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[RP/IG] La Chevauchée du Val qui Rit

Staron
La veille, comme l'avant-veille, avait été bien curieuse ... Cette fois-ci, le pèlerin était pourtant au rendez-vous, mais, ironie du sort, au milieu de la bataille, il se sentait bien seul. Le bruit des lames entrechoquées lui semblait lointain, comme absorbé par les brumes environnantes. Il essaya de frapper au hasard ... mais rien ne vint arrêter sa lame.
Citation:
16-02-2009 04:22 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bordeaux.

Alors il laissa la bataille se faire sans lui, et s'éclipsa, discrètement, comme à son habitude.
Citation:
16-02-2009 04:58 : Vous avez passé la nuit à l'hôtel (coût : 1,00 écu).

Presque une journée a passé.

Et l'engagement reprend.
Citation:
17-02-2009 04:27 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bordeaux.

Et il se retrouve là, comme seul, face à cet homme qu'il ne connaît pas.
Il pose le regard sur son visage, et le détaille, pour ne jamais l'oublier.
Il sait déjà ce qui va advenir. Comme un pressentiment. Comme une fatalité.
Son bras se lève, l'épée suit, comme la faux prête à abattre les blés.
Quelques instants de répit, quelque seconde interminables, l'inexorable prend possession du pèlerin.

La lame s'abat, l'homme s'effondre.


Citation:
17-02-2009 04:27 : Vous avez frappé Salah_ad_din. Ce coup l'a probablement tué.

Le pèlerin reste hagard devant le corps de l'homme gisant à ses pieds, devant sa première victime, son premier crime, son premier meurtre.

Ne sachant que faire de ce corps immobile qui le renvoie à son forfait, il relève les yeux, serre son épée, et se jette dans les bruit de la bataille ... pour oublier, oui, oublier.

Citation:
17-02-2009 04:28 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Shreki et de _kal_.

Et l'oubli le gagne, ses pensées devient confuses, il se perd.

Il reprendra ses esprits bien des heures plus tard dans un lit aux draps propres, un petit bouquet de fleurs de saison posé au loin sur la table ...

Citation:
17-02-2009 05:06 : Vous avez passé la nuit à l'hôtel (coût : 1,00 écu).

Jamais il n'avait tué, le pèlerin ... jamais.
_________________
Ce qui compte, ce n'est pas la destination, c'est le chemin qui y mène ...
Alanysfolle
Chut...


Les regards se mélangent. L’une rougit. L’autre sourit. Malgré la blessure, malgré tout ce qui les environne. Chut…La danse commence… Les cœurs s’y mettent…Le temps se fige. Alors… Chut…

Il est si…différent. Chut… Chut….
Beau, grand, costaud. Chut… Chut… Comme Liam. Mais différemment. Chut… Chut…
En bien plus sanguinolent déjà.
Et puis plus… Enfin… J’vais pas vous faire un dessin. Les mots sortent. Il vit, il la regarde et lui sourit. Elle qui s’inquiète plus pour lui n’a pas le temps de penser à tout ça. Quoi ? Au fait que ses yeux verts pétillent de fièvres… Qu’il s’approche un peu… Qu’il s’agrippe à elle… Elle tremble de froid sous l’effort. Pourtant malgré l’hiver qui fait rage elle a quelques sueurs froides et sent son corps frissonner. Tomber à la renverse. Croire.
S’arrêter, fixer sa bouche. Chut…Chut… La plus belle qu’elle n’eut jamais vu. Chut… Chut… Elle se voit glisser un index dessus. Chut… Chut… Et se perdre dans ses yeux...


Et pourtant ! Je leur avais dit que j’avais bien mieux à faire ! Ils n’ont pas voulu me croire.
J’aurais apporté du vin. Nous aurions pu parler. Et puis… Et puis…


Chut….
Enfin pas Chut parce qu’un
BOUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!!!!!! débarque et la plaque sur lui. Alors là, elle ne l’a pas fait exprès. Promis. Juré.

Mais ne plus rien dire. Inspirer. Expirer. Le cœur s’affole. Elle sent sur elle ses mains se blottirent. Non mais… Non mais… Nys n’est pas une fille facile ! Enfin…
Un peu de temps tout de même !
Qu’ils apprennent à faire connaissance. Qu’il lui compte fleurette. Qu’elle se fasse aussi belle que Paulette. Elle s’agrippe à lui. On ne sait jamais qu’une autre détonation arrive. Pourtant c’est lui le blessé ! Le sang coule à flot sans qu’elle ne le remarque. Tu parles d’une infirmière ! Pas un cachou qu’elle vaut la Nys ! Mais comment vous dire… Ca fait frissonner ses oreilles… Pleins de fourmis dans les mollets. Ca chatouille et ca gratouille.
Des puces ?

Elle retourne et les voit venir. Trois hommes. Et là elle prend alors conscience qu’elle est presque nue. Instinctivement elle remonte un bras devant sa poitrine, continuant à soutenir Mercoeur qui devrait au moins s’asseoir. Et là tout s’enchaine. On la bouscule pour soigner le Chapeauté. A sa place ! Alors qu’elle risquait de perdre plus que… Enfin…Bref.
La blonde se retrouve entre les deux hommes. Non ils ne lui plaisent pas.
Elle se sent si petite là. Mais relève fièrement le menton. Elle n’allait pas commencer à faire la peureuse. Nys est au-delà de tout ça.
Surtout qu’ils semblent le connaître. Et Mercoeur semble être si gentil… Peut être qu’ils le sont aussi ? Même l’autre là. Avec la pipe au bec. A tous les coups c’est un grand sentimental…

Elle s’approche de celui qui lui pique sa place. Un froncement de sourcil de la blonde qui observe d’un œil critique l’œuvre. Non mais il s’y prend mal ! Cornediable que fait-il ? D’ordinaire elle lui taperait dessus pour qu’il la laisse faire. Mais elle n’est pas rassurée. Allez comprendre pourquoi…


Euh… Enfin monsieur… Vous êtes sûre de ce que vous faîtes ? N’allez pas lui faire mal !

Sinon tu te prends le petit poing de la blonde dans ta tronche de macaque. Non mais !

Mercoeur ? Comment vous sentez vous ?

C’est qu’elle se fait du souci. Elle veut revoir ses lèvres sourire…
Chut… Chut….

_________________
Falco.
L'Enfer c'est les autres

Ils font quoi la?
Je rêve?

Les ultimes bordelais en état de se battre ressemblent à des vieux machins pour effrayer les moineaux naîfs. Au bout du rouleau.
Pourtant sur le flanc de leur charge il découvre un gros recul.

Toute une portion de l'Ost Gascon se retire.
Les étendarts s'agitent pour transmettre des consignes au sens démoralisant.
Ce n'est pas la Guyenne qui aura remporté la bataille.
C'est Gascogne qui aura vaincu ses propres troupes.

Une gueuse lui porte un coup. De poing? De pied? De dents?
Son bouclier n'a même pas mal.

Surplombant la vague de cavaliers Béarnais et gascons démontés il se retrouve presque par hasard enfin en premiére ligne.

La gueuse disparait, engloutie.
Un soldat se dresse, déjà encerclé, défait sans même avoir le temps de le savoir.
Il reçoit assez de coups pour faire une passoire correcte à l'avenir.
Son épée le pousse vers ses camarades acculés.

Mais Bordeaux ne tombera pas.
Il a senti le moral en berne des soldats de l'Ost, appris les ordres hideux.
La derniére trahison de leur Duchesse.
Le coup de grâce qui coupe les jambes, éteint les cris guerriers.

Ce devait être la fin de Bordeaux.
Ce ne sera qu'une sinistre passe d'arme laissant les Bordelais moins nombreux que les doigts d'une main.

Il se laisse dépasser par ses compagnons.
L'avantage d'être à cheval pour deviner le sort d'une bataille se retourne contre lui.
Il sait.
Avant même que les épées tintent encore et encore.



Isadora! Cornelio doit être à l'arriére..
Reculez!
En bon ordre, pied à pied.

Reste à savoir si ses consignes seront entendues dans le vacarme et la rage ambiante.
On lui fourre une missive dans le gantelet.
Sans doute une mauvaise nouvelle..Le sceau est brisé du pouce.
Cette fois , malgrés le ridicule des mots, il ne sourit pas.

Pour qui se prend ce Kazert?
Il se croit en Tournoi à vouloir bataille rangée comme Pas d'armes du Louvres?
Qu'ils aillent au diable.
Le plus important sera de ramener en leurs foyers tous ceux qui en bavent ici.
Un foyer..La il sourit.
Gascogne est t'elle encore leur bonne terre?

Que les flammes ravagent Mont de Marsan!
Mais avant..L'immediat de la guerre.
Tous ceux qu'il voit sont trop precieux, valeureux, pour être perdus sottement.
La Duchesse de Gascogne ne les mérite surement pas.

Sale journée .

_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

Cymoril
Finir en beauté…


A dextre, encore, toujours, ad honores…

Une seule différence notable, la Fourmi a soigné la mise. Passage dans les mains de Lucky, elle est parée…
Cheveux sagement tressés, la houppelande passée, une fourmi presque femme sur le champ de bataille.

La classe, pour une fois.
L’idée, si on doit crever autant que ce soit sapée comme il faut, pas comme les pouilleux d’en face. Qui ne manqueront pas de la remarquer, le rouge attire l’œil parait-il !
Les dernières volontés, énoncées à quelques rares proches.
La Fourmi ne croit pas en Aristote ni en son miracle de la résurrection. Y’a que les trouillards qui en usent et en abusent ad vitam.

Par contre elle avise d’un mauvais œil la greluche qui à grand renfort de cris et d’incruste peu discrète parvient jusqu’à eux, tentative vaine soldée par sa chute sous les coups des défenseurs.

"La prochaine fois, fais là sobre, tu tiendras p’têt plus longtemps en selle, grande gueule !" Rho^^ la Voix, c’est pas gentil ça !
Un sourire néanmoins esquissé pour la fourmi, qui voit une croqueuse d’hommes en puissance s’éloigner du sien.


Reprenant l’assaut,

Bordeaux,

Tombeau…


Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bordeaux.


Les troupes gasconnes se retirent, rage sourde est au cœur depuis l’annonce de la défection de la Duchesse.
Tout se paye un jour. Les comptes seront faits, en temps, en heure.

Pour l’instant tenir, tuer tout ce qui passera à portée, même la gueuse paumée qui passait par là. Tant pis pour elle, victime du manque d’info ? Rien à péter ! Elle est trop près, d’elle, d’eux, de lui…

Ab irato, elle est transpercée. La pointe de l’armée d’hast rougie ressort libérant son flot carmin qui vient s’ajouter aux précédents. La pauvrette sera découpée en tranches fines par l’ensemble de la troupe.


Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez engagé le combat contre Khylann.
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Khylann. Ce coup l'a probablement tué.


Trop facile…

Un autre s’approche encore. Finalement la houppelande rouge, ça marche du tonnerre !


Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Narvath. Ce coup l'a blessé superficiellement.


Hummpfff ! Tout juste effleuré. La hampe vibre dans le vide, il est temps de changer de tactique.
L’épée est sortie du fourreau, c’est encore comme ça que c’est le mieux, leur laisser la chance d’approcher, un peu, être sport…
Etre classe on a dit pour la dernière.


Reculez!
En bon ordre, pied à pied.


Alors c’est comme ça, on recule face à ces rats cloitrés…

Le repli est annoncé, mais le pied à pied à cheval… pas évident.
Volte faite par Bagual, face à un encasqué… Un petit dernier, pourquoi se priver. Faut bien passer sa rage et puis il est là et risquerait de s’en prendre aux siens alors,…
Alors le bras se tend avec célérité, l’épée est plongée dans ce corps anonyme devant elle. De toute façon il n’avait aucune chance, déjà l’épée de la Châtaigne se joint à la sienne.


Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Averos. Ce coup l'a probablement tué.



Les rangs resserrés, rejoindre sa place, avec classe…

Pas une tâche ni un le moindre accroc sur la houppelande. Même pas décoiffée sous le casque.

La Fourmi cherche les siens d’un œil inquiet, Lucky, pomponnée à souhait semble se porter comme un charme, Sac d’Os a miraculeusement échappé à tous les coups portés, le spassadin entier, Eilith pareil… Staron a l’air d’aller lui aussi, elle s’en serait voulu finalement s’il lui était arrivé quelque chose après l’avoir quitté fâchée. Simone… où est Simone ?

Sinon, la journée en soi ne s'annonce pas si mauvaise en dépit du retrait.


Citation:
18-02-2009 04:47 : Vous vous êtes levé du bon pied ! Vous êtes en forme et prêt à surmonter les épreuves de la journée !

_________________
Jeroen
L’écu perdu et l’épée brisée…..

Cela faisant maintenant plusieurs jours déjà que les combats avaient commencé, ils ne les comptaient déjà plus….. 2,3 4 jours déjà que Bordeaux tenait…… Peut importe, rien que de part tenir a face a ses deux armées était assez fort et grand pour redonner courage aux hommes……

Les assauts ce succédaient, les brigands sans foie ni loi tentaient de faire tomber la Capitale qui elle tenait bon, il aurait donné cher pour être qu’une petite sourit dans la tente de Falco pour le voir désœuvré et incrédule voyant ses hommes tous les jours rentré moins nombreux et tous les jours sans avoir pu forcer les portes……

Il n’avait malheureusement pas pu prendre aux combats autant qu’il l’aurait voulu, il avait plus mis en place les défenses, repositionner les hommes, combler les brèches, sur depuis la blessure du Sénéchal Garzimlebo, blessé de la première heure et en charge de cela à l’origine…..

Dès que les combats se rapprochaient, sa garde se plaçait devant lui et faisant en sorte qu’il se retrouvaient un peut en retrait, même si cela ne l’a pas empêcher de distribuer ça et là quelques coups d’épées bien placé et d’embrocher deux trois hommes de ci delà qui pensaient sans doute qu’une fois arrivé sur les remparts depuis leurs grandes échelles, le plus dur était fait, Jeroen leur rappela le contraire……

Rochelle* avaient été blessé la veille justement lors d’un de ses moments, ou, plutôt que de rester serrer à coté de sa belle, a la protéger, en fin d’assaut il avait été aider certain pillard a renter plus vite dans leurs camps en les balancent du haut du rempart, il avait constaté avec stupeur que ça belle fut sérieusement blessé……

Il n’avait pu voir l’agresseur, et ne pu que faire évacuer sa belle à l’arrière ou il avait passer une bonne partie de la journée à la veiller…….

Mais ce soir, les assauts semblaient un peut plus fort et plus tendu que par le passé, les nombreux blessés dans leurs rangs, la fatigues, les défenseurs faisaient bien pale figure, mais comme toujours, ne lâcheraient pas……

Alors qu’il était occupé à combler une brèche sur le flanc gauche des barricades, un groupe de soldats arrivaient, ayant sans doute aperçu la lacune dans leur défenses avant qu’elle ne fut comblé……. 10, 15 ,20 ; combien étaient ils en réalité, il ne le savait point, eux tous juste étaient ils la moitié, a peine eux il pu transmettre l’ordre de se mettre a couvert sur une position sur, que les ennemies fonçaient déjà sur lui et les quelques hommes qui étaient là……

L’affrontement était inévitable, et l’ancien soldat qu’il avait été en Lorraine, en Guyenne et plus récemment en Languedoc, savait qu’il retrouvait ainsi peut a peut son éléments, les épées, les cris, le sang, tout ce qui lui avait si longtemps était familier, et c’est avec grande facilité qu’il esquiva le premier coup, et que sa lame s’enfonça dans le ventre de l’effronté qui tenta de toucher au Duc de Guyenne……

Ses hommes bien sur prirent la relève, et ne le laissèrent pas seul, et c’est a regret qu’ils en voyant tombé un peut plus a chaque instant, mais il ne purent rien faire pour l’empêcher de participer au combat, et de se battre comme le Léopard qui reflétait sur son blason……

Ils tentèrent de maintenir leur positions, mais l’opposition étaient trop forte, et ils seraient bientôt submergé par le nombres, il le savait bien, et c’est a ce moment là que, tentant de trouver une solution, il vit trop tard, une lame s’abattre vers lui, et nu que le temps de pivoter rapidement son bras droit ou se trouvait son écus, gaucher de son état qu’il était, pour sentir un douleur forte et puissante déchirer son épaule droite, qui avait déjà été toucher sérieusement plusieurs années en arrière lors de la défense d’Epinal…..


Citation:
16-02-2009 04:22 : Esthete vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé


La douleur se fit forte, et lui bloquât son bras quasi instantanément…… Il eu juste la présence d’esprit de faire un pas de coté, afin d’éviter le second coup qui lui aurait fatal sans nul doute. L’assaillant, était déjà occupé par d’autres hommes, que le Duc tentait de réveiller son bras, tétaniser de douleurs, et bloqué sous le point de l’écu qu’il portait et qui était plus lourd que le sien. En temps de guerre, il est de coutume pour un Duc de porter les armes de son duché, il le savait bien, et s’il eu le droit de garder sa fidèle épées, l’écu au Léopard lui était imposé…..

Il toujours comme bloqué, quand ne prêtant pas attention, un second coup vint le frapper encore une fois sur son bras malade, et lui arracha encore une cris de douleur plus puissant encore……


Citation:
16-02-2009 04:22 : Avygael vous a donné un coup de baton. Vous avez été sérieusement blessé.


Heureusement pour lui, ce n’était pas une épée ce coup si, mais un baton, une lame l’auraient sans doute rendu manchot. La douleur était toujours présente et il décida qu’il était temps de régir.

Il jeta son bouclier au sol, pour libérer son bras et calmer sa douleur, et se précipita vers les assaillant, qui commençaient a avoir un peut de mal a avancer malgré leur nombres……


Au diable mon écu, tous avec moi, il est temps de leur montrer qui nous sommes et que nous ne lâcheront pas….

Il distribua quelques coup d’épées, son bras droit était quelque peut soulager, et alors qu’un guerrier plus costaud et plus adroit lui fit face, le combat entre s’engagea……

Les coups pleuvaient, les épées s’entrechoquaient, et son bras droit lui tirait de plus en plus. Il avait réussis par une jolie parade à esquiver l’arme de son adversaire, quand il voulu le planté, et en rebaissant son bras gauche armée, il fut abasourdit de voir qu’au lieu de frapper son adversaire, une dame se plaça devant lui et reçu le coup qui ne lui était en rien destiné……


Citation:
16-02-2009 04:22 : Vous avez frappé Isadora.da.vinci. Vous l'avez grièvement blessé


Il resta quelques secondes médusé, n’ayant pas tout compris, sa lame ruisselant de sang, il fut retirer en arrière par ses hommes sans même avoir pu comprendre ce qui lui arrivaient. Il ne savait qu’une chose, qu’au vu de son accoutrement, elle devait être noble, et se battait avec des pillards et un ramassie de bandits, bien loin de l’honneur de son statue…….

Un son de corps au loin rappelait les troupes ennemies, et Bordeaux, une fois de plus était sauvé…… Il vit l’homme qu’il aurait du tuer ce soir là s’échapper avec son écus, bien triste trophées que celui là, mais il savait qu’en face les moindres coups d’éclat ou babiole rapportaient étaient précieuse pour le moral des troupes……


Votre Grasce…….

Oui Jonas dit il en se tournant vers le chef de sa garde……..

Votre épée……

Jeroen regarda sa lame qui lui était si précieuse, qu’il avait forgé lui-même de ses propres main dans sa forge Spinalien, qui l’avait suivis partout et avait était dans bon nombre de combat, était fêlé…… Un long trait la parcourait en son centre, et il savait qu’elle était elle aussi perdue, comme l’écu de Guyenne…….

Citation:
16-02-2009 04:22 : Votre bouclier a été détruit.
16-02-2009 04:22 : Votre arme a été détruite.


Rentrons, il est temps de soigner nos blessure et de penser à demain…….

Il parcourut les quelques centaines de mettre qui les séparaient de l’arrière un peut abasourdit par cette triste soirée, bras blessé, écu perdu, blessure de cette inconnue, épée détruite, une bien triste soirée, une soirée de guerre somme toutes, mais au moins Bordeaux avait tenu bon…..

Il se fit bander son épaule, 5 jours minimum d’indisponibilité pour le Duc, quelle poise ne put il s’empêcher de penser……

Il passa le reste de la journée avec Rochelle, a penser leurs blessures tous les deux, a s’aimer, avant que le soir venu, même s’il n’était plus en première ligne, échange de pigeons, tractations, stratégie, placement des hommes sur les remparts, tel était son quotidiens, jusqu’à ce qu’il puisse reprendre encore une fois les armes………..
Eilith
Fin de l'atelier couture.

Enfin, elle a fini de coudre tous les petits bouts de tissus. La jeune fille se relève, regarde le corps à côté d'elle, et le recouvre d'une couverture. Elle ne peut plus faire grand-chose, à ce niveau-là, et elle ne sert à rien. Puis elle va pas déserter pour l'amener Aristote sait où, quand même.

Allez, elle retourne au front, rejoindre les autres. Et voit un espèce de monstre à moitié mort qui surgit devant elle. L'épée part toute seule.

Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Averos. Vous l'avez légèrement blessé.


Faudrait pas qu'un mort-vivant lui bloque la route, non plus. On aura tout vu, décidément.
Elle le laisse à Cymoril qui l'a rejointe entre-temps. Et qui semble s'être faite la plus belle pour aller tuer.
La Châtaigne avance encore,le temps de voir les autres s'acharner sur un corps.

Un temps. Celui de perdre ses ressentis, celui de voir son bras qui s'abaisse tout seul sur la femme, encore et encore.


Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Khylann. Ce coup l'a probablement tué.
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Khylann. Ce coup l'a probablement tué.
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Khylann. Ce coup l'a probablement tué.
18-02-2009 04:21 : Vous avez engagé le combat contre Khylann.


Un autre temps. Celui de reprendre ses esprits, cette fois. D'avoir un goût amer dans la bouche. Et de courir, en avant, pour pas s'attarder plus longtemps devant son forfait, juste se projeter en avant, se ruer devant le Fossoyeur, et sortir son plus beau sourire, celui pour lequel elle s'est longuement entraînée.


Regardez, j'ai recousu d'autres trucs qui traînaient, à la bannière, et tout !! Même que j'ai utilisé le cadeau de Staron pour le faire, c'est joli, hein ?


Ne rien laisser paraître, et sourire. C'est ce que font les jeunes filles, et c'est ce qu'elle fait d'habitude. On change pas les habitudes comme ça.
Elle lui offre le bout de tissu, qui n'a presque pas souffert de sa course.



La pucelle voit un bout de papier qui tombe des mains de Falco. A croire que choper une bannière et faire son courrier est pas compatible, chez le Sac d'Os. Elle se penche pour le ramasser, et, comme une grande curieuse qu'elle est, commence à le lire.
Elle parcourt rapidement la missive, déchiffrant l'écriture du messire qui a l'air de porter le Sac d'Os dans son cœur, apparemment. La jouvencelle comprend légèrement mieux son quotidien, l'en admire un peu plus, et remarque l'absence du sourire, celui qui fait plus peur que quand il est de mauvaise humeur.

Citation:
18-02-2009 04:47 : A force de lectures, vous améliorez vos capacités intellectuelles (+1 point d'intelligence)


Bah, vous en faites pas, on les recevra comme il faut, hein. Même si on devra les attendre à la maison, et tout.

Bien sûr qu'Eilith a vu les troupes s'éclaircir, et certains repartir sur la route. Bien sûr qu'elle a entendu ce qui se disait sur la Gascogne.
C'est d'ailleurs pour ça qu'elle continue de sourire.
Parce que sinon, il resterait plus grand-monde pour le faire. A ce moment-là, le Seigneur de Cartel est à l'image de sa troupe : juste une personne à remotiver.
Elle parle donc d'un moyen infaillible pour le remettre de bonne humeur.

Bon, et cette bannière, vous allez la porter aux yeux de tous, hein ? Ce sera marrant à voir, la réaction de ceux d'en face, vous pensez pas ?
Esthete
Ca s'en va et ca revient ...

Abeilles besogneuses qui poursuivent leur œuvre, d’assauts en engagements se talonnent les manœuvres,
La cité plie mais ne rompt pas au grand damne des assaillants. La brèche est béante, pourtant … le clash défaillant !

Patience ! Et en aucun cas, question de clémence.

Cohorte qui s’éparpille, se désagrège … qui fuit, se replie ! Gascon en goguette qui, sur ordre, déguerpit.
Damnée soit l’indigente et pusillanime qui mène cette terre, qu’elle aille pourrir au tréfonds des mers.

Bah, là c’est sur, va falloir revoir tout ça … les rangs s’affinent, taille de guêpe et ventre plat !

Coups qui s’font de plus en plus clairsemés, plus grand monde à étriper.

Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Khylann. Ce coup l'a probablement tué.
18-02-2009 04:21 : Vous avez engagé le combat contre Khylann.


Ah si … une pov’ malheureuse qui semble être proie docile. Acharnement, plus y a d’fous, plus c’est facile.
Place est laissée aux dames, galanterie avant tout. Équarrissage en règle, dentelle et frou-frou.
Un p’tit coup et puis s’en va continuer le pugilat.

Enfin …


Reculez!
En bon ordre, pied à pied.


Comment ça reculer ! Mais non, Bordeaux est devant … à moins que « reculer pour mieux sauter » ?
Regagner le troupeau et se fondre en son sein, un dernier regard sur la cité et peut-être à demain.






Isadora.da.vinci
L’égoïsme des raisons qui l’ont menées jusqu’ici ne saurait lui faire ignorer la justesse des propos. Quelques pensées fugitives lui traversent l’esprit… Vanitas Vanitatis… étrange sentiment de déjà vu, déjà dit. Moralité : une de moins !

Souffle court, muscles douloureux, vigilance intacte. Elle s’est placé d’instinct sur le flanc de Ch’val et espère que le sien n’est pas parti brouté trop loin… Sur que sa présence ne lui vaut pas que des sympathies, y compris parmi ceux, celles, qui sont à ses côtés. Pas le temps de se demander pourquoi, de toute façon, elle s’en moque. Bien fol celui qui croirait pouvoir faire l’unanimité.

Soudain la monture piaffe, attirant son regard vers le fossoyeur juché dessus. Elle tente de suivre son regard mais ne parviens qu’à apercevoir des mouvements de troupes désordonnés à l’arrière. Peu lui chaut puisqu’enfin tombe la réponse qu’elle désespérait de recevoir.

Isadora! Cornelio doit être à l'arriére..
Reculez!
En bon ordre, pied à pied.


Elle relâche un souffle qu’elle n’avait même pas conscience d’avoir retenu. Cornelio, stupido ! Basta… tu ne perds rien pour attendre.

Pied à pied donc, elle amorce la descente du talus poisseux, carbonisé, hideux. Plus tard, tout à l’heure, elle posera les questions. Les défenseurs épuisés ont dût mal à cacher leur soulagement et ne semble pas décider à les poursuivre… arf ! Parlé trop vite. La garde prétorienne du timbré de service - au sens héraldique du terme cela va sans dire – ne semble pas l’entendre de cette oreille. Vexé sans doute que l’on est renversé son château de carte il entend visiblement faire choir le sac d’os de son perchoir équin. Lorsqu’on est ainsi pris entre enclume et marteau les alternatives se font rares… Esquiver ? Après tout elle détient maintenant l’information qu’elle était venue chercher… Naaaaan ! Pas son genre. Perce bedaine et casse trogne, ce sont les filles de Gascogne, de gloire leur âme est ivrogne…

Orgueil mal placé ? Choses à prouver ? Envie de jouer ? Prends le marteau de plein fouet… Enclume sauvée.

Elle choix sans aucune grâce au pied de la monture du Fossoyeur espérant contre toute attente que ceux qui ne veulent pas d’elle la ramasseront… peut-être… et qu’elle pourra flanquer à son neveu la fessée qu’il mérite pour l’avoir fichue dans cette galère.
_________________
Luckylolotte
Houppelande et vieilles dentelles.


Promesse conjointe avec la Fourmi de finir en beauté.
Ca pour lui mettre du baume au coeur, ça lui en a mis !
Rien que l'idée de se faire belle pour aller zigouiller, ça la rend joyeuse ...

Cymo s'est fendue de sa belle houppelande rouge !
La classe absolue ...
Elle lui a pas touché les cheveux, elle avait donné parole.
Trop mignonne ce petit bout de bonne femme.

Elle a choisi le blanc ...

Un rien salissant, il est vrai !
Mais ça fait virginal il paraît ... et lui reste à peu près que ça, comme preuve tangible de sa pudeur à la Duchesse.

Fièrement sanglée ..
Toquée comme il se doit ..
Fardée, un poil trop, mais elle assumera ..
Reste à tomber dans les parfums écoeurants, histoire de laisser trace du passage.


Moue rosée sur lèvres pulpeuses.
L'image est belle .. prête à tout affronter ce soir, même la mort.
Ne surtout pas chercher la sobriété dans le coin, c'est foutu d'avance.



Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bordeaux.



Le champ de bataille s'est vidé depuis quelques jours, surtout en face !
Rentrée bredouille pourtant, non, non et encore non.

Coup d'oeil aux alentours !
La silhouette rouge, genre femme fatale ou presque à proximité.

Petite course rapide en évitant la gamelle, loin d'être gagnée cependant vu la houppelande.
Elle la rejoint.

Voix douce, histoire de ...



Hey Cymo ! Tu me la laisses ?


Solidarité féminine.


Citation:
18-02-2009 04:21 : Vous avez engagé le combat contre Khylann.
18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Khylann. Ce coup l'a probablement tué.



L'épée, de mieux en mieux maitrisée, a fait son oeuvre !

Nouveau regard circulaire.
Mais plus rien.



Reculez!
En bon ordre, pied à pied.



L'oeil vert, souligné de noir cherche les amis.
Tout le monde a l'air de bien aller ...


Finir en beauté, qu'elles s'étaient promis.
Tout est dans le panache ... ou la dentelle !

_________________
Falco.
Retour à la discretion

Il fera des effusions plus tard à la vaillante Eilith, pour la remercier de l'étendart énervant.
Enervant pour les sois disants grands de Guyenne, s'entend.
Il ramassera Isadora en se penchant sans ralentir.
Pour sans doute la déposer là ou doivent aller leurs esquintés.

Qu'est t'il?
Un Brigand lettré? Un Condottiére? Un chevalier d'infortune? Ou simplement un Fossoyeur à particules?

Il avait une mission.
Accomplir les volontés terretres d'Ameliane.Avec un minimum de pertes.
Fait.
Il avait des desseins, au nom de la Gascogne.
Detruire l'Armée de Guyenne.
Fait.
Décimer les leaders aptes à conduire des troupes.
Fait.

Bordeaux était une sorte de surprise se dressant devant leurs chevaux.
Un bonus.
Tant pis.
Sans les atermoiements de Gascogne, les lenteurs et les trahisons de leurs dirigeants..Guyenne serait Gasconne à cette heure.
Il est bon capitaine, mais point surhomme.

Derniéres consignes, derniers détails.
Puis le Ch'val tourne à gauche quand tous se rangent à droite.
Ranger étant un mot incongru.
Cavalerie ils sont.
Désordonnée et virevoltante.
Ainsi ils ont déferlé, ainsi ils repartent.

Ch'val et sac d'os dessus , oriflamme au vent.
On chasse les mouches avec du Vinaigre.
Il se sait assez acide pour faire un appât potable.

Mission accomplie et plus encore.
Le fin sourire aux lévres serrées, vers Bordeaux puis vers ces directions d'où vont surgir avec prudence tant et tant d'armées..

20 cavaliers..Ilaura suffit de si peu.
Derriére lui l'histoire va se poursuivre.
Ya des épilogues trés important.








_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

Sancte
Femmes et dentelles, plus belles à la chandelle.


Ils dîneront bientôt à Bordeaux,
Pour y jouer leur propre musique.
Y planter l'écriteau,
D'une résistance héroïque !


A une vingtaine de lieux, Sud-Est, devançant un épais nuage de poussière, s'élève la bannière Ad Gloriam Guienna battue par l'impétuosité des vents d'Ouest. Etoffe violette, presque délicate et romantique, rapidement contrastée par la réalité agglomérante des hordes de canailles déguenillées et fébriles qui la composent.

Piquier Iohannes en tête.

Lance dans les mandibules et coutelas au ceinturon, on prêtait à son physique massif et ramassé, toutes les qualités du première ligne chargé de prendre en pleine poire les raids de cavalerie. Sans compter que d'aucuns hauts placés auraient bien aimé le voir disloqué, ce fieffé salopard qui ne ratait pas une occasion de se muer en grain de sable d'une mécanique Guyennaise bien huilée.

Moral des troupes est bon et les sourires édentés se font plus nombreux du côté de tous les vauriens de Guyenne, venant des quatre coins de ce corridor réputé indéfendable pour mieux faire respecter ce qui leur reste de dignité: les droits de leur terre. La rumeur a enflammé les rangs désordonnés comme traînée de poudre: cette nuit, Bordeaux avait encore tenu.


Malgré la faim de tenaille,
Malgré le sang versé,
Malgré l'angoisse de l'isolement,
Malgré l'intimidation de sape,
Malgré le mépris systématique.


"Ouvre donc les cuisses de tes beaux remparts, Bordelaise, que je te fasse la nique en épargnant tes vieux jours" qu'elle babillait avec suffisance, la voix nasillarde du Diable. Gavés de pain chaud devant les murs assiégés, hin, les fanfarons. A eux aujourd'hui la vexation amère de la déconfiture !


On racontait même que certains Gascons la défendaient la rage au ventre, la Bordelaise, alors que leaders Guyennois gisaient au fond du caniveau depuis de nombreuses heures. Une opiniâtreté qui force le respect du soldat, renforçant son amour viscéral pour la terre de Guyenne et du mauvais esprit qui la compose.

Lui qui était toujours prompt à déverser sa bile sur l' "étranger" se voyait aujourd'hui contraint de réviser ses certitudes.


Ce qui était sans importance.


Il n'avait pourtant pas cru en la résistance de Bordeaux.
Il avait douté. C'était épouvantable.
Et maintenant ... il s'en voulait.
Terriblement.


Ce qui était déjà plus fâcheux.

_________________

"Quand on sait pas c'qu'on veut fils, on finit par se retrouver avec des tas d'trucs dont on veut pas."
Caporal Sancte Iohannes
Aelyce_h
Seuls quelques rais de lumière d'un soleil meurtri fusaient à travers le rabat écarté d'une tente isolée. Ces infiltrations lumineuses donnaient un reflet particulier à la chevelure ébène de la brune, éparpillée sur l’oreiller.
Quelques mèches gourmandes lui léchaient une épaule dénudée tandis que la gauche, voilait pudiquement une blessure qui se révélera bien plus profonde que la brune ne pouvait l'imaginer à cet instant là..profonde jusqu'à un honneur bafoué et un coeur trahi par les siens.

De ses grands yeux d'un ambre ardent, elle suit la danse maccabre des flammes mourantes d'un feu de bois allumé par un garde juste devant sa tente.
La tête vide, s'était envolée jusqu' en Gascogne cette terre qu'elle aime tant, s'empêchant de réfléchir, craignant de comprendre, pas prête de se retrouver au pied du mur, pas prête de comprendre ce que valent certaines promesses Gasconnes.
Le corps avait lui dompté la douleur et s'en parait en s'immobilisant autant qu'il pouvait. Elle avait retrouvé quelques forces et le sang était remonté jusqu'à ses joues les colorer de la couleur de la vie.
Quant au coeur lui, était réchauffé d'un amour infini envers son commandant.


Un messager ducal arrive avec un courrier scellé, elle lui demande d'une voix lasse mais néanmoins courtoise de le lui lire, et tandis qu'il s'exécute, elle avait reperdu ses couleurs, noyées dans la douleur que les mots lui firent ressentir et que le "je t'aime ma fille" joint en post scriptum n'a pas su apaiser.
Elle se renferme dans son mutisme pour accuser le choc, ainsi Gascogne abandonnait ceux qui sont montés la servir avec courage, levant fièrement la tête? ainsi Gascogne décide de ne point assumer une déclaration de guerre?
Où était ce courage Gascon que certains clamaient haut et fort, pourtant ce sont devant les actes que le courage se mesure! Retirer ses troupes si près du but était d'une aberration telle que la Gascogne était devenue la risée du royaume.
Comment un régent peut promettre après de défendre le peuple et être fiable?


Tandis que son porteur de missive s'éloignait elle l'interpelle soudainement

-Restez je vous prie, je vais vous dicter un message que j'espère vous afficherez au vu et au su de tous les Gascons et de la duchesse


Citation:
Votre grâce

Pour venger vos soldats de leurs blessures
Pour soulager leurs meurtrissures
Pour chasser leur rancoeur

Ainsi donc est votre méthode : Nous faire passer pour la risée de la Guyenne et d'ailleurs? Nous considerér comme des mercenaires nous vos loyaux et dévoués soldats?

Qu'avons nous vu depuis cette guerre?

Une aide? aucune
Un renfort? pas même l'ombre d'une lance ou d'un soldat
Des déclaration pour motiver les troupes? Aucune

Et comment avez vous remercié l'armée anti-boulets qui pourtant a servi nos desseins et qui englobe que vous le vouliez ou pas des Gascons aussi courageux que vos soldats les plus émerites, des Gascons aussi amoureux de leur terre au moins, au moins autant que vous? En les ignorant tels de vulgaires mercenaires?

Si vous vous abandonnez les Gascons, je ne pouvais jamais laisser une trêve me pousser à abandonner les miens, qu'ils aient un oriflame jaune et rouge, nous avions le même but : annexer Bordeaux, et l'offrir à la gascogne pas à vous duchesse.

J'ai falsifié l'ordre, et si c'était à refaire, je le referai encore et encore! et vous savez quoi? je ne baisserai pas la tête, je la relève fière pendant que mes blessures guérissent, et si d'aventure vous voudriez me traduire en justice depuis la Gascogne, allez y, envoyez moi vos gardes me chercher et je ne fuirai pas.
Je ne suis pas lâche et j'assume ce que je fais, jusqu'au bout!

Alors chère duchesse, MERCI.

Une Gasconne folle amoureuse de ces terres
Déshonorée pourtant par ses pairs



On continue, celui là offrez le à tous les charognards Gascons qui se reconnaîtront, tous ceux qui oseront accueillir ses petits soldats dévoués autrement qu'en héros, tous ceux qui toucheront un cheveux de l'un d'eux..


Citation:

Vous les charognards de la Gascogne
Vous les hypocrites qui cachez votre lâcheté et vos desseins politiques derrière de faux prétextes.

Je vous vois déjà vous livrer au massacre de ces soldats, de ces pantins innocents
Ah, visez bien leur pauvre gueule
Puisque vous êtes tous trop veules
Pour taper sur les puissants!!!

Regardez-les, Nos soldats
Éclopés, nez tordus, bras cassés
Sur eux, vous les les purotins
Ne venez pas taper comme des insensés

Soyez fiers de ceux qui ont en Guyenne croisé le fer
et dont le sang a coulé uniquement pour nos terres
Qu'ils soient jaunes ou rouges, ce sont tou vos frères.


Aelyce la bouseuse de Dax


Jamais deux sans trois...


Citation:


Seigneur de Cartel un jour, seigneur de Cartel toujours

Merci pour tes conseils, merci de nous avoir dirigés, motivés, soutenus, guidés, et aidés, alors que d'autres ont lâché leurs hommes.
La solidarité Gasconne je l'ai vécue grâce à toi
Tu as toujours été la cavalerie, la vraie, la seule de ce duché
Tes hommes, fiables, valeureux, et de confiance, ne nous ont jamais lâchés, jamais trahit
Ce fût un plaisir de combattre à tes côtés
Je te dois beaucoup, pour ne pas dire tout en matière de guerre
J'ai une dette envers toi, et échevelée de Dax n'oublie jamais les mains qui se tendent vers elle.
Tôt ou tard je la payerai, avec grand plaisir
En attendant, sache que toi ou tes hommes vous pouvez compter sur moi en toutes circonstances, je suis une femme libre, qui ne doit rien à personne.

PS : Dis à Wiatt combien j'admire la femme qu'elle est, j'admire son courage.

Aelyce



Elle regarde le messager s'éloigner, tandis qu'un soupir déloge ses poumons, la colère noire dans laquelle elle était à peine apaisée.
L'heure du départ approchait, ils allaient tous s'éloigner, Bordeaux allait se vider, elle allait hanter seule les tavernes, buvant à la santé de ceux qui lui manqueront, mais il le fallait demeurer ici, jusqu'à son rétablissement.

Reviendra-t-elle un jour en Gascogne? la question lui arrache quelques larmes, elle se retourne dans un gémissement de douleur, face à la tente et pleure.

_________________
Elorane
Le jour c'était relevé, et Salah avait été conduit a l'infirmerie, son état était grave, c'était tout ce que la jeune femme avait pu entendre, il fallait attendre, qu il reprenne connaissance.

Elorane avait retrouvé espoir quand le sénéchal été venu la voir, il était tout aussi inquiet, mais il avait su la rassurer. Salah se battrait a nouveau contre cette mort qui décidément s'acharne a vouloir le prendre, cette saleté de faucheuse qui par 3 fois avait déjà essayé de lui voler son homme. Mais cette fois le Marechal de France se battrait aussi pour connaitre son enfant, il ne pouvait en être autrement.

Tout se bousculait dans la tête du Lieutenant, mais une chose était sur, elle se vengerait, toutes les personnes de près ou de loin mêlées aux blessures de Salah allaient entendre parler d'elle. A commencer par celle qui lui avait porté le premier coup d'épée le blessant.

Elorane se rappellerait très bien qui était cette femme elle avait gravé son visage dans sa tête, et ce soir elle se le jura, cette femme allait gouter de son épée, elle voulait la voir souffrir, agoniser supplier de l achever.

Ce n'est qu a la nuit tombée que la vicomtesse quitta son mari, en lui promettant de revenir tres vite, elle devait aller prendre son tour de garde sur les remparts et accomplir le début d'une longue vengeance.


Défendre encore et toujours Bordeaux, oui, mais ce soir elle ne resterait pas juste a défendre sans blesser personne, ce soir elle devait retrouver cette femme.

Ce n'est qu'après avoir repousser quelques assaillants qu'elle tomba enfin sur elle, elle se rappela les cours donné par Kalten sur le maniement d'épée.

Elorane posa son bouclier plus en retrait et pris son épée des deux mains, le but était de faire mal très mal, pas besoin de bouclier elle ne comptait pas perdre.

Un coup d'epée bien placé visant a la blesser a la cuisse pour lui faire perdre l équilibre fut donné, puis les coups s'enchainèrent, la futur mère revoyait la scène de la nuit passée ou son amour de mari se faisait trucider par cette bande de rat, elle lâcha toute sa haine sur cette femme qui lui avait donné le premier coup d'épée, quand elle vit le corps gisant au sol, elle lui donna un dernier coup


Citation:

18-02-2009 04:21 : Vous avez frappé Simone_de_beauvoir. Ce coup l'a probablement tué.


C'était pour mon mari, je vais prier pour que tu finisses en enfer

Citation:

18-02-2009 04:47 : Vous vous êtes levé du bon pied ! Vous êtes serein aujourd'hui, et bien disposé.


C'est sereine et de bonne humeur, qu elle retourna au près de l'homme de sa vie, le soigner, le cajoler, le caresser et l'aimer tout simplement.
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Simone_de_beauvoir
Les tiraillements qu’infligeait la faim à son ventre la tirèrent doucement de son sommeil. Les mains posées à plat sur le plancher sale, elle se redressa difficilement, encore à demi endormie. Le rayon de soleil qui l’éblouissait lui arracha une grimace. Selon lui il était midi passé. À ses côtés son chat dormait dans le carré lumineux que découpait la fenêtre. Elle le contempla un moment sans mot dire, inexpliquablement émue. Elle se passa la main sur le visage, réalisant seulement à l’instant la gravité de ce qu’elle venait de faire. Elle avait déserté. Bordeaux aurait dû tomber cette nuit. Elle se précipita à sa fenêtre. Tout y était calme, et la ville déserte. Un rictus dépité déforma son visage. Par la faute de sa conduite de sale gosse, Bordeaux ne leur appartenait toujours pas. Il lui fallait réparer son erreur au plus vite. Elle ouvrit la porte et s’arrêta sur le seuil, chancelante et éblouie par la lumière du jour. Elle s’adossa au mur et se rappela qu’elle n’avait rien avalé depuis l’avant-veille. Quelle sotte elle faisait, décidément. Une miche extraite de sa besace constitua donc son petit déjeuner tandis qu’elle se dirigeait vers le campement.

Elle y rencontra son Général qui s’inquiétait de ne plus la voir. Rougissante de confusion, elle lui avoua sa passagère défection, et appris que Dorennor avait elle aussi déserté ce soir-là. Simone écarquilla les yeux. À coup sûr la ville serait tombée si elles s’étaient battues. Mais Zouz ne semblait pas lui en vouloir, et avait d’autres sujets de préoccupations. Des ordres venaient d’arriver de Gascogne, et déjà les plus obéissants des moutons se rangeaient sagement derrière Anatol pour rentrer au bercail.

Un nœud glacé lui tordit le ventre. Sans l’aide des troupes gasconnes, ils n’avaient plus aucune chance. Elle alla chercher du courage dans l’ivresse à la buvette d’Aelyce. Les jointures blanches crispées sur sa chope, elle la vidait mécaniquement avant de se faire resservir. Grinwold et quelques de ses fidèles lui assurèrent que ce soir encore ils se battraient à leurs côtés. Elle leur adressa un sourire forcé, reconnaissante mais un peu incrédule. Elle sentait que ce soir tout se jouerait. Ils marcheraient à la mort ou à la victoire.


Elle se décida à quitter la taverne avant de ne plus s’en sentir capable, les jambes coupées par l'ébriété ou la terreur, et rejoignit ses compagnons d’arme. Dans un coin Eilith rédigeait son testament, ce qui acheva de déprimer Simone. Elle passa le temps qui restait avant le combat à aiguiser sa lame. Lorsqu’elle eut fini, celle-ci brillait et émettait un chuintement métallique terrifiant en jaillissant de son fourreau. Satisfaite, Simone la rengaina, prête au combat.

Les rares défenseurs encore capables de tenir sur leurs jambes se massent derrière le talus. Simone éclate de rire en les regardant. Quel spectacle ils offrent, ces maigrichons aux bras atrophiés par la disette ! Rassurée, elle partit au combat le cœur plus léger. Quelques de ses compagnons se ruèrent aussitôt sur les faméliques, qu’elle dédaigna. Si cette nuit devait être décisive, elle ne comptait pas perdre de temps à dégommer du gringalet. L’arme au poing, elle se tournait de gauche et de droite pour repérer une proie à sa taille.

Une jeune femme brune fit son apparition. Sa mise était noble et son épée ouvragée, et elle la regardait d’un œil noir. Simone sourit victorieusement et s’élança vers elle. Son adversaire jeta son bouclier et empoigna son arme à deux mains pour l’enfoncer dans la chair de sa cuisse. Surprise, Simone qui portait sa garde plus haute, sentit sa jambe se dérober sous elle et s’écroula. Un goût de métal ou de sang emplit sa bouche lorsque sa tête heurta le sol.

Son ennemie paraissait enragée. Alors que Simone tentait de se traîner à terre pour récupérer son bouclier, elle la larda de coups d’épée, semblant y mettre tout son cœur, comme si elle en faisait une affaire personnelle. Simone était pourtant sûre de ne jamais l’avoir vue. Ébaubie, elle retomba sur le flanc, à bout de forces, pendant qu’Elorane tirait sur l’ambulance.

Un dernier coup fut porté au ventre. Un jet de sang jaillit hors de sa bouche, et macula le pourtour de ses lèvres. Levant les yeux sur son adversaire qui se redressait, Simone remarqua alors seulement son ventre. Elle eut un rictus amer. Tuée par une grosse. Y avait-il mort plus grotesque ? Celle-ci lui jeta un dernier regard.


C'était pour mon mari, je vais prier pour que tu finisses en enfer

Te fatigue pas. Il n’y aura pas besoin de prier beaucoup pour ça.
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Mercoeur
Charisme : 114 ...Force : 157 ...6 jours d'indisponibilité ...Intelligence : 19 …....

Le sang coule encore de la plaie alors qu'approchent les initiés. Pas dit bonjour qu'il est allongé
La blonde écartée sans égard pour sa féminité par un Tuco en formation d'agent hospitalier
Une blonde de plus ou de moins ça attendra bien la fin des premiers soins
Chapeauté à un besoin urgent d'un bandage et c'est pas le temps de s'occuper des abords de l'attelage
D'un regard hagard le Mercoeur essaye de prévenir Tuco que l'infirmière et pas du style à se laisser faire
Mais bon...charrette est déjà brancard et le tissu blanc en rougeoies déjà...


Tout doux Tuco ! Alanysfolle je vous présente Tuco, l'Irlandais et le grand là se fait appeler Sentenza !
Vous en avez mi du temps les gars ? Tuco t'as fait quoi ????


Une voix retenti du fracas des armes qui s'enlisent. Semblerait que ce soit partie remise...
Un regard vers la belle insoumise. Lui sait que les blessés ne pourront suivre le rythme d'une armée compromise.
La fuite reste la seule solution de mise. La déroute si elle traine se transformera en banqueroute
Alors sur le brancard à roulette on lest un autre cadavre. Anguerrand dont coule le sang..
Les murmures des brancardiers lui font comprendre que Gascogne à joué le parjure.
Les treize apôtres sont amitiés mais les Sentinelles sont familles de grande fierté pour qui honneur rime avec vérité
Lourd tribu est payé à Gascogne qui s'en cogne. Sur que les cavaliers noirs pourraient y trouver quelques grognes
Dans les plaines et sur les monts de France sonneront les tocsins du mal pour le bien..
Les noms se joindrons et blasons et harpies se mélangeront et pour Gascogne demain ne rimera jamais avec grand pardon..

Du bord de la charrette la Sentinelle tend une main vers Cartel qui de sa santé s'inquiète
Faut dire que Le Tuco fait pas dans la dentelle. Coté habilité le Castillan est pas trop couturier
il voudrait bien la voir rester mais ça serait égoïsme de le lui demander
Une mort assurée guettera ceux qui aurons la vanité de ne pas les abandonner

Partez avec l'armée madame. On se retrouvera sur vos terres de Cartel. Je sais que vous y serez toujours aussi belle !
Tuco tu peux conduire ce chariot ? L'Irlandais ? L'enfer tu suivrais pas cette dame ?


Visage qui se tourne vers une infirmière au visage soudain ...apeuré ? Inquiet ?

Il peut paraître dangereux à voir comme ça mais je vous assure qu'il n'est point pernicieux
Et qu'en sa compagnie aucun quidam n'osera levé main ou injure sur votre âme


On amène alors un nouveau corps. La blessure semble poser moins de tort mais suffisamment pour partager leur sort..
Améliane..Aventurière consort...Une proie de choix pour des adversaires revanchards et retors
Quelques fous pour qui amitié et fidélité sont des mots qui riment avec ingéniosité refusent de les quitter
La traque ne sera pas partie de plaisir mais seul dans la fuite se trouve leur avenir
Au jeu du chat et de la souris, la nuit tous les chats sont gris.....


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