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[RP] Promenade au bord du lac

Illitch
Ill regarda le viel homme il le rec[i]onnus il était charpentier mais que venait il faire donc ici ??

Il se dirigea vers l'arrière de la charrette et quelle ne fut pas sa surprise une braque un cadeau de Aurore .

[/i]Il fixa aurore dans les yeux la pris dans ses bras et l'embrassa avec passion .

Tu me gate ma belle je suis le plus heureux des hommes .

Il dis au viel homme de la lui ramenais au 36 rue de l' Aurore et lui donna quelques écus pour sa peine

Allez vient allons boire un verre en taverne ..
Aurore51
Aurore était tout sourire, son cadeau plaisait à Ill, elle savait qu'il ferait bon usage de son cadeau.
Elle lui rendit son baiser avec plaisir, puis avant que le charpentier ne s'en aille elle lui glissa une bourse dans sa main, c'était ce qu'elle lui devait encore pour le travail accomplit.

Humm, tu as dit une bière !
Avec plaisir, en plus ça cloturera cette magnifique journée en beautée.

Elle lui sourit et fila ranger le pique-nique qu'elle laissa dans sa chariotte.
Elle prit la main de Ill dans la sienne alors que tout deux prenaient la direction des tavernes...
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Melisende

Le soleil était haut et chaud. Cela faisait une semaine que Mélisende était à Cosne et du lac, elle n'avait connu que les eaux profondes où se nichaient les poissons. C'était tout de même bien agréable d'avoir un lac près de la ville. Elle en parlerait à son maire au retour, pour savoir si un MA ne pourrait pas nous en dénicher un pas cher pour Joinville... Ceci dit tant qu'à être à Cosne, autant profiter de celui-là. Donc ce jour là, au lieu de traîner dans les tavernes, elle décida plutôt d'aller se promener aux bords de celui-ci.

Elle fut vite éblouie par le reflet du soleil et se mit un peu en retrait, à l'ombre de quelques arbres pour ne pas succomber à la chaleur. La tête sur l'herbe, elle se sentait bien et pouvait enfin pratiquer son activité préférée : ne penser à rien. Doucement, ses yeux se fermèrent et Mélisende partit dans quelques rêves où anges et feux se mêlaient.

Soudain, un cri de corneille la réveilla. Le soleil avait infléchît sa course et commençait à plonger vers le sol. Il était moins brûlant bien que toujours aussi resplendissant. Doucement, une chenille montait sur la jambe de Mélisende. Elle la chassa en lui demandant de ne revenir que lorsqu'elle serait papillon.

Elle se déshabilla lentement, mis ses affaire en tas, sortit de son sac un bout de savon et se glissa dans l'eau, qui était légèrement fraîche comparée à la chaleur de l'air. Elle n'alla pas très loin, ne sachant nager, mais put se laver entièrement et cela lui procurait un bonheur immense. Surtout ses cheveux, qui souffraient de ce voyage sur les routes poussièreuses.

Elle resta de longues minutes dans l'eau... Aux grands malheurs des animaux alentours qui devaient subir les chants de Mélisende, qui ne pouvait se laver sans chanter comme tout un chacun. Elle plongea une dernière fois la tête dans l'eau et sortit. Elle se sêcha sur l'herbe grâce au soleil. C'était vraiment un délice pour elle.

Elle se prélassa autant qu'elle put, mais le soir tombait. Et elle ne pouvait traîner trop, car elle devait reprendre la route en direction de Nevers, et ce dès ce soir. Mais avant, elle avait envie de passer une dernière fois dans les tavernes remplies des sympathiques Cosnois ou voyageurs qu'elle avait rencontrés pendant son séjour ici.
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Nadaelle
La nuit avait été pénible et rude pour Nadaelle .

Pour une fois , elle n'avait pas voyagé seule et avait partagé sa charrette avec un voyageur dont elle avait fait connaissance la veille . Elle l'avait trouvé fort sympathique et avait accepté de le suivre . Nada était du genre impulsive et se fiait toujours à ces premières impressions . A tord ou à raison , mais qu'importe , la vie se doit d'être vécu pleinement , et puis voyager en compagnie lui changerait un peu .
Ils avaient décidés de conduire et dormir à tour de rôle , Nada s'était reposé la première partie de la nuit , seulement , elle avait eu beaucoup de mal à trouver le sommeil , pas habituée à se laisser bercer lorsque la charrette roule . Et puis , l'homme qui l'accompagnait était loin d'être laid , résultat , une nuit blanche pour Nada .

Au petit matin , elle avait prit les rennes à son tour et arriva enfin à Cosnes .
Le Messire dormait encore à poings fermés , sans le réveiller , elle partit en ville , acheta un bon pain tout chaud chez le boulanger et le ramena à la charrette .
Le sieur ne s'étant toujours pas réveillé , elle lui laissa un mot et partir à la recherche d'un endroit pour se rafraichir .

Ses pas la dirigèrent vers la sortie de la ville , une vieille pancarte lui indiqua un chemin direction le lac . Venant de faire plusieurs villes ou il n'y en avait point , Nada fut ravie de pouvoir enfin se baigner d'une façon beaucoup plus agréable .

Le lac était grand et superbe , des saules pleureurs l'entouraient et lui donnait des coins ombragés .
Vraiment idéal pour une baignade et une bonne sieste .
Elle longea un peu la rive et découvrit un petit coin en retrait . Il n'y avait personne , Nada se dévêtit et se glissa dans le lac .
L'eau était légèrement fraiche mais très agréable par cette chaleur lourde et orageuse .
Elle mit un léger moment avant de se mouiller complétement et se délecter de ce moment si agréable . Elle nagea un peu en mettant sa tète sous l'eau . Elle vit alors qu'elle n'était point seule . D'innombrables poissons nageaient de ci de la . Nada les regardait , heureuse de ce moment de délassement .
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Elsaria
Une nouvelle journée venait de s'écouler pour la jeune Bourg De Beaune.

C'est donc après une longue et laborieuse journée à la mine que la jeune femme prit le chemin du lac. Un grand besoin de détente se fit ressentir. D'abord prit par la solitude, puis la colère et enfin la tristesse, la jeune femme avait grand besoin de se reposer. Cela faisait plusieurs jours qu'elle ne cessait de courir entre l'Ordre, les missives, la taverne...

Après quelques minutes de marche, elle se dirigea vers un gros chêne qui dominait la rive. Elle s'assit et s'adossa contre le tronc. Son regard se perdit à l'horizon. A peine fut elle arrivée qu'un long soupire pouvait se faire entendre. Un soupire qui traduisait l'épuisement des choix qu'elle avait du faire.

Elle prit dans sa main quelques cailloux et les lança dans l'eau un par un. Le temps lui paraissait interminable, le ciel se faisait étoilé. C'est le regard vide qu'elle plongea parmi le reflet de la lune.

Alors qu'elle n'avait eu aucune nouvelle de son frère malgré la missive qu'elle lui avait écrite, la jeune femme restait silencieuse à son angoisse. Elle aurait voulu pleurer de chagrin, de solitude, d'éloignement... Pourtant aucune larme ne sortait.

Son regard se posa sur l'horizon. Quel destin se réservait à elle... ? Elle n'en savait rien. La journée passée en taverne, les discussions continuelles auxquelles elle n'avait mot à dire, tout cela lui avait fait comprendre qu'elle n'appartenait pas à ce monde, qu'elle n'était qu'un pion parmi tant d'autres. Elle se sentait différente... Cette différence n'avait point fait son apparition depuis sa plus tendre enfance, mais les jours passaient et elle s'accentuait. Plusieurs souvenirs, et soudain l'apparition de son frère...

Fallait il rester ou partir...?
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Glorim
Put... mais c'est pas vrai.

La claque qui vint s'abattre sur son épaule lui tira un grognement, autant provoqué par la douleur que par l'agacement. L'assaillant revint à l'assaut s'attaquant cette fois à sa joue gauche. Le retour de sa main ne se fit pas attendre. Mais cette fois-ci la douleur sourde de son épaule amena le membre a réagir moins brusquement afin de chasser le moustique. La bête redécolla, aussi légère qu'elle était venue alors. Sans pouvoir profiter d'un moment de répit un autre vrombissement trahissait déjà une autre attaque qui devait être à nouveau contrée.
Agacé par cette ... "balade digestive" qui virait au harcélement Glorim se releva, rechaussa ses chausses sans attendre que ses pieds soient secs après avoir quitté l'eau et repartit d'un bon pas, espérant laisser sur place ses certes milimétriques mais si teigneux agresseurs.
S'arrêtant à une bonne vingtaine de mètres de son emplacement initial son regard se perdit dans les reflets du lac. Il resta là un moment avant de sentir l'inévitable présence d'une créature dans son cou qui vint se faire éclater par sa main, pour une fois victorieuse.
Tout ragaillardi par sa victoire il repartit, s'éloignant cette fois du lac, la démarche victorieuse, le sourire aux lèvres et la gorge sèche.
Jennyfael
Jennyfael s'était levée de bon matin, bien décidée à aller à la pêche. Depuis le temps qu'elle voulait y aller. Elle était allée chercher une petite branche, la veille, pour se faire une canne à pêche. Elle prépara Kilian et le mit dans son couffin, puis prit du pain et du jambon qu'elle fourra dans sa besace. Elle prit le couffin ou Kilian dormait ainsi que sa canne à pêche et du maïs et sorti de la maison. Canaille, le chien de Gir, la suivait tout en furetant de droite à gauche. Elle dirigea ses pas vers le lac, souriant aux villageois qu'elle croisait sur le chemin.
Il faisait un temps magnifique et le soleil commençait à réchauffer la fraîcheur de la nuit. Jennyfael chantonnait tout en marchant. Arrivée au bord du lac, elle chercha un coin ombragé pour y mettre Kilian et s'installa près de lui afin de le surveiller.
Jennyfael n'avait jamais pêché mais pensait que se ne devait pas être bien compliqué. Elle avait observé quelques pêcheurs et se souvenant des gestes qu'ils faisaient, les reproduisit. Elle mit un grain de maïs au bout de sa ligne. Puis elle enleva ses bas et remonta sa jupe sur ses cuisses pour ne pas la mouiller. Elle pénétra dans l'eau jusqu'a mi mollets et lança sa ligne dans l'eau. Elle n'avait guère vu de poisson mais imaginait que cela devait ressembler au poisson que les soeurs lui faisaient manger quand elle vivait encore avec elles.
Jennyfael, tout en jetant un coup d'oeil vers Kilian, regardait sa ligne scrupuleusement et espérait qu'un poisson viendrait manger son grain de maïs. Tout à coup, elle ressentit une atroce douleur à son orteil. Elle réprima un cri et sortit son pied de l'eau. Une espèce de bête était accroché à son pied par une pince qui prolongeait le corps de la bestiole.

Ahhhh !!! Mais c'est quoi cette bête ?

Jennyfael secoua son pied dans tous les sens pour faire lâcher prise à la bête car elle ne voulait pas y toucher. Elle secoua tellement sa jambe qu'elle perdit l'équilibre et se retrouva assise dans l'eau, la bestiole toujours au bout du pied. Prenant son courage à deux mains, elle réussit à enlever l'horrible monstre et le jeta plus loin. Elle se releva, la jupe dégoulinante.

Ohhh ! Mais c'est pas vrai, me voilà trempé. Cela commence bien. Bon aller on y retourne et tant pis, ça finira par sêcher.

Jennyfael reprit sa canne à pêche qu'elle avait lacher dans sa lutte contre l'affreux animal et la remit à l'eau. Elle venait à peine de la mettre qu'elle sentit que la canne lui résistait.

Ohhh, ça y est, ça mord....

Jennyfael tira sur sa ligne pour sortir le poisson de l'eau. La lutte fut longue et acharné. Elle réussit à sortir sa ligne de l'eau et vit....

AAAAAAAAAAAH !!! Un serpent.... Au secouuuuuuuuuuuuuuuuuuuur !!! Aidez moi....

Jennyfael était tétanisée de peur et restait la main crispée sur sa canne à pêche, ne sachant que faire. Elle regarda autour d'elle espérant voir arrivé quelqu'un pour l'aider.
Erebot
Erebot faisait sa petite sieste pas loin du lac sui est un endroit calme paisible .
L'endroit idéal pour le repos .
Une brindille à la bouche il s'allonge et le chapeau sur le visage .

haaa qu'elle lac incroyable !!! j'adore cette endroit!!!

mais voila que peu de temps après un grand :

Citation:
AAAAAAAAAAAH !!! Un serpent.... Au secouuuuuuuuuuuuuuuuuuuur !!! Aidez moi....


Erebot ni une ni deux , jette la brindille remet le chapeau et part en courant comme un cheval de course

allez vite !!! je connais cette personne !

Il voit au loin la plus belle fille a ses yeux qui lutte devant un serpent énorme

ho toi mon coco je vais te trancher la tête !!!

Erebot sort son épée en courant et fonce droit vers la bestiole et d'un coup d'épée , il tranche en deux cette vermine

ouf !! il fallait pas une seconde de plus

range son épée et prend jenny dans ses bras

n'est pas peur mon coeur , c'est bon il risque pas de bouger maintenant

l'embrasse tendrement

ca va mieux mon amour ?
Jennyfael
Jennyfael vit accourir Erebot et couper en deux l'animal. Puis il l'a prit dans ses bras et l'embrassa.

Citation:
ca va mieux mon amour ?


Jennyfael se blottit contre lui toute tremblante et l'embrassa aussi.

Maintenant oui ça va mieux. Mon preux chevalier est venu me secourir. Tu es mon héros et je t'aime.

Se rappellant qu'elle était toute mouillée après son bain forcé, elle s'éloigna un peu de lui tout en lui prenant la main.

Excuse moi mon coeur, je vais tout te mouiller avec mes vêtements. Je ne connais rien à la pêche et il y a d'horribles bestioles dans ce lac. Jamais je n'y arriverais. Pffffffffffff !!! Quelle poisse.

Jennyfael était dépitée et bien triste de ne pouvoir pêcher du poisson.
Erebot
regarde jenny et sourit

bon déjà il faut dire que mouillé tu es très belle

embrasse jenny et lui dit

par contre je pense que la pêche n'est pas ton point fort , alors voila ce que je te propose , tu vas te changer sinon tu vas être malade et moi je te pêche un poisson .
C'est une bonne idée , tu en penses quoi?
Medso
Medso se ballada pres du fameux lac de Cosne, à la recherche de souvenirs. Regardant le calme de l'eau du lac telle une immence flaque d'eau clair. Ce sejour à Cosne commencait à etre tres agreable, il portait ses fruits!

Il s'arreta un moment.

Il attendait un signe de celle qu'il aimait, Casty... C'etait long cette absence et en regardant tous ces couples qui marchaient mains dans la mains, ca le rendait tout de meme un peu triste...
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Cathlin


Cathlin avait entendu parlé du lac ...elle arriva avec Toundra sur les talons près du lac.
Des amoureux marchaient main dans la main, elle reconnu certains visages mais ne voulu les déranger...
Elle remarqua un grand saule pleureur tout près du lac, l'eau clapotait lentement lançant des reflets nacrés, une cane entourée de ses canetons glissaient sans peine sur l'eau, des insectes volant ou rampant vaquaient à leur occupation, les oiseaux chantaient, un rossignol déclarait sa flamme à une belle... tout n'était que calme, chacun respectant l'intimité de l'autre..
Cathlin ferma les yeux et se mit à rêver, une personne revenait souvent dans ses pensées mais jamais elle n'oserait révéler son amour pour lui...elle était trop fière et ne voulait paraitre idiote si jamais ce sentiment n'était partagé...

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Jennyfael
Citation:
par contre je pense que la pêche n'est pas ton point fort , alors voila ce que je te propose , tu vas te changer sinon tu vas être malade et moi je te pêche un poisson .
C'est une bonne idée , tu en penses quoi?


Jennyfael lui sourit.

Mmmm ! C'est une bonne idée ça. Je ne sais pas pêcher mais je sais cuisiné. Alors moi ce que je te propose, c'est que tu pêches les poissons et moi je les cuisinerais. Ne bouge pas de là, je vais me changer et je reviens pour être près de toi. Pourrais tu surveiller Kilian pendant ma courte absence ?

Jennyfael lui montra le couffin, à l'ombre d'un arbre, ou dormait Kilian. Elle embrassa son Erebot.
Erebot
Citation:
Pourrais tu surveiller Kilian pendant ma courte absence ?



la regarde qui part sur le chemin

heyyyyyy JENNNYYY , mais si il pleure je fais quoi ? heyyy mais reviens je sais pas comment on fait moi .

s'approche doucement du petit

bon ben je vais m'asseoir avec toi kilian. halala tu veux une bière peut être , non tu es trop jeune

se dit pourvu que le petit pleure pas
Niflheim
Fin d'après-midi. Le soleil darde ses derniers rayons. Un moment privilégié en été puisqu'il mêle fraicheur d'une nuit à venir et chaleur de la journée finie. Quant à l'eau, elle se trouve entre deux. Tiède, savoureuse, lisse et revigorante, surtout après si longue absence et nuitées de marche parfois forcée.
Alors Niflheim se posa, enleva ses surplus vestimentaires pour ne se retrouver qu'en braies. Un pigeon, tout à coup, pointa dans sa direction, avec bien sûr une lettre, courte, à sa patte. Elle lui arracha un léger sourire, entre étonnement et amusement, ainsi que son fusin, le réceptionneur s'apprêtant à griffoner une réponse, rapide, sans superflu, puis de renvoyer l'animal d'où il venait.
Enfin il enleva ses bas, ne restant qu'en pagne, se moquant de la bienséance exigée quand se baladent une myriade de badauds interloqués et leur(s) enfant(s), pour se diriger vers l'étendue liquide qu'il n'avait côtoyée depuis un temps certain ou du moins un certain temps. Il ne mit guère de temps à se retrouver totalement immergé pour se laisser remonter et flotter, les bras en croix sur le dos, les yeux pointant vers l'autre étendue, plus claire, parsemée de tâches blanches, et qui se reflétait dans le lac.
C'est un des moments exquis où tout souci, toute réflexion, toute course temporelle restent en suspens pour être remplacés par l'insouciance un peu puéril de ne plus vivre ici-bas. Le moindre dérangement et le charme serait rompu. Flotter, nager et se laisser bercer par son imagination. Bonheur simple, essentiel.
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