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Du mariage d'une Etincelle et d'un Sanglier.

leello
Enfin libérée de ses obligations administratives Leello avait pu rejoindre la chapelle en compagnie de son époux qui, comme à son habitude avait fait preuve de patience en l'attendant.
C'est donc à son bras qu'elle entra et rejoint la place qui leur était réservée non loin des futurs mariés.
Elle sourit car elle se souvenait du jour où elle avait dit "oui" à son tendre époux, Alde était son témoin et plus encore.

Leello avançait doucement saluant ses frères et soeurs de l'hopital déjà présents dans la chapelle ainsi que ses amis sans trop s'attarder afin de ne pas retarder la cérémonie.
L'après mariage permettrait de toute façon de rencontrer aisément afin de partager quelques instants et de faire revivre de vieux souvenirs. Puis elle profiterait de rejoindre un moment son suzerain et ami afin d'échanger un peu avec lui et sa filleule.

Un regard enjoué à son époux.

Je vous remercie de votre patience, mais à compter de cet instant je ne vous quitte plus.

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Marie Alice
Marie ne porta pas plus attention que cela à ce qu'Ewaele répondit sur le fait de porter une robe. Oui elle l'avait menacée, arriver en braies et cuissardes au mariage de l'un de ses enfants était tout bonnement hors de question. Son rang... Sourire en coin. Quelle mauvaise excuse que celle-ci quand on la connaissait. Elle ne le mettait jamais en avant, faisant même la tête si, au détour d'une conversation, on l'appelait Votre Grandeur. Tsss.. Non mais vraiment, à d'autres mais pas à elle.

Pour le coup de la demande, la brune jeta un regard en coin à son frère. Il lui avait posé quelques questions suite à un courrier de la comtesse et il fallait bien avouer, qu'elle avait failli en tomber sur le derrière. Parce qu'elle en était restée à Anthoyne de la Louveterie elle et que là elle s'était demandée ce qu'avait la rousse dans le derrière ou dans la tête... Enfin bref à quoi elle jouait.

Léger soupir pour masquer une inquiétude grandissante au sujet de Maeve. Gaspard, elle le savait, se trouvait en Touraine et ne devrait plus tarder mais Maeve.... Maeve voici si longtemps qu'elle n'en avait eu de nouvelle. Marie... Marie..

Elle se retourna vers le petit groupe et allait répondre au fait que non ils n'iraient pas au fond quand Phelim s'en chargea à sa façon bien particulière. Tout à fait lui. Ceci dit ce qui suivit était tout à fait Ewa aussi.

Un long soupir. Un très long soupir. Suivi d'un regard en coin sur Phelim et ses braies.


Vous. Pas un mot et suivez-moi.

Elle le tira par le bras sans lui demander son avis et se dirigea vers son frère et l'auteur de l'humidité dans laquelle baignait le lyonnais. Se plantant devant la rousse et lâchant enfin son cavalier, elle croisa les bras sur sa poitrine et s'adressa aux deux.

Bien. Alors. Que les choses soient claires une bonne fois pour toute. Le temps de ce mariage et des festivités vous êtes priés tous les deux de vous comporter correctement et de faire taire vos rancoeurs et autres choses du genre. Je me moque comme de ma première paire de bottes de vos différends aujourd'hui. Par contre, je ne me moque pas du fait que c'est le mariage d'Aleanore et que je vous conseille fortement de m'éviter à nouveau ce genre de scènes en public. Sans quoi vous verrez de quel bois je me chauffe. Et vous n'allez pas aimer pas du tout, du tout.

En gros vous faites une trêve.

Vu la couleur des yeux de la vicomtesse, il était clair qu'elle ne plaisantait point. Et sans attendre de réaction, elle s'installa près de son frère et montra la place près d'elle à Phelim. Autant mettre le plus d'espace possible entre le lyonnais et la rouquine.

Et sinon quoi de neuf frérôt?

Déjà que ce mariage ne l'enchantait guère, là pour le coup, si cela continuait, ils allaient l'énerver pour de bon. Et une Marie de mauvaise humeur....

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Siva d'Appérault
Un sourire a sa fille et a son promis,avant que celui ci ne se crispe legerement."s'il continue,son coeur ne cessera de battre a tout rompre pour de bonnes raisons..."fut ce la pensée qui traversa son esprit.Un leger toussotement tenta d'y mettre fin et d'apaiser son sentiment par la comprehension de telles paroles,qu'elle meme avait pu avoir dans sa jeunesse.

Le passage de Leello et son époux fut une diversion parfaite,et la Duchesse sauta dessus pour leur envoyer une courbure de tete respectueuse,alors qu'ils allerent s'installer.L'idée n'etant pas mauvaise,elle se tourna vers le couple et la jeune soeur Plume pour leur parler de nouveau


Que diriez vous d'aller prendre place?Cela enjoindra peut etre les mariés a nous rejoindre?

La question traduisait l'impatience de l'ecuyer de revoir son Chevalier,et de le voir gouter de nouveau au bonheur nuptial.Le temps avait passé,pour tous deux,sans qu'ils ne se vit.Un sourire effaca ce regret,alors qu'elle attendit la reponse des jeunes personnes

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Oceade
Elle sourit aux mots de son fiancé, remarqua la crispation soudaine de Siva ce qui ne fit qu'accentuer son sourire.
Discrétement, elle prit la main de Thibaud dans la sienne puis se penchant vers lui :


J'ai hate que le jour de notre union soit fixé.

Elle le regarda un instant, le trouvant encore plus séduisant qu'avant puis répondit à la question de sa tantine :

Oui, c'est une bonne idée. J'ai hate de voir apparaitre mon grand frére et sa promise.

Petit sourire en coin puis elle attendit que toute la petite troupe se mette en route pour choisir des places.
petitsuisse
Thibaud acquiesça a la proposition de la duchesse, et sourit a sa douce en entendant son aparté.

- Soit allons nous placer afin de rien perdre du bonheur de notre ami.

Il tendit son bras a Océade afin de la conduire.

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Alycianne
Le premier pas avait été fait. Il n'y avait guère eu de suivants. Tant d'inconnus, tant de jolies choses ! Il semblent tous se connaître, se reconnaître, se retrouver. Elle, lève haut la tête, cherche à poser un nom sur ses visages, quelqu'un qui puisse l'aider ici. Personne ne semble la remarquer. Elle baisse un regard misérable sur sa robe.
Il lui fallait trouver une solution pour mettre fin à ce calvaire. Et rapidement.

S'inviter dans un groupe, en se présentant d'une voix claire, comme elle sait si bien le faire ? Elle a maintenant appris que ce n'est pas des plus poli, et dans cette tenue, elle risque de se faire recaler sans explications.
Faire de l'oeil à une jolie dame en âge d'être mère ? Elle ne voulait pas s'accrocher aux jupes de quelqu'un, mais ne pas se retrouver seule, nuance.
Oh, Cassian, Cassian, es-tu là ? Maeve ? Marie ? Karyl ? Et Papa... Papa qui voulait épouser Aleanore...

Elle secoue ses boucles, clarifie ses pensées. Les grands lui bouchent la vue, vraiment ! Pas moyen d'apercevoir une bouille connue -à croire qu'elle s'est gourée de mariage. Ah ces adultes, jamais là quand il faut, décidément ! Et ceux qui lui tournent le dos devant elle sont bien gênants. Prend ton élan, Alycianne, courage, quitte ton mur !

Et elle se jette à l'eau, ou plonge dans la foule. Ecrase ici un morceau de robe, passe sous un bras tendu, et se retrouve nez à nez avec un postérieur bien dodu. Sans issue, on fait demi-tour ! Et se retrouve dans une rangée de bancs. Elle scrute la chapelle, repère le premier rang. C'est là-bas qu'elle doit être, il faut qu'Aleanore la voie en premier, elle d'abord, qu'elle est venue, sans prévenir oui, mais qu'elle est là, dans un vêtement pourri oui, mais qu'elle sourit, rien que pour elle, rien que le Lapin pour la Grande dame de Concèze.

La destination enfin établie et le courage nécessaire dans la poche, c'est évidemment à ce moment qu'elle repère une tête connue. Calyce ! Elle lui fait un signe de la main accompagné d'un petit sourire, mais pas le temps de bavarder, y'a le premier rang qui l'attend. Elle se faufile donc jusque là-bas et croise une rousse dont les tartines à la confitures sont ancrées dans sa mémoire.


Dame Breiz ! Bonjour. Vous allez bien ? Elle en profite pour jeter un oeil au banc, quelle place exactement sera la plus dans l'angle de vue des futurs époux ? Oh, la rousse est accompagnée d'un blond. Bonjour, je m'appelle Alycianne...
Petit sourire crispé, c'est que sa place, là-bas, est pressée, que c'est la plus belle, la meilleure, et qu'elle ne risque pas de rester libre bien longtemps, et qu'elle se trouverait obligée de faire bouger quelqu'un s'il s'y asseyait, et que si ce quelqu'un se trouve être un Grand, il pourrait lui dire d'aller voir ailleurs, et elle devrait alors sortir aller chercher son épée pour virer l'autre un peu plus prestement, 'comprenez, il la lui faut, cette place, elle en pleurerait, pour son morceau de banc usé par les derrières depuis des générations.
Je vais m'asseoir, on reparlera tout à l'heure, j'ai des choses à vous raconter depuis que on s'est pas vues ! Ouf. La tentative de sortie se clôture sur une réussite, elle peut aller s'installer sur son banc tranquillement.

Premier rang, juste à côté de l'allée, c'est parfait !
L'idée qu'elle n'est pas à sa place, qu'il y a sans doute des personnes plus à même de se trouver sur les meilleurs sièges ne lui effleure même pas l'esprit. Elle sourit, un peu bêtement, le dos bien droit sur son bout de banc.

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