement été attaquée par une armée française. D'ailleurs je ne connais que les lois provençales, et comme nous ne sommes plus en Provence ce serait mal vu de faire appliquer ces lois.

En tant que tribun, je ne peux plus aider les nouveaux en leur offrant des miches à 2 écus puisque la mairie ne m'en fournit pas.

En tant que tisserande je ne peux travailler puisque mes quatre malheureux moutons ne suffisent pas à la tâche et que vous ne fournissez pas le marché.

Je ne peux non plus aller à la mine, puisque j'encourage le duché voisin (la mine appartenant au Languedoc).

Je me dois donc de rester en taverne et picoler, puisqu'il n'y a presque pas d'offres d'emploi à la mairie.

Que me proposez vous maintenant?

Funshine, lieutenant, tribun, tisserande d'Arles
Citation:
Bonjour Messire,

J'ai bien reçu et bien lu votre courrier.

J'ai noté une petite chose qui me chiffonne : "Reprenez vos travaux habituels"... j'aimerais bien mais voyez-vous mes travaux habituels étaient d'aller étudier ou enseigner, or je ne peux plus le faire depuis que vous avez eu l'idée de nous "libérer".

Que faire dans ce cas ? Je précise qu'étant gravement blessée, je ne puis voyager en ce moment et ne peux donc pas aller étudier ailleurs.

Avez-vous une solution à ce problème ?

Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire, comme j'ai pris le temps de vous lire.


Sucette au Nutella
Arlésienne
Citation:
Salutations Dame,

Je vous remercie d'avoir pris le temps de m'informer de vos soucis. Malheureusement pour vous je n'ai qu'une solution à vous préconiser : la patiente...

Le statut de la ville, ne vous permet pas d'aller étudier, cependant, vous pouvez vous consacrer à la fourniture du pain à vos concitoyens à un prix convenable, ou mettre vos carcasses de vaches en vente à un prix convenable aussi.

La situation reviendra à sa normale, dès qu'une armée loyale à l'Empire, cinglée de l'oriflamme provençale non félon, viendra vous rattacher de nouveau au Comté.

Bien à vous,
Nkhan


Les maires se succèdent, les chefs d’armées devant chaque fois abandonner la mairie afin de mener les combats. Mais cela ne décourage pas les arlésiens qui continuent à leur tenir tête.


Spoiler:
 
Citation:
Expéditeur : Ninoupitch de Miolans
Date d'envoi : 2010-02-20 13:08:37
mon salut gente dame.

Arles a besoin de tout.

merci de nous rendre le mandat N° 588 230, en votre possession.

salutations.

ninoupitch

maire d'arles.
Citation:
Bonjour,

Alors je dois d'abord vous dire que je n'ai aucun mandat municipal en ma possession ensuite, si j'en avais un, je ne vous le remettrai pas d'autant que je suis aixoise, donc provençal et absolument pas dépendante d'une ville franche et encore moins prête à collaborer avec l'Empire.

Vous êtes sûr de savoir gérer une mairie ???

Je vous souhaite une bonne journée

Vive la Provence libre et le Marquisat !

Cordialement

Miladyw
Citation:
Expéditeur : Ninoupitch de Miolans
Date d'envoi : 2010-02-20 13:11:32
bonjour

Arles a besoin de tout.
j'espère ne pas avoir a lever l'impot.
il ne reste rien dans les caisses ! ( 289 écus)

merci de reverser votre mandat N° 588232.

mon salut gente dame.

ninoupitch
maire provisoire d'arles
Misslafan29 a écrit:
Citation:
Bonjour,

D'après mes sources personnels, vous avez pris la mairie par révolte et encore, vous n'êtes pas un maire provençal ni arlésien.

et puis Arles est une ville franche. C'est vous qui l'avez provoqué et voilà pourquoi la mairie d'Arles n'a plus de sous.

Alors, désolée, vous n'aurez pas mes sous.Je ne payerai pas les impôts si le maire est français.Je ne collabore pas avec l'Empire qui s'est emparé de ma belle ville sans que vous nous demandez notre avis.

Je vous souhaite une bonne journée

Vive la Provence libre! Vive Arles libre!

Cordialement

Misslafan
Citation:














Citation:
Expéditeur : Ninoupitch de Miolans
Date d'envoi : 2010-02-20 22:55:01
gente dame

j'ai bien reçu votre gentille lettre.

Je pensais bien faire en redemandant quelques mandats car vos freres et soeurs n'ont plus rien a manger et la taverne municipale n'a plus rien.

j'ai trouvé la ville avec 289 ecus et strictement rien d'autre !

Vos chers amis arlésiens spéculent en vendant du pain a 7,50 ecus la miche à leurs propres freres!

moi, j'ai tout ce qu'il faut, ce n'est donc pas moi que vous allez faire souffrir mes vos propres amis.

Arles "libre" dans le MAO, dans le SRING, dans le royaume de papouasie ou l'empire de chine cela ne change rien.

merci pour vos amis arlésiens en train de mourir de faim.

je vous salue egalement belle dame bonne continuation.

Ninoupitch

PS :
je ne suis pas français mais savoyard, membre du sring comme la provence que j'ai connu alors que vous n'etiez point née.
Citation:
Bonjour,

J'ai bien et bel reçu votre lettre.

pourtant, j'ai des amis arlésiens qui me semblent en plein forme et ne sont pas morts...Donc je ne vois pas l'intérêt de payer.

C'est votre rôle de réguler le marché , sans ou avec les sous...Vu que Être maire régule le marché...en faisant baisser ou augmenter le prix.

Ah oui, j'ai oublié de préciser. je n'ai pas de frères et sœurs.

Etre savoyard ou français, ca ne vous empêche pas de reprendre la mairie sans notre accord.

Donc, je vous remercie quand même votre courtoisie.

Cordialement,

Misslafan
Guyhom a écrit:

Expéditeur : Ninoupitch de Miolans
Date d'envoi : 2010-02-20 23:42:39
mon re bonjour

oui, concernant les lettres, ce sont deux arlésiens qui me proposent de collaborer dans leur interet economique ! l'humain est faible.

Je pensais aussi chasser les spéculateurs qui vendent le pain à 7,50 mais la ville - ville franche- a ceci de particulier qu'elle est coupée des institutions. Donc je ne pourrais pas mettre en proces les spéculateurs.

oui j'espère qu'entre vous vous arrivez a vous arranger, ne laissant apparent que ces prix chers pour les "envahisseurs"

effectivement les armées laissent des traces sur leur passage.......

oui bien evidemment, si nous decidions de rentrer je vous ferai signe et bien sur aucun garde ne sera mis.

je me renseigne peu à peu sur les Français car, effectivement, l'attaque de la FC perturbe les données.

mon bonsoir.

Ninoupitch.
Misslafan a écrit:
Expéditeur : Ninoupitch de Miolans
Date d'envoi : 2010-02-21 09:48:37
mon bonjour gente dame

effectivement, les tavernes ont l'air de fonctionner et les arlesiens semblent se debrouiller entre eux, ne laissant que des prix chers pour les "envahisseurs".

je ne peux que vous feliciter d'etre ainsi solidaires.
Tous, surtout les jeunes, ne savent pas encore trop bien se debrouiller, ils apprendront.

quand je disais frere et soeur ils s'agissait de vos concitoyens.

je ne suis point français et ne suis venu qu' a la demande de quelques provençaux que nous connaissons et de quelques nobles anti MAO. il semble que la vie du MAO convienne uax 3/4 de la population puisque cette population, jeune, est née sous ce régime. Les deux avis sont donc légitimes les anciens sohaitent reintégrer le sring, les jeunes s'en fichent et veulent rester MAO.

Ce n'est qu'en etant dans le bain qu'on sent mieux quelle est la température de l'eau......

mon salut.
Ninoupitch


Dans la nuit du 16 au 17 mars, Gmat de Cianfarano, arrivé en Arles pour aider et se constituer une armée, en période électorale, prend la mairie par révolte

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Gmat a écrit:
Monsieur le Maire
Villageois !

Je me présente à vous...
Gmat de Cianfarano ! Grand Mylord venant de toutes nos terres...

J'ai traversé les terres Royales pour répondre à l'appel de votre Comtesse et de votre Marquise...

Aujourd'hui, la résistance est en place, et la mairie sous ma prote
Prunille
Le soutien de l’Eglise Aristotélicienne

Monseigneur Ludovi de Sabran a rapidement pris contact avec Rome.


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Citation:

Au Très Saint Père Eugène V,
Au Sacré-Collège des Cardinaux Romains,
Aux membres des Assemblées Episcopales de France et du Saint Empire,
A Sa Majesté Lévan, Roy de France,
Aux dirigeants des Armées Françoyses foulant le sol Provençal,
Au peuple Françoys sur le Sol Provençal,
Aux Provençaux,
Enfin à l’Universalité des Fidèles,


Nous constatons avec stupeur que depuis quelques jours les terres du Comté de Provence ont reçue la visite d’armées du Royaume de France, sans que celle-ci n’aient eu la prévenance d’annoncer leur arrivée et d’en exposer les raisons.

Les autorités Temporelles Provençales se sont donc préparés à se défendre, tout en déplorant cette attaque gratuite et sans fondements aucuns. En effet celles-ci sont en bon termes avec le Royaume de France, dans un souci de Foy, elles ont même envoyé des hommes combattre en Béarn les hérétiques Lions de Juda. Et pour tout remerciement, voilà que des armées se présente aux portes de la Capitale ?

L’on aurait pu croire à un quiproquo, une erreur de direction, une indélicatesse du Royaume, mais non, ce matin le Connétable de France, exige de la Provence une reddition. Une question se pose alors, de quel droit ? D’où cet Anthémios de Deliancourt tire t’il un quelconque droit d’imposer sa volonté à la Provence ? D’où tire-t-il le droit de menacer de mort d’honnêtes Provençaux Aristotéliciens qui eux n’ont jamais fait couler le sang que sur appel de la Très Sainte Eglise, et qui malgré les menaces qui pèsent sur eux ont maintenu leur force en Béarn pour lutter aux cotés d’un coté Français ? De quel droit s’est il inspiré pour attaquer de simples passants ces deux dernières nuits qui n’avaient que pour seul crime de s’être trouvés au mauvais endroit au mauvais moment ?

Nous avons en ce jour peur pour les Armées Françoyses et leurs dirigeants, peur que dans le cœur de certains l’on puisse entendre la complainte de la Bête Sans Nom prônant une domination du Fort sur le Faible, complainte mêlée à cette chansonnette terrible de Satan qui se terminait par Laisse-moi te détruire pour m’en enrichir, pour devenir mien.

Que ces âmes égarées n’oublient pas les paroles de Saint Origène : L'Humanité, par le libre arbitre que Dieu lui a donné, a son avenir entre ses mains. Il revient à chaque homme de savoir résister à la créature sans nom pour éviter que celle-ci ne l'entraine vers sa destruction finale.

Nous demandons au Soldats au pied des remparts d’Aix de méditer ces paroles, aux dirigeants Françoys de recadrer leurs plans sur le chemin de la Vraie Foy.
Nous demandons à la Provence de continuer sa conduite admirable, celle de se défendre sur son sol et de ne pas attaquer quand bien même elle serait en droit de le faire, et de défendre la Foy en Béarn.

Enfin c’est en vertu de ceci :

Lorsque Dieu comprit qu'on ne pouvait pas seulement laisser aux Hommes la liberté absolue de choisir entre le bien et mal. Car la liberté absolue n'était que la liberté de la Créature Sans Nom et des Princes-Démons. Il fallait les guider sur le chemin de la raison et de la rédemption quand ils chutaient : la liberté devait être encadrée afin d'être toute puissante pour faire le bien, mais liée pour faire le mal, de sorte que l'on peut affirmer que l'Homme a bien été créé libre par Dieu, mais que, dans son infinie sagesse, Dieu a voulu empêcher que l'Homme puisse répandre le mal impunément.
C'est pour cela qu'il fonda une Église qui fut chargée de définir les Lois et la morale découlant des préceptes de ses enseignements afin que la liberté des hommes soit encadrée et non plus anarchique, que l'Homme puisse non seulement distinguer le bien du mal, mais puisse aussi distinguer les chemins qui mènent à la vertu.


Que je demande une intervention de la curie, ou des Assemblées Episcopales de France et du Saint Empire en faveur de la paix.

Que la Paix triomphe !

Ludovi de Sabran, dict Richelieu1,
Archevêque Métropolitain d’Aix en Provence


Faict à Aix, le XVII Novembre de l'an de grâce MCDLVIII de notre Seigneur




De plus, outre ses fonctions au sein du conseil comtal, soutenu constamment au cours du conflit ses brebis provençales afin que le loup ne les dévore pas, les rappelant à la foi quand elles doutaient devant la violence des attaques, les encourageant au point que son attitude a même été interprétée comme une prise de position guerrière. C'était un appel aux armes !!! Ne changeons pas l'histoire !

Son Éminence Ecaterina de Sevillano, au cours du conflit, a inlassablement défendu notre position à Rome et a réussi en déployant des trésors de persuasion à obtenir la tenue d'une réunion entre les autorités françaises, impériales, provençales et marquisales, réunion que le départ des troupes françaises a fait avorter malheureusement.

Son Éminence Tibère de Plantagenêt. Depuis près d'un an, il a œuvré inlassablement pour la reconnaissance de nos institutions malgré de fortes oppositions et garanti la volonté du Marquisat de s'ancrer dans la religion aristotélicienne et le respect de Rome. Dès le début du conflit, il a poursuivi cette action en condamnant l'invasion dont nous avons fait l'objet de la part d'armées qui au départ partaient lutter contre des hérétiques


Spoiler:
 
Citation:



    A l'Universalité des fidèles,

    Aux autorités parisiennes,


    Logion 1 : " Il n’est de noblesse que d’âme, et c’est dans votre cœur qu’il vous faut être noble. Mais sachez que même ainsi, vous serez vulnérable, car la noblesse est souvent blessée par la bassesse. "


    Nous avons pris la décision de prendre notre plume afin de faire part de notre incrédulité et de notre profond mécontentement face aux prises de positions et actions entreprises par les autorités françoyses depuis plusieurs jours.

    Tout d'abord, nous avons pris acte de la déclaration fort agressive et d'autant plus déplorable du Grand Maître de France à l'encontre de l'Eglise de Dieu, faite aux armées croisées et qui nous fut scrupuleusement rapportée, accusant la Sainte Eglise d'être l'ennemie des fidèles. Nous prenons également acte avec regret, mais non sans inquiétude, du choix du Grand Maître de France de ne plus reconnaitre en l'Eglise la bergère qu'elle est et demeurera toujours. Nous ignorons si le Grand Maître de France a conscience que ses propos font d'elle une apostat.

    De plus, le Grand Maître de France a cru bon de rompre le statut de croisés accordé par la Curie aux soldats français alors que la croisade contre le Lion est pourtant loin d'être achevée, se rendant par cela coupable de trahison envers Dieu.

    Cela nous pousse a souligner l'action ininterrompue des Saintes Armées en Béarn, a qui nous rendons un hommage appuyé, depuis le premier jour de son attaque par l'engeance, prouvant la continuité de la croisade déclarée par la Sainte Curie.

    Les évènements successifs n'ont pu qu'accentuer notre profonde stupeur, alors qu'aussitôt après avoir opportunément rompu le statut de croisés, les armées déployées qui étaient encore croisées quelques heures plus tôt ont été dirigées contre le Comté de Provence afin d'y mener une offensive, Comté pourtant partie prenante de la croisade contre le Lion et dont les troupes engagées en Béarn bénéficient du statut de croisés, et alors même que la Sainte Eglise avait appellée à l'union sacrée des fidèles contre l'engeance. Sans prendre position sur les motifs politiques de cette offensive sur lesquels il ne nous appartient pas de nous prononcer, nous ne pouvons que constater que cette attaque contre un Comté participant à la croisade n'a pour unique résultat que d'affaiblir cette dernière et de rendre les agresseurs complices des hérétiques du Lion.

    Par conséquent, nous commandons aux personnes responsables de ces actions de retrouver rapidement la raison et de mettre fin à ces exactions dictées par l'Innomable. En ces temps troublées, nous ne saurions accepter que quoi que ce soit puisse aller à l'encontre de la sainte croisade. Ce conflit doit s'achever et les forces en présences doivent se concentrer de concert, sous le manteau de la Croix aristotélicienne, sur la lutte contre la seule hérésie.



Pour le Sacré Collège des Cardinaux,
Son Eminence Tibère de Plantagenêt, dict Rehael.



Son Éminence Ecaterina de Sevillano Réaumont, Cardinal-Primat du Saint-Empire



Les appels aux discussions

La Comtesse LedZeppelin et la Marquise Hersende de Brotel ont tenté d’ouvrir le dialogue à maintes reprises afin d’éviter les conflits et de le régler dans le calme.

Spoiler:
 
Ledzeppelin a écrit:
A sa très Aristotélicienne Majesté Levan III de Normandie, Roy de France.
De: LedZeppelin, Vième Comtesse Illustre de Provence Libre.

En ce jour du 14 janvier 1458, par la présente, j'affirme ma condamnation sans appel de l'invasion des armées de votre pays en Provence, ceci sans aucune déclaration de guerre.

Cet état de fait intolérable est d'autant plus condamnable qu'une partie de nos soldats se battent à l'appel de l'Eglise et de la France sur vos terres de Béarn ou sévit le Lion de Juda.
Profiter d'une telle situation relève de l'infâmie!

La Provence, terre Aristotélicienne et pacifique, fera connaître cet état de fait le plus largement possible, et en appellera également à la Sainte Eglise pour ramener la Paix.

La Provence, terre Fière et Indépendante, plierait peut-être, saignerait sûrement, mais ne sera jamais Terre Française, pas plus qu'elle n'est aujourd'hui Terre Impériale.

En conséquence, j'attends que Sa Majesté fasse sur l'heure cesser toute manoeuvre d'invasion, et appelle ses Troupes à revenir sans délai en vostre pays.

Mes respects!

LedZeppelin
Vième Comtesse de Provence Libre
Comtesse de Saint-Rémy de Provence
Dame de Mondragon

Citation:
Nous, Debenja von Riddermark, Franc Comte, Comte de Villers-Buzon, Vicomte de Marnay,

Avons pris connaissance de la violation de frontière de la Provence par les armées françaises et de l'ultimatum du Connétable de France à la Provence.

Attendu que nous n'avons jamais reconnu l'indépendance de la Provence,
Attendu que nous considérons toujours la Provence en terre d'Empire,
Attendu le traité de non agression signé entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ,

Nous, Debenja von Riddermark, Franc Comte, déclarons au nom du Parlement :
- que la sécession de la Provence est une affaire interne à l'Empire,
- que nous exigeons le retrait immédiat des troupes françaises du sol de Provence,
- que nous appelons nos amis et alliés à réagir aussi fermement à cette violation de frontière impériale,

Il en suffit de l'ingérence des armées françaises dans les affaires impériales. A-t-on vu les troupes impériales venir en Bretagne pour faire la guerre à la place des troupes françaises ? Notre ligne de conduite vis-à-vis de la Provence ne regarde que nous, certainement pas le Royaume de France et encore moins les troupes au service du Connétable de France. Le seul maitre des terres de Provence est et restera Sa Majesté l'Empereur, sa volonté fut, est et sera que la Provence est et restera impériale. Ainsi, aucune troupe française n'est la bienvenue en terre impériale.


Que le Connétable de France s'affaire plutôt à s'occuper des guerres intestines qui rongent ses terres plutôt que de violer les terres du Royaume voisin par deux fois.

De plus, il nous a été rapporté les insultes et autres calomnies affirmant notre volonté d'agresser notre amie de toujours, la Bourgogne, avec qui nos rapports ont toujours été et resteront les meilleurs, que cela lui déplaise ou non ! Nous demandons aussi que les calomnies assurant notre aide au Lion de Juda, moult fois combattu par les Franc-Comtois, sans l'aide de la France d'ailleurs, soient lavées par des démentis publics ! La guerre semble être la seule nourriture de cette personne, nous rappelant des créatures bien plus redoutables.



Fait à Dole le 17 janvier 1458
Au nom du Parlement,
Debenja von Riddermark
Franc Comte

Citation:
Au Royaume de France et au Saint Empire Romain Germanique.


Moi, Savié Audisio, dicte Ref1, Seigneur de Lorgues, Vice-Chancelier de Provence, dûment mandaté par sa Grandeur Delaïdo de Villaréal, dicte LedZeppelin, VIIIe Comtesse Illustre de Provence Libre, invite les officiels du Royaume de France et du Saint Empire Romain Germanique à me rejoindre pour entamer une discussion sur l'avenir du conflit en cours.

La présence à cette discussion n'engage en rien l'une des parties quant au dénouement possible de cette réunion. Un lieu de discussion neutre sera choisi entre nous par la suite.

Le but de cette démarche sera de renouer un dialogue entre les officiels des trois parties engagées, que nous espérons constructif, permettant ainsi à terme d'épargner de nombreuses vies et de sortir de cette spirale de violence qu'est la guerre.

Pour notre avenir.

Fait à Aix-en-Provence, le 15e jour du mois de Mars 1458



SE Ecaterina et Mgr Aurelien Primat de France avaient également organisé une rencontre entre la Provence, le MAO, Armoria et un représentant du SRING mais ils ne sont jamais venus.

Aucune discussion n'a donc pu voir le jour.


Le soutien des autres duchés / comtés

Spoiler:
 
Citation:
Nous, Ventrachoux, Comte du Poitou faisons savoir et connaitre les choses suivantes,

Nous avons appris que des ressortissants Poitevins se trouvaient actuellement en Provence portant les armes contre les représentants élus de cette province amie.

Non seulement nous tenons à affirmer ici que ces ressortissants agissent en leur nom et intérêt propres et non pas sur instruction de leur Comté.
Condamnant, avec la plus extrême rigueur, ces interventions nous avons demandé à ces ressortissants de bien réfléchir aux conséquences auxquelles ils s’exposent en empruntant cette voie.

Le Poitou est un Comté de parole et ne saurait tolérer que celle-ci soit bafouée par quelques uns pour quelque motif que cela soit.

Qu’on se le dise, qu’on le lise et qu’on se le fasse lire
A cette fin, apposons notre scel

Fait à Poitiers ce jour d’hui douzième de février de l’an mil quatre cent cinquante huit
Ventreachoux Comte du Poitou.

Citation:
A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire, salutations et respects.

Nous, Fabien de la Fléchère Marigny, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes, Seigneur de Challiers, Seigneur de Fayet-le-château, prenons ce jour la plume en notre nom et en celui de notre Conseil, réuni en le castel de Clermont en Bourbonnais.


Déclarons par la présente que le Bourbonnais-Auvergne condamne fermement l'invasion sans raison des terres de Provence et de Gênes, et appelle les belligérants à revenir promptement à la raison, afin de cesser ce bain de sang qui n'aurait jamais du voir le jour.

Qu'en notre vision des choses, nul ne saura se substituer au Roy de France pour appeler les Provinces vassales à s'engager dans un conflit. Considérons que Sa Majesté Levan le troisième est en âge de prononcer de lui-même, et s'il le souhaite, la levée du ban, et en déduisons que le Roy de France conserve des raisons valables de ne pas le faire.

Rappelons également que nulle troupe sous les couleurs du Bourbonnais-Auvergne n'a foulé du pied les terres de Provence et de Gênes. Qu'en conséquence, les Bourbonnais-Auvergnats ayant choisi de prendre les armes l'ont fait de leur propre chef, et qu'ils en assumeront seuls les conséquences.


Pour le Bourbonnais-Auvergne, et pour son Peuple,

Rédigé et scellé en le castel de Clermont en Bourbonnais, le 4 de avril, l'an milCCCCLVIII


Citation:
Au roy de France
A ses serviteurs
Au peuple de France

La France se complaira-t-elle encore longtemps dans le déshonneur et le refus de toute diplomatie ? Cela commence à bien faire. Depuis sa création la table de concertation n'a jamais servi, depuis le mois de décembre la Bretagne sollicite la reprise du dialogue avec la France, depuis plusieurs semaines déjà vous nous avez promis que celui-ci serait renoué au plus vite. Mais rien. La France dépêche ses représentants à la Cour paritaire, mais à la table des discussions le néant. Devons-nous comprendre que la France ne souhaite pas parler ?

Nous en prendrons acte si dans les jours qui suivent rien ne change. En arrivant au Mont Saint Michel, la Bretagne a déclaré vouloir évoquer un grand nombre de violations du traité de paix commises par la France. Nous avons eu la bonté d'attendre plusieurs mois, nous avons fait preuve d'une excessive cordialité en acceptant, après tout ce temps, d'essayer de résoudre ces problèmes par le dialogue, afin d'éviter à la France d'être jugée par la Cour paritaire. Nos mains tendues pour discuter étant continuellement ignorées, nous ne manquerons pas de confronter, de gré ou de force, la France face à ses responsabilités.

De surcroît, alors que la France dédaigne ses engagements diplomatiques, pendant qu'elle saigne outrageusement le malheureux peuple de Provence dans une guerre criminelle et parfaitement illégitime, les provocations se multiplient à l'encontre de la Bretagne. La dernière en date provient du domaine royal lui même, où les autorités du Maine accusent, à demi-mots, la Bretagne de préparer une guerre contre la France. Dans le même temps, des propos odieux à nos oreilles provenant des plus hauts dignitaires de votre royaume tendent à confirmer qu'une frange non marginale de vos dirigeants souhaite nous déclarer la guerre.

Ces récents évènements, cumulés à une liste interminable de provocations, font que la patience bretonne vient d'atteindre ses derniers retranchements. Nous doutons très sérieusement de la volonté de la France à vouloir maintenir cette paix qui nous unit. Si par folie, vous veniez à confirmer ces craintes, soyez sûrs et certains que la Bretagne, comme toujours, saura opposer aux appétits français une rage et un courroux sans précédent. Notre pays en a plus qu'assez de devoir vivre avec les rêves de conquête et le goût du sang de vos élites pour épée de Damoclès perpétuelle.

Nous vous donnons jusqu'au 3 mai, qui marquera le sixième mois d'attente, pour répondre favorablement à cette toute dernière relance pour un dialogue normal entre la France et la Bretagne. Si d'ici là rien n'est fait, nous saurons que la France ignore totalement le concept de diplomatie et nous aviserons en conséquence.

d'ar Mec'hrer 28 a viz Ebrel 1458

Sa Majesté Myrlin, dicte le Dagsit.
Grand Duc de Bretagne.

Jakamer a écrit:
Aux Instances dirigeantes du Royaume de France,
Aux vassaux de la couronne,
Au Marquisat des Alpes Occidentales,
A son altesse Armoria de Mortain, Grand Maître de France,
Aux peuples du Limousin et de la marche et à celui de Provence,


Messires et Dames,

Pourquoi est ce sans surprise que lorsqu’on nous annonce des vérités, nous ne découvrons qu’un Fatras de Mensonges.

Son altesse nous accuse d’avoir causé des morts innocents dont nous devrions avoir honte. Il est donc important de lui rappeler quelques vérités élémentaires.

Je suis pour la 3ème fois élus en tant que comté, et cela avec un soutien massif de la population. En m’insultant donc vous insultez le peuple du Limousin. Ce peuple qui à donné à la couronne de France 4 de ses pairs, nombres de Grands officiers, qui à versés son sang en plusieurs occasions pour le Roy, et qu’il a soutenu des l’époque de la fronde. C’est la mémoire d’un peuple que vous souillez par vos propos acerbes.

Selon vous, je serais responsable de la mort d’innocent. Ma version est tout autre. Le limousin est un peuple qui prône la paix et le respect d’autrui, et pour qui les frontières s’effacent devant une foi commune, et pour qui le sens de l’amitié aristotélicienne n’est pas un vain mot.

Le limousin n’a jamais combattu pour d’autres raisons que pour aider le Roy et ses alliés et le seul sang qui coula sur nos terres, fut celui de notre peuple que vous poussâtes à une guerre civile.

Mais revenons aux faits qui nous sont reproché. Nous avions reçus une demande à l’époque de son Eminence Ingeburge nous demandant d’accréditer l’armée de Mementori Mori pour une mission « spéciale », dont nous ne savions rien. Nous ne pouvions riens refuser à une représentante de la Curie, et nous avons accepté. Nous ne connaissions rien des intentions alors ni de la guerre à venir.

Je rappelle que quelques soit les raisons invoqués pour cette guerre, il n’y a jamais eu ni de lever de Ban dans le royaume de France, ni de démonstration corroborant la volonté de l’empire de réintégrer le marquisat, ni même de trace de brigand pillant nos régions, les rares provençaux que nous avons pu croiser se sont toujours montré affable et courtois, mais des brigands, oui nous en avons vu, pillant le Domaine royales dont vous avez la charge ou les feudataires ayant choisis de partir se battre, laissant leurs propres sols à disposition de brigand qui n’ont rien de breton ou de provincial ou d’ailleurs mais bien Fransoy.

Nous avons fait preuve, par amour de la couronne, et de l’église, d’une patience exemplaire, malgré les mensonges à notre encontre qui se sont succédé. Puis lorsque nous n’avons plus supporté que des gens sous notre bannière, mais nullement sous notre commandement, pille à massacre un peuple, qu’importe à nos yeux les raisons, nous avons retiré l’agrément.

Vous nous dites, que cela fut la veille d’une bataille, mais je suppose que chaque jours en temps de guerre est la veille d’une bataille, et à ma connaissance, nul personne de notre Etats majors ou de mes conseillers n’avaient connaissance de vos plans de bataille, comment aurions nous pu de ce fait le retirer à dessein, vous me prêtez des dons de voyance que je ne possède certes pas.

Ce que je vois parfaitement bien par contre c’est que bien qu’ayant selon vous l’appuie de citée italienne, de l’empire, de la France, des Ordres royaux , de l’église et tant d’autres choses, vous avez été défait, et je doute qu’une simple province et encore moins un retrait d’agrément en soit la cause, je pense qu’en à moi que ce n’est que l’expression de la volonté divine qui montre ainsi comme il l’a déjà montré quand vous vous battiez en Bretagne, en Artois, en Savoie, qu’il est de votre rôle de protéger le peuple de France et non de détruire ceux qui prie le même Dieu.

Nous ne connaissons rien dans l’aristotélisme qui prône cette loi du Talion que vous voulez répandre en Provence, nous ne connaissons en réponse à la Haine que l’amour, car la Haine n’est engendré que par l’ignorance, et le sans nom, et qu’on ne lutte pas contre la guerre en la faisant.

Pendant que vous répandiez la violence, sachez que nous fournissions au DR, dans le Maine pillé, et Alençon et ailleurs des biens de première nécessités à un peuple de France délaissé par votre quête d’exploits militaire, et votre avidité à distribuer la terre d’autrui à vos proches.

En vérité non, je n’ai pas honte quand je me regarde dans une glace, mais de vous voir, cela oui me fait honte, honte parfois d’être Fransoy, et seul l’amour du Roy me fais oublier cela.

Aujourd’hui nombre de Limousin œuvre encore avec ardeur au service du Roy, moi-même mais vous l’ignorez sans doute, je travaille pour le service d’un de vos grands officiers, et j’œuvre pour la grandeur du royaume que vos guerres ne cessent de ruiner.

Je n’ai qu’un message à faire passer à la Provence.. Au-delà de vos différences, vous êtes un peuple, une chair, ne laissez pas la cupidité vous déchirer, apprenez à voir ce qui vous unis et défendez le chèrement, ne laisser pas les politiques diriger votre destin au gré de leurs ambitieux, mais laissez vous guider que par ce qui vous parait juste, et rappelez vus la plus grande leçon de cette guerre. On peut mentir aux hommes, mais on ne ment pas à Dieu, et en final, sa volonté s’exerce toujours.


Que Dieu vous garde, et qu’il nous garde aussi.


Citation:
A son Altesse Armoria de Mortain, Grand Maistre de France
Aux Grands Feudataires du Royaume de France
Au peuple du Rouergue


Nous, Celia, Comtesse du Rouergue, tenons ce jour à porter explication sur les faits s'étant produit il y a environ une semaine concernant les troupes françaises de Provence et répondre à la déclaration commune d'Armoria de Mortain, Grand Maître de France et d'Anthémios de Deliancourt, Connestable de France, dont nous avons eu connaissance ces jours derniers.


Il y a quelques semaines de cela, motivé par le dévouement du Rouergue envers la cause de notre Roy, le précédent Conseil Comtal du Rouergue avait accepté de faire bénéficier de notre haut prestige de l'époque en accordant un agrément militaire à Messire Didiers de Sars et Messire Flex, et avions fourni à ce dernier des vivres en dépit de nos faibles moyens.

Cependant, alors que le nouveau Conseil Comtal du Rouergue se mettait tout juste en place la semaine passée, des informations sont parvenues à notre capitaine selon lesquelles des attaques seraient imminentes contre des villes provençales alors même que le retrait des forces françaises en Provence était déjà évoqué. Aussi le doute est apparu de savoir quelles causes servaient ces actions, si elles étaient toujours menées dans le cadre de l'intervention française en Provence, dont les contours ne cessaient d'ailleurs de devenir de plus en plus flous tant la situation stagnait et surtout vu le trop peu d'informations, malgré tout souvent contradictoires, qui filtraient. Le retrait de l'agrément du Capitaine Namay par le Comté du Limousin ne faisant que rajouter à la confusion.

Si nous n'aurions jamais dévié de notre devoir envers notre suzerain et cessé de soutenir sa représentante en Provence en la personne d'Armoria de Mortain, il n'était en aucun cas question de cautionner des actes devenus simples pillages si menés par des résidus n'agissant pas ou plus au nom du Roy.

Aussi dans le doute, et disons-le la précipitation, une décision a été prise concernant nos agréments, agréments de surcroît diminués dans leur qualité par le repli de notre prestige à des valeurs habituelles. Notre capitaine a du donc faire le choix entre retirer ceux-ci, ou prendre le risque de voir bafouer les valeurs d'honneur et de morale dont le Rouergue ne saurait se départir.


Son choix s'est donc porté sur la première option, il est vrai sans nous consulter au préalable, la décision lui semblant urgente à prendre comme nous l'avons expliqué précédemment. La suite des évènements, à commencer par la déclaration de la Grand Maistre de France, lui a donné tort. Néanmoins, nous ne saurions la condamner sur son choix dont les intentions étaient nobles et n'avaient comme fondement que le refus de ternir l'image du Rouergue en participant indirectement à des actes innommables. Des excuses doivent cependant être présentées, qu'il soit assuré que nous nous y associons.

Qu'il soit su aussi que nous regretterions profondément que certains puissent s'être senti lâchés car cela est autant contraire à l'idée de nos engagements envers notre bien aimé suzerain qu' à l'esprit de solidarité qui nous anime envers les provinces françaises dont notre estimé voisin languedocien qui ont mobilisé des troupes sur place.

Nous espérons malgré tout que le ralentissement voire l'arrêt des hostilités qui découle de cet incident puisse trouver comme conséquence imprévue mais heureuse de ne pas être que temporaire, et que les adversaires de ce conflit sauront remplacer les armes par la sagesse qui n'apporterait pas moins de gloire aux belligérants.



Fait à Rodez, le 15 mai 1458

Celia84000
comtesse du Rouergue


ET DS ELLE N'A RIEN FAIT ????

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D'où qu'elle est Prupru ? Avec Domi !
Prunille
Citation:
Le conseil remercie:

- Sa Majesté Hersende pour l'aide apportée afin de n'oublier personne lors de la citation des personnes étrangères au Comté et qui nous ont aidé.
- Mila., pour son document précédemment déposé à la bibliothèque et dont une partie a servi à la rédaction du document officiel.

Les différentes sources utilisées:

- [LIVRE] Guerre de Provence - 1458 par Mila.
- AAP
- Archives du Château d'Avignon, du Conseil Comtal et de la Chancellerie

Très aimable mais quand on prend au mot près des passages d'un livre il n'est pas la source ! Une source on s'en inspire, on ne copie pas !!! Surtout pour en faire quelque chose d'aussi mauvais!

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D'où qu'elle est Prupru ? Avec Domi !
Alex0159
Le soutien des patriotes et de leurs alliés

Il convient de ne pas oublier le travail des patriotes qui ont harcelé les francoys les mettant à genou.


A l'origine de cela il faut bien entendu transmettre aux jeunes génération l'appel du 15ième



Spoiler:
 
Citation:
Nous, Armées sans Général attestons que,

Aux vues des positions prises par la Couronne de France par l'intermédiaire de sa Princesse, Damoiselle Armoria à savoir une invasion du Comté de Provence et du Marquisat des Alpes Occidentales pour mettre à mal sa Marquise et son Indépendance, nous bandits de par là et de par ici, affirmons que nous allons châtier par tout acte que ce soit notre véritable ennemi, à savoir le Roi lui même.
Tous Les Comtés Vassaux qui participerons à cette Guerre aux cotés de leur Princesse se verront donc frapper de l'intérieur afin de créer un climat de peur jusque dans votre maison.
Ce procédé a déjà fait ses preuves. Nous conseillons donc à tous de ne point prendre les routes car nous agirons sans retenue. Que vous soyez Nobliaux ou gueux... La sanction sera identique.
Tout acte de malveillance à l'égard de la Touraine, de la Normandie, de l'Orléannais et de la Bourgogne se verront gratifier à hauteur de l'action menée, à savoir:
2000 écus pour affamer une ville au leader du coup
5000 écus pour une Mairie au leader du coup
10000 écus pour un Château au leader du coup.

Kika15, coordonateur de l'action brigande


Faits d'armes:

- Reims
- Joinville
- Orléans
- Gueret
- Macon
- Ausburg
- Dole
- Clermont
- Alais
- Rouen
- Villefranche
- Rodez

...


Fait sans précédents dans l'histoire des royaumes, l'action patriotique a réussi a fédérer les ennemis de la couronne par son activité diplomatique sans commune mesure avec la pauvre chancellerie marquisale.

Saluons nos alliés

- Artésiens
- Angevins
- Berrichons
- Helvêtes
- Bretons
- Lion de judas
- Hydre

...

Mais aussi tous les individus qui ont rallié notre cause en usant de leur influence. Ils vont du simple membre d'un commisariat local en passant par des membre de diverses prévotés en allant jusqu'aux plus hautes sphère du royaume de France; conseil des feudeutaire et pairie

Cet ensemble hétéroclite est la plus grande force militaire jamais rassemblée

Notons que dans leur lâcheté les conseils successifs n'ont jamais reconnu ces actions pourtant décisives



thrandhuil
Faut ouvrir un nouveau livre, avec les documents non officiels, pour ça.

Y trouveront aussi leur place tout les travaux sous marin de la chancellerie (aller interviewer DS dans le Berry)
Alex0159
Il est tout a fait officiel l'appel de Kika; l'est même passé a l'AAP


Il y a bien les loyalistes et le camp d'en face.
Si on veut être objectif il faut ajouter cela non ?
Mila
Du monde en salle de dépôt, plutôt rare... Mila entre et et aperçoit Alex et la jolie Prunille.

Coucou vous deux, z'allez bien dit-elle en posant l'ouvrage dans lequel elle était plongée.

Oh oh, un nouvel ouvrage, je regarde ça.

Mila se penche et dès les premiers mots commencent à voir rouge... Ce sont SES phrases aux mots près. Elle redresse sa tête vers Prunille.

Quel est ce travail ? UN DOCUMENT OFFICIEL qui n'est qu'une pâle copie d'un autre.... Et vous croyez que je vais cautionner cela ?

Elle ne prête pas attention à ce qui l'entoure. Dans une rage folle elle se saisit d'une plume, arrache les documents des mains du porte paroles, raye les passages qui sont les siens et laisse des commentaires tout en hurlant !

Ah vous le voulez en salle de lecture votre document OFFICIEL, vous l'aurez !

Qui a écrit ce torchon ?

Tiens Prunille ! Rends moi un service...


Mila se saisit d'un parchemin et écrit de nouveau le perçant de sa plume par endroit tant elle est dans une rage folle !

Citation:
Au conseil comtal de Provence,

Votre document est bien en salle de lecture, un torchon pareil se devait d'avoir la place qu'il mérite. Bien entendu, j'ai pris soin de bien mettre en évidence que ceci était le document officiel du conseil comtal de Provence.

Bien à vous

Mila


...tu remettras ça au Conseil

Elle prend tous les documents présents les met en salle de lecture et revient.


Et maintenant tout le monde DEHORS ! JE NE VEUX VOIR PERSONNE!!!

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Prunille
Tel le roc, subit la tempête...

Qui a écrit ça ?
Ladoce il me semble...


Attrape la lettre et file.

Raaaah, les femmes enceintes et leurs hormones...

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D'où qu'elle est Prupru ? Avec Domi !
Mila
Ladooooooooooooooce !!!

Mila voit rouge, balaye de la main des documents posés sur une étagère faisant s'envoler des parchemins et renversant de l'encre sur le sol.

De quel droit se permet-elle de reprendre mes phrases au mot près sans même me concerter cette courge ?

Elle sort une des bouteilles de poire de Sancerre qu'elle a rangé là et en boit un verre cul sec.

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Adrian.
Daemon arriva sur ses entrefaite pour découvrir l'odieux crime.

Euh...salutations tout le monde !

Dites c'est moi, où le texte voté par douze conseillers éclairés a été censuré par la porte parole ou bibliothécaire en ce qui concerne le plagiat perpétré par les douze vilains garnements.

Je sais que je suis en Provence, ça devrait pas me surprendre, mais tout ceci n'aurait pas dû être fait avant de l'afficher aux su et vu de tous ?

Le livre officiel, officiellement discrédité, bon je crois qu'il va falloir trouver des écrivains pour le conseil comtal, l'honneur de la Provence est en jeu !

_________________
Appelez moi Daemon, Adrian, Traître, catin des français, Dédé, ou mieux m'appelez pas !
Mila
Mila regarde Adrian les yeux rouges de rage.

Non mais vous croyez que c'est le moment de venir ici poser une question ? EN DOLÉANCES COMME TOUT LE MONDE. J'interdis les accès à la Bibliothèque jusqu'à ce que je me calme.

Je ne veux voir persooooooooooooonne ici !



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yueel
Même moi? N'écoutons pas le nouvel Saint que nous avons ... Saint Adrian patron des vérités invérifiables, des "c'est pas moi, c'est les autres, moi j'ai changé!" des pleurs à tout va et des victimes de Yueel ...

Bon c'est quoi le souci? Le CC a voulu s'approprier le travail que tu as fait? Cela t'étonne?
Mila
LE SOUCIS C'EST QUE JE SUIS EN COLÈRE !!! DEHOOOOOOOOOOOOOOORS

Je ne veux que moi et mes bouteilles si tout le monde n'est pas dehors dans cinq minutes, je... je...

Bref qu'on me laisse seule avec les livres !


Elle regarde Yueel les larmes aux yeux...

Et reste pas, je ne veux pas respecter le dogme là, je veux juste écouter Léviathan !

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yueel
Rauh ma grande quel est ton souci? Tu sais je suis curé et avocat doublement fait pour t'aider donc au pire tu as même Saint Adrian ...

Nanadoce plagie ton travail? Colle lui une petite plainte ça devrait l'aider.
Mila
DEHOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOORS

Mila part derrière une étagère, attrape une bouteille et boit longuement en ignorant jusqu'à Yueel bien qu'elle ne saurait admirer quelqu'un plus que lui.

Non mais on aura tout vu.... saboter mon travail....... procès... brûler... grognasse....
... pas idée.... mal écrit... courge de Ladoce... marre...


Le temps s'assombrit, elle allume une bougie et regarde un document quelconque perdue dans ses pensées. Les lettres sont floues sous ses yeux.


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