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[rp] Accusée Simone de beauvoir, levez-vous !

Barryroots


Le procès n'avait pas encore commencé. Le procureur était assis à sa place. L'accusée, Simone de beauvoir aussi, assise sur la sellette, comme il se devait à un accusé. Tout semblait en ordre. Même les gardes, armés de leurs hallebardes étaient éveillés, enfin pour l'instant. Après tout dépendrait des débats. C'est fou le nombre de fois où leurs ronflements secouaient les bois de la Grande salle d'audience.

Barry lui était derrière la porte réservée au juge. Une porte très pratique,, percée d'un petit oeuilleton qui lui permettait de voir de l'autre côté, c'est à dire dans la salle, et de ménager ses entrées.

Il décida qu'il était donc temps de la faire, son entrée. Il aimait bien ce moment solennel, même si désormais peu de gens se levaient à l'arrivée du juge.

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Simone_de_beauvoir
Simone trépignait sur sa sellette, impatiente de voir entrer son avocat. Elle se sentait bien seule dans cette grande salle où pour l'heure ne se trouvaient que quelques soldats et un procureur. Lors de ces précédents procès il y avait toujours un public, qu'il fût composé de compagnons d'infortune, d'amis venus la soutenir ou de quidam en mal de spectaculaire. Mais là, pas un chat. Qu'avait-il donc à cacher ? Le bois du banc commençait à morfler sous le pianotement de ses ongles, quand la porte s'ouvrit. Aussitôt elle se dressa comme montée sur ressort, persuadée de voir débarquer son sauveur. Mais il s'agissait du juge. Masquant sa déception, Simone décida de mettre à profit son brusque sursaut, et se fendit d'une profonde révérence.

Votre Honneur !

Nouvelle révérence, encore plus appuyée, le temps de formuler son propos.

Je m'étonnais justement du peu de monde dans ce tribunal. Le procès ne serait-il donc pas public ?

Elle hésita à esquisser une troisième courbette, mais préféra finalement se rassoir sagement. Faut pas pousser, quand même.
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Betoval
Il était fort heureux que l'avocat traine ses guêtres dans les alentours du tribunal toujours à l'affut d'un procès intéressant. En effet en entrant dans la salle il s'aperçût que l'accusée du jour n'était autre que sa cliente préférée.

Il retint sa surprise et pris un air de profonde concentration en réfléchissant rapidement à sa ligne de défense en tentant de rassembler ses souvenirs de l'affaire...
Était-ce bien l'histoire du trou percé dans la poche d'un voyageur qui avait perdu un écu? On verrait bien à la lecture de l'acte d'accusation.

Il salua Barry avec un signe de tête respectueux appuyé d'un sourire amical, enjamba un cochon et s'approcha de sa cliente.
Il lui sourit d'un air serein pour calmer la nervosité qui l'habitait lors des procès.


Bonjour à vous demoiselle Simone, le sort a voulu qu'une fois de plus l'erreur judiciaire vous guette, mais nous veillerons à que la vérité éclate au grand jour, tout est prêt...


Mensonge éhonté, mais dit avec un aplomb tout professionnel.
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Hull19
Hull était entré dans le tribunal à l'annonce du procès. Il ne savait plus le nombre de fois que cette dame allait en cours. Et il avait personnellement butté celle-ci une fois.... et ordonner la chasse à plusieurs autres. Il se souvenait bien de son temps comme soldat en chasse au brigand.

"Bigre... toujours la même histoire. Voyons donc comment cette foix-ci ira." Marmonna-t-il à lui même.

Le Chef d'Armée prit place à l'arrière et attendit le déroulement du tribunal. Tribunal d'ailleurs assez vide...
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Chef d'Armée de l'Ost de Guyenne,
Vétéran de deux ans de L'Ost Guyennois,
Cogneur de l'équipe de soul Guyennaise et Bazadaise,
Médaille Loyauté et Courage et Médaille de Fidélité par le sang.
Kronembourg
Assis au fond de la salle, le Sacristain vit entrer le Chef d'armée qu'il salua d'un léger signe de la tête.
En ville pour la journée Kro s'était rendu au tribunal en milieu de matinée, dès qu'il avait appris l'incroyable nouvelle par un crieur de rues : On accusait Simone_de_Beauvoir de brigandage.
Sainte femme. On n'avait pas idée de lui prêter de pareilles intentions. De l'acharnement Messieurs-Dames, cela ressemblait à de l'acharnement à son encontre.
Si le Sacristain s'était déplacé jusqu'ici c'était pour lui offrir un soutien moral : La calomnie et l'injustice l'avaient toujours révoltés.

Dieu merci Kro avait foi en la justice de son Duché : Nul doute que toute la lumière serait bientôt faite sur cette triste affaire et que la prétendue victime serait rapidement poursuivie pour outrage et diffamation.
Arrander
Arrander avait rejoint le tribunal à l'annonce de la mise en procès de Simone.
Il se répetait souvent qu'il ferait beau voir que Simone soit condamnée !
Le tribunal était pas très rempli et il reconnut quelques personnes dont le prêcheur qu'il avait entendu ce matin au marché.
Il s'assit confortablement, le spectale promettait d'être interessant .

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Simone_de_beauvoir
Simone fut profondément soulagée de retrouver les promesses et le sourire rassurants de son avocat. Elle se pencha vers lui d'un air reconnaissant, pour le remercier à voix basse de sa présence à ses côtés.

Si vous saviez comme je suis contente de vous voir ! Pas que vous m'ayez manquée, mais presque. Figurez-vous que j'ai cru un instant qu'on allait me juger toute seule dans cette grande salle vide, si propice aux injustices et aux erreurs judiciaires...

Elle jeta un œil alentour.

Heureusement qu'elle commence à se remplir, si peu soit-il... Tiens, qui est donc ce grognon, là-bas ? Vous le connaissez ? Ah, le sacristain je le connais, je l'avais croisé, si ma mémoire est bonne, à cette fameuse foire aux esclaves... Vous en souvient-il ?

Elle esquissa un sourire en coin teinté de malice, sans toutefois quitter le sacristain des yeux.

Quoiqu'il en soit il m'avait fait l'effet d'un homme très respectueux. C'est gentil à lui de venir me soutenir. Si c'est bien le cas.

Elle se tut un instant, se raclant la gorge d'un air vaguement inquiet et incrédule à la fois.


...Dites ?...
Sincèrement, vous ne pensez pas qu'il s'amuseraient à me mettre au trou pour un malheureux écu ? Si ça ne tient qu'à ça je veux bien lui en filer des poignées, à ce type. Je ne suis pas à ça près, et d'ailleurs
je ne suis pas vénale.

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Betoval
Pendant que Simone lui parlait Betoval cherchait toujours sa ligne de défense, que pouvait bien faire tous ces gens dans ce tribunal? Kro était-il là pour l'extrême onction de la condamné?

Qu'est ce que c'est que cette histoire d'esclave? Je ne me souviens pas avoir participé à telle activité, étais-je saoul?

il prit au bond la proposition de sa cliente.

Oui bien sur, nous pouvons toujours proposer de lui faire l'aumône de quelques écus, je suis prêt a en sortir un de ma poche, voyez comme je m'implique personnellement dans votre défense.

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Barryroots


Le juge s'était maintenant posé sur son fauteuil. Il lui avait d'abord fallu pousser un cochon qui s'était endormi sous son pupitre.

Hmm, je me demande quand même si j'ai pas un peu abusé en amenant mes cochons ici...la salle est grande, mais j'ai l'impression que j'ai un peu surévalué sa surface...qu'importe, on verra ça après.



Et il se saisit de son marteau, tapa un joli coup bien sonore dont l'écho réveilla un cochon qui lui dormait du côté du grefier :

Je déclare ouvert le procès opposant le Duché de Guyenne à Dame Simone de beauvoir. Ce procès sera public. Gardes ! ouvrez donc grand les portes...


et s'adressant plus bas au garde le plus proche de lui :

et pour une fois au lieu d'empêcher les gens de rentrer, faites attention à ce que mes cochons ne s'éloignent pas trop...
Et bien pour commencer nous allons entendre Madame le procureur. Voyons donc voir ce qui vaut l'honneur de juger Dame Simone de beauvoir.

Et Barry se cala confortablement dans son fauteuil. Ce n'était pas tous les jours qu'un grand avocat du Royaume plaidait devant le tribunal. Assurément on n'allait pas s'ennuyer.

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Robin25
Pour une fois que mon emploi du temps me le permettait, je me rendis au tribunal . J'avais entendu jusqu'en Agen le procès de cette Simone qui jouait avec ses victimes, m'avait raconté un messire en taverne pour récupérer une partie de ses biens.

Je franchis les portes du tribunal qui venait de s'ouvrir dans toute sa largeur. Je m'avançai dans l'allée et là je faillis m'étaler sur le sol en rencontrant un cochon. Mais j'avais l'habitude, ma femme en possédait quatre beaux spécimen et je savais m'en occuper. D'un geste, l'animal repartit vers son propriétaire qui n'était que le juge.

Je m'assis et attendis avec impatience le début du procès.

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Simone_de_beauvoir
La jeune fille étouffa un rire de la main.

Mais siiii, souvenez-vous, cette fameuse foire aux célibataires, il y a deux ans de ça, où nous avions essayé de vendre une amie à nous...


En prononçant ces mots elle s'assombrit brusquement. D'amusant, le souvenir venait de passer à macabre lorsque la mort tragique d'une des amies en question lui était soudainement revenue en pleine figure. Les yeux baissés, elle secoua la tête.

Enfin bref.
Passons.
C'est très gentil à vous de proposer de m'aider à payer, mais je vous assure que ce ne sera pas nécessaire. C'est au contraire plutôt à moi de vous payer.


Ouvrant la bourse suspendue à sa ceinture, elle se mit à en compter les pièces, mais s'emmêla rapidement, ayant toujours eu du mal avec les chiffres.

Et fichtre, je n'sais plus si j'en étais à vingt-neuf ou quarante-sept... que vous en semble, il doit bien y avoir une cinquantaine d'écus là-dedans, non ? Pensez-vous que ce sera suffisant ?
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Aradiia
Profitant d’une passagère accalmie au comptoir, la PP fort intriguée par ce qu’il se passait au palais de justice décida de s’y rendre. Son rôle étant d’informer la population de tout ce qui se passait en Guyenne : la santé et les ennuis des uns et des autres, les festivités, enfin tout quoi !

Elle entra discrètement dans la salle déjà a moitié pleine, pendant un petit tour circulaire des visages plus ou moins connus, elle salua d’un léger sourire respectivement le juge, un avocat bien connu, le commandant Hull chef de l’armée Veneratio vel Nex!, un soldat qu’elle avait croisé du temps ou elle courrait après tous les soldats… (pour leur donner leur payes, je précise ) ainsi que le maire d’Agen.
Que du bon monde, pour le procès d’une femme tout aussi célèbre, en fin de compte rien d’anormal.
Elle se dirigea vers les derniers rangs et tomba nez à nez avec son époux, qui ne l’avait pas vu entré.
Elle s’avança rapidement vers lui et s’assit pour lui donner discrètement un baiser sur sa joue. Tout en se penchant vers lui elle murmura, en fixant l’avocat qui semblait plutôt à l’aise entrain de discuter avec sa cliente.

Dites mon prince ! Vous ne trouvez pas qu’il est bien plus difficile de prouver l'innocence d'un innocent, que de défendre un coupable ?

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"Ab imo pectore"
Novembre
Novembre entra dans la vaste salle, et la première chose qu’elle vit, fut les cochons. Elle sut ainsi que messire Barryroots était arrivé…Tout comme un petit groupe de personne qui visiblement attendait.

Sa progression jusqu’à l’estrade ne fut pas aussi rapide qu’elle l’aurait voulu, Novembre se gardant bien de buter dans l’un des cochons.
Elle salua d’un signe de tête respectueux messire le Juge qui en la saluant, lui fit signe d'un air peu avenent que la parole était à elle.

Elle posa son dossier sur un pupitre, l’ouvrit et sortit un parchemin qu’elle roula et garda en main. Elle n’allait pas faire attendre cette noble assemblée plus longtemps. Elle fit donc face à l’assistance, son regard se porta rapidement sur chacun d’entre eux, puis il s’arrêta sur Simone de Beauvoir.

Novembre s’avança, fit une légère inclinaison de la tête en signe de salut vers la petite assemblée. Elle prit la parole d’une voix suffisamment forte pour être entendue de tous…et couvrir les grognements des cochons.



Je vous remercie de vous être déplacé pour assister au procès qui nous occupe aujourd’hui.

Elle se tourna vers Barryroots

Messire le Juge, nous, dame Novembre, Procureur de Guyenne, faisons comparaitre, en ce jour de 17 aout 1458, Simone_de_beauvoir, devant la cour. Elle est accusée d’avoir commis un acte criminel, qualifié de Trouble à l’Ordre Public, selon le chapitre 3 du Livre II du Coutumier Guyennois.

La prévenue est, en effet, accusée d’un acte de brigandage à l’encontre de sieur Dadooun. Je me permets de rappeler dès à présent le chapitre sur lequel repose l ‘acte d’accusation :

Article 3
Le Trouble à l’Ordre Public, de manière générale, correspond à tout comportement portant préjudice à autrui voire à l'ensemble de la communauté .
Plus précisément, et de manière non exhaustive, cela comprend :

- Toute violation d’un décret ducal, lorsque le motif d'inculpation n'est pas précisé.
- Toute violation d'un décret municipal, hors transactions sur le marché de la ville.
- Tout refus de payer les taxes.
- Tout refus de se soumettre aux autorités ducales (non respect d'un verdict, refus de se soumettre aux opérations de vérification de la prévôté...)
- L'insulte, la diffamation.
- La rapinerie.


Elle laissa sa phrase en suspens un court instant

- Le meurtre, ou la tentative de meurtre.
- Toute tentative de révolte, révolte et l’incitation à la révolte, non autorisées par le Conseil Ducal, par un non Guyennois.
- Toute levée d'armée sur les terres de Guyenne, par un non Guyennois.[/



Elle se tourna vers la prévenue, qui semblait ne pas vouloir tenir en place et reprit :

Venons-en aux faits à présent :
Sieur Dadooun voyageait paisiblement avec sa compagne en cette nuit du 14 au 15 aout, sur la route menant de Bazas à Labrit.
Malheureusement pour eux, un groupe composé de cinq personnes, dont la prévenue, ci devant vous, Simone de Beauvoir, se tenait tapi, sur cette même route. Un groupe prêt à sauter sur le premier voyageur venu. Et malheureusement pour le sieur Dadooun, lui et sa compagne furent les premiers à passer…
La bande les a attaqué, à cinq personnes contre deux, je le rappelle, leur extorquant la somme de 1 écu. Sieur Dadooun a formellement entendu le nom de la prévenu ici présente...
...Un écu ! Un modique écu, penserez-vous peut être ! Pas de quoi faire un procès ou fouetter un chat ? Eh bien oui, il y a matière, car ce n’est pas tant la somme qui compte, et fort heureusement, mais bien l’acte en lui-même ! Et c’est bien l’acte que je vous demande, Messire le Juge, de juger aujourd’hui. Car nous le pensons tous le brigandage est un crime odieux qui ne saurait rester impuni sur le sol guyennois !


Novembre marqua une pause et continua :

Le sieur Dadooun ne pourra malheureusement pas venir témoigner, ci devant vous, étant à Mimizan actuellement.
Néanmoins, il m'a donné l'autorisation de rendre publique son courrier de plainte.


Novembre déroula le parchemin, prestement :

Il a été envoyé par sieur Dadooun, au petit matin du 15 aout

Elle lut :

Citation:
Bonjour messire

Votre ville me porte vraiment pas chance
Aprés avoir été attaqué avec ma compagne à l'aller on l'est maintenant on retour.
Je n'ai perdu qu'un écu mais je porte plainte quand même contre la bande des brigands
Cordialement
Dadooun


J’appellerai à cette barre, Ptitoine, dict "Ptitoine48", en qualité de témoin. Lieutenant de police à Bazas, il a en effet recueilli le témoignage de la victime.Et le témoignage d'un agent de prévôté ne laissera aucun doute quant à la véracité des accusations de sieur Dadooun.

Simone_de_beauvoir vous bénéficiez du droit de rester en liberté jusqu'à la fin du procès et de bénéficier de l'aide d'un avocat, parmi ceux exerçant en Guyenne, en voici les noms :
Messire Betoval
Messire Hugo.mercier
Messire Philipusaficus
Messire Nicolas__Eymerich
Sa Grâce Melior»

Je laisse à present, la parole à la défense. »


Novembre retourna s'assoir à son pupitre, sortit plume, encrier et parchemin et attendit, prête à prendre des notes sur l’intéressante défense qui allait suivre.

Hrp : L' acte d'accusation et le procès IG ayant été datés du 17 aout, pour garder une cohérence RP/IG, j'ai conservé cette date.

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Errare humanum est, sed perseverare diabolicum.
Simone_de_beauvoir
Simone se releva à l'entrée de la procureure pour se plier en une nouvelle révérence avant de se rassoir, les mains posées sur ses genoux pudiquement joints, en son attitude la plus innocente. Attentive au réquisitoire, elle manqua laisser échapper une exclamation de mépris, et se pencha à l'oreille de son avocat pour y souffler ce qu'elle en pensait.

Il aurait donc "formellement entendu" mon nom... Allons donc ! Qu'on m'accuse de rançonner, passe, mais qu'on me suppose assez sotte pour me présenter avant, ça devient vexant ! Il est pourtant évident qu'il s'agissait de quelqu'un de malintentionné à mon encontre, qui a voulu se couvrir et me mouiller tout à la fois. Je ne pense pas que ce Dadooun, que je ne connais pas, soit de mauvaise foi, il n'aurait aucune raison de m'accuser ainsi... Reste à savoir qui sont ces mystérieux brigands qui cherchent à me nuire...
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Bardieu
Le seigneur de Vierzon entra dans la salle et s'assit sur un banc, juste à côté du frère Kronembourg. En temps qu'évêque du Quercy, dont dépendait Montauban, Bardieu voulait comprendre ce qui s'était passé.

L'évêque trouvait en effet scandaleux que le tribun de Montauban, déjà sous le coup d'une procédure épiscopale, fasse du zèle en pillant les infortunés visiteurs traversant la Guyenne. Mais la justice devait avant tout établir les faits. Y avait il vraiment eu attaque ? Y a t'il seulement diffamation d'un pauvre hère souhaitant se faire connaître ?

Le procès allait probablement être long et compliqué juridiquement. Bardieu sortit un morceau de pain de sa sacoche et commença à grignoter. Nul ne dira que les vérités de Saint Arnvald, saint patron de la justice, ne donnait pas faim.Bardieu écouta la procure annoncer une mise en accusation plutôt grave pour une personne aristotélicienne. Il s'adressa à Kronembourg de manière à ce que personne d'autre ne l'entende.


psssst, mon frère, quel est donc ce procès ? Depuis quand les fonctionnaires pillent les routes du duché ? C'est une nouvelle mode montalbanaise ? Les maires pillent les capitales et les tribun les pauvres passants ?
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