Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[rp] Le grand Hospital de Cosnes

Minimoi69
Minimoi, porté par Bmos, voyait un peu trouble, sans doute la douleur et la soif. Il entendit Bmos lui demander une sortie et essaya de se repérer...ils devaient être un étage plus haut que celui où il était quand tout s'était écroulé il indiqua du bras la direction de l'escalier qui descendait.

Arrivés en bas, il fit prendre à droite à Bmos et quand ils arrivèrent près du fameux endroit, il vis sa brouette, écrasé par un roc, dans un coin. Il désigna alors l'ouverture qu'il avait pratiqué dans la fenêtre, ou plutôt sa direction puisque tout était écroulé. la fenêtre s'était muée en un trou béant par lequel il apercevait des gens qui allez en tous sens, cherchant sans doute à aider les gens pris dans les décombres. Alors qu'il arriva dehors, le soleil l'éblouit, et cette nouvelle douleur, conjuguée à celle qui lui paralysait la jambe droite et à sa soif, ainsi qu'à sa fatigue du au travail qu'il exécutait au moment de l'éboulement, eurent raison de sa volonté et il s'écroula sur l'épaule de Bmos, sans connaissance.

_________________
--Lescompagnons
-" En voilà deux !!!" hurla Pierre qui était resté en retrait sur la rue afin de commencer à vider les charrettes de gravas
Il se précipita à leur rencontre
-" de l'aide ! vite ! Minimoi est blessé !!"
Bmos
Bmos courait dans les directions que lui indiquait Minimoi, arrivé à l'étage infèrieur, il trouva une ouverture,
à peine sortit Minimoi s'évanoui, Bmos se diriga donc vers la première personne qu'il vit, un peu déboussolé
Bmos entendit la personne crier

de l'aide ! vite ! Minimoi est blessé !!

Bmos déposa donc Minimoi à terre en douceur et il laissa les autres s'occuper de ce dernier et décida de s'éloigner
un moment il s'assit dans un coin tranquille et regarda autour de lui les gens courir dans tous les sens, c'est alors qu'il
sentit une douleur à son épaule droite, en retirant sa chemise déchirée, Bmos vit une plaie profonde faite par un petit
morceau de bois, qui faisait à peine 20 centimétres de longueur mais qui lui traversait toujours l'épaule, soudain perdant
beaucoup de sang Bmos s'effondra
Melianne
Mélianne était affolée et courait en tous sens quand soudain le cri de Pierre la surprit
Elle se dirigea vers l'endroit d'où provenaient les cris et vit au loin qu'on se précipîtait déjà vers le blessé.

Ralentissant sa course elle tourna son regard de gauche à droite et aperçu une silhouette recroquevillée sur elle même.
Elle s'approcha et reconnut Bmos un des travailleurs.
Celui ci perdait beaucoup de sang à l'épaule.
Apparemment le garçon avait commencé à déchirer sa chemise sans doute sous le coup de la douleur.
Sans perdre son calme, Mélianne continua à déchirer le tissus.
Mais il fallait retirer le bout de bois!
Mélianne fit appel à tous les souvenirs de blessures qu'elle avait vu en Artois.
Elle savait donc qu'il fallait un cataplasme de suite après avoir retiré l'objet.

Elle tapota délicatement les joues du jeune homme
-" Bmos tu m'entends ? Bmos! allez reviens... il faut que tu restes avec nous...on va s'occuper de toi, je vais aller chercher ma mère, elle s'y connait... Bmos réveilles toi !"
elle cria à la personne la plus proche

"filez chercher l'épouse de maitre Gerfauld et surtout sa fille ainée Elles sont au "Saint Aignan " ! dites leur de venir avec des potions et des bandages et du vin !!!"
--Soeurhermande
[que ce qui suit ne vous empêche pas de continuer votre rp - les deux actions se lieront par la suite]

[Au même moment, quelque part dans le nord - un couvent de bénédictines]

Vêpres sonne. Le couloir résonne soudain sous les pas feutrés des novices et soeurs se rendant à l'office. La porte de la chapelle s'ouvre. L'air est frais
Soeur Hermande frissonne et s'agenouille comme ses soeurs.
Ce n'est point qu'elle doivent tellement faire pénitence, rares sont leurs péchés, mais la prière est leur nourriture et les offices rythment leurs journées.
Responsable de l'infirmerie, elle a apprit, soigné, veillé les mourants, voyagé, servit sur des champs de bataille, .
Oui, sœur Hermande est de ces femmes qui connaissent la vie. Et lorsqu'enfin elle pensait avoir trouvé la paix et le repos dans ce couvent, une consœur lui glisse à l'oreille
-" Hermande, la supérieure te demande de passer la voir après l'office"
Cette phrase, elle l'a entendue des dizaines de fois
Son coeur se sert. Elle lève les yeux vers la croix du Très Haut
-" Seigneur, par pitié, ne m'envoie plus sur un champ de bataille"
Déjà elle est honteuse de sa prière et se reprend
" Seigneur, que Ta volonté soit faite"

L'office terminé, elle emprunte le grand couloir qui mène au bureau de la supérieure.
Un discret battement sur la porte, un "entrez" sec. La mère supérieure, assise à son bureau, tient une missive en main.

-" asseyez vous soeur Hermande. Voilà, je n'irai pas par quatre chemins.
Connaissez vous une certaine Mélianne ?"


Les souvenirs envahissent l'esprit de la soeur. Mélianne ? cette adorable jeune fille qui ne savait comment se rendre utile alors que les compagnons bâtisseurs rénovaient le couvent de Calais !
Mélianne était donc toujours bien en vie et l'appelait ?
Mélianne se souvenait d'elle !

Elle prit l'air grave des gens qui essaient de contrôler leur joie

-" oui ma mère. Cette jeune fille nous a aidé au couvent, ainsi que sa famille, en Artois, après que les anglais furent chassés."

-" hé bien il semble que ces gens aient à nouveau besoin de vos services !"
rétorqua la mère supérieure d'un ton sec il semble qu'ils construisent l'Hospital de Cosne pour les Hopitaliers et n'ont point de médicastre ou soignants.
Pensez vous pouvoir vous rendre là bas et prendre rôle ?
je vous libère non pas de vos voeux, vous resterez Bénédictine mais de votre service ici.
D'autres soeurs sont formées à la médecine maintenant et si Aristote, par la main de cette jeune fille, vous appelle, qui sommes nous pour lui résister ? vous pouvez partir dès que bon vous semblera.
Vous pouvez vous retirer"


Hermande ne se fit pas prier. Dans le couloir vide, elle se permit même de lever les bras aux ciel
"Gloire à Vous Très Haut ! et Merci!"
Franni
Franni arriva sur le chantier de l'hospitale en construction.

Bonjour, je me présente, je suis Franni, je suis charpentier si vous avez besoin de moi, je suis votre homme, euh...non votre femme....

Franni se mit a sourire, et attendit que l'on vienne lui parler.
_________________
--Maitregerfauld
Maitre Gerfauld avait une grande qualité : celle de conserver son calme en toutes circonstances et de vite retomber sur ses pieds.

Dès que les blessés furent en sécurité, il forma une équipe pour ramasser les gravas et remit les autres au travail dans la partie saine du bâtiment.

Il aperçut alors une jeune fille qu'il ne connaissait pas et l'entendit proposer ses services

-" Bonjour damoiselle, je suis maitre Gerfauld, le maitre d'oeuvre.
Mmmm Charpentier dites vous ? hé bien vous tomber à point nommé, nous avons besoin de vous pour réaliser toute les portes de la grande salle, celle de l'entrée, l'escalier et le mobilier!"


Il éclata de rire

-" vous voyez que ce n'est pas le travail qui manque ! vous pourrez faire appel à des collègues !

Suivez moi et regardez"


"il lui montra la partie du plan et les pièces que les hommes avaient finies.



et traça des flèches aux endroits urgents.
Melianne
[ près de Bmos]

Mélianne toujours agenouillée près du jeune homme, vit arriver avec soulagement sa mère adoptive et sa sœur.
Le jeune homme qui avait été les chercher avait bien fait son message car elles transportaient une besace remplies de potions et de matériel de soin.

D'autorité la mère fit reculer Mélianne et examina la blessure.

-'je vais faire ce que je peux ici, mais il faudra absolument le transporter dans une Hostellerie et le mettre dans des draps propres pour éviter les mauvaises humeurs ...enfin s'il n'en a pas déjà...le pauvre.


et continuant à parler bien que ne sachant pas si le jeune homme l!e'ntendait ou pas
-" bon mon garçon tu vas t'accrocher car ca va faire mal !
Mélianne met lui ce petit bâton en travers des dents, qu'il le morde et non pas sa langue et donne lui ces trois gouttes de pavot. Pas une de plus ! il va flotter entre ciel et terre quelques minutes, le temps de retirer cette chose.


La mère plaça deux doigts de chaque côté de la plaie et dégagea le bout de bois par à coups en essayant de déchirer le moins possible les bords de la plaie.
Lorsqu'il vint, le sang afflua et la mère versa une quantité de vin.
Elle appliqua une boule de tissu afin de comprimer le tout et attendit quelques minutes dans cette position que l'hémorragie cesse.

-" je vous laisse" souffla Mélianne
je vais voir Minimoi.... viens avec moi dit elle à sa soeur et prend ces attelles...je pense qu'il a la jambe cassée.
--Lescompagnons
Pierre avait bien réagit lui aussi et avait couché Minimoi dans une charrette avec l'aide d'ouvriers.
La jambe de celui ci formait un angle bizarre et le jeune homme fit la grimace tout en déchirant les braies.

"je crains qu'il en soit quitte pour des semaines de repos, hélas et il nous faudra le transporter auprès d'un médicastre.
Regarde
dit-il à sa soeur qui arrivait avec Mélianne

La jeune femme grimaça elle aussi et le plus délicatement possible remit dans l'alignement, la jambe blessé. Elle posa ensuite des attelles.
-" il peut attendre comme cela mais tu as raison ...il nous faut un médiacastre.
Transportons le au "Saint Aignan.....il revient à lui ???"
Minimoi69
Quand Minimoi revint à lui, il était dans une charrette et il venait d'être reveillé par une énorme douleur à la jambe. Il la regarda et vit que quelqu'un lui avait remis en place. Il regarda autour de lui et vit qu'on s'apprétait à le porter. Il aida tant qu'il put en se soulevant quand il le fallait, puis la douleur eut de nouveau raison de lui et alors qu'on soulevait la civière improvisée, il sombra de nouveau
_________________
Bmos
Quand Bmos rouvrit les yeux, il vit Melianne au dessus de lui, puis vint une femme qu'il ne connaissait pas,
Bmos voyait la femme parler mais il ne comprenait pas ce qu'elle disait, la douleur était trop forte, Melianne mit
un bout de bois dans la bouche de Bmos et à peine eu-t-il le temps, que la femme plus agée arracha le morceau
de planche de son épaule, Bmos eu si mal qu'il mordit le bout de bois qui se brisa sous la pression, puis Bmos
s'évanoui de nouveau
--Lescompagnons
L'épouse de maitre Gerfauld retira délicatement les éclats de bois de la bouche du jeune homme qui venait à nouveau de sombrer dans l'inconscience et lui fit un cataplasme puis un bandage serré de l'épaule.

-" Voilà, je ne peux rien faire de plus, ici. Nous allons le mettre dans la charrette avec l'autre jeune homme blessé, aidez moi dit elle à deux hommes non loin d'elle.
Il faut les transporter au " Saint Aignan" leur trouver des chambres et surtout un médicastre !"

Pierre s'avanca, poussant la charrette sur laquelle était déjà étendu Minimoi puis il aida à charger doucement le blessé et, à trois hommes, lentement afin d'éviter les trous entre les pavés de la rue, ils commencèrent à pousser en direction de la taverne municipale.


(à ce stade, les travaux doivent avancer vite fait : le jardin est à créer avec des herbes médicinales, l'aile écroulée doit être remontée.
La grande salle est finie ainsi que la chapelle, la cuisine et quelques pièces donc les artisans peuvent entrer en jeu ainsi que toute personne ayant des idées géniales -
Falam
Fal était la assis en taverne seul, songueur au projet de mélianne..elle lui avait parlé de l'hôpital de Cosne et de tout ce quelle comptais faire et il trouvais celà plutot une bonne idée...

Il avait prit des parchemins et il avait gribouller des heurs entières ne faisant guère attention aux personnes qui venaient et sortaient de sa taverne tellement envahit par ses pensées de bien faire...

A la fin de la journée il avais en tête plusieurs plans qu'il restranscit immédiatement sur parchemin et plutot fièr de lui s'emprassa d'aller chez lui pour prendre son cheval, et d'allais sur le chantier pour parlais à Melianne des ses idées...

Il ariva chez lui et prit ses affaires puis grimpa sur son cheval en direction de son domaine, là ou était ses fidèles gardes, il avait besoin d'eux et il savait que le chantier avait besoins de mains d'oeuvre...

Il traversa une partie du village qui semblais bien mort et arriva eu lieu prédit et descendit de son bourricot et entra dans la grande demeur...


Debout là dedans, bande de feignasses y'a du boulot qui nous attend, aller bougés vous, plus vite que ca!!!!

Il attendit que chacuns se préparèrent et remonta à cheval suivit par une armada de gardes..ils traversaient paisiblement le village et saluaient les quelques gens qui étaient sortit pour profiter du soleil..

Prit la direction du chantier, en croisant nan loin avant le l'endroit voulu, des hommes et des charrettes deballaient à toute blindent devant eux...

Il arrivèrent devant l'hôpital et descendirent de leurs montures et fal s'avanca vers Melianne..


Bonjour la belle, comment ca va? je ne suis pas venu seul comme tu peux le voir, je pense que celà suffira à l'avancement des jardins...

Puis fal scuta dejà l'horizon avec ses pensées en tête essayant de s'imaginais le futur et les jardins bien fleuris, sentant bon les doux parfums d'été, les oiseaux chantant et la nature s'éveillant de facon majestueuse...
_________________
Melianne
Mélianne suivi du regard l'équipage menant le blessés vers le "Saint Aignan" puis baissa les yeux en hochant la tête et soupira
-" pourvu qu'ils 'en sortent"
elle fit ensuite demi tour et allait rentrer dans l'hospital lorsque le bruit de plusieurs chevaux attira son attention.
Elle reconnu messire Falam à la tête d'une troupe d'homme et lorsqu'il la salua gaiement, le cœur de Mélianne bondit de joie
-" quoi ? vous êtes venus pour les jardins ??? mais c'est magnifique !!..oh merci !!!...."

elle ne savait trop quoi dire aussi les pria t elle de la suivre.

La grand entrée de l'hospital était bien dégagée, le hall déjà plafonné et on accédait aux jardin par le couloir.

Elle montra à messire Falam et ses hommes l'espace qui s'étendait depuis la chapelle jusqu'aux écuries.

-" voilà votre terrain ! il est abondamment éclairé par le soleil toute la journée et il y a juste des coins d'ombre vers ce bâtiment
Vous pouvez y faire tout ce que vous voulez...sans oublier le jardin aux simples de la future hospitalière"
ajouta t elle en souriant "il lui faudra de la menthe, sauge et autres herbes propres aux tisanes et cataplasmes"
Je vous laisse, je vais aider à ramasser les débris dans l'aile abimée.... et encore merci ! cria t elle en courant vers le bout de l'aile du bâtiment endommagé.
Minimoi69
Minimoi revenait sur le lieu de l'accident. Tout était rétabli désormais. Les travaux étaient presque finis dans tout l'hospital. Il sourit et aida un homme à soulever un meuble. Ses forces etaient revenus. Il alla voir Meline pour lui demander en quoi il pouvait être utile. Il la trouva et lui dit
"Bonjour ma belle, tu va bien? je suis revenu aider, maintenant que je suis guéri. On en est où de la construction et de l'aménagement?"
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)