Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, ..., 13, 14, 15   >   >>

[RP/IG] La Chevauchée du Val qui Rit

Grinwold


[Un officier dans la foule]

Arrivée la veille, campement de fortune, trop peu de temps pour une installation digne de ce nom.

Dans l'après midi, le commandant mena son cheval aux environs, faisant le tour de ce qui serait, quelques heures plus tard, le théâtre d'un affrontement aussi mémorable que sanguinolent.
La troupe des dissidents droit devant, les murailles de Bordeaux sur la droite. Entre les deux, la Garonne. Un maigre pont de bois avait été jeté sur ses flancs, qui mériterait d'ailleurs quelques nécessaires consolidations.

Le soleil pointait encore le temps d'une chute maîtrisée, tandis que quelques nuages chargés profitaient déjà de sa retraite.
Mâchoires serrées, le cavalier fit demi tour et rentra au camps. Il était temps de rassembler les troupes.

Sous sa tente, le commandant passe sa cotte. Personne ne l'aide, il a congédié le page. Le soldat aime être seul dans ses moments, sentir l'excitation monter petit à petit. La peur aussi.
Casque à la main, épée au fourreau, il est prêt. En sortant, une fleur attire son attention. Éclatante, grenat, piquante .
La rose a du être déposé là par un coursier qui n'a pas osé le déranger.
Petit mot, sourire du lecteur. Il en avait presque oublier la date. Les rimes délicates tissaient les lettres de son nom, charmante attention de sa bien aimée. Le papier est roulé dans la poche de sa tunique, la rose trouve une carafe d'eau.


Rompu aux mouvements, la légion quitte rapidement ses positions. En rangs serrés , les pavillons gascons battant au vent levé, l'ost manœuvre pour se positionner face aux cavaliers. Les forces se toisent, s'évaluent.
Quelques ordres murmurés et ils se meuvent. Les formations se rapprochent avec ce silence qui caractérise les grandes batailles. Le mouvement est stoppé à quelques encablures, alors que Grinwold éperonne son destrier.


Ser Grinwold!Sans le messager arrivée il ya peu mes sabots seraient sur ton ventre! Ah!Ah!

Rire d'outre-tombe, sourire tiré de l'officier. Réponse lancée.

Et ma lame dans ta gorge Ser Falco ! Mais nous nous moquerons plus tard, occupons nous de ce pourquoi nous avons tant attendu !

D'un virage ordonné, les fantassins s'alignent aux cotés de la cavalerie. Peu enclins à ce genre d'exercice, la masse nouvellement formée en oublie quelque peu les rudiments du déplacement martial.
Le pont est rapidement franchi, au soulagement du gascon.

Les voilà face aux murs, enfin. D'un mouvement sec, l'assaut est donné, les hommes se précipitent, les hallali envahissent la plaine, tandis que les premières flèches guyennoises s'envolent.
D'un regard rapide à la cavalerie, il tente de reconnaître Aelyce, mais le capharnaüm qui se dessine devant les murs rend la tache impossible.

Tentant de se frayer un chemin parmi ses frères d'armes, l'officier échange quelques coups avec des Guyennois trop téméraires. Boucliers contre boucliers, le combat tourne court et la mêlée les sépare. Cri de rage et de frustration.

Les premières brèches donnèrent accès aux hauts des remparts, et les affrontements se portèrent bientôt sur le chemin de ronde. Chocs et hurlements, voilà tout ce que le commandant discernait de sa position.
Quand enfin son tour arrive d'entrer, une main se pose sur son épaule. Regard rapide, qui donc pouvait bien l'interpeller de la sorte ?


Mon commandant ! Le sergent Aelyce a été retrouvé inanimé sur le champs de bataille. Nous la ramenons au plus vite au campement !

Pas de réponse. Une fraction de seconde pour assimiler l'information. On aurait probablement pu lui trancher la main qu'il n'en aurait rien senti. Rythme cardiaque en hausse, poings serrés sur le cuir usé du manche. Voilà bien ce qu'il redoutait. Aelyce...

Moment mal choisi, vraiment...

_________________
Mercoeur
Oops !

Charger avec une lance ? Sur que pour le coup il va fleureter avec un esprit de déviance
Mais lui c'est épée par accoutumance et mademoiselle ne supporte pas la concurrence
Alors au moment de combattre on va faire dans la complaisance et pour ceux en face ça va être résistance
la-bas le bastion, plus de grenade en poche et un chariot qui n'arrive pas malgré la convocation...
Sur qui on peut compter de nos jours si les urgences font des détours...

Les yeux fixent l'horizon, à gauche une armée de Gascons et tout droit ?...Terrain de jeu pour dévastation...
Y'a plus qu'à se servir et condamner ceux qui n'ont pas voulu partir
Ça vantardise, ça chante et sa traite de couardise.
Tant pis ! sous peu cette cité sera leur gourmandise et eux auront fait leurs valises..

Pour la cavalerie l'objectif est de mise. Passer le fossé et ces pieux pour faire frémir bordeaux belle promise
Un talus surmonté d'une barricade crénelée sur laquelle faut grimper ou deux portes en bois à forcer..Au choix de celui qui veut y aller..

A peine le temps de monter en selle qu'il leur ait donné l'ordre de se faire la belle
On fonce droit devant sur la plaine, y'a challenge au bout ! Le vainqueur exprime sa haine !
Sur que le Morveux à beugler comme ça aura droit à revendiquer le titre mais son bout de bois laisse Mercoeur pantois !
Y'en a qui parte au combat comme on va au marché avec son cabas..Mercoeur va garder un œil sur son stock ambulant de rata !

Mais déjà le pont qui se pointe , formalité douanière accomplie. Son passeport était pas signé mais le douanier a compris qui valait mieux s'éclipser.
Un Falco qui déjà s'attaque aux pieux alors que l'ennemi est de moins en moins révérencieux !
Cheval est mi à terre par un hallebardier qui n'avait pas l'intention de mettre un pas vers l'arrière
A peine le temps de se retrouver les quatre fers en l'air qu'un métal froid lui siffle aux oreilles histoire de lui rappeler qu'il est pas chez soi
Une main sur le pommeau abandonné, puis se redresser pour affronter le propriétaire lui affirmant que sur sa terre on veut devenir locataire !
Le gars est courageux et sa poigne pourrait faire des envieux. Mais le mercenaire est habitué de ce genre de lieux...

Citation:
14-02-2009 04:25 : Vous avez frappé Garzimlebo. Vous l'avez grièvement blessé.


Pas le temps de demander au gars son nom l'endroit est pas dédié à la compassion !
Le ratafia à des effets plus que surprenant ! Voilà un bretteur alcoolisant qui s'attaque au royaume de France avec une buche plombante !


Morveux dégage de la avec cette allumette !!!!!

Dégagement d'épaule sur le royaliste en armure à peine ébranlé et même pas touché !
Attention Mercoeur ! Ça sent la journée des coriaces. Comme une impression de bouillabaisse dégueulasse
Le gars à pas aimé être bostonné et pour venger son honneur voilà qu'il s'en prend à un gars équipé d'une épée...
Le fer se mélange dans une symphonie haletante. Et soudain la musique s'éclipse pour laisser le froid s'emparer d'un Mercoeur exténué...
A y réfléchir un jour ça devait arriver...Coule le sang revanchard de tous ceux que tu as envoyé dans le noir...


Citation:
14-02-2009 04:25 : Salah_ad_din vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.


La main abandonne la belle sur le sol, le fer finira seul dans la rigole...

Citation:
14-02-2009 04:25 : Votre arme a été détruite.

Pas d'atermoiement. L'adversaire file déjà vers d'autre combat le laissant là..
Le bruit devient sourd et les souvenirs se font lourds...
Ola ! Ooooohhhh ! Doucement les gars...C'est pas encore l'ultime compte à rebours …
La tête part vers le sol et autours les cris se font bémol....


Alanysfolle
Une blonde en prison....

Un de plus. Une de plus. Lassitude. Habitude. Ennuyeuse journée. Soupirs à répétition. Jurons à profusion. Qui l'eu cru que la blonde au visage ingénue connaissait tant de vilains mots? Pire qu'une poissonnière que l'on aurait foutue dans un bocal. Trois jours! Pour quelques malheureux 300 écus de volés à droite à gauche... Non la blonde était uniquement une victime du système! Quelle idée de vivre dans pareil royaume? Les prix exorbitants, la conjoncture actuelle, l'inflation et co... De quoi rendre folle la plus parfaite de toutes!
Trois jours... De quoi ternir son teint. Elle qui comptait bien passer une soirée agréable l'autre soir! C'était quoi son nom déjà? Grandcoeur? Merfleur? Elle sait bien qu'elle n'en ai pas loin mais le manque d'alcool brouille ses esprits. Seul véritable souvenir: son regard. Et l'autre qui la taquinait... Ahhh celui là, il n'en manquait pas une! Un pas en arrière, deux pas sur le côté. Un vrai danseur, et pas mauvais en plus ce bougre de maigrelet. L'ego de la blonde au paroxysme, regonflant un peu ce qu'avait détruit le Chieur en la trompant à tour de bras (pour ne pas dire autre chose). Elle ce qu'elle voulait, c'était des jolis mots, des jolis mots et de nombreux clins d'oeil idiots. Et puis des joues qui rosissent, des sourires qui s'élargissent, des mains qui se glissent, des nuques qui frémissent et, et, et.... Et la suite ne vous regarde pas!
Et au milieu d'une passionnante conversation dont elle a tout oublié (trop concentrée à observer le mouvement des lèvres du chapeauté), la voilà tirée à bout de bras par deux grands et costauds gardes. Verdict tombé: 3 jours de taule. A vrai dire le fait qu'elle était en procès lui était complètement égal. Mais là non. Non ça tombait vraiment mal! Il allait se mettre à sourire!


Mais ça ne va pas non? Vous allez marquer mes bras!
Bandes de troufignons de Guyenne vous faîtes quoi là?
Laissez donc moi tranquille, c'était en Poitou tout ça!
Je suis innocente ici, promis c'était pas moi!



Mais elle a beau afficher un magnifique sourire, battre des paupières à tout va et feindre de s'évanouir sous le coup de l'émotion, rien n'y fait. Ils sont d'un sans coeur! Agresser ainsi perfection incarnée? Pour sûr qu'elle irait se plaindre. Se plaindre et trancher si possible quelques têtes dans cette bataille. On a pas idée d'abîmer pareille Nys.
Alors... Il a fallu qu'elle les suive. Sans discuter. Maudissant au plus profond d'elle même Liam sans qui elle ne serait pas là aujourd'hui. Ah!!! Celui là elle le tuerait de ses mains.... Qu'il lui dise en face ce qu'il avait fait, et la gifle qu'elle lui lancerait serait magistrale. Et qu'il tente de riposter! Il lui donnerait alors l'excuse de sortir de son fourreau son arme pour trouer son bourreau!
Mais en attendant, direction prison. Dungeon et compagnies. Au pain sec et à l'eau! Au moins elle perdrait les quelques kilos prit à trop picoler.


Soupir de plus. Cliquetis qui se fait entendre. Relâchement d'une blonde qui retrouve avec joie son épée et son bouclier sans qui elle se sentait nue. Levant son bras face à l'un des gardes qui était venu la chercher, elle lança un: Guyennois bande de rat! et s'éloigna en courant avant d'exploser de rire quelques mètres plus loin.
Je vous présente Alanysfolle. Perfection faîte femme. Belle à damner un Saint. Talentueuse journaliste, intelligente, drôle et... blonde.
Le fou rire qui la saisit est tel qu'elle en devient tomate en quelques secondes, se tenant le ventre de douleur, se frappant au passage une jambe pour essayer de se contenir, mais plus elle essaye de se maîtriser, plus elle se marre. C'est plus fort qu'elle. Trop de tensions, de douleur et de soupirs d'un coup. Il fallait qu'elle rit! Et tant pis si c'était seule! Et tant pis si c'était pour rien! Tant pis si c'était parce qu'elle se marrait plus à se comporter comme une gosse face à un soldat plutôt que comme une femme venant de se faire cocufier de la plus belle de manière. Que ça sorte bordel!

Enfin, après quelques minutes (et un steak de gagné) elle serra son arme et se dirigea vers le campement, espérant que ses amis allaient bien. Et qu'elle recroiserait Mercoeur. Mercoeur? Oui c'était bien ça.... J'le savais que c'était pas loin... Juste là... Sur le bout de la langue.

_________________
Staron

Une bonne dizaine de jours qu'il voyage le pèlerin ; pendant que d'autres se battent, lui, il voyage.

Ben oui, quand dame supplie sans le dire, effet est décuplé, quand dame s'en jette sur des lames qui la transpercent, effet est centuplé, et au final, le pèlerin s'assagit ...

Sauf que voilà, chassez le naturel ... marchand ambulant, escorte, et puis quoi encore ... loin de ceux qui lui ont fait confiance naguère, à les savoir en difficulté, à entendre leur appels à peine masqués ... ça finit par entailler le fait de savoir que c'est mieux pour son couple.

Son passage auprès de sa belle aurait pu le retenir encore un peu, mais ces saletés de nonnes lui mettront des bâtons dans les roues ... il ne pourra la voir que quelques minutes ... elle viendront même la chercher alors qu'il la mene, yeux bandés, pour une nuit d'amour.

Alors son chemin continuera ... et il faudra qu'il passe trop près d'eux pour le décider, le décider d'au moins aller les voir, savoir où ils en sont, tous. Un petit détour, son escorte n'est plus vraiment nécessaire, terres de Gascogne seront préservées, en tout cas il s'en persuade, ça l'arrange bien ...

Puis il s'effondrera ...

Au hasard de son arrivée en Bordeaux, son Eilith de cousine lui annonce, sans ambage :

Aélyce est morte.

Il s'effondre

Enfin ... elle a été retrouvée inanimée sur le champs de bataille.

Alors le pèlerin se relève, et part à sa recherche.
Sa marraine, celle dont il suivra les mots où que ceux-ci lui demandent d'aller, à la mort si besoin.
Il n'aura pas à chercher loin ; il la verra passer sur une civière.

Des larmes naissent au bord de ses paupières.
Mais elles ne couleront pas.
Un léger mouvement de la main, comme un signe, comme une demande.
Il lit ce qu'il veut y lire.

Il se dirige vers le campement de l'armée gasconne, entre dans la première tente, et déclare à qui veut l'entendre :


Je viens venger la sergent, y'a un poste vacant ?

Quelques regard surpris plus tard, une réponse un peu incrédule :

Oui oui, y'a besoin de quelqu'un de costaud ... tu feras p't être l'affaire

Je signe où ?

Citation:
14/02 13:43 : Armee1893 embauche Staron pour 10,00 écus

_________________
Ce qui compte, ce n'est pas la destination, c'est le chemin qui y mène ...
Falco.
Au Rempart de Terre Bordelaise

Et ta mére? Fils de Bordeaux!

Ils sont énervants les défenseurs à s'acrocher à leur talus.
Sur son bouclier une épée à ripée.
Avec un grognement de satisfaction il note qu'une garde rapprochée s'improvise à ses cotés.
Si on considére qu'une jouvencelle Eilithréenne et une Fourmi de guerre sont des mastards impressionnants.

Autours ça combat pied à pied.
Assiegeants se bousculent et se gênent dans la ruée vers le sommet du remblais de glaise crenelé.
Dire que certains doivent se demander pourquoi il s'acharne sur les pieux barrant l'accés!
Etant un des derniers resté sur sa monture il a bonne vision de l'ensemble.

Les Bordelais avaient en aide une poignée de soldats de leur Ost. Ceux la sont les premiers à tomber.
Dans un coin un carré groupé prés du Marechal de France Salad'hin resiste et tient bon.

Un nouveau piquet se couche.
Le Ch'val avance d'un coup de rein monstrueux, talonné durement.

Ici est un oeil du cyclone, sans heurts. A quelques pas ça hurle et jure, s'insulte ou meure.
Encore une poussée, son esprit est focalisé sur la portion de talus presque dégagée.
Encore un effort et par la brêche ils s'engouffreront, balayant , contournant la poignée de défenseurs.

Le nombre est un handicap pour eux. Les défenseurs sont encore à l'aise.
La trouée qu'il s'échine à tailler permettra une charge à trois ou quatres de front.

Sang de Pieuvre! Couchez ce rempart! Il est ou l'autre Béarnais la...Le type avec les Pots à feux?
La visiére est relevée. La sueur essuyée. Le palefroi fait un écart, brisant net un autre pieux mal planté sans doute.
Ils y sont presque. Mais faut pas se relacher.

_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

Ermesinde
On y va à c'DÎNER d'cons ou quoi ?
C'est qu'çà commence à creuser ...
Ahhhhhh ! mais avancez donc devant !


* Moi j’veux y aller à ce banquet
Gardons l’moral, faut s’motiver
On leur en voudra pas
S’ils ouvrent les portes, on y va !

En plus faut pas qu’je fasse régime
Mon poids me turlupine
Je suis quasi à claire-voie
Tant pis ! je sors comme çà

Même si y’a rien à boire
Moi j’aime bien aux ennemis
Passer leur dire bonsoir
Parce que j’en ai envie

On s’en fout, on rest’ra là
On n’a juste qu’à pousser dans l’tas
Au commandement les ordres c’est çà
Un Sac d’Os, çà s’contredit pas
Pas d'appel, pas d’excuse ,
On improvise , on va trouver aut’ chose
On n’a qu’à leur dire aux ennemis
Qu’on a la faim et çà suffit !

J’suis d’bonne humeur
Rien n’me déprime
Y’a pas de place pour le hasard
Et pas besoin de film , on s’invit’ra ce soir

Les hors d’oeuvre sept jours plus tard
Si j’peux encore en avoir …
1000 grammes faut escompter
J’ai la peau lisse , j’veux à manger !

C’que j’vise c’est le bocal
Le pâté en général
Est planqué dans une caisse
Je grignote et tout dans les fesses !

On s’en fout, on rest’ra là
On n’a juste qu’à pousser dans l’tas
Au commandement les ordres c’est çà
Un Sac d’Os, çà s’contredit pas
Pas d'appel, pas d'excuse ,
On improvise , on va trouver aut’ chose
On n’a qu’à leur dire aux ennemis
Qu’on a la faim et çà suffit !

J’ai des frissons , je me sens faible
Je veux quelque chose sous la dent
Ce serait pas raisonnable
De partir maintenant

Je préfère pas prendre de risques
Hypoglycémie … fâcheux
Même si c’est qu’ quelques restes
J’ai un plastique , c’est mieux

Et m'traite pas d’égoïste !
Tais toi espèce de rat…
Suis pas malheureuse ni triste ,
Mais l’sweet home , c’pas souvent pour moi ...

On s’en fout, on rest’ra là
On n’a juste qu’à pousser dans l’tas
Au commandement les ordres c’est çà
Un Sac d’Os, çà s’contredit pas
Pas d'appel, pas d’excuse,
On improvise , on va trouver aut’ chose
On n’a qu’à leur dire aux ennemis
Qu’on a la faim

et çà suffit ! *


[pauv' Benabar ...]
_________________
Lorca
Après avoir vanté partout ses talents de harponneur, ce qui lui avait valu l'exaspération de nombre de défenseurs, mais aussi des autochtones, qui avaient d'autres préoccupations que les exploits marins du matamore testerin, Lorca avait été convoqué par le sénéchal Garzimlebo. Celui ci lui avait confié une mission très simple : assassiner le général falco en l'embrochant au harpon. Ca n'avait rien d'évident car entre harponner une baleine et un poulet, la différence était de taille, environ 20 mètres et autant de tonnes quoi. Bref, ça allait demander du doigté et de la finesse, ce qui n'étaient pas le genre du pêcheur, mais il avait soigneusement omis de le préciser à l'officier. pas fou l'autre, il venait de gagner une nuit peinard à guetter le général ennemi dans une tour. Une nuit où il piétinerait pas sur les remparts à essayer de repousser un ennemi numériquement supérieur. Autant dire que le lorca avait sauté illico sur l'aubaine et signé des deux nageoir...euh des deux mains.

Et le vla, couché sur une poutre mal taillé, un noeud du tronc lui rentrant dans l'aine, des échardes plein le visage. Pouah, qu'est ce qu'il détestait les arbres, sauf coupés en petites planches bien sages dans son atelier, où il pouvait les torturer à coups de marteau pour en faire de jolies barques insubmersibles, oui madame, les barques lorca, c'est garanti à vie, vous pourriez aller jusqu'à Tribal Nations et en revenir, et si vous coulez, on vous paie votre cercueil..à condition que votre cadavre revienne évidemment !! Bref, un harpon attaché dans son dos, le visage couvert de suie, se fondant dans l'obscurité, lorca attendait le bon moment.

Charge, retraite, assaut massif, morts, hurlements, défenseurs submergés, pieux arrachés, le train train du siège quoi. Et puis là, le poulet, oui, battant des ailes sur son destrier, se taillant un chemin vers l'unique brèche, pour l'instant vaillamment défendue par les officiers royaux. Le pêcheur se redresse, se mettant sur un genou, sortant son harpon de son étui. Un nouvel harpon puisque l'ancien a fini en croix de guerre, il l'a fait rapidos, mais il est équilibré, et son fer a été consciencieusement aiguisé et béni, c'est une arme anti hérétique, le lorca peut le garantir. Il se recule sur son rondin, se prépare à prendre son élan. Là, le Falco est plus très loin, à peine 20 mètres. Il ne se doute de rien, personne n'a daigné jeter un oeil à la tour de guet désertée, personne n'a remarqué le moindre mouvement, n'a deviné la masse sombre du chasseur qui s'y celait. Et le général qui continue à avancer, fièrement planté sur son destrier. Et le cri, qui déclenche son attaque.


Sang de Pieuvre! Couchez ce rempart! Il est ou l'autre Béarnais la...Le type avec les Pots à feux?

Lorca se redresse, bras droit armé et en position, une jambe flèchie, l'autre tendue, tous les muscles bandés. Il s'élance, hurle :

Il est mort poulet ! Tout comme toi.

fulgurance de douleur dans la cheville, la crampe inattendue. Une demi nuit en position couchée, et cet idiot de marin qui a oublié de se masser le corps. la douleur le submerge, ses muscles se tétanise, le paralysent. Il lâche son projectile qui rate lamentablement Falco. et vient se planter en terre, formant un nouveau pieux. Et le pêcheur, prostré sur son rondin, sanglotte en essayant de refouler la douleur qui l'envahit.
Ardath
Brèves de l'arrière, suite et fin

Une lanière puis l'autre, une plaque de bois recouverte de cuir puis l'autre. L'Enseigne examine sa cheville avec un sourire plutôt optimiste : la peau a retrouvé sa blancheur initiale. Elle fait tourner le pied sans que le mouvement lui tire une grimace de douleur, au contraire elle affiche un sourire satisfait. Il semblerait que la cheville soit réparée.
Avec délicatesse, autant par précaution que par habitude prise pendant l'indisponibilité, elle renfile son bas et glisse son pied dans sa botte. Les lacets en sont refaits, bien serrés pour empêcher le pied de bouger et l'aider dans la chevauchée à venir.

Le bouclier a été poli pendant ces jours d'ennuis, pour un peu il brillerait au soleil, il a été cerclé sur le pourtour et chargé sur le dos d'Infortune.
Ouaip, y'a pas à dire, l'Ardath est de retour sur le devant de la bataille.

Manque l'épée encore, quelqu'un lui en prêtera bien une : hors de question qu'elle donne du bâton, c'est bon pour les débutants.

Le courrier prévenant le sac d'os de son arrivée est parti dans l'après-midi s'il le reçoit trop tard elle se mangera toute la troupe sur la gueule et ce sera retour à Bazas pour 45 jours.
Un soldat de moins pour la Gascogne aussi.
Mais parlons pas de malheur, ça a tendance à le réveiller.

_________________

Milite pour que LJD Aurel reprenne le jeu.
Eilith
Une bataille héroïque, vraiment...

Elle a viré toutes les protections et les vêtements qui la gênaient. Ne lui restent qu'une espèce de tunique, son épée et son bouclier.
Efficace, on a dit, ef-fi-ca-ce.

Et ça marche! Du moins, elle sait où elle va, ce qui est un bon début. Toujours aussi inquiète sur la santé mentale du Sac d'Os qui s'amuse à taillader des bouts d'bois au lieu de taper dans du défenseur, Eilith préfère le suivre. On sait jamais, au cas où quelqu'un s'en prenne à lui pendant son activité sculpture.

En plus, faut croire qu'elle est impressionnante, en petite tenue, personne s'approche de la jeune fille. Mais du coup, elle peut frapper personne, là.

Tant pis, elle va se contenter de talonner son Don Quichotte personnel, l'aidant dans sa lutte contre les valeureux pieux du talus, êtres félons et pleins de malice.
C'est que c'est limite provocant, de voir des vulgaires planches les narguer pour les empêcher d'avancer.
La voilà donc qui s'acharne elle aussi sur les piquets, qu'on leur montre qui c'est les meilleurs ici!

Soudain, elle entend une voix l'appeler. Elle se retourne.

Citation:
Il n'y a personne. Mais par terre, sont posés deux épis de maïs. Étonnant, non ?


La Châtaigne se met à sourire. Allons bon, personne n'ose l'approcher, et pourtant il semblerait que se balader en tunique ait plu à quelques belligérants. Mais pas le temps de remercier l'admirateur secret, là.
Elle a des pieux à déchiqueter.
--Grenouilles.bearnaises
Mazette mes aïeuls, quel voyage, quel siège, quelle aventure

Si on leur avait dit qu'elles allaient vivre ça un jour, elles s'en serraient tordues les palmes de rire.

Enfin batailles elles avaient voulues, batailles elles avaient, mais elles avaient défenses d'y participer, au mieux pouvaient elles aller voir une fois estocade finie, Elles avaient cru voir un compagnon marin à elles quoique que celui est une drôle d'allure, épée sous l'aileron, une nouvelle sorte de crapaud surement.

Elles passaient leur temps comme elles pouvaient , se faufilant dans la palissade pour aller au lac, ou essayant de glaner des informations ici et là, la dernière en date, c'est que le maire avait préféré le monastère aux combats , bouhhhhhhhhhh

Robert, le chef continuait bien à entrainer ses troupes, revues de palmes chaque matin, vérification des roseaux et champignons, mais les ordres étaient clairs, aucun risque tant que la ville ne serait pas prise, cela ne devrait plus tarder d'ailleurs d'après l'affreux qui côtoyait Améliane si souvent

Pour galvaniser son troupeau de grenouille qui attendaient patiemment de l'action, celui si pris un roseau et entonna une chansonnette de son inspiration


Jérémiades d'un côté
Expulsés de l'autre

Terrible bataille qui se profilaient chaque soir
Affamés par leur maître, inconséquent à défaut d'être courageux
Inconsciente Améliane? Surement pas, seuls les fous pouvaient le dire
Marasme sur le marché, autodestruction érigé en statut
Équitable bataille, pas sur! Les poltrons étaient bien là

Décousu comme une guenille laissait là
Aurore qui laisse ses blessés à terre
Vivant hagards, boucliers à terre
Inconnus ou anonymes,
Dérisoire combat pour une ville fantôme
Aelyce_h
Un écran noir..
Un semis d'étoiles
Des voix qui tintent et s'envolent
Des images qui se bousculent
Un précipice qui se dresse devant elle, et la mort qui recule
sa respiration qui s'accelère, qui s'affole
Et l'air qui s'expulse brutalement de ses poumons comme un retour brutal à la vie
Parfois la vie ne tient qu'à une rose

Réveil
Son corps ne lui obéit guère
cheveux collés par le sang sur son visage, et des douleurs lancinantes lui brûlant les côtes
Le regard vide, hagard elle parcourt la tente à la recherche d'un repère
Il lui fallut bien un instant pour qu'elle se souvienne, de la bataille, de ses soldats, de la rose, de son lieutenant, de ses amis, de ses filleuls
Le corps meurtri était là, mais son coeur est resté sur le champs de bataille
L'inquiètude se fit pesante au point de lui faire oublier ses malheurs
Qu'il lui revienne entier, nul autre remède ne pouvait atténuer sa douleur
Elle fixe le rabat de la tente désespérement, la fatigue pesant sur tout son corps
Elle fixe le vide, accroche son regard à des détails, surtout ne pas sombrer au sommeil
Elle fixe l'intérieur de ses paupières

Un écran noir..
_________________
Staron
Aléas bataillesques

Il était motivé le pèlerin ... on touche pas à la marraine ... et pour le coup, elle était plus que touchée ...
Alors le pèlerin, il a pas hésité, après sa signature au bas du parchemin bien vite roulé, il a fait corps avec l'armée gasconne.

Il a aussi retrouvé avec une joie non dissimulée ses amis de l'armée de Falco, sa petite famille en quelque sorte.

Citation:
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "Mort aux boulets" dirigée par Ameliane, les défenseurs de Bordeaux, et Choubard.

Pour aller au front contre les défenseurs de Bordeaux
Citation:
15-02-2009 04:29 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bordeaux.

Sauf que, trop tôt ou trop tard, ou peu être pas au bon endroit, mais le pèlerin se retrouve seul.
Il a beau faire quelques moulinet dans l'air, l'épée ne trouve pas de chair où s'abattre.
Alors, un peu dépité, il rentre se coucher ... à l'hôtel

Citation:
15-02-2009 05:01 : Vous avez passé la nuit à l'hôtel (coût : 1,00 écu).

Drôle de bataille quand même ...
_________________
Ce qui compte, ce n'est pas la destination, c'est le chemin qui y mène ...
Ptitefleur2006


[Hôtel de Bordeaux - chambre de son fiancé]

Citation:
15-02-2009 : Vous avez passé la nuit à l'hôtel (coût : 1,00 écu).


Fleur reposée déposa un doux baiser sur les lèvres de son fiancé avant de jeter un coup d'oeil aux remparts... les défenseurs de Bordeaux étaient là.

Elle réfléchit un instant et décida de se faufiler dehors à l'insu de l'homme qu'elle aimait.

Elle ne pouvait laisser ses camarades se battre sans elle.

Furtivement, plaquée contre un mur, les sens à l'affût, elle resta attentive, guettant le moindre bruit, le moindre geste et soudain un défenseur surgit et un combat s'en suivit.


Citation:
15-02-2009 04:29 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Bordeaux.


Gredin! vous vouliez me prendre par surprise mais sachez que je n'ai point dit mon dernier mot!

Je vais vous apprendre les bonnes manières!


Des heures et des heures de combat sans qu'aucun vainqueur ne soit déclaré... décidément c'était des corriaces mais elle finirait par en avoir quelques uns!

L'aube se profilait à l'horizon, d'un commun accord son adversaire et elle décidèrent d'aller se reposer avant de reprendre leur combat, promesse ils se firent de se retrouver à la nuit tombée.

Fleur regagna aussitôt la chambre de son fiancé qui dormait à poings fermés, ne s'étant point apperçu de son absence.

Un sourire se dessina et en sécurité elle s'endormit près de l'homme qu'elle aimait.

_________________






















Mercoeur
9 jours d'indisponibilité

C'est comme un vent qui se lève, les yeux contemplent et on se croirait dans un rêve
Les hommes se battent et lui est là au sol affable, comme allongé sur le sable
Patienter que monte la marée d'une mer qui approche et entendre déjà d'ici ses reproches !
Se contenter de fixer le ciel et se perdre dans une nuée d'étoile en pleine journée
Attendre que la fin vienne le submerger lui que le destin à enfin terrassé
Laisser le brouhaha des armes s'estomper....retrouver un peu d'humilité..Finir en homme éclairé..

T'as qu'à croire !

L'esprit s'avance devant le parloir et d'un coup le rêve se fait cauchemar
Il se marre à s'en décrocher la mâchoire celui qui se tient dans le noir !
Excuse saint Pierre il a pas fini ses devoirs c'est Le Malin qui est d'astreinte pour ce soir
Pas grave vous savez faites moi un crobar et je reviendrai plus tard ?
Rhooo et après tu vas raconter qu'on sait pas recevoir....on va pas te laisser seul sur le trottoir..
Une main qui se tend. Sortez les mouchoirs c'est l'heure du réquisitoire...

T'as qu'à croire !

Une vie qui défile, des visages chapeautés à la file, vision d'une main débutante malhabile..
Champagne...Un trône pour un Caedes subtile, un visage infantile qui apprend à se rendre utile..
Anjou...où vole un corbeau habile..Armées royales qui s'empilent..Naissance d'une idylle... Sentinelles amitiés incorruptibles...
Berry...pour une alliance crédible..Châteauroux ville accessible..Une Errance imprévisible..
Vendôme... une armée risible pour un combat impossible, un DR à genoux devant une défaite indélébile...
Ne rien comprendre à ce qui en lui s'empile mais laissez remonter la bile ! D'un râle, d'une toux retrouver le file...


Sang de Pieuvre! Couchez ce rempart! Il est ou l'autre Béarnais la...Le type avec les Pots à feux?

Il est mort poulet ! Tout comme toi.

T'as qu'à croire !!!!!!!!!

Le sang chaud coule de la plaie et l'esprit surnage pour s'échapper d'une noyade repoussée
Des images par millier déjà oubliées mais comme l'impression d'être passé tout prêt d'une poésie vitale inexpliquée
Une douleur qui dans ses entrailles le fait bruler mais un ultime besoin de résister, orgueil assumé
Le chapeauté à repas aux chandelles à organiser et faudrait pas oublier qu'un « se la pète «  sa crève pas sans diner..
Mais pour le moment y'a médicastre à trouver ou moyen de se relever, barricade à faire péter et rencard à déguster...
Visage contre terre se mettre à murmurer, blasphémer puisqu'il s'en est évadé et être sur que celui à qui c'est adressé va écouter....


Tuco...Hijo de puta...!!!..Si tu ramènes pas ce chariot au plus vite je file tes coj ones à bouffer à Sentenza ! Sur que celui-la sera les déguster...

Quelque part il lui sembla que vint en réponse le son éloigné d'une voix intimidée mais rebelle à la fois ?

T'as qu'à croire.....

Cymoril
On prend les mêmes et on recommence…


La veille, Saint Machin l’a empêchée d’aller se fritter aux défenseurs, alors c’est gonflée à bloc qu’elle s’avance dans la ligne.

Elle a passé une partie de la journée à panser Bagual. Harnais entièrement poli, pièces de métal et de cuir luisantes, chabraque propre sous la selle, il trépigne, impatient, mors cliquetant entre les mâchoires.
Une pression des talons dans les flancs de l’étalon qui part aussitôt d’un trot alerte, satisfait lui aussi de passer à l’action. Accélérant le pas pour arriver au galop jusqu’au pont.

A dextre on avait dit…

Elle profite de l’élagage fait par Cartel pour s’engouffrer jusqu’aux défenseurs, en trouvant un, enfin… anonyme… même pas une femme enceinte, simple guyennois… sur le chemin… à dégommer, pas d’quartier.

La pointe de l’arme d’hast est plantée d’estoc, la hampe vibre dans la main de la fourmi, sensation curieuse, différente de l'épée. Le corps de l’homme glisse au sol, pantin de son…


Citation:
15-02-2009 04:29 : Vous avez frappé Kal83. Ce coup l'a probablement tué.


Le repli est annoncé, Bordeaux ne veut pas céder, s’ouvrir, préfère sacrifier encore au lendemain d’autres vies, d’autres destins.
Ainsi soit-il, la messe sera dite.
Enfin ça, paraît, parce que les églises et elle…

Elle est déjà bien contente d'être toujours de ce monde, ça lui suffit.


La journée amènera son lot de nouvelles, bonnes, mauvaises, exaspérantes, demandant réponse ou pas.
A celles de Gascogne, irritantes à son oreille la demoiselle répondra, agacée :


Citation:
A l’attention des rats qui se manifestent en place publique gasconne et dont les couinements parviennent jusqu’aux portes de Bordeaux,

A Jake, pitoyable instigateur de cette parodie de vote populaire, vous n’avez de courage que lorsque l’essentiel des forces actives de Gascogne n’y est pas. Vous vous montrez égal à vous-même, il n’est pas besoin d’en dire plus.
A Merlin, honte sur vous, déserteur, traître… Vous avez fait serment de servir la Duchesse et la Gascogne. Vos convictions intimes n’ont pas leur place ici, nous n’en sommes plus au débat, mais bel et bien en guerre. Agissez donc en soldat et non en lâche.
Comme tous les autres soldats de ce duché, vous êtes tenus au devoir de réserve, mais pour se faire, il faudrait encore que vous ayez la compréhension de cette expression.
Aux autres roquets, couards et parasites, rien que la teneur des propos des guyennois à l’encontre de notre Duchesse et de son époux, depuis des mois, justifient amplement la déclaration de guerre.
Vous pensez en petit, raisonnant de travers et sans savoir, vous exprimant sans une once de recul. Continuez d’amuser les gascons par l’étalage de votre incommensurable bêtise qui n’a d’égale que votre lâcheté.

Cymoril.


Elle sait bien qu’elle n’aurait certainement pas du, mais la sagesse et elle… pas tout à fait ça encore, et l’ennui est tel dans ce duché. Et elle est sobre depuis si longtemps que ça en devient presque inquiétant. Même la Nys en taverne la trouve trop silencieuse.

En même temps, elle se sent pas très à l’aise avec l’anisette en ce moment. Comment lui dire, expliquer qu’elle a plus d’échanges avec Liam qu’avec elle.
Sans que la blonde n’en souffre, même sans raison.
D’ailleurs, un pigeon comme il en existe tant dans le royaume est venu lui apporter nouvelles le jour même.


Citation:
'jour à toi

Juste un mot pour t'dire qu'on dirait qu'Toulouse va envoyer une armée pour aider la Guyenne.
'lors faites gaffe.

Bien à toi

Liam


La missive est repliée, mise en poche, elle en parlera à Falco dès qu'elle le croisera, avant de lui coller deux tartes.

Une autre longue nuit s'annonce, pour les défenseurs obéissants à un conseil entêté, une aube se lèvera encore entachée de ce sang qu'il les force à verser.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, ..., 13, 14, 15   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)