Naelhy
[Dans la vallée des glandus.]
C'était un gouffre, un gouffre énorme.
Ce gouffre était celui qui les séparait des glandus, ce peuple ayant pris toute la capitale, peuplant la capitale. Ce fléau n'était pas ignorable, pas combatable. La blonde inventait une multitude de nouveaux mots, perchée sur la vallée. Elle avait philosophé sur l'air cette soirée, s'était enfumée la cervelle, et ça se sentait. Pas la philosophie mais l'enfumage. Elle observait donc, du haut de sa vallée, tous ses glandus qui évoluaient, comme une fourmillière, à ce détail près que les fourmis devaient sûrement d'avantage penser que les autochtones de Tours.
Sa comparse lui avait fait peur cette nuit là, lui avait enfumée la gueule avec ce qu'elle avait prétendu trouver par le biais de connaissance, parlant d'un coursier et d'une lettre, bien que la blonde n'était pas en état d'y réfléchir, et philosophé sur l'eau, plus qu'elle. Et alors qu'on trouvait à plaisanter, c'était une dur journée, car oui, le fléau était toujours là, et il atteignait la vallée.
«*hips* L'eau tu peux t'en nourrir, mais *hips* aussi l'eau peut... t'porter.Parce que l'eau... a *hips* des *hips* lois *hips* psycho-magicionnel. L'eau peut t'nir un tronc *hips* d'arbre dans la rivière, des milliers d'poids. C'est quelque chose qui a beaucoup de dimensions l'eau..»
«C'est psycho-marginal ouai.»
Non, quand elle était "faîtes" la blonde pensait.
Perchée dans la vallée, aux côtés de sa comparse, elle pensait. Pas de mauvaises blagues hein! Elle pensait vraiment la sotte.
«Bordel!»
Elle ne voyait rien, ici il faisait aussi noir que le trou du cul d'un taureau par une nuit sans lune*, et ici, là ou elle avait mit les pieds, c'était de l'eau, c'était pâteux. Elle poussa un cri à faire crever les mouettes, heureusement, il n'y en avait pas, par contre les oreilles de 'Ne...
La Barbie avait toujours eut terriblement peur de l'eau, ce n'était pas un peu d'herbe qui lui sortait cette phobie, qui enfaite n'en était qu'une là. C'était plutôt du dégoût de toute cette défection qu'il pouvait y avoir dedans. Et cette odeur...elle était encore pire qu'habituellement.
«Un poisson! Merd'! Merd'! 'Ne! Crève ce saligot de poisson!»
*The big lebowsky, c'est au dessus de ma bââânière!
[HRP/ Rp ouvert dans la mesure du possible, demande par Mp. Je rappelle que l'action se déroule dans la NUIT du 29 au 30 août.]
_________________
Il faisait aussi noir que le trou du cul d'un taureau par une nuit sans lune.
Je narre. «Elle parle.» Et généralement elle vous emmerde.
C'était un gouffre, un gouffre énorme.
Ce gouffre était celui qui les séparait des glandus, ce peuple ayant pris toute la capitale, peuplant la capitale. Ce fléau n'était pas ignorable, pas combatable. La blonde inventait une multitude de nouveaux mots, perchée sur la vallée. Elle avait philosophé sur l'air cette soirée, s'était enfumée la cervelle, et ça se sentait. Pas la philosophie mais l'enfumage. Elle observait donc, du haut de sa vallée, tous ses glandus qui évoluaient, comme une fourmillière, à ce détail près que les fourmis devaient sûrement d'avantage penser que les autochtones de Tours.
Sa comparse lui avait fait peur cette nuit là, lui avait enfumée la gueule avec ce qu'elle avait prétendu trouver par le biais de connaissance, parlant d'un coursier et d'une lettre, bien que la blonde n'était pas en état d'y réfléchir, et philosophé sur l'eau, plus qu'elle. Et alors qu'on trouvait à plaisanter, c'était une dur journée, car oui, le fléau était toujours là, et il atteignait la vallée.
«*hips* L'eau tu peux t'en nourrir, mais *hips* aussi l'eau peut... t'porter.Parce que l'eau... a *hips* des *hips* lois *hips* psycho-magicionnel. L'eau peut t'nir un tronc *hips* d'arbre dans la rivière, des milliers d'poids. C'est quelque chose qui a beaucoup de dimensions l'eau..»
«C'est psycho-marginal ouai.»
Non, quand elle était "faîtes" la blonde pensait.
Perchée dans la vallée, aux côtés de sa comparse, elle pensait. Pas de mauvaises blagues hein! Elle pensait vraiment la sotte.
«Bordel!»
Elle ne voyait rien, ici il faisait aussi noir que le trou du cul d'un taureau par une nuit sans lune*, et ici, là ou elle avait mit les pieds, c'était de l'eau, c'était pâteux. Elle poussa un cri à faire crever les mouettes, heureusement, il n'y en avait pas, par contre les oreilles de 'Ne...
La Barbie avait toujours eut terriblement peur de l'eau, ce n'était pas un peu d'herbe qui lui sortait cette phobie, qui enfaite n'en était qu'une là. C'était plutôt du dégoût de toute cette défection qu'il pouvait y avoir dedans. Et cette odeur...elle était encore pire qu'habituellement.
«Un poisson! Merd'! Merd'! 'Ne! Crève ce saligot de poisson!»
*The big lebowsky, c'est au dessus de ma bââânière!
[HRP/ Rp ouvert dans la mesure du possible, demande par Mp. Je rappelle que l'action se déroule dans la NUIT du 29 au 30 août.]
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Il faisait aussi noir que le trou du cul d'un taureau par une nuit sans lune.
Je narre. «Elle parle.» Et généralement elle vous emmerde.