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[RP] Promenade au bord du lac

Arthanagor
Arth avait remit la barque dans le sens du retour a grands coups d'avirons.
Esta tremblait un peu...normal.Arth lui designa de la tete un couverture posée sur le fond de la barque.


Citation:
Alors, c'est là qu'elle est ta forge? J'savais pas....


Arth acquiesa de la tete.

Ouaip....tu crois pas qu'jallais m'installer en plein centre de la ville?....pour voir du monde toute la journée? lui dit il en riant....ce serait mal me connaitre...

Citation:
Et mon épée, elle est prête?...


Il lui fit un clin d'oeil alors que la rive du lac approchait doucement

ah ça !!!....t'as une belle épée....equilibrée legere.....prete a servir......
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marié à Minimiu
Membre de l'ex- fine équipe
Pére de Duncan
Tetu,raleur,de mauvaise foi et mysanthrope


Journaliste pour "Le Petit Cosnois"

" delanda Britania est "
Milyena
Elle c'était levée tôt ce matin, le village était calme, les tavernes fermées, les marchands commençaient à peine à se placer sur le marché.
Un signe de tête à l'un, un sourire à un autre et elle traversa le marché sans croiser une seule personne dont elle aille fait la connaissance ces derniers jours.

Mily avait envie de réfléchir, c'était bien la première fois depuis qu'elle voyageait qu'elle restait plus d'un jour dans un village autre que le sien.
Se dirigeant vers le lac elle respirait c'est parfum de printemps.
Elle qui projetait d'installer une échoppe où elle pourrait partager sa passion avec tous...les fleurs.

Arrivée au lac elle s'assit, dos posé contre un arbre, à l'écart d'autres personnes présentes.
Les rires, les cris, les bruits environnant, tout cela avait un côté apaisant pour elle.

C'est dans cet état d'esprit et au bord d'une eau calme et paisible qu'elle se força à penser à Vienne et oublier un instant Cosne.
De ce qui l'attendait à son retour, du travail amasser durant son voyage, du nouveau bureau des festivités qui ouvrirait dès son retour, des courriers qu'il faudrait recommencer à envoyer à l'un ou l'autre en tant qu'échevin, sa formation à l'Ost qui la priverait de revenir si elle le souhaitait.

Comme elle aurait voulu arrêter le temps, rester ici espérant toujours et encore trouver le bonheur et là elle planterait tout, toutes ces tâches qui lui incombaient, tous ces amis et quelques amies, car oui ça elle en avait à Vienne, la Mily, la bonne copine de tous ces messires, la gentille amie de ces quelques dame.
Mais elle, elle qui avait elle, personne, pas de famille, pas de compagnie les longues soirées passée seul dans sa maison, pas non plus le bonheur de porter et chérir un enfant.

La tristesse se marqua sur son visage.
Essuyant une larme roulant sur sa joue, elle ferma les yeux un instant et écouta la vie.

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Milyena
Bien au calme elle pensait que rien ne viendrait la perturber durant ces quelques minutes de repos avant de rejoindre le village.
Quand elle entendit crier.

Dame Milyena De Méricourt, je cherche dame Milyena de Méricourt.

Ouvrant les yeux, elle se demanda ce qu'on lui voulait, de plus la voix criant à son intention ne lui était absolument pas connue.

Se levant elle essuya la poussière de ses braies et attendit que l'inconnu soit à sa hauteur.

Sieur, je suis dame Milyena, que me voulez-vous.

Essoufflé il lui répondit.


Je suis charger de vous faire parvenir une missive...ouf...qui ma foie à l'air fort urgente...ouf...j'ai eu dur à vous trouver dam vous savez.

Elle prit la missive, surprise et un rien effrayée, pourquoi l'avoir contactée de cette façon, allant jusqu'à la chercher au bord du lac plutôt que de la laisser à la mairie ou autre.

Tout en ouvrant impatiemment le parchemin elle remercia le jeune sieur l'ayant tant cherchée.

Merci très cher, je ne puis rien vous donnez d'autre qu'une miche, je vous en prie acceptez.

Vienne ce pli venait de Vienne.

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Estainoise
Esta avait quitté sa cape gorgée d’eau, mais aussi ses chausses, sa chemise, sa paire de braie et....
...et puis, elle s’était enroulée dans la couverture que lui avait tendue son frangin.

En approchant du rivage, Esta se réchauffait doucement, les pieds nus posés sur la planche devant elle, tout en observant et écoutant Arth qui ne cessait de ramer.
Arrivée au bord du rivage, Esta aida à pousser la barque, elle prit ses vêtements avec elle et de son bras libre, entraina aussi son brochet.

On va dans ta forge Arth ? Tu me fais visiter ?

Alors Esta avait suivi Arth, tout simplement.
Arrivée dans la forge, elle disposa ses vêtements au mieux pour qu’ils sèchent au plus vite....et elle demanda à voire son épée....


Allez Arth, montre moi la.....
Milyena
Elle décida d'ouvrir ce pli directement, mais sut de suite quel famille le lui envoyait.

Non! Aramis.

Sous le choque elle fondit en larme, que c'était-il passé?
Elle revoyait les images du jour de son départ, du bonheur intense avec sa bien aimée Merisse.
Qu'allait-elle devenir? Et fée qui se trouve en retraite.

Elle replia son parchemin et le plaça délicatement dans sa besace, repartant vers le village les yeux toujours inondé de larmes.

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Carensa
Une chevelure brune ébouriffée sort du feuillage annonciateur de l'été. Le regard encore un peu hagard mais un froncement de sourcils qui en dit long. Elle regarde au pied de l'arbre, deux écureuils se battent pour une vieille noisette qui traînait là.


- BBBBBBBBOUHHHHHHHHH !! c'pas possible sacré nandidjiou !! j'pô pas dormir !
profond soupire..

Une moue s'affiche sur le joli minois.


- Oh Caresse tu parles comme un charretier bourguignon..c'est laid Caresse..c'est très laid !!


Un coup de main dans le vent comme pour faire fuir quelque chose ? Quelqu'un ? puis un coup de reins en arrière et la voici qui fait un cochon pendu autour de la branche. Avec l'agilité d'un chat elle ne met pas longtemps à retrouve la terre. Bah ouéh quoi faudrait pas qu'elle abîme ses bas..d'ailleurs. Se penchant légèrement en avant elle ajuste sa dernière acquisition..c'est qu'elle y tient, elle y a mis toutes ses économies.

Satisfaite du résultat elle tente de remettre un peu d'ordre dans la crinière..à quoi bon de toute façon elle sera à nouveau emmêlée d'ici peu.

Ce soir..ce soir elles partiront, pour ailleurs. Pincement au coeur


- T'ss ma pauvre fille, t'es trop fleur bleue

- Nan c'pas vrai, j'suis pas fleur bleue hein !! j'suis une dure de dure namého pourquoi qu'tu dis ça ?


- Non c'est pas vrai tu n'es pas fleur bleue mais tu n'es pas dure non plus..tu es jeune c'est pour ça

Les boucles brunes s'agitent

- Taisez vous tous les deux !! vous m'fatiguez. J'suis trop jeune pour ci, j'suis trop jeune pour ça ! Et pis j'suis trop vieille pour être comme ci ou comme ça !! ça me FA TI GUE !! Y'EN A MARRRRRRRRREEEEEE LAISSEZ MOI VIVRE BON SANG !!


Aucune issue possible lorsque les voix qui vous habite ne se taisent pas..sinon celle de les faire taire. Carensa se met à courir, vite, droit devant, mains sur les oreilles pour ne plus entendre. Combien de mètres parcoure t'elle comme ça ? 20 ? 50 ? 100 ? 200 peut être et là voici qui s'écroule à genoux au pied d'un grand chêne. Elle relève les yeux

- j'pas envie d'partir mais j'pas envie d'être loin d'la blonde. J'l'aime trop pour rester seule sans elle..trop..on d'vrait jamais aimer elle a raison..

Appuyée contre l'arbre, les yeux fermés, ses poings martèlent doucement la terre quand une brise légère vient caresser le visage.
Natasha
Chaud, trop chaud pour faire quoique ce soit de productif…d’façon, pas envie de faire quoique ce soit…buller, c’est bien ça…buller et picoler, encore mieux…erf, pas d’dépenses superflues, faut prévoir…Tsssss, pas inutile d’boire namého !! Faut s’hydrater !

C’est à peu près ce que pensait la blonde qui déambulait dans les ruelles cosnoises ; en fin de matinée, elle avait quittée la demeure de Blondie pour se rendre aux écuries, avait préparée sa monture en vue du prochain départ et zieutait maintenant les devantures des échoppes.
Arpentant les pavés sans but précis, elle arriva non loin du lac ; sa sacoche à l’épaule, elle esquissa un sourire en hochant la tête…magnifique journée ensoleillée, douce chaleur et légère brise…tout était réuni pour une baignade, d’autant qu’elle n’avait rien de mieux à faire. Elle longea la rive jusqu’à trouver l’endroit idéal, les quelques arbustes créant une alcôve ombragée qui la dissimulait aux regards ; libérée du carcan vestimentaire, elle plongea dans l’onde rafraichissante.

Le temps semblait s’être arrêté pour la platine qui barbotait tranquillement ; les ambres observaient les barques au loin, tanguant sur les flots délicats…quiétude d’un instant, sérénité dans la caboche, bien-être d’un corps immergé…et l’ouïe qui la rappelle à l’ordre, bruissements dus à une course effrénée ; l’instinct qui s’éveille et la méfiance avec lui ; l’arrêt, peut-être une chute et le silence troublé par une voix à peine distincte…

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Minimoi69
Minimoi avait chaud, en cette journée resplendissante de Juin. Il décida d'aller piquer une tête dans le lac. Il emporta une paire de braies de rechange et se rendit sur les bords du lac.

Il faisait atrocement chaud, mais l'eau avait l'air fraiche, comme il faut. Il enleva un par un ses vêtements en dehors de ses braies et les disposa pliés en un petit tas sur un butte non loin de la rive. Puis il plongea à l'eau et entreprit de se prélasser....

Le temps passait sans qu'il s'en rende compte...

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Aloycia.
Aloycia de passage a Cosne se promène dans les rues et au loin y voit un lac.
Elle s'y approche le soleil était au rendez vous ,les oiseaux chantaient ..
Aloycia s'assoit au bord du lac les pieds dans l'eau et se mit a rêvasser bercer par le chant des oiseaux
Aria_la_rousse
[Milieu d'après midi]

La voilà revenue la rouquine, toujours aussi pétillante de vie. Théognis, Loup, Ducan et elle étaient arrivés à Cosne dans la matinée.
Elle s'était immédiatement dirigée vers une taverne pour tenter de croiser Ganju ou Lison mais aucun des deux ne s'était montré.
Elle leur ferait sentir aux ingrats.. Mais en attendant elle se dirigea vers le lac, couffin en main.

Surveillant Loup qui avait tendance à embêter son cousin Ducan, tirant le duvet fin de ce dernier entre ses petites menottes.
Aria était épuisée, un bébé était déjà trop.. mais deux.. Le baron et elle avaient besoin de liberté de mouvement et d'esprit..
Elle avait pris Ducan sous son aile par gentillesse mais avait l'impression de s'être rajoutée un fardeau de plus.
Pourtant il était plus calme que Loup, plus rieur aussi, les traits du frère d'Aria ressortaient doucement sur le visage rond et doux de l'enfant.

Plongée dans ses pensées, la rousse longeait les rives du lac.
L'eau scintillait sous la caresse solaire et éblouissait les yeux azurs de la demoiselle.
Elle ne fit pas attention aux personnes présentes, et trouva un petit lit de mousse près de l'eau sur lequel elle s'allongea.
Retirant ses chausses, elle fit tremper ses pieds dans l'eau et sortit les deux enfants du couffin pour les caler contre son flanc telle une louve avec ses petits.

Alors, ses yeux se posèrent sur le ciel bleu sur lequel quelques filets blancs et vaporeux se dessinaient.

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Aria_la_rousse
Elle courait, les branches lui lacéraient le visage, les pleurs d'un bébé se faisaient entendre sans qu'elle puisse trouver d'où ils venaient. "Mon bébé, Loup où es tu ? Rendez le moi !" Les larmes roulaient sur ses joues. Son fils, son sang lui avait été retiré.. Elle trébucha mais au lieu de tomber se retrouva dans une chaumière. Une jeune femme rousse la regardait. "Maria ! Que fais tu là.. tu es..mo" un sanglot étouffa ses paroles. Les pleurs continuaient, elle voulait serrer sa sœur dans ses bras mais un lien invisible la retenait. Cette dernière la regardait avec un rictus mauvais. "Aria tu es aussi faible que moi... tu n'es pas morte mais où est donc ton fils ? Vas-tu le laisser mourir comme ma fille ? "
Sentiment d'injustice qui lui déchire les entrailles et les pleurs qui se font de plus en plus forts. L'image de Maria qui se floute. "Non ! reste ! Tu me manques.." Les lèvres de la rousse bougent mais elle n'entend pas à cause des braillements du bébé. "Cessez ce bruit.. stop.. je n'en peux plus ! "

La rouquine ouvrit les yeux. Le soleil rasant l'éblouissait. Loup pleurait contre elle. Elle essuya une larme et se redressa un peu troublée par son rêve. La crinière rousse de sa sœur restait dans sa mémoire alors qu'elle prenait Loup dans ses bras pour le bercer. Elle fredonna :


Ferme tes jolis yeux
car les heures sont brèves
au pays merveilleux
au doux pays du rêve
Ferme tes jolis yeux
car tout n'est que mensonge
le bonheur est un songe
Ferme tes jolis yeux


Une fois Loup apaisé, elle le reposa contre Ducan. Ses yeux se remplirent de larmes en repensant aux paroles de sa sœur. Elle se leva et délaça sa chemise, retira ses braies. La rouquine était loin d'être pudique, et de toute manière, personne ne semblait être présent aux alentours. Elle commença à entrer dans le lac jusqu'à la taille, frémissant à peine au contact de l'eau fraiche. Ne sachant pas nager elle resta là où ses pieds touchaient encore le fond, pris une profonde inspiration puis plongea la tête sous l'eau pour y noyer ses larmes. Quand elle se redressa, elle retira les mèches mouillées de son visage. Le lac froid lui changeait les idées et elle y barbota ainsi un long moment.
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Aria_la_rousse
La nuit tombait quand la rouquine sortit de son état triste et sombre pour enfin revêtir le masque de joie et d'esprit pétillant qu'elle portait habituellement.
Les couleurs rougeoyantes donnaient à son corps des allures félines et c'est enveloppée de ces tons qu'elle sortit de l'eau.
Elle se sécha, essora sa crinière flamboyante avant de s'habiller.

Aria observa un moment les deux enfants réveillés, entrain d'essayer d'attraper des choses imaginaires.
Elle les aimait, malgré la difficulté elle les protègerait comme une louve.
Tout en fredonnant, elle prit chaque enfant et les glissa dans le couffin, l'un après l'autre.

Couffin sous le bras, elle reprit la direction des tavernes sans savoir que ce qui l'attendait serait plus difficile encore à endurer.

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Aurore51
Aurore était arrivée à Cosne, la veille, la chaleur en ce jeudi 1er juillet de l'an de grâce 1458 battait des records inégalés jusqu'ici...
Elle décida d'aller faire trempette dans le lac comme elle aimait à le faire lorsqu'elle allait à Bruges. Ahhh, le lac Doudou que de souvenirs là-bas...
Elle enleva, bottes, ceinture, bustier pour rester juste en tunique, elle n'allait tout de même pas se mettre nue , c'est donc ainsi qu'elle trempa un orteil dans l'eau pour y prendre la température.
Son loup, Sultan, qui n'était jamais très loin d'elle arriva à grande vitesse et se rua dans l'eau, éclaboussant sa maitresse par la même occasion... A croire qu'il prenait toujours un malin plaisir à lui faire les 400 coups, c'lui là !!!
Mouillée pour être mouillée, elle plongea dans le lac et commença à nager tranquillement. La différence de température en l'air et l'eau était plus qu'appréciable...
Après une bonne heure de trempette, Aurore regagna la berge et c'est toute ruisselante qu'elle se laissa tomber, sur le dos, dans l'herbe verte près de ses affaires...
Le soleil lui caressait sa peau mouillét de par ses rayons chaleureux, Aurore ferma les yeux et s'endormit...

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Aurore51
...se sont les cris des pêcheurs qui réveillèrent Aurore, ils revenaient de la pêche et avaient l'air bien heureux de leur journée. Elle entendit quelques brives de conversation
taverne... chopine...
rien qu'à ses mots, Aurore avait soif, comme elle n'avait rien d'autre à faire elle se dit pourquoi pas !
Elle se revêtit convenablement, enfin, si on pouvait appeler sa tenue ainsi, et siffla son loup qui roupillait sous un coin d'ombre pour qu'il la suive, après tout, il allait pas feignasser toute la journée !
C'est donc suivit de Sultan que l'Anversoise prit la route du village pour se désaltérer...

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Aurore51
Le soleil était haut lorsqu'Aurore arriva sur les bords du lac.
Elle avait passé une délicieuse soirée en taverne la veille et elle avait proposé à Ill un p'tit pique-nique.
Comme à son habitude, elle était accompagnée par son loup

Pendant que ce dernier faisait le fou, elle entreprit de tout préparer.
Elle déposa une couverture sur le sol et y déposa quelque plat de salades composées ainsi qu'un panier de fruits.
Une fois que tout lui semblait en ordre, elle s'assaya et regarda les pêcheurs au loin dans leur barque...

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