Mercoeur
8 jours d'indisponibilité
La main est ferme et douce à la fois, en lui germe le doute quand il entend la voix
La reconnaître sur l'instant ou prendre le temps d'être méfiant, ouvrir les yeux lentement..
Alors que le corps est amené à se retourner pour pouvoir enfin la contempler
ne plus reculer devant la défiance, après le noir c'est une âme faite d'une nouvelle essence
Mercoeur...Comme ce nom sied à ses lèvres, comme l'intonation la fait orfèvre
Faut il qu'Aristote soit compassion pour envoyer au condamné si belle rédemption
Elle se fait générosité d'un linge abandonné. Sentir au plus près la douceur de son odeur
Mais après l'avoir rassuré de quelques générosités la voilà qui disparaît..
S'en est elle déjà partie convoler vers d'autres esprits à pourfendre de son épée ?
Autours de son monde un univers vit de complaintes et de cris, de jours et de nuits
Les derniers mots incompris le laisse dans le dénuement d'un avenir indéfini
Quand près de lui les roues d'une charrette s'arrêtent, signal pour lui de faire retraite...
A nouveau une forme salvatrice s'abaisse à ses cotées, les cordes se font cantatrices
Vous aider ? A me faire chavirer pour mieux me relever ? Mais vos mots m'ont déjà noyé
Les miens restent silence à vous deviner, ma chair frôle la votre dans un effort compliqué
Sentir mes jambes fléchir mais la volonté de colombine et irrévocable et me sublime
Comme le monde est différent quand l'homme est grand, comme il est limité pour celui allongé
La tête retrouve sa maitrise des évènements mais le sang coule doucement et pourtant
Que la douleur est absente de cet instant où leurs bras s'enlacent ignorant ceux qui trépassent
S'appuyer au rebord de la charrette laissant les mains de la belle trouver prise pour composer...
Attendre l'occasion que la tête s'approche au mieux et sentir sur la joue les cheveux soyeux
Trouver les mots pour dire merci à moins que le murmure soit d'une autre envie
Ne pas laisser passer le courant de la vie, s'enfuir sans lui mais s'y fondre pour s'y reconstruire
Alors laisser les syllabes se divertirent, construire leur partition dans la déraison de la situation
Où étiez vous passée madame ? J'avais chandelles pour diner et vous voilà emprisonnée ?
Retrouver ce regard d'un premier échange qui rend nos émotions étranges
Sourire malgré le truc qui dans l'estomac dérange, se dire qu'entre la blessure et l'infirmière il a gagné au change
Commencer à imaginer la suite autour d'une table allégée, repas copieusement aviné
Puis en dessert se racketter un bourgeois sur un nud ignoré ! Festoyer ?
BOUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!!!!!!
Reconnaître au bruit une certaine marque de fabrique qui a fait en sorte que le délais alloué ne se complique
Un propriétaire aux fondements précieux qui a su éviter les contentieux.....
Le souffle de l'explosion la plaque contre sa poitrine alors que la poussière les isole des regards en vitrine..
Les mains d'un Mercoeur la protège un temps d'une peur, plus surprenante que terreur..Sentir battre son cur...
Le silence ce fait sur le champ de bataille, les hommes se terrent pensant que ce bruit vient de l'enfer
Les yeux se croisent et peu importe les mots il suffit de se plaire..Du nuage sortent deux hommes aux allures contraires
Les treize sont trois à table, vient le temps des retrouvailles...Doit encore trainer quelques canailles..
La main est ferme et douce à la fois, en lui germe le doute quand il entend la voix
La reconnaître sur l'instant ou prendre le temps d'être méfiant, ouvrir les yeux lentement..
Alors que le corps est amené à se retourner pour pouvoir enfin la contempler
ne plus reculer devant la défiance, après le noir c'est une âme faite d'une nouvelle essence
Mercoeur...Comme ce nom sied à ses lèvres, comme l'intonation la fait orfèvre
Faut il qu'Aristote soit compassion pour envoyer au condamné si belle rédemption
Elle se fait générosité d'un linge abandonné. Sentir au plus près la douceur de son odeur
Mais après l'avoir rassuré de quelques générosités la voilà qui disparaît..
S'en est elle déjà partie convoler vers d'autres esprits à pourfendre de son épée ?
Autours de son monde un univers vit de complaintes et de cris, de jours et de nuits
Les derniers mots incompris le laisse dans le dénuement d'un avenir indéfini
Quand près de lui les roues d'une charrette s'arrêtent, signal pour lui de faire retraite...
A nouveau une forme salvatrice s'abaisse à ses cotées, les cordes se font cantatrices
Vous aider ? A me faire chavirer pour mieux me relever ? Mais vos mots m'ont déjà noyé
Les miens restent silence à vous deviner, ma chair frôle la votre dans un effort compliqué
Sentir mes jambes fléchir mais la volonté de colombine et irrévocable et me sublime
Comme le monde est différent quand l'homme est grand, comme il est limité pour celui allongé
La tête retrouve sa maitrise des évènements mais le sang coule doucement et pourtant
Que la douleur est absente de cet instant où leurs bras s'enlacent ignorant ceux qui trépassent
S'appuyer au rebord de la charrette laissant les mains de la belle trouver prise pour composer...
Attendre l'occasion que la tête s'approche au mieux et sentir sur la joue les cheveux soyeux
Trouver les mots pour dire merci à moins que le murmure soit d'une autre envie
Ne pas laisser passer le courant de la vie, s'enfuir sans lui mais s'y fondre pour s'y reconstruire
Alors laisser les syllabes se divertirent, construire leur partition dans la déraison de la situation
Où étiez vous passée madame ? J'avais chandelles pour diner et vous voilà emprisonnée ?
Retrouver ce regard d'un premier échange qui rend nos émotions étranges
Sourire malgré le truc qui dans l'estomac dérange, se dire qu'entre la blessure et l'infirmière il a gagné au change
Commencer à imaginer la suite autour d'une table allégée, repas copieusement aviné
Puis en dessert se racketter un bourgeois sur un nud ignoré ! Festoyer ?
BOUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!!!!!!
Reconnaître au bruit une certaine marque de fabrique qui a fait en sorte que le délais alloué ne se complique
Un propriétaire aux fondements précieux qui a su éviter les contentieux.....
Le souffle de l'explosion la plaque contre sa poitrine alors que la poussière les isole des regards en vitrine..
Les mains d'un Mercoeur la protège un temps d'une peur, plus surprenante que terreur..Sentir battre son cur...
Le silence ce fait sur le champ de bataille, les hommes se terrent pensant que ce bruit vient de l'enfer
Les yeux se croisent et peu importe les mots il suffit de se plaire..Du nuage sortent deux hommes aux allures contraires
Les treize sont trois à table, vient le temps des retrouvailles...Doit encore trainer quelques canailles..