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[RP/IG] La Chevauchée du Val qui Rit

Mercoeur
Bordeaux....Donc...Au matin...Donc...

On chevauche à belle allure en attendant le contact qui fera la rupture. Guyenne pour villégiature
Un peu jeune le Mercoeur pour prendre une retraite avant l'heure mais le coin pourrait lui porter le bonheur
En travers de la selle les tant recherchaient chandelles. Chapelle eut porte point résistante et diacre sut éviter la querelle..
Plus qu'à aborder la belle....Genèse...séduction et approche d'une relation Béarn...Cartel..
Il observe cette troupe qui suit son maitre sans connaître le doute. Allégeance de lames fines à un esprit qui déroule comptines à un adversaire sous l'emprise de la rapine...
Plaisant...Pour lui l'indépendant qui aime voir les choses par la liberté d'être autrement..

Un chapeauté qui navigue à cheval est un philosophe qui tourne les pages interminables d'un esprit sauvage..
Sa cogite sous le couvre chef pour trouver la meilleure combine. Attendre le prochain camp et aborder colombine..
Bazas...Bordeaux..Fait pas beau...La teste de Buch...Bordeaux..voyage sans embuche !Rideau !
Y'a se la pète qui est la de nouveau !

Coucou les remparts c'est nous qui repassons par là, une nouvelle fois ? Une dernière fois ?
Sourire...yeux vert sans coup férir.. mirent au loin les affolés se rassembler sans faiblir,
entonner..un murmure aux pieds des murs..se libère la voix du parjure et chantonne sans rature..


Peut être une angine palapalala...Peut être une angine palapalala.....
Peut être un aliène palapalala Peut être un aliène palapalala..palapalala....


Autours de lui se préparent les mêmes habitudes ? Camps ?..Non ..mais un Falco qui déblatère avec certitude
Ça tombe bien Lui aime dormir avec le ciel comme toit mais pour une fois pourquoi pas...Une journée pour cela en attendant le combat
Pour la Navarre, pour le rêve et parce que sans lien ne sera jamais possible le bien..Sans connivence rien n'avance...
Et puis colombine.....Pour les convenances...mais juste pour frémir d'accoutumance...
Arrêter le cheval de l'aveugle en s'emparant des sangles, un regard vers les auvergnats, silencieux mais valeureux gens de combats
Un mot délicat à celle dont la lueur du soleil ne parvient plus pour voir cela....


Nous sommes à nouveau à Bordeaux. Je crois que vous avez entendu que nous allons nous arrêter là.

Puis mettre le pied à terre et s'avancer vers leurs partenaires..
Relever le galure, pommeau à la hanche et mantel ouvert qui laisse apparaître le fourreau de celle qu'on nomme la belle..
D'une voix qui porte interpeller du gascon pour multiples et intimes raisons..
premiers rendez-vous manqué car pas moyen de répondre à l'invitation..Saisir une nouvelle occasion..


EH CARTEL !!!!

Un peu de joie à partager avec nous en attendant prompte réponse ça vous dit ? Vous avez à boire je crois et nous avons réserve à festoyer dans l'amitié !
Mon nom est Mercoeur ! Mes amis me nomme le Chapeauté. Appelez moi comme il vous plaira !


Vont se marrer sur les remparts..Se connaissent même pas les envahisseurs barbares..
Ouais..
Mais au royaume de Navarre.. Ce sont les fêtards qui sont rois...et l'ennui sera toujours remit à plus tard...
Chercher la blonde du regard dans la troupe qui le contemple l'air hagard et lui entonner un murmure...
Des ordres de pas bouger ? Toute une journée en attendant la curie d'une nuitée ? Une blonde à porté ?
Orgueil et vanité ! Diantre il ne peut résister....Il sera premier à charger !...et la blonde...et du Bordelais...
Hum...Sont précis les arbalétriers ?........


Peut être une angine palapalala...Peut être une angine palapalala.....
Peut être un aliène palapalala Peut être un aliène palapalalapalapalala....


Syriuss
Syriuss qui passait par là entendit les propos du Messire

Moi je dis ça a un cheval de bois , je prend un coup de pied pensa t 'il

il alla choisir une arme , une qui fasse pas mal , une qui donne a réfléchir
bref !!! qu'on s'en souvienne



et se prenant pour un ménestrel , commença a délirer
et je tape tape tape !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
_________________
Cornelio
Ils vont devenir raides dingues, Ecuyer!
Voit comment ils se rassemblent à 30 lieues, craignant nos charges , se sachants tous destinés à décorer de leur tête nos lances.
Fiers Nobles et Officiers de Guyenne..Poltrons.


Sourire aux mots du maître.
Ce qu'il dit, l'écuyer l'avait compris dans une moindre mesure.
La seule troupe Armée de ce faible Duché détruite, il est la proie d'une vingtaine de cavaliers.
Ils sont libres de faire ce qu'ils désirent, allant de ville en ville, prêt à fondre sur la proie la plus faible.

Mais n'ayons pas leur travers..Ne les prenons pas pour des sots.
Rassemblés, ils nous détruirons.


Sagesse des fous de Guerre.
Ce constat, froid est terrifiant.
Mais l'écuyer scrute la troupe, aucune lance ne tremble, l'étendard flotte haut et fier dans le ciel, les chevaux sont conduits d'une main de fer.

Ils remontent désormais vers la Capitale.
Une fois de plus, le chemin est libre.

Cette troupe est un véritable grimoire.
L'histoire de cette contrée lui est offerte, allant d'un cavalier à l'autre il apprend, par bribe, que ce n'est pas la première fois que la Guyenne plie genoux.
Les Cadets déjà.
Le rêve de Perturabo, le Périgord s'emparant des villes Guyennoises.
Personne ne rêve donc plus, au Nord ?
Ils n'ont qu'à tendre la main et se tailler une part du gâteau.
Tellement simple !

Devant Bordeaux, le Seigneur hausse le ton.
Des mots durs pour une troupe inflexible.

Une question reste en suspens, surement autant pour lui que pour les autres.

Et la Gascogne m'Sire ? Que vont-ils faire ?

C'est l'inconnue dans l'équation.
Elle pourrait aider la Guyenne, resserrer les liens, s'en prendre à ses propres cavaliers.
Ou arracher ce qui lui revient, cueillir le fruit offert par Cartel.
_________________
Cornelio de Louvelle.
Écuyer de Cartel.
Tire-au-flanc Gascon.
Lorca
Toute la journee, il attendit. Il avait espere l affrontement sur les murs de bordeaux, puis, avec desespoir vu les soudards s enfuir vers la Teste. Sa cite ! Celle qu il cherissait par dessus tout et pour laquelle il aurait verse plus que son sang ! La journee fut longue, les prieres nombreuses, la rage continue. Depuis deux jours, il n avait pas dormi, toujours sur le qui-vive, simple civil haranguant les soldats aux yeux vacillant de sommeil, redonnant espoir aux habitants blottis dans leur cabane, entrainant les quelques miliciens armes hativement. Et la derniere nuit, il l avait passe sur les remparts, comme a l accoutumee, scrutant de tout son etre la route de la Teste de Buch. Et quand la foret des etendards avait bruit, il avait hurle de joie, reveillant les sentinelles qui se mirent au branle bas de combat, croyant l heure de se battre arrivee. Il les rassura bien vite, avant de leur donner ses instructions personnelles.

La compagnie franche se reinstalla sur la rive droite de la Garonne, dressant tentes, plantant etendards et allumant feux. L enneöi etait la, a portee de harpons, et le pecheur se mit a rever d une sortie audacieuse durant laquelle, a la tete de ses amis pecheurs, il irait racler les bas fonds de l humanite pour en ramener la lie, celle qui gisait en face de lui, a a peine quelques encablures. Au moment ou ce plan insense devenait irresistible, l ultime provocation du general adverse. Cet etre ridicule, tout en os, avec sa tignasse semblable a une crete sur son visage aux traits aigus, presque tranchants. Quand il s agite, on dirait qu il essaye de battre des ailes.


Citation:
Oyez, Bordelais!
Nous exigeons que Le Sieur Salad'hin et l'Officiére Kiwi sortent de la ville.
Il ne leur sera fait aucun mal.
Que les Portes de la ville soient ouvertes et clés remisent à la Comtesse Améliane.
En ce cas, Bordeaux sera sauve.
En cas contraire.
Mon épée retirera du ventre l'enfançon d'Eloranne, Compagne de Salad'hin.
Puis elle fera de même à la Dame du Duc Illegitime Jeroen.
Ville sera brulée et population jetée dehors.

Cartel à parlé . Ce que je dis, je fais!
Vous avez jusqu'au couchant pour décider de votre sort.


La reponse jaillit, instantanee, non premeditee mais jouissive. Les mains crispees sur la palissade, corps presses contre le bois, yeux exorbitesm rage au ventre.

Hey le poulet, t es fache de pas avoir reussi a satisfaire ta catin du Bearn ?

Bref, incisif et vulgaire, tout ce qu il aimait. Et aux eclats de rire des defenseurs repondit le froid mutisme des assaillants qui pour le coup, ne rigolaient plus. Des comptes seraient regles ce soir...
Alanysfolle
Les branches basses sont attrapées à pleines mains, écorce et mousse s'effritant sous ses fins doigts diaphanes. Le pied se pose sur le tronc, à coup de grognements et de profonds soupirs, voilà Nys qui grimpe tant bien que mal à l'arbre. Chaque branche l'éloigne un peu plus du sol, provoquant chez la belle un vertige dont elle n'avait alors pas conscience. Les genoux dansent, le cœur s’affole, le vide apparaît.
Elle a l’impression d’être alors amoureuse comme au premier jour…
Lorsque le souffle se fait court, que le cœur danse la chamade, que le sol lui manque si fort que tout en devient douloureux. Elle s’agrippe au tronc de toutes ses forces pour ne pas tomber. Et là se sentir seule au monde est plus terrifiant encore que de savoir qu’elle risque de tomber et de mourir quelques mètres plus bas. Si elle était croyante, elle entamerait moult prières, demandant pardon à Aristote pour tous les péchés qu’elle a pu commettre dans sa courte existence. Enfin courte…

Et là la vie défile sous ses yeux bleus.
Les fuites, encore et toujours lorsque l'organe se met à battre plus fort que de raison. Craindre plus pour son cœur que pour sa vie et s’empêcher de vivre toujours pour ne pas souffrir. Et tomber une fois de plus amoureuse. Et pour une fois se laisser faire. Se laisser faire jusqu’à en perdre tout repère. Fermer les yeux et sentir encore son corps sous ses mains, découverte d’un territoire inconnu connu par cœur. Ne pas s'en lasser, aimer chaque odeur, chaque rancœur, chaque pensée, chaque étreinte et coup de gueule. Cesser de boire comme un ravin, se contenter de boire comme un trou pour qu’il l’aime encore plus. Et là sous ses pieds nus le sol s’éloigne davantage chaque seconde. Comme Liam. Comme tout.
Elle refuse de regarder sous elle. Il est partit. Le sol est rattrapable. Liam non. Les yeux s’emplissent de larmes tandis qu’elle prend sur elle pour ne pas demander de l’aide. Et soudain elle se sent… petite. Toute petite sur sa branche. Les résolutions sont loin. Tous et toutes sont loin d’elle. Elle a peur. Pour la première fois depuis longtemps elle a peur pour elle-même. Elle n’a plus qu’elle et Cartel. Cartel pour fardeau. Nys pour crédo. Nys doit vivre. Jusqu’à demain encore au moins. Alors attrapant son courage à deux mains, elle entame la descente de l’arbre. Plusieurs fois elle manque de tomber et de s’écraser. Mais jamais ses pieds ne lâchent prise. Et enfin. Délivrance. Sous ses talons la terre humide apparaît. Elle se laisse tomber, à genoux par terre. Et là elle craque. Ces derniers jours les larmes qui avaient coulées finissaient toujours par se contrôler, ravalement de façade à coup de bières. Mais là… Là la peur a été trop forte. Le manque est trop grand. Un râle sort de sa gorge blanche. Les yeux se ferment et le ventre s’agite. La douleur la terrasse sur place. Vainement elle tente d’endiguer le flot à coup de doigts sales venant essuyer les larmes vivement. Mais rien n’y fait. Alors elle laisse faire. Jusqu’à ce que plus rien ne sorte d’elle.
La route est prise. Le camp est rejoint. Les vêtements sont enlevés sous la tente tandis qu’elle entreprend d’enlever toutes traces de terre. L’eau coule sur ses cheveux emmêlés, sur son visage triste à souhait. Elle s’observe dans la bassine, son reflet l’effraie. Alors tandis que les hommes affutent leurs lames, elle entreprend de reprendre visage convenable à la beauté qu’elle est. La perfection anisée se doit d’être à tomber. Longuement elle entreprend de coiffer ses longs cheveux blonds qu’elle natte en une épaisse tresse, ses yeux sont enfin séchés, ses vêtements sont nettoyés, ses ongles sont décrassés. Une profonde respiration est prise. Et enfin Nys rejoint le monde humain.

De partout les hommes bougent. L’un d’entre eux discourt. Un léger sourire lorsque certaines rumeurs montent à ses oreilles. Son maigrelet à trouvé de quoi se mettre sous la dent pour la nuit. A défaut de trouver chairs saines et parfaites il a préféré voir plus grand pour retomber plus bas. Un haussement d’épaule et voilà que Nys s’approche de Falco, mi figue mi raisin.


Tu parles bien mon maigrelet.
Dommage que tu ai préféré la compagnie de filles de joie plutôt que la mienne.
Au fait j'attend toujours ma robe, ou mon bouclier...


Puis se penchant vers lui, ses lèvres frôlant les siennes elle ajouta:

Avant de promettre aux autres, peut être pourrais tu t'acquitter de ce que tu promets à tes propres hommes.

Puis se redressant, ajoutant à cela le plus beau des sourires qu'elle puisse lui faire, elle dit:

Tu as de la chance que je t'adore sinon crois moi je serais déjà parti depuis bien longtemps.
Mais gare à toi amant absent... Un matin, ta parfaite ne sera plus là. Qui alors pourra prendre ma place?


Elle déposa un baiser sur sa joue puis se détourna.

Un homme interpella les Cartel à grands mots. Bel homme pour sûr. Fière allure et beau sourire. Une apparence comme l'on en croise peu. Un petit haussement de sourcil de la blonde qui s'approche de quelques pas à peine.


Nous avons à boire certes. Mais tout est déjà reservé. J'ai grande soif ces jours ci. Quand à l'amitié... Je ne vous connais point pour partager telle chose avec vous. Visiblement mes compagnons non plus ne semblent pas savoir qui vous êtes.
Mercoeur hein....
Je suis Alanysfolle. Tenancière et gardeuse de boisson. Pour participer à quoi que ce soit avec nos bulles c'est par moi qu'il faut passer...


Plongeant son regard dans le sien, légèrement déconcertée par celui qu'il lui renvoya, elle inspira profondément et se dit qu'un bon verre de vin ne serait pas de refus....
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Ermesinde
L’avancée s'était faite au pas lent des chevaux lourds . Traits comtois, percherons et autres boulonnais , ils avaient tous cette force tranquille qui leur permettait de tracer un sillon régulier . L’empreinte d’un soc marquait jour après jour la terre de Guyenne , arrachant quelques têtes de roches au passage … terrain friable . On labourait aisément .

Elle était tombée nez à nez avec l’attelage et la charrette roulant à tombeau ouvert qui la transportait avait fait une embardée . La chaussée était glissante et la conductrice n’avait pas détecté la plaque de verglas . De la blonde éméchée ou de la brune échevelée , souricieuse à souhaits , qui avaient chu fesses premières dans une touffe de chardons et avaient perdu connaissance, on ne parlerait pas . Quelques piquants dans le derrière viendraient leur rappeler à leur réveil que ce n’était probablement qu’un juste retour des choses . Le GROS de la troupe des libertadiens s’était présenté à la forteresse d’Aubeterre quelques jours auparavant pour y récupérer une Ermesinde amnésique , forçant le passage autant que le respect. Si Valnor , comte de son état , avait dit et répété qu'ils avaient déjà tenté de l’occire, force était de reconnaître que les deux bougresses là avaient de la suite dans les idées . Là où un autre se serait embarrassé d’un écran de fumée pour disparaître , elles avaient fait preuve d’une redoutable efficacité :


« C’est Ermy mais tu vois bien qu’elle a même les ch’veux qui r’poussent …C’pas bon signe : cause pas j’te dis ... »

PAN !

L’échange dans la cour du château avait été court et précis et on ne l’avait pas assommé de questions : un coup de pommeau sur la tempe avait suffi . Il se disait qu’on avait l’art et la manière de mener le débat à Libertad . Personne ne s’en était jamais plaint . Du moins , on ne laissait pas le temps de le faire à qui que ce soit . C’était bien plus simple .

Trois virages sur les chapeaux de roues et un roulé-boulé plus loin , elle avait donc réussi une nouvelle échappée . Lors d'une rencontre fortuite , une autre blonde appelée Diane lui avait demandé : « On fait un bout d’route ensemble ? » Elle avait simplement répondu « oui « .

Elle ne savait exactement où elle allait d’ailleurs mais quand la vieillesse se profilait à l’horizon, on se permettait parfois des p’tites fugues .
Elle comptait à présent une trentaine de printemps assurément . Autant dire qu’elle faisait figure de vétérane parmi ceux qui chevauchaient à côté d’elle depuis plusieurs jours . Aux douleurs persistantes ressenties dans les mains depuis que les bouts des doigts avaient gelé était venue s’ajouter un matin la repousse de quelques cheveux blancs . Elle n’en avait ressenti nul émoi mais les avait tout de même rasés . Non par coquetterie, car les cicatrices qui parsemaient son corps étaient bien plus disgracieuses qu’une mèche neigeuse qui aurait barré son front, mais parce qu’une armée aurait peut-être regardé à prendre dans ses rangs une combattante d’un âge plus avancé . Et elle avait besoin d’action .

Les yeux d’eaux , eux, gardaient toujours ce bleu si particulier et leur vivacité . La même flamme jaune s’y était allumée lorsque la douce voix de Diane lui avait proposé une chasse aux Bo.lets …voilà qui la changerait . Ils étaient d’un genre varié et si certains pouvaient parfois provoquer des douleurs gastriques , nécessitant …une retraite rapide …le terrain riche pouvait laisser présager une bonne récolte . Pour une fois qu’on pouvait améliorer l’ordinaire par quelques comestibles , on n’allait pas s’en priver . Et les champignons d’aller se coucher un à un au fond du panier ….


1 bo.let , 2 bo.lets, 3 bo.lets , 4 bo.lets …. * C’est quoi après 4 déjà ? Zut, je ne sais plus .Tout fout l’camp , même la mémoire bon sang *

Citation:
08-02-2009 04:26 : Vous avez frappé Romuald_de_vaisneau. Ce coup l'a probablement tué.
08-02-2009 04:26 : Vous avez engagé le combat contre Romuald_de_vaisneau.
06-02-2009 04:29 : Vous avez frappé Atila12. Ce coup l'a probablement tué.
06-02-2009 04:29 : Vous avez été attaqué par Atila12.
06-02-2009 04:29 : Vous avez frappé Daisy_1970. Ce coup l'a probablement tué.
06-02-2009 04:29 : Vous avez été attaqué par Daisy_1970.
06-02-2009 04:28 : Vous avez été attaqué par Lachainep.


Là-dessus s’en était suivie la découverte de quelques cèpes . Pied à terre avait été mis à Bordeaux mais on n’avait pas dressé de camp …c’étaient les ordres . Un feu discret _ pour ne pas s’attirer les foudres du commandement _ une poêle et quelques écuelles plus loin, l’omelette était à point et l’odeur se répandait .

Ola derrière , c’est prêt ! Arrêtez donc de parler : dépêchez-vous , çà refroidit déjà ! Et apportez donc la boisson .


C’était peut-être un peu juste pour un banquet mais bien assez pour des gourmets ...
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Falco.
Bordeaux, ses femmes, ses pieux

Agréable de ne pas entendre le son mat des piquets forçant la terre, le vacarme des cantines et marmites, des armures enlevées des fontes.

Il savoure la vision de la Capitale d'une Province à l'agonie.
Comment ont ils pu en arriver la? A la merci d'une compagnie qui ailleur représenterait à peine un regiment..
Le jeune Cornelio a tendance à s'eclipser au moindre pretexte.
Il songe un instant à l'envoyer en la cité voir si la populace est d'humeur à abimer les messagers.
Le Fossoyeur est dans son élément, enfin.

Et la Gascogne m'Sire ? Que vont-ils faire ?

La Gascogne, cornelio?
L'armée et le Capitaine respecteront la parole donnée..Mais notre Duchesse Herra est une faible. L'Ost Gascon a perdu une semaine à louvoyer en se parant du ridicule masque de l'Allié de Guyenne.
A cause d'elle.
Au lieu d'enfoncer dans notre sillage cette Guyenne saignante..Ils en sont encore à tenter de se faire passer pour des amis..
Cela doit cesser.
Et vois tu cette Capitale?

Demain nous serons dedans.
Alors Gascogne viendra à nous comme promis.
Et Guyenne glapira à la trahison.
Herra à ne pas oser déclarer la Guerre perdra le peu d'honneur qu'il lui reste.
Pire..Elle entachera la Gascogne de ses manquements.
Par Dieu..Au retour j'irai lui dire épée en main que respecter ses ennemis c'est se respecter soi même.
...Hum...Cornelio..Trouve trois barcasses pour franchir la Garonne.

Tombant au bat de sa monture carapaçonnée il lui arrive encore à hauteur d'yeux.
Il n'est pas grand le Falco, il est trop long.
Trop maigre, trop sec, trop d'acide dans ses rires, trop..
Ils ont tort en face de sous estimer ses promesses.

Un type au courant de ses heures perdues dans des girons tarifés se gausse.

Rit , bel hareng..Demain tu seras fumé.

Les plans complexes sont voués au hasard. Il préférela simplicité.
Si l'ultimatum n'est pas écouté ils grimperont à la lune dans les embarcations. Se couchant au ras des flots.
La crue est leur alliée.
Avant hier il a passé sa journée à regarder les barques se mouvoir dans le courant.
En partant de cet ilet à l'amont ils débarqueront de l'autre coté dans le minuscule Port.
Que Guyenne le prenne pour un brigand, un sauvage. Cela l'arrange.
Lui compte les heures et sourit de satisfaction.
La marée sera descendante. Point de mascaret pour les gêner.

Un béarnais jovial et une Anisette piquétée de jalousie aigrelette le tirent de ses calculs interieurs.


Demain tu seras princesse de Bordeau mon Anisette.
Je dis..Je fais..Tu auras robe et bouclier trés bientôt.

Ser Mercoeur! Il se trouve, n'écoutez pas la blonde mégére, que j'ai gardé intact un petit cru de Touraine.
Un Côte du Loir de l'an passé. Silex et calcaire posés sur une robe grise.
Apportez les godets, j'offre le flacon.

Votre menestrel a t'elle chanson de vos montagnes?


Il s'incline en passant à hauteur de l'Anisette, lui pinçant cruellement une fesse en riant.
Qu'elle se venge..Il est en harnois.
Ce qui se fabrique derriére la face du Cartel est relégué aux tréfonds. Le sourire délaisse les allures de goupil assis dans un panier de poussins.

Ils ont jusqu'au couchant pour se détendre.
Et faire enrager les defenseurs , bien entendu.

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Tableau de chasse de Guyenne:

Cymoril
Bordeaux...

Et l'horrible bossu qui les tance d'une harangue vulgaire, égal à lui-même celui-là.
"J'veux sa tête au cétacé!" Promis la Voix, ça fera joli à côté de l'entrée de la maison, servira de décrottoir...

Un coup d'oeil aux défenses de la capitale.
Et un sourire cynique qui se dessine sur les lèvres de la brunette. Pas vraiment de quoi trembler non plus. Etalage de pouilleux, de femmes enceintes jusqu'au cou, et paumé là-dedans, un représentant de la couronne.
On s'emploiera à l'aube à savoir dans quelle chair l'arme d'Hast récupérée hier s'enfoncera pendant la charge.

Et après, elle donnera son premier cours au petit écuyer.

Pour l'instant elle s'arrache un sourire en voyant le manège de la Nys, un homme, à boire, un rituel de blonde... erf, deux hommes finalement.

Le pif en l'air, par l'odeur alléchée, et la proposition tentée, elle traine le taciturne compagnon qui est le sien vers la cuisinière improvisée.


"T'as entendu la dame Césaire, à table !"

Ca change de la miche de pain qui fait leur quotidien depuis quelques temps. Et elle amène le floc..

Gourmande la Fourmi...

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Elorane
Après avoir quitté, ses amis a Mimizan, heureuse d avoir enfin revu tous les Dauphinois qui avaient quitté Vienne, Elorane voyageait enfin vers le Domaine Royal, normalement plus rien de devait arrêter le couple. Ils en avaient rêvé de ce voyage, mais rien ne se passé comme prévu. Salah avait retrouvé son frère mourant et il avait promis de le ramener sur ses terres. Cela l 'avait beaucoup affecté, elle savait qu'il n'était pas prêt a dire adieu à Averos, mais l'est-on un jour?

Elle lui avait promis le jour de leur mariage de toujours être au près de lui, de se battre a ses cotés, une fois elle n'avait pu être au près de lui, et avait du penser ses blessures. Jamais elle n'abandonnerait son mari, qui est qui plus est son supérieur, il était aussi de son devoir de lieutenant d'Etat Major Royal de rester au pres de son Maréchal.

La vicomtesse avait entendu s'égosiller un homme, qu elle ne connaissait point, elle failli s'étouffer l entendant... plaisantait il?
C'était bien mal connaitre la jeune femme, jamais elle ne s'abaisserait devant une menace aussi abjecte, au non de quelle justice pouvait on en vouloir a la vie d'enfants encore dans le ventre de leur mère?
Cela ne pouvait que prouver a quel point cet homme ne valait pas mieux que celui qu'il disait poursuivre.

Elle posa ses mains sur son ventre, en pensant a la rage de Salah si il lui arrivait malheur, cet homme périrait sous l'épée de son époux, elle savait que son enfant et elle serait vengée.


Messire sachez que jamais je ne permettrais a mon époux de s'abaisser devant une menace aussi abjecte.
Vous venez de menacer le vie de mon enfant ainsi que la mienne devant tout le peuple de Guyenne, vous exigez, mais pour qui vous prenez vous pour vouloir prendre la vie de l 'enfant de Dame Rochelle et le mien...vous ne valez a mes yeux pas mieux que ces vils brigands qui tuent juste pour le plaisir de faire couler le sang...

_________________
Falco.
Préliminaires are very important!

OhOH! Ta bouche la courtisane pondeuse! On s'entend plus boire!


Enfin un peu de repos pour leurs fessiers tannés. Un moment de répit qui augure de riches instants mortiféres. Béarnais, gascons, ensembles.
Avec en filigrame cette identité de Navarre qui se forme.

Les noms d'oiseaux fusent par dessus la Garonne.
Prendrait t'elle si sérieusement ses dires la guerriére en dentelles?
Il débouche le vin du Lavardin en pirate. Un coup de poinçon dans le goulot et le bouchon est transperçé.
Verres, gobelets, timbales de terre, étain, verre ou argents sont remplis chichement.
Le vin est rare. Ils devront trouver une cave à défoncer sous peu.

Se dressant à la lueur d'un feu penché par le vent d'Ouest il lance le premier Toast.

A la Dame de Libertad qui est venue se chauffer au Sud!
A vous Béarnais! Que vos arbalétes ne se pointent jamais sur mon bas de dos!
Pivotant vers la riviére et la Capitale il tonitrue.
Fils de Peques! Racleurs d'anguilles!Soupez gras ce soir! Demain, ventre troués ne digérera rien!
Salad'hin le Grand Guerrier!
Qui se souvient!
Qui se souvient!
Marechal de France fut nommé!
Qui se souvient!
Qui se souvient!
Jamais bataille n'a gagné.
Artois compisse à sa raie!

Mise en bouche.
Selon la tradition, hélas un peu délaissée depuis que Guerre sont menées par des généraux de palais, l'échange d'amabilités est fort important.

Fidéle à cela, le Sac d'Os beugle au vent avant de se rasseoir.
Hilare de la réaction de la ptite dame.
Même maladie que ces Vicomtes s'empalant sur des lances juste pour faire les martyrs.


_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

Zouz83
Bordeaux ville des Bol de Lait et Bol de l'aise.

Zouz en avait assez de passer ses journées sur son cheval a voyagé de Bazas à Bordeaux puis à la tête du bouc puis retour à Bordeaux.... Vraiment il en avait sa claque il avait tué personne depuis l'ex Duc et n'avais fait saigner ce soir la qu'une innocente dont il avait reçu un courrier qui l'avait fait sourire. Au moins elle avait dû apprendre quelque chose. Ne jamais faire confiance en son laisser passer.

Arriver à Bordeaux, il avait déjà acheté un appartement afin de ne pas payer l'Hotel qui quand on ne gagne rien coûte plus de 100 % de notre salaire journalier. Simone avait fait de même. Il quitta le non-campement dans l'après-midi. Direction une mousseuse, blonde et douce comme il les aime. Arriver sur place il tombe nez à nez avec une Damoiselle. Rapide coup d'oeil vers le ventre elle était enceinte....

Le brun repensa à ses enfants qui auraient dû naître sous peu et eut un rabaissement de morale intense. Il lui fallait trouver quelque chose pour ne point le montré et sa belle rousse lui donna l'indice. Cette femme était noble, la noblesse de terre comme Zouz le détestait. Elle était de celle qui ne voyait envers les autres que des gueux et des infidèles. Il lui exprima son point de vue en la traitant de "noble à la mord moi le noeud". Qui n'était peut-être pas la bonne phrase, mais qui eut l'effet escompté. Il se pris une claque...

Poing levé il frappa la femme sans vergogne. Puis il lui promit la mort. Et en souriant heureux d'enfin pouvoir se venger de ceux qui avaient tué ses enfants lui promis de passer sa lame dans son ventre afin d'ôter la vie du pauvre gamin qui si trouvais. Il rit de son acte et rit de son envie elle était la devant lui et sortie en courant de la taverne. Aucune non aucune classe... Qu'attendre de plus venant des personnes qui "pètent plus haut que leurs cul" comme il lui avait gentiment jeté au visage...

Il attendait la nuit avec impatience elle lui avait promis de le retrouver sur les remparts et il n'attendait que ça, pouvoir faire parler son épée et égorger les cochons qui pensaient avoir une chance contre eux.
Ardath
Brèves de l'arrière.

La gamine repart en guerre demain laissant la Moufette seule à panser ses blessures puisque cela semble être le trait commun des femmes, de la Vicomtesse à la gueuse.
Deux plaques de bois ont été apposées de chaque côté de sa cheville maintenues en place par des lanières de cuir. L'attelle est de fortune mais permet à la bourguignonne de se mouvoir presque normalement.
Son pied ne tiendrait pas encore dans un étrier et même au terme des 10 jours ne sera pas capable de le faire de façon académique, talon vers le bas, étrier sur le premier tiers mais qu'importe. Pas son genre les éperons de toute façon.

Elle a laissé le bâton à l'auberge ce jour, elle a quelque chose de nettement moins à son goût : une pelle et une brouette.
21 écus pour récolter 5 chargements de racines charnues elle s'estime bien lotie. Ça doit pas être le cour du marché qui permet à la meunière de la payer grassement : les navets pullulent en Guyenne.

Elle boitille entre deux rangées du potager, salissant son pied par la même occasion : sa cheville n'entre plus dans sa botte. Trop enflée depuis qu'elle a été nommée officiellement Héraut.
Elle se baisse, attrape la brassicacée par les feuilles et arrache d'un coup sec le navet qu'elle place à côté des autres dans la brouette. Elle passe ainsi de rang en rang, courbée, tant et si bien qu'elle fini par se tenir le dos d'une main pendant qu'elle recherche parmi les plantes celles qui sont bonnes à ramasser.

Vers les coups de midi elle a déposé les 5 chargements dans la cabane à côté du potager où elle récupère une pioche.
Consciencieusement, comme si elle s'entraînait pour les mondiaux des fossoyeurs elle bêche la terre. Chaque motte est désagrégée, l'horizon superficiel soigneusement retourné.
A la volée elle sème ce qui sera la prochaine fournée de navets, avec un peu d'excès : les oiseaux ont faim, c'est l'hiver pour tous.

Fin de la journée, elle va s'affaler sur sa paillasse, pas de taverne pour elle ce soir, pas même une prière, le métier d'honnête paysan est sacrement fatiguant ces temps-ci.

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Milite pour que LJD Aurel reprenne le jeu.
Ameliane
Des rumeurs étaient parvenues jusqu'au oreilles d'Améliane, rumeurs désagréables, elle prit connaissance d'une lettre qui l'a mis dans une colère noire


FALCOOOOOOOOOOOOO

Ca ne vas pas non? on ne touche ni aux femmes ni aux enfants nés ou à naitre

Alors mon grand tu prend ton message , tu le mets au fond de ta poche avec ta besace par dessus, et tu te bats avec ton baton, ton épée, comme nous tous.

Nous vaincrons mais avec honneur et classe et pas autrement.

Sur ces quelques mots, Améliane repartit s'occuper de ses grenouilles
Eilith
Et c'est reparti pour un tour.

Héhé... je passe bien un conito, là, hein ?

Enfin, elle peut bouger. Direction les autres, illico. Elle a déjà dit au revoir à Ardath dans la journée, et lui a promis de passer le bonjour à ceux qu'elle va revoir.
Elle se tourne vers sa compagne, et lui explique la situation.

En fait, si on voyage, faudrait pas qu'on me reconnaisse, là. Parce que sinon, ils vont tous nous tomber dessus. Donc, si on part in conito, ben personne saura que c'est moi !

De la paille pour les cheveux, la barbe, camoufler la poitrine, essayer de paraître plus imposante. Elle est parfaite.



Seul souci : c'est que ça gratte, toute cette paille. Et ça change pas la taille. De ce fait, on voit de loin un espèce d'épouvantail de 4 pieds et 7 pouces, les bras tendus, la démarche raide, l'air bien nourri (sachant qu'Eilith est maigre, nous vous laissons le soin d'imaginer à quel point elle a bourré les guenilles de foin), et qui se gratte de partout, sans cesse.
Le poney a eu aussi droit à une séance de torture, crinière brossée et lissée... on dirait vraiment une monture différente. Faut dire que si le Gali ne semble pas apprécier le démêlage de nœuds assez musclé de son humaine, la bière qu'elle lui a donné pour le calmer et le pain à la pâte de pavot ont eu un effet assez apaisant sur la bestiole... combiné au fait qu'il se sente un peu coupable rapport à l'incident des derniers jours, et ça vous rend une carne presqu' autant obéissante qu'un cheval de parade.
Tiens, à propos de pain à l'opium, elle se demande comment à du réagir la Comtesse Béarnaise qui lui en a pris une miche.


L'homme de paille grimpe sur le poney, cale son bâton sur le côté, et reprend épée et bouclier. C'est qu'on sait jamais sur qui on peut tomber, hein.
Elle s'adresse à sa toute nouvelle camarade.

N'empêche, c'est la Fourmi qui va être contente, de te voir arriver.

Eilith regarde la route à prendre, et sourit, satisfaite.
Gali mène la danse, il va donc se montrer assez coopératif. Et surtout, ils peuvent enfin quitter cette ville dans laquelle ils croupissent depuis quelques jours.

Allez, c'est parti !! Et la première armée qu'on croise que c'est pas la nôtre, et ben on la dégomme!
Même si c'est des Gascons, c'est pas grave, on s'excusera ensuite, hein.


Surtout qu'une rumeur court selon laquelle la Gascogne les aurait lâchés, donc elle va certainement pas baisser sa garde devant ses anciens voisins et amis, d'abord.
Mercoeur
Au coin du feu...son et lumière mais paroles pas en l'air...

Luminescence qui vous sonde le cœur d'un homme pour en évaluer ses plus belles résistances
Quelques pas pour faire connaissance mais si peu pour le héler et se méfier de la manigance
Alors portent les vents de l'errance le son d'une voix qui sonne d'une agréable résonance...
Alanysfolle, tenancière et gardeuse de boisson. Par elle passent les chemins de la connivence ?
D'un regard faire sa révérence, manière d'exprimer son arrogance car il n'est pas d'apparence
L'homme est faible devant l'espérance mais le séducteur est aussi fait d'expérience...
La belle est tentation et joueuse sans nuance, et Cartel d'une piqure sur les fesses sait rappeler sa présence...

Un vin de Touraine ? Voilà nectar à partager un jour d'insouciance ! Je suis votre homme messire Falco !
Si votre dame accepte qu'ivresse soit partagé avec un étranger. Il est bien des choses que l'on peut conter autours d'un godet
Joignons nous à ce feu qui s'élève des nôtres que ceux des murs comprennent les mœurs de notre aventure


Autours du feu se joignent les anonymes. Gascons, Béarnais ou autres partagent devant ces murailles la même destinée.
Alors les phrases se font rimes de discours qui portent aux cimes Bordelaises les salutations de leur plus sincère amitié
Ils sont gens de combines, Cartel, Libertad ou Sentinelle, mais demain ils ne seront qu'un seul cri qui portera terreur chez l'ennemi
Lui s'étend sur colombine, échangeant confidences et sourires intenses, gardant les chandelles pour un moment plus intime...

Les terres de Navarre sont autours de ce brasier, c'est ici que tous tracent de nouvelles frontières à leurs rêves
Fraternité des gens d'épée, demain du haut des échelles certains seront tombés et d'autres resteront pour les pleurer
Alors avant de combattre se soucier d'un nom, embrasser un regard pour que quelqu'un se souvienne de son histoire
Elle est belle est désirable, il est le fou qui sur l'échiquier rend ses défenses instables, à chaque regards elle n'est plus la tour imprenable...


Chantons compagnons ! Qu'Aristote s'éveille au lyrisme de notre croisade et que Guyenne trépasse !

Il était une fois cité de paille
D'un souffle nous y trouvâmes faille
Alors nous portâmes malheur en ses entrailles

Il était une fois murailles de bois
De nos flèches brula le feu grégeois
Alors rugirent les cris d'un peuple aux abois

Il était une fois château de pierre
De nos assauts répétés il connu peur et colère
Alors à ses maitres nous leur fîmes mettre pieds à terre...


Le chapeauté s'en retourna au silence d'un breuvage de Touraine qui emplissait son gosier
le Morveux déjà abreuvé le contemplait d'un regard assaisonné au rata frelaté
A ses cotés colombine plus désirable que concubine, alors chapeauté laissa au silence les émotions qui s'expriment....


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