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[RP/IG] La Chevauchée du Val qui Rit

Luckylolotte
Démesure excessive.


Héhé... je passe bien un conito, là, hein ?


La "Duchesse" ne répond rien. Courtoisie oblige !
Pourtant l'idée de voyager avec un travesti l'emballe moyen.
Elle scrute "l'avorton masculin", fier comme un paon sur son poney de compétition.
Elle, flanquée sur Marquis, étalon alezan, à côté .. c'est un peu un cirque ambulant quittant une bourgade pour se rendre à une autre.

Sans compter que la Donzelle ... celle qui se la pète à ses heures ... elle a aussi son lot de trucs bien ridicules pas loin !
Genre un homme à tout faire .. ou presque .. attardé à ses heures, aux commandes d'une charrette, dégoulinante de choses inutiles ! On peut même y voir un cochon domestiqué ...

Alors silence ! Et on avance crânement ...
Faut assumer, elles assumeront.


Le "modèle réduit" lance :



N'empêche, c'est la Fourmi qui va être contente, de te voir arriver.

Sourire qui s'affiche.

Et moi donc ...


Elle se retourne sur Bazas.
L'oeil est mauvais et froid.

Au loin, tout devant : l'aventure.
L'oeil s'illumine ... Que du beau monde à revoir.

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Garzimlebo
Entre fossé et palissades, sieste mouvementée et échanges de civilités

Des jours qu'il s'échinait, enchainant les missives et les directives, consultant les rapports en avalant rapidement un morceau de pain, griffonnant des ordres à envoyer par pigeons aux troupes stationnant dans les différentes villes de Guyenne. L'Ouest lui revenait particulièrement en ces temps de crise, mais les pigeons du Sénéchal traversaient le Duché allègrement et en tout sens... Le dernier dimanche avait été particulièrement éprouvant, et l'officier puisait depuis quelques temps dans ses réserves physiques et morales. Mais l'homme était solide, et ses épaules n'avaient encore jamais ployées sous le poids des responsabilités qui lui incombaient, sur ces terres comme ailleurs. La vie à la rude, personne n'avait à lui en raconter là d'ssus, pas plus qu'on avait eu besoin de lui apprendre à tenir une épée à son entrée à l'Ost de Guyenne... Sa vie, il en avait déjà vu un bout bien rempli avant d'arriver là, et il comptait bien ajouter un chapitre intéressant à la fin de ses aventures militaires. C'était pas pour tout d'suite, non, mais l'Garz était pas d'ceux qui geignaient sans réagir et on l'verrait pas plier l'échine face à une bande d'hurluberlus. Des gars il en avait cogné sur les routes du royaume, et s'il persistait dans l'infanterie, aujourd'hui Sénéchal, c'était qu'il préférait compter sur ses guiboles que se faire botter l'arrière train sur un canasson. Au moins il était sûr que l'enfant maudit qui le chargeait le trouverait à l'endroit même où il était en voyant l'ennemi arriver...

Et il en serait ainsi ce jour-là. La bande hétéroclite de l'armée franche qui était revenue sur Bordeaux le trouverait camper sur ses deux quilles, le regard dur et le menton ferme. Non pas que la peur soit inconnue de cet homme-là, il avait autant à perdre que chacun, plus même si l'on se référait à l'amour profond et à l'amitié sans faille qu'il éprouvait pour la Belle et Ténébreuse Isambre. Ne pas l'avoir revue depuis tant de mois et risquer de la perdre lui coupait le souffle. Mais il sentait le regard d'ambre pesé sur lui, et savait se battre pour une cause plus grande encore que la Guyenne, une cause pour laquelle ils luttaient depuis tant d'années...
Et ses soldats... Ces chiens de Boulets en avaient occis plus d'un, et pas dans un combat loyal. Raison supplémentaire pour tenir... Ils les avaient remuer, leur avaientt imposé des marches forcées... Le Sénéchal comme le reste de l'État-Major se devait à présent de faire bonne figure. Ça on lui avait appris... Du temps où il se faufilait dans les bandes de pillards pour déjouer leur plan, il avait au moins retenu cette leçon : le masque du visage est une façade qui vaut tous les remparts du monde.

Alors il allait calmement, prenant le temps de parler à chaque défenseur, s'intéressant à leur famille mais sans trop : faudrait pas avoir l'air de s'renseigner sur les adresses où envoyer les médailles... Et à tous il finissait par rendre le sourire, jovial à l'excès qu'il était. Les officiers royaux l'accompagnaient bien souvent et entre deux discutions avec les troupes de défense, ils échangeaient sans faux-semblants. Garzim s'était juré, plus à lui-même qu'à Elorane, que l'enfant qu'elle portait ne verrait pas d'autre lame que celle de sa mère tant qu'il serait debout. Le Maréchal semblait d'accord sur ce principe...


Après avoir donner quelques dernières instructions, manière de garder les hommes occupés, Garzim passa les palissades élevées en hâte, puis consolidées quelque peu, et s'allongea entre le fossé et les "remparts" de bois... A ceux qui lui demandèrent ce qu'il faisait, il répondait simplement :

J'fais la sieste n'didjiouuu ! Et j'veux pas rater l'attaque... s'ils s'amènent, j'serai vite averti.

Mais sans lui laisser le temps de s'assoupir, un braillard d'en face se mit à en pousser une... Aux termes employés et à l'orgueil qui en ressortait, il reconnut le Falco, celui qu'avait choisi, bien mal, l'inconsciente Ameliane pour Porte-Parole depuis le début de cette histoire. Souriant tant pour lui-même que pour composer le masque qu'il souhaitait exposer à ses hommes sur les barricades, le Sénéchal ne bougea pas tout de suite... Puis, dans un long soupir, l'officier se releva doucement avant de se diriger vers une petite hauteur qui faisait face au camp ennemi, sur l'autre bord de la Gironde... Prenant le temps de l'inspiration, Garzim commença :
Falco, Falco !
Mais sa voix ne suivit pas, et e Sénéchal dû faire aller chercher une bonne chope avant de reprendre clair et haut :


Falco, Falco !
Qui jamais ne dit mot,
Falco, Falco !
Avant de poignard planter dans le dos...
Falco, Falco !
Qui n'a de cesse de clamer bien haut,
Falco, Falco !
Sa rage de n'être qu'un veau ...
Falco, Falco !
Que dis-tu, Ami Corbeau ?
Falco, Falco !
Au tas d'os, tu préfères l'image du veau ?
Falco, Falco !
Entends-tu cet oiseau ?
Falco, Falco !
Car demain à Bordeaux,
Falco, Falco !
Par son bec, Sac d'Os pour l'éternité sera ton lot !
Falco, Falco !
Falco, Falco !
Écoute, retiens : voici GarzimLeBo !


Sur la fin, il voulut tirer l'épée et la brandir face à son ennemi, mais la chope lui occupait toujours la main et il se dit qu'à bien y réfléchir, cet objet le représentait aussi bien que sa lame... Aussi l'éleva-t-il en un toast adressé à cet homme, quelque part au milieu de ces tentes, qui l'entendait et qui n'oublierait pas.

Post écrit durant le "changement de journée" IG

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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con.
Isambre
Les petites pattes frémissantes sautillèrent d'excitation sur la terre à moitié gelée. Repliant ses ailes frigorifiées, le volatile considéra la scène de ses yeux volubiles. Devant lui, se trouvait enfin le terme de cet harassant voyage dont on l'avait chargé.

Un sursaut terrifié secoua Pouicpouic, alors que le Maître commençait à beugler aux quatre vents. Il tenta de prendre la position du caillou, qu'il apercevait à ses pieds. Cou rentré et plumes disciplinées autant que possible dans les bourrasques, il attendit la fin du discours enflammé du Maître.

Un instant il resta indécis sur la conduite à tenir, mais avisant d'un regard jaloux la chope que le Sénéchal tenait, Pouicpouic n'hésita plus. D'une patte conquérante il s'avança vers le Maître, battant de ces griffes volontaires la petite butte où il avait atterrit. N'ayant plus le courage de voler jusqu'aux épaules de Garzim, il entreprit avec opiniâtreté de picorer ses bottes fangeuses.

Tout à sa tâche, il ne prit pas conscience de la légèreté de sa patte. Seul un ruban vert la striait désormais, au lieu du lourd message qu'on lui avait attaché.
Bien loin, un parchemin coloré d'une myriade d'arabesques et de signes déliés, flottait souplement dans le ciel de Guyenne. Message perdu! Le volatile commençait à se faire vieux...
Eilith
Retour parmi les tueurs de Boulets.

Voilà, Lucky, on est arrivées !!


Elle saute de son poney, de la paille partout dans les cheveux, et se précipite vers ses compagnons.
On est de retour !! Et même qu'on a pas fait de mauvaises rencontres, à part vous.
Elle sourit un peu, et continue.
Faut dire que vous on vous voit de loin, hein? Ah, et j'ai fait ce qui était demandé !


Elle retourne vite fait vers Gali, et sort un espèce de bout de tissu, composé de diverses étoffes qu'on devinait provenant d'étendards, avec le fil qui traîne encore un peu. C'est cousu grossièrement, mais elle a mis du cœur à l'ouvrage... heureusement qu'elle a reçu des aiguilles en cadeau de la part de son cousin.

Tadaaaa!

Elle brandit la chose.


Alors, c'est beau, hein ? Même que j'ai mis du temps à le faire, entre deux prières.
Disons aussi que ça aide à s'occuper dans une ville moyennement morte, d'avoir un truc à finir. Et heureusement qu'elle avait ce genre d'atelier couture, pour tenir le coup.
Falco.
Bordeau- Sa Garonne

Rhooo! Améliane! Si on peut plus rigoler avant de se taper dessus..Grumph..


C'était un peu prévu qu'on râle avec ses menaces d'empalements de bébés.
Mais c'est de bonne guerre d'abord!
On promet des abominations, des fois que ça marche..Et puis pourquoi s'embêter à se comporter noblement?
Le Poitou a officiellement rasé l'Anjou. L'Anjou la Touraine, et ainsi de suite.
Doivent t'ils être plus francs et droits que les Ducs?
Il regarde le fond son verre avant de le jeter au feu.
Ameliane a raison bien sûr.
Cela participe même de ses valeurs profondes.
Mais les Nobles de Guyennes ne méritent pas beaucoups d'égards. Non seulement ils ont plongé leur terre dans la ruine mais en plus creusent chaque jours encore la fosse commune.
Le quart de ceci ne Gascogne ou Béarn et ils se balanceraient au bout d'une corde.Comme des gueux.

Le présent d'Eilith le touche au coeur.(Si il a un coeur! Rhooo!)
Il étend l'etoffe devant les flammes, la fait miroiter.
Note avec plaisir qu'il reste de la place pour ajouter des trophés.

Quand tu seras une Dame je te ferai la cour! Ah!Ah!

Ainsi les heures s'écoulent alors que les defenseurs de Bordeaux luttent uniquement contre le sommeil. Que vers Cahors une Armée approche, qu'à Marmande les lances se massent. Qu'on signale déjà des éclaireurs.

Et l'armée Gasconne qui n'apparait pas!
Cavalerie deteste perdrel'initiative et l'espace.
Aprés un dernier godet il va se plonger dans ses relfexions au bord de la Garonne.
Tirer des plans, modifier selon les contraintes.

Demain il lanceront un raid afin d'affamer la populace.

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Tableau de chasse de Guyenne:

Enorig
Elle avait chevauché longtemps depuis Montauban ne laissant sa monture se reposer que ce qu’il fallait. S’arrêtant pour acheter miches et autres denrées pour les assiégés. Elle avait eu de la chance de passer sans encombre malgré les hommes présents partout dans les plaines de Bordeaux. Des rires et des éclats de voix l’avaient arrêtée bien des fois. Des cavaliers semblaient prendre la même direction qu’elle mais avec moins de précautions comme si ils ne craignaient rien. Il faut dire que l’armée d’Alexandre n’était plus qu’un lointain souvenir, bête qu’il avait été de foncer dessus. Et pourtant elle l’avait mis en garde mais son tempérament et sa jeunesse avaient oublié toute prudence.

Elle avait bien ralenti l’allure en arrivant sur la capitale et elle avait attendu sagement la nuit. Sa taille, son mantel sombre et la couleur brun foncé de sa monture avaient facilité les choses. Le nom de sa nièce la protègerait sans doute mais elle ne voulait pas s’en servir. Elle reparlerai d’ailleurs à sa nièce de tout ça quand celle-ci reviendrait de Sarlat. En attendant elle était dubitative sur les discussions auxquelles elle avait pris part ces derniers jours…. Elle entendait de ci de là les invectives des uns et des autres. Moqueries, railleries, menaces et provocations fusaient de chaque côté comme si l’un cherchait à impressionner l’autre.

Tout ceci lui rappelait Angoulême ou elle était il n’y a pas si longtemps et ou elle avait encore une fois fait couler le sang. L’armée…. Elle la fréquentait depuis ses douze ans quand son père et ses frères l’avaient emmenée bien malgré eux. Depuis elle avait eu les meilleurs professeurs du Royaume, y compris dans sa propre famille avec Barbu et Oya, elle avait même été un moment dans l’armée des 45 à ses débuts et dédiée ensuite à la garde rapprochée d’Armoria. Et son fils avait bénéficié aussi des leçons, placé sous les mêmes professeurs. Elle avait pu ainsi parler sans avoir à rougir à des capitaines rompus et expérimentés d’égale à égal.

Pour le moment elle était parvenue à Bordeaux sans tambours ni trompettes, seule comme à son habitude, les miches bien à l’abri dans un sac. Elle avait renvoyé sa monture dessellée dont elle n’aurait pas besoin et qui saurait retrouver son chemin. Après avoir caché la selle elle s’était dirigée vers le castel à pied se cachant parmi les arbres et bosquets, dieu merci encore assez nombreux. Il faudrait d’ailleurs dire à Jeroen de découvrir tout ceci pour la sécurité. Un garde à l’entrée du castel avait surgit sans prévenir devant elle, silhouette menaçante dans le noir. Elle avait eu un sursaut, s’attendant à être transpercée, mais le blason sur son uniforme l’avait rassurée. Elle se déclina et ses armes, pour le voyage cachées, lui furent présentées. Elle pu ainsi pénétrer sans encombre dans le castel.

Il lui faudrait peu de temps pour voir la situation habituée qu’elle était à ce genre de crise. Elle devait déjà voir Salah et Jeroen, ensuite la Cac aviserait sur ou elle devrait aller.

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Cesaire_h
Bordeaux, peinard devant une ville ruinée


Ca faisait plusieurs jours qu'il suivait les manoeuvres, discret à son habitude. Ce matin là après avoir intercepté tout le pain frais à pris abordable de la ville, il matait avec un sourire sur les remparts. Ceux qui à grands frais pour leur comté déficitaire défendaient pour rien...
Aucun assaut.

Par contre la cité etaient bel et bien assiègée. Déjà les vagabonds et autres gueux devaient donner signes de fatigue, voir pire..C'etait le lot commun de tout siège.On peut en sortir, rien ne rentre.

Sauf un groupe cette nuit là. Il se tourna vers l'est, là où ça se rameutait groupés en attendant une armée du Rouergue...Qui n'arriverait pas, ou trop tard dans tous les cas. Il sourit froidement dans l'aube naissante...

Il mordit à belle dents dans la miche dorée, ecoutant sans sourciller une chanson du cru et regardant de nouveau vers les remparts. Pas à dire le Falco à la côte...A croire que tous les maux du monde sont de son fait..
Calme, silencieux, une goulée de floc pour faire passer la bouchée de pain tout frais, moelleux à souhait...pas son truc à lui de donner dans l'égosillement.
S'il fallait trancher dans de la femme grosse jusqu'aux yeux pour entrer en ville il le ferait. Pas par plaisir mais l'ennemi est anonyme. Apres tout c'etait pas leur place, foutu monde où même engrossées de huit mois, on les voyait encore chevaucher canassons ou brailler armes brandies...A quand des bébés tenant épées où à tête d'armées...

Il semble que la provocation soit à l'honneur histoire de faire frémir le defenseur, Césaire, s'occupe de ses armes, miche engloutie. Apercevant une Fourmi munie d'un caillou pas si loin...
L'homme prudent se méfie à tout le moins...La fréquentation de cette dernière peut se révéler dangereuse...Déjà qu'il faire gaffe à ne pas ecraser une grenouille dans ses déplacements. Foutue armée, avec ces cas, ses originaux, ses Béarnais qu'il observe aussi. Gens pour le moins disciplinés, discrets aussi, y a du contraste dans les rangs.

Le voilà reparti inspecter les lignes de piques placées devant la ville, et constate qu'en effet une portion est à réparer...
Une Eilith aux allures de garçonnet...
Et une invitation qui ne se refuse pas, il a bouclé son planning pour la journée. Reçu les infos sur Villefranche et tout ce qu'il fallait...Y a plus qu'à..
Que le Falco l'oublie pour la journée, Césaire prend un demi RTT, histoire de se detendre un peu.
Une Paluche qui vous tombe dessus dame Fourmi...Il apprécie la proximité, si on pouvait différer l'assaut, il dirait pas non.


J'ai entendu ouaip...Tu fais quoi avec ce caillou ? Hum ? Une envie de m'assassiner encore une fois ?

Bien sûr il plaisante, mais cela ne se voit pas.
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Ermesinde
Econome de gestes et de propos elle l’était à cette heure où le crépuscule tombait , faisant danser les ombres . Le ballet se poursuivait et Falco, en chef d’orchestre se démenait comme un beau diable , lançant furieusement les trompettes de la renommée dans la fosse . Elles n’étaient d’ailleurs pas si mal embouchées …

Le premier coup de cymbales lui avait pourtant explosé le tympan :


A la Dame de Libertad qui est venue se chauffer au Sud!


Si tous les coups qu’on lui avait assénés jusqu’à présent n’avaient fait qu’entamer son corps , une onde de choc venait enfin de la traverser et d’atteindre son esprit . Tandis que la silhouette osseuse continuait de s’agiter s’ opérait dans l’obscurité un changement de décor . Les morceaux de la toile de fond se modulaient et les yeux d’absinthe de la libertadienne voyaient leurs pupilles se dilater, captant l’éclairage de la scène . Ses souvenirs s’éveillaient enfin ...
L’heure n’était plus aux contes même si celui de Colombine qui se jouait un peu plus loin était fort joli . De Pierrot il n’y avait point , pas plus que d’Arlequin mais la Comedia dell’ Arte s’arrangerait avec les chapeautés .

Le dénouement , lui , approchait …

Lâchant la poêle des mains, elle se redressa soudain . La longue houppelande noire faisait un contraste saisissant au teint soudainement pâle d’Ermesinde . Elle ramassa le bec de corbin qu’elle avait laissé à terre puis esquissa quelques pas pour se rapprocher du groupe . Un crapaud qui vint la surprendre d’un bond fit les frais d’une soudaine nervosité : le marteau de l’arme d’hast vint exploser le corps du batracien aventureux .
La devise qui était gravée sur le manche ne serait pas démentie :


* FI DES POILS ET DES PUSTULES *

On pouvait être guerrière et esthète avant tout .

Cependant, afin d’éviter tout incident … diplomatique … son forfait accompli , la botte de la combattante vint dissimuler la vue du cadavre aux yeux de tous .


L’attente ne sera plus longue. se contenta-t-elle de dire laconiquement à ceux qui contemplaient leurs verres à moitié vides .
L’aube nouvelle est proche .
Et on ne dérive plus au bord de la Garonne .


Elle était femme de paroles : elle ne renierait aucun de ses engagements. Lorsque les fonds des derniers godets se furent asséchés , elle alla s’allonger sous un tremble , jouant de la main avec les premiers chatons qui apparaissaient en cette fin d’hiver . Elle y passerait le restant de la nuit, , gardant à portée de mains son arme .

Vigilance était de mise … Elle survivrait quoi qu’il advienne . Le regard était déterminé :

les Pustuleux n’avaient qu’à bien se tenir .

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Cymoril
Erf...
L'avait pas capté la Fourmi que c'était d'Hermine qu'il causait le Falco, quand il parlait de Libertad.
Pas qu'elle les aime pas.
Juste qu'elle a des relations bizarres avec.
Un Fab qui lui passe son épée à travers le corps et lui offre son canasson un mois après.
Un Doc qui a éloigné d'elle la gazelle.
Et d'autres...

On va pas se formaliser des origines diverses et variées des individualités qui composent la troupe non plus. Ce serait d'un chiant s'ils étaient tous du même moule.

Par contre, si elle apprécie grandement la présence du spassadin, elle tique un peu sur sa dernière phrase.

S'en suit la minute décrochage inopinée, celle qui s'impose chaque fois qu'on lui demande rien, de plus en plus souvent pour cause de trop grande sobriété de la demoiselle.

"Nan, mais pas loin, une baffe dans la trogne, ça te botte?" Rho^^ la Voix...
"Quoi ? Il me cherche là?" Nan, c'est moi... c'est drôle tu trouves pas... 'fin moi j'trouve pas
"Ouais, ben qu'il m'titille pas trop quand même, sinon l'caillou va prendre un chemin assez curieux et il risque d'avoir du mal à t'nir en selle après !" River... Ta gueule... J'suis pas d'humeur pour tes conneries.
"Pfff... dès qu'il s'agit de lui t'es contre moi hein !" Forcément la Voix, t'exagère aussi.

Ceci dit, elle lui en collerait bien une. Au spassadin.
Alors on en est là, une vieille histoire dont elle ne porte même pas la responsabilité, ça lui apprendra à suivre les ordres à la Fourmi. On va p'têt ressortir la donzelle rouleuse de pelle de derrière les fagots bientôt à ce compte là. Ou autre chose...
Il plaisante p'têt, mais elle en sait rien, et s'il est pas foutu de voir à sa mine défaite qu'elle est pas au mieux de sa forme..

Sourire de façade affiché, le masque de bonne humeur est recomposé. Elle lui adresse même son plus beau sourire. Faut dire qu'elle est prête à n'importe quoi pour satisfaire l'homme tranquille.


Un caillou? où ça ?" Même pas foutu de reconnaître une pierre fine d'un vulgaire morceau de calcaire." La Voix, casse-toi j't'ai dit.
T'assassiner, moi ? Du tout, m'enfin... Et toi ?

Nan mais c'est vrai quoi ! Ca frôle la paranoïa... Déjà qu'elle se retient de beaucoup d'choses pour cause de grand public, comme se jeter dans ses bras ou autre chose gênante du même acabit. Comme elle la ferme alors qu'elle aurait tant à lui dire.

Dernière soirée avant l'aube rouge alors ?
Autant en finir au plus vite, toute patience ayant ses limites, celle de la Fourmi à l'égard de la Guyenne arrive proche du terme.
Et une envie de reprendre un peu la boisson, aussi, il l'a mise à la tisane, elle y est restée, obéissante, mais là... c'est long...
Va falloir qu'elle trouve rapidement un palliatif, du genre un truc à dégommer vite fait bien fait, n'importe quoi plutôt que cette inertie.


T'en as pas marre de rien faire à part piquer mes miches de pain sur le marché ?

Quoi que s'il a la bourse bien pleine, un petit tour sur un noeud... en tête à tête... genre de retrouvailles... ça laisse rêveuse, mais non, y'a tout ce qu'il faut dans l'héritage qui l'attend à la maison. Suffit juste de pas arriver en retard sinon il risque de passer dans la colonne pertes et là, elle serait vraiment de mauvaise humeur de voir sa bourse d'études lui passer sous le nez. Sinon le tête à tête elle n'a rien contre même sans la bourse.^^
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Falco.
Les tantes ça craint

Ils chantent moins dedans...A VOTRE SANTE LES BORDELAIS!Ah!Ah!
Il sait que réaliser un blocus complet d'une capitale avec une vingtaine de gens d'armes c'est faire un barrage avec une cuillére à miel.
Mais la réciproque est vraie.
La poignée de défenseurs ne peut surveiller chaque accés, il se contente de proteger le pont et la porte sur la Garonne, le chateau Ducal..L'Hotel de ville.
Le reste est à leur merci.
Le marché a été razzié, les ventes sont faites à des sommes folles, sous le manteaux.
Ses rapports rapportent une mortalité énorme des bordelais.
Faut dire qu'avec des mines souvent fermées, un lac éxigeant du muscle..Et peu ou prou de champs..

Mais le hiératique oiseau de proie n'aime pas les siéges.
Cavaliers, plus tard cela donnera le mot "Raider".

Les atermoiements de la Gascogne puent la trahison. Si les Guyennais n'étaient si mauvais, leur troupe serait déjà acculée et passée au fil de l'épée.

Pieds crochés sur les berges il regarde les barcasses enfins prêtes.
Cornelio a disparu. Sans doute a t'il poussé le vice à se faufiler en ville trouver des rames neuves..

Une autre nouvelle remonte le fil de ses compagnons .
Les défenseurs s'épuisent.
L'attente use leur volonté, leur fait prendre le risque d'être moins aux aguets.
A chaque fois la même chose.
On vous tueras tous! Plutôt la mort que la Saumure! Pour l'honneur!etc..

Un galet file et ricoche septs fois (C'est qui le patron?)
Améliane a tantôt donnée son accord.
Un peu d'exercice pour la troupe et d'animation pour les assiegés.

Il se retourne et dit, voix tranquille.

Ciel clair, ils doivent voir loin sur la plaine..En selle! Montrez leur ce qui les attend!

Sur la route de Bazas , ou nulle armée Gasconne n'arrive, des gens approchent.
De celle de la Teste de Buch aussi..Et du Nord..
Victimes envoyées en sacrifice.
Il regarde les premiers guerriers s'éloigner à brides abattues.
Vers la cité il murmure.


N'en perdez pas une miette..Pas une

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Tableau de chasse de Guyenne:

Eilith
Premier combat (un vrai)

Bordeaux, ville naissante, et déjà à l'agonie. Le marché est pillé par les copains, même quand c'est eux qui veulent faire des transactions.
C'est dire, à peine elle met du pain en vente sur le marché que Cesaire s'est empressé de les lui piquer. Et ne parlons plus de cette histoire de caillou... Du coup, ce qui au départ était juste un effort de sociabilité, à savoir, donner son bâton en rab à Cornelio, est devenu une véritable croisade.
Et on attend une heure creuse au marché, et on se concerte pour l'envoyer se précipiter, et on chope une miche dorée... Oui, mais. Mais.
Son visage souriant se crispe à cette pensée. Cette andouille a préféré acheter un bâton vendu cher plutôt que lui prendre le bâton qu'elle lui donnait gentiment! Et il a ensuite sorti
"pas grave, je garde celui-là". Après tous ces efforts, il ose refuser son bâton ? Qu'on vienne pas dire qu'elle y met pas du sien, même Simone s'est inquiétée de la voir lui adresser la parole! Eilith est donc un peu -beaucoup en fait- contrariée.

Et Gali qui enfonce le clou. Il a refusé de bouger, la fixant d’un air inquiet. A croire qu’il a été traumatisé par la dernière fois, il ne veut plus se mêler de ce genre de choses. La voilà donc obligée de le laisser à l’écurie, bien visible au milieu de cette ville déserte.

Citation:
Lance de Eilith - Sur autorisation


La jeune fille est donc crispée, contrariée, mais garde tout de même son éternel sourire sur le visage.
Puis, la vision d’un groupe au loin.

En selle! Montrez leur ce qui les attend!

Humpf, elle veut bien, mais elle a plus de monture, la Châtaigne, la sienne fait grève. Tant pis, elle saute sur le premier cheval venu, en espérant que son cavalier soit pas trop...euh...cavalier, justement.
Sauf qu’elle s’en moque un peu, concentrée sur autre chose. Son corps qui se tend, sa respiration qui devient saccadée. Ça y est, ils sont tout près.



Clic.
C’est le son qui se fait entendre dans son esprit.
Elle ne ressent plus rien, et ne commande plus rien, aussi. Ses jambes évitent d’elles-mêmes le premier attaquant, le laissant aux autres.

Oh, quelqu’un. L’épée qui s’abat toute seule. Oh, un autre quelqu’un. Oh, là aussi. Et puis là, encore un.
Elle ne fait plus attention à ce qui l’entoure, son arme qui se lève et s’abat toute seule.
Ah, quelqu’un crie. Ah tiens, c’est moi en fait.
Elle assiste à son propre combat, sans y prendre part pour autant, regardant son corps faire tout le boulot tout seul. La pucelle en vient à douter que c’est elle qui se bat, d’ailleurs.

Eilith met ensuite quelques minutes à bien saisir tout ce qui vient de se passer, à regarder les corps, et à admettre que, oui, c’est bien son épée qui est tâchée de sang.


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Mariejane. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Mariejane. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Mariejane.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Sindan. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Sindan.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Flomysterio. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Flomysterio.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Obakhan. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Obakhan.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Shinoh.


A nouveau les sons lui parviennent clairement, et Eilith prend conscience de ce qu’elle a fait. Elle s’en vantera pas. Ne s’en mordra pas les doigts non plus. C’étaient les ordres, elle a obéi, point.
Elle desserre les doigts autour du pommeau de l’épée, un à un. Au moins, ce combat lui aura permis d’apprendre à mieux se battre. Il avait raison, Messire Falco, de dire qu’elle apprendrait sur le tas.

Citation:
12-02-2009 05:11 : A force d'entrainement, vous dominez un peu mieux votre corps (+1 point de force)



Juste que maintenant, elle se sent affaiblie, et lasse. Elle retourne à l’hôtel, et s’affale sur le lit. Pour une fois, la jouvencelle n’a aucun mal à s’endormir, et plonge dans un sommeil sans rêve. Demain elle va avoir des courbatures, elle sent.

Citation:
12-02-2009 05:14 : Vous avez passé la nuit à l'hôtel (coût : 1,00 écu).
Vous êtes fatigué.
Cesaire_h
Circulez y a rien à voir...

Ouaip, il a humour à chier c'est certain...Césaire remarque la fourmi tiquer, à croire qu'elle a même fourmis dans la main...Il se demande ce qu'il a encore dit, cherchant une phrase bien. Une phrase agréable.

Moi ? Nope..Même si j'y ai penséquand j'ai vu les thunes de ton présent s'envoler..Avant le jour J.

Voilà une phrase gentille ou il ne s'y connait pas. Il y rajoute même un compliment. Laissant de côté le caillou brillant il poursuit.

Content de te revoir. Tu sens...hum..le propre et frais pour une boulangere à tarifs prohibitifs.

Un sourire...Il s'enfonce à coup sûr, faut dire que la Fourmi elle a de quoi lui retourner le cerveau. En même temps placer du pain en ville assiègée...Par contre pour le tête à tête sur un noeud c'est définitivement exclu. Pas à y revenir, il est trop poisseux. Il dira pas sa colère et son dépit de se retrouver fauché...Pas même l'écu pour le bolduc.......
Pour le moment il se contente de passer un bras autour de ses épaules.


Si j'avais rien à faire, je serai pas si invisible...On fait avant garde ?

Dit il encore en l'entrainant vers un coin un poil discret, s'arretant soudain net, faisant fi des présents. Il la regarde, satisfait de la savoir là, sachant pourquoi surtout. Elle a visage parlant la Fourmi, Césaire se penche pour l'embrasser. De toute façon vaut mieux qu'il se la ferme.
Et c'est à ce moment là que ça surgit.


Bordel!

Pas moyen d'être peinard. Il fait un écart la gardant contre, l'épée sortie.
Faites pas chier...



Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Obakhan.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Shinoh.



Rhhhaaaaaaaaa! On degage...

Ca détale en sens inverse, à gromellement féroce, le regard assassin, allant se vautrer sur les lames des potes plus loin, il doit avoir l'air mauvais Césaire contrarié dans ses projets. Il va pouvoir reprendre...

Nous voilà peinard...Tain...Fais chier lui..

Pas moyen.

Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Flomysterio. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Flomysterio.


L'epée ressort avec sa giclée et son bruit spongieux. Le gars s'ecroule, il devrait apprendre à pas deranger quand c'est pas le moment...Personne n'entre plus dans cette capitale...
Maintenant Césaire croit en un répit, on va peut être pouvoir...Reprise donc. Vrai qu'elle sent bon, surtout là dans le cou...



Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Mariejane.



Sa raaaaaaaaaace! Tu vois pas que je suis occupé là...T'es pas mon genre de laideron..

Une donzelle, comme une fleur. Fauchée. Lui il garde le bras à sa taille, le ballet est plutôt drolatique.

Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Mariejane. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Mariejane. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Mariejane. Ce coup l'a probablement tué.


Le pied botté la renvoit à grand coup dans le fondement à l'opposé.

Par ici, les copains s'ennuient. Ca les occupera.

Il reprend son observation, l'arme sanglante cette fois çi c'est la bonne...

On en etait où ?

Citation:

12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Sindan.


Césaire soupire, décidément poisseux, haussant les épaules, resserant son etreinte...

Je te le laisse la Fourmi. Ferme les yeux, lame à dix heures.

Césaire lui l'embrasse enfin pendant qu'elle l'embroche l'emmerdeur si ça la tente. Apres avec du bol on sera enfin peinard. Si la fatalité veut bien lui lacher un peu les bottes...Frustré l'homme tranquille.
Un couple enlacé sur le terrain, des corps fauchés, imprudents voyageurs...

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Cymoril
Cours de danse… synchronisée^^

Moi aussi, tu m’as manqué… Sachant pas bien pourquoi elle le précise, à coup sûr ça se lit sur son visage.
J’savais que t’apprécierais mes miches… Elle parlait de pain évidemment, mais au moment même où les mots sortent de sa bouche elle se rend bien compte du double sens de ses propos. D’où le rougissement intempestif qui s’en suit.

Quelques pas plus loin, le rapprochement... enfin… l’effet jupe.

Et s’il se contente de brailler sur les deux premiers gus, la Fourmi elle, ben ça l’agace qu’on essaye de trucider son compagnon. Sitôt à portée, sitôt zigouillés. Pas croire, l’est pas bien haute, mais c’est pas pour ça qu’elle se laissera faire non plus.


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Shinoh.
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Obakhan.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Shinoh. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Shinoh. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Obakhan. Ce coup l'a probablement tué.


Y’a des moments mal choisis pour emmerder le monde aussi. Sa lame aussi rougit à la Fourmi.

Le suivant profite de leurs bons soins dans un joli pas de deux. Sans appel, à dégager.


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Flomysterio.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Flomysterio. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Flomysterio. Ce coup l'a probablement tué.


On va finir par perdre le fil avec tous ces importuns. Quoi que, non, pas d'risque. Il a des yeux son spassadin… A vous faire oublier qu’on est en plein champ d’bataille… Et le nez dans son cou...

Ca t'plaît ? un truc à la rose... cadeau d'une bohémienne qui veut m'transformer en vraie femme!

Sauf qu'une donzelle s’annonce en vue, alors qu'on est en pleine conversation…

Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Mariejane.


Hey, pas touche ! Un hachis de greluche sous les remparts de Bordeaux… Tain, en plus c’est salissant cette histoire… Ca gicle, éclabousse… Faut dire qu’elle insiste à venir se faire étripailler la donzelle en question.

Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Mariejane. Ce coup l'a probablement tué


Bon, enfin tranquilles. Erf, non.
Un p’tit dernier avant le baiser. C’est qu’ils sont insistants…


Ouaip, j’prends… Baisse la tête surtout !^^

Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Sindan.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Sindan. Ce coup l'a probablement tué


De toute façon, y’avait pas grand risque pour sa tête, baissée elle l’est forcément pour l’embrasser… Calme revenu, morne plaine, on avait prévenu que l’aube serait rouge pourtant. Tout est mort… Pas eux... Eux, profitent de l'instant.
_________________
Ptitefleur2006


[Sous les remparts de BORDEAUX]

Fleur avait sommeil, elle s'en fut sous sa tente.

Elle se prépara à dormir quand soudain un bruit de cliquetis et de chevaux mirent ses sens en alerte.

Rapide comme l'éclair, elle se revêtit de sa tenue de combat, s'arma de son épée et de son bouclier et sortit de sa tente.

Un sacré remue ménage avait lieu sous ses yeux.

Qui attaquait qui?

Nul ne le saurait jamais... elle se mit en position de défense... quand soudain une lame s'abattit sur son bouclier.


Mais c'est quoi ce bordel? dit-elle tout haut


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Shinoh.


Elle vit qu'un homme l'avait attaqué!

Depuis quand les hommes frappent les femmes, pfff!

Elle se mit en position de défense et para chaque coup qui lui était porté.


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Shinoh. Ce coup l'a probablement tué.


Un de moins! À qui le tour?

Elle n'eût pas tôt fini de dire ces paroles qu'une autre lame essaya de la transpercer.


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Obakhan.


Elle para l'attaque et donna coup sur coup.

Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Obakhan. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Obakhan. Ce coup l'a probablement tué.
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Obakhan. Ce coup l'a probablement tué.


Encore un homme, décidément la galanterie se perd... à croire qu'il vaut mieux se servir d'une épée que de parlementer.

D'autres attaques suivirent et Fleur réussit à se protéger, assenant un coup mortel à un de ses adversaires, encore un homme, pfff.


Citation:
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Flomysterio
12-02-2009 04:34 : Vous avez frappé Flomysterio. Ce coup l'a probablement tué
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Sindan
12-02-2009 04:34 : Vous avez été attaqué par Mariejane


Pour les deux derniers adversaires, un de ses camarades s'en chargea.

Une fois, le calme revenu, elle se laissa tomber sur une pierre et fit le compte, 4 hommes l'avait attaqué contre une femme... l'avait-on pris pour un ours, elle qui avait une taille si svelte et dont la blondeur illuminait la nuit?

La prenait-on pour si cruche que ça?


Bordel, le prochain qui ose lever la main ou l'épée sur moi je l'embroche! À bon entendeur salut!

Sur ces derniers mots qu'elle avait prononcé à voix haute, elle s'en fût sous sa tente.... mais l'adrénaline l'empêcha de dormir... pfff plus moyen de dormir tranquille...

_________________


































Mercoeur
Tagada tagada voila les Dalton.....

Conter fleurette va un temps, les mirettes sont brillantes et dame noisette charmante..mais vient l'heure de La Belle
Quand on se la pète y'a des choses qu'on ne peut refuser à si fidèle partenaire de scénettes
Il la sent impatiente à la ceinture, glaciale comme sait l'être son métal quand vient la cavale
Affutée et prête à revendiquer ses droits sur les moindres râles, la main sur le pommeau en geste rassurant et amical.....

Feu éteint, tantine à pris le bon train...En espérant qu'elle à pensé à l'aspirine..ça sent le festin de rapine
Un chapeauté ça n'aime pas poiroter du fer à mendier..Va allé se servir lui même l'allumé...
On a plié la charcutaille, rebouché les savants breuvages et on fera de ce premier repas de Navarre un vieil adage...
A la trahison des félons qui abandonnèrent Navarre dans ses premières convulsions.....
A gens de Guyenne courageux qui par leur obstinée bravoure lui donnèrent sa raison d'être pour toujours...

Le Gascon envoie la consigne ! Lâchez les hordes de guenilles et que martèlent les sabots qui trépignent.
Pour une fois il sent qu'il va obéir juste histoire de sentir ce sentiment qui en lui le fait frémir..
Alors terre se fait tremblement tandis qu'en face on sort de son camp !
Cri de guerre dans la plaine, entendu sur bien des lieux de l'enfer ! Version Mercoeur passe son bac pro de bretteur


YIPEE KI YAY !!!!!!

Nestor... c'est Une révolte ? ..Non sir...C'est une révolution....

On dépasse Bonnie and Clyde en avant- garde qui semblent en finir avec un Contentieux à régler sur le coup trop élevé de la farine à leurs yeux...
Normal..Les bons comptes font les bons amis mais ceux qui s'en viennent en face vont peut être pas être d'accord avec le bilan annuel..
la viennoiserie à augmenté et la boulangerie est fermée....Z'ont enclenché le système de sécurité qui dit pas déranger....

Devant lui ce n'est plus un pont mais une estrade pour à cheval sauter au delà de l'horizon !
Distance qui se raccourcie entre lui et les portes de l'ennemi, derrière dans le camp c'est la boucherie..
Semblant quand même plus saignant du coté des plaignants que des assaillants..
Au devant une rivière ? un pont ? un fossé ? des murailles ? Des portes ? Une cité ? Une tantine réfugiée ?
J'arrive plus à me repéreeeeeeeerrrr !!!....Tant pis …
Un Mercoeur c'est un alchimiste au grand cœur...qui invente avant l'heure...
Ça à toujours quelque part un truc pour se la péter sans être en retard...
Un Chapeauté qui arrose ça vous renvoie un Jack Sparrow sur les rayons de la bibliothèque rose...

Attention ...y' a HD diffusion....

Alors d'une main mettre le silex entre les lèvres puis glisser sous la gabardine les deux manettes à gourgandines..
Sourire psychopathe au visage à les ressortir avec deux grenades avant gardiste mais qui sauront être explicites...
Craquage du silex sur le pommeau de la selle en métal uniquement prévu à cet égard ! Étincelle même pas rebelle !
Puis d'un épaule et jeté choisir...Le fossé...par respect pour l'effort fourni et parce que ça doit se trouver juste avant l'entrée...
Faire virer le cheval vers l'ouest pour s'en retourner..Faut savoir en garder sous le coude avec.. humilité...
Mais avant envoyer une ultime menace à l'ennemi avant que celui-ci ne se lasse....


MÈCHE COURTE !

Ouais l'irlandais aurait pas dit mieux..Mais ça c'est une autre histoire..Parait qu'il veut plus parler..

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