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[RP] Opération de sauvetage pour une enfant trop tétue

Solid
La môme avait mis longtemps pour prendre sa décision. Le départ de son mentor et ami lui avait causé un choc mais elle avait promis de ne pas agir sur un coup de tête contrairement à son habitude. Elle avait vu sa famille se détruire, elle avait senti son cœur se déchirer. Comment rester loyale à la cause sans trahir…

La mort dans l’âme, elle avait laissé un mot au repaire et avait enfourché son cheval le soir même. Son départ était resté inaperçu et elle ne savait pas si elle devait s’en réjouir ou en être attristé. Une escorte pour Genève l’attendait à Bourg et elle ne pouvait se permettre de rater le départ. Pourtant, il lui restait encore une personne à qui écrire, à qui elle voulait dire adieu avant de partir en retraite au couvent.

C’était au lever du soleil qu’elle et ses compagnons de voyage étaient entrés dans Annecy. Elle errait dans les rues depuis bientôt deux heures quand enfin elle entra dans une taverne. Elle s’installa à une table et sorti de sa besace de quoi écrire une missive.






Cher Angel,

Quand tu recevras cette missive, je serais déjà en route avec tes compagnons à deux jours de marche de Genève.

Je vous ai menti à Lag et à toi, j’espère que vous me pardonnerez. Je ne peux me résoudre à faire un choix entre eux et vous, j’aurais la sensation de trahir. C’est pourquoi dès mon arrivée à destination, je rejoindrais le couvent pour y finir mes jours.

Tu m’as dit que tu préférais me savoir avec les autres plutôt que là-bas, que je serais toujours en sécurité au sein du clan. Pourtant aucun d’entre eux n’a semblé remarquer mon départ. Je ne leur en veux pas, je les comprends. Qui voudrait s’encombrer d’une emmerdeuse comme moi ?

Tout ce que j’espère, c’est que vous penserez parfois à la gamine qui avait trouvé en vous tous une famille. Jusqu’à mon dernier souffle, je me souviendrais de chaque instant passé à vos côtés.
Bien à toi,

Solid

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Angel.
[Sur les traces de la mioche]

Le temps était venu de prendre un autre chemin. Ce temps lui avait coûté, de croire que les choses allait en son sens, de croire en cette vertu que les jeunes téméraires n’ont pas connu. Il savait maintenant que si on voulait une chose à son image, on ne pouvait la créer à partir de ruines.
A présent, il savait vouloir quelque chose de noble. Et avec du temps et de la compréhension, il était encore permis d’y croire.

Angel l’avait connu à son entrée dans son premier clan, celui où de bonnes comme de mauvaises choses étaient arrivées. La mioche avait en elle comme un discernement oublié de tous. Il la savait fidèle, et d’un avis juste. Pour cela, il n’avait pas hésité à lui donner toute sa confiance, même dans les moments difficiles.

Le vent fouettait son visage. Le cheval avait des airs de diable furieux sorti de l’enfer, ne s’arrêtant guère car il fallait faire vite. Il savait sa détresse et comme pour ses proches, le choix avait été vite fait. Il avait galopé quatre-vingt-dix lieux déjà.
Comment les autres avaient-ils pu l’ignorer? Comment avaient-ils osé lâcher la plus jeune du groupe sans prendre la peine de savoir ce qu’elle pouvait devenir ?
Les yeux verts perçants se plissaient à cette simple pensée.

Son cri déchirait la nuit. La lune aussi pleine que sa rage, illuminait son visage de temps à autres, à travers les feuilles des arbres. Les claquements des rennes et les roulements de sabots retentissaient dans l’ombre. Le pur-sang, noir comme l’enfer, avait senti la détermination de son maitre, et à pleine course, ne faisait plus qu’un avec lui, fendant la nuit en deux.

On pouvait distinguer au loin, des lueurs des flambeaux aux flammes dansantes sous la brise d’été. Belley, se dit-il, plus que soixante lieux et j’arriverais à destination. Les mots résonnait dans sa tête, tels le carillon un jour saint pour les grenouilles de bénitier.

Comment ont-ils osé…

Angel fit augmenter la cadence à son cheval, ses mots étaient devenus volonté…

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Lguillaume50
Ayant entenu parlé d'une opération de sauvetage pour sauver la p'tite peste, Guillaume se mît en route, Franceska à ses côtés, ils marchaient, espérant arriver bientôt dans le terrier à moines.
Franceska
[ Sur les chemins... A la recherche de la môme]

Genève, point de départ d' une nouvelle excursion et non des moindres.
La nuit avait déjà recouvert la ville depuis quelques heures et se fut discrètement, loin de tout regards soupçonneux que la Gazelle fit route, traînant des chausses sur les chemins poussiéreux et sinueux en compagnie de Guillaume.
Ils avaient été mis au parfum, assujettis d'une mission peu commune : aller récupérer " la môme ". Cette même môme qui quelques jours auparavant les avaient informé de son souhait de se retirer en retraite... Cette même môme qui quelques jours auparavant lui était encore totalement inconnue.


Le vent nocturne caressait son visage au fur et à mesure qu'elle avançait, les cimes des arbres vacillantes et grinçantes, troublant le calme reposant du paysage alentour. Elle progressait, portant de temps à autres attention sur son compagnon, décelant sur son visage une mine chargée, un regard pensif. En rien elle n'aurait alors osé perturber le silence dans lequel ils se trouvaient tout deux plongés.
A quoi pouvait il bien songer ? A " la môme " sans aucun doute.
L'évoquant sur l'instant, elle ne put elle aussi faire autrement que penser à elle.
Ce petit bout d' femme au caractère bien trempé, faisant preuve d'une si grande maturité, de ce qu'elle avait pu en voir, et ce malgré sa personne encore mêlée entre enfance et adolescence.

Elle ne l'avait que peu connu et pourtant... il lui avait suffit de quelques jours passés en sa compagnie au sortir de Bourg et ce jusqu'à Genève pour apprendre à l'apprécier. Aujourd'hui, elle n'était plus en leur compagnie, et ils se devaient de la retrouver et ce quoi qu'ils leur en coûte.


Relevant le nez tandis que jusqu'alors elle n'avait pour ainsi dire pas quitter le chemin du regard, elle distingua au dessus d' eux la lune, pleine, éclairant le paysage qui se dessinait face à eux.
Le ciel était parfaitement dégagé, annonçant pour le lendemain belle journée à venir et pourtant, la nuit quant à elle était des plus fraîches.
Sans mots dire, poursuivant son chemin, restant songeuse toutefois, elle s'approcha de Guillaume passant un bras autour de sa taille tandis qu'elle se glissait doucement sous son bras, frissonnant légèrement.
Long encore était le chemin avant qu'ils n'arrivent à destination.

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Solid
[Au sein du couvent]

Le message était arrivé en fin de journée, un groupe de voyageurs se dirigeait vers le couvent. On rapportait que quelques cavaliers ainsi que des gens à pied avaient été repéré à plusieurs lieux de là mais par les temps qui courraient, où les bandits de grand chemin se faisant nombreux, mieux valait rester prudent.

Dans la cour, les moines et les nones s’agitaient dans tous les sens, essayant de rentrer le bétail dans les étables et les vivres dans les réserves. On aurait cru qu’ils s’attendaient à subir un siège. Les paysans vivants sur les terres du domaine faisaient rentrer des charrettes surchargées de marchandises en espérant pouvoir mettre à l’abri leur famille qui les accompagnait.

Le soir était tombé et on pouvait appercevoir une lune rousse dans un ciel sans nuages. La gamine leva la tête et murmura pour elle-même : Lune rousse, nuit sanglante. Sous son voile de novice, elle sourit en observant les gens autour d’elle. Peu importe les précautions qu’ils prenaient, si effectivement une bande de brigands avait jeté son dévolu sur eux, il ne resterait rien après leur passage.
La gamine n’avait pas peur. Bien au contraire… elle sentit des frissons d’excitations lui parcourir l’échine.

Plus loin, la mère supérieure lui faisait de grands signes. Sorenza s’approcha d’elle avec prudence ayant appris ces deux derniers jours à se méfier d’elle comme de la peste et du choléra.


Sorenza Liderato, retourne au dortoir avec les autres. Ce n’est pas un endroit pour toi. Si il devait arriver malheur, je crains, mon enfant, que tu ne sois l’une des premières à subir les assauts de ces soudards. Le Très-Haut ne t’a pas fait un cadeau en te donnant ces cheveux blonds comme les blés et ces yeux limpides comme l’eau de roche.

La mère lui jeta un dernier regard dégouté et tourna les talons pour aller houspiller un paysan qui essayait tant bien que mal de faire avancer une mule récalcitrante.
Solid retroussa le nez avec mépris et partit en trainant des pieds. Elle marmonna tout bas :


T’inquiètes pas vieille bique, de nous deux, c’est surement moi qui me défendrait le mieux. Qu’ils essayent de m’approcher et ils gouteront de ma dague.

Elle se félicita d’avoir réussi à dissimuler cette dernière à son arrivée. Nostalgique, elle eut une pensée furtive pour un tit pois chiche à qui un jour elle avait promis un deuxième sourire.
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Angel.
[Arrivé à la citadelle helvète.]

Angel arriva au galop a l’entrée de la cite, remplie d’histoire et d’un passé assez lourd dû au passé.
Il savait la détresse de la mioche, et avait prévenu deux membres pour venir en son aide, il était inconcevable de la laisser seule aux mains de ses moines…

L’entré était animer de commerçant gueulent sur le marché, les prix et la discorde régnaient mais en faisait fît, au petit trot, il arpentait la rue principal. Le regard dur, il scruta les habitants à son passage, son attention se porta sur un jeune mendiant à la mine affable.

Angel sorti un écu puis le faisant sauter dans sa main tout en lui adressant la parole :

« Jeune homme, si cette pièce t’intéresse, indique-moi le couvant de cette ville… »

Le jeune mendiant eue les yeux ronds comme une pleine lune en plein jour. La réponse ne tarda pas à venir, et d’une voix sûre :

« Mon bon seigneur, faut que vous suiviez la route qui coupe la ville en deux ! Ce que vous chercher est a la sortie de la ville plus au nord ! »

Il eut du mal à se lever, surement la faim y était pour quelque chose…

Angel sans tarder lui lança ce qu’il lui avait promit. Le mioche s’en empara aussi rapidement que la misère s’abat sur la terre. Un sourire illuminait son visage avant de vite ranger son butin.
Angel sourit légèrement avant de prendre la direction indiqué.

Quelque temps après, il pu voir la bâtisse religieuse se dessiner devant lui, on pouvait distinguer une belle porte de bois derrière la barrière de fer forgé. Un petit coup de rêne du cheval vers la droite pour prendre le chemin contourne le périmètre de ce lieu passible d’apparence… Les pensées s’entrechoquaient, laissant ses yeux vagues :

Avaient-ils eues le message…

Le rendez vous était donné a l’arrière sur la lisière de la forêt, il s’enfonçait doucement entre arbres et fougères, longent le mur de pierre qui était très peu entretenue. Angel sauta de sa monture et l’attacha à une branche basse. Il prit une corde munie d’un grappin qui avait été pratique à Clermont, un sourire à ce souvenir…Il épaula la cordé sur son épaule gauche avant de s’assoir au pied de l’arbre choisie, fallait patienter… Attendre la tombé de la nuit et ses amis…

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Lorad
[Dans la foret]

Lorad qui comme a son habitude se promenait et se trouvait partout,même ou il fallait pas, il se préparait donc à partir chez les moines quand il vit son ami Angel.

Il s'approcha le Fut de bières sous le bras, s'ils arrivent à faire sortir la môme par le mur il devra s'infiltrer en entrant lui dans le monastère pour faire retraite....

Il prit son ami dans ses bras pour saluer à la memento....


Salvé mon ami, que donne les alentours ? Pense tu que l'on passe par là ou il faut que j'infiltre ? Il faut pas qu'on se fait repérer sinon on va finir au gniouf....

lorad cassa le dessus du fut avec son épée puis commença à picoler avec son ami en attendant les autres....

J'ai la possibilité d'un bateau, je suis en négociation, il faudra juste aller le chercher à la fin du mois, si ca marche on devra en faire venir plusieurs à Genève, pour l'instant il y a trois pont de libre....

Avec 3 foncets on peut transporter 24 hommes je pense qu il faut d'abord en prendre un on verra la suite plus tard....

Pour l'instant on fait sortir la petite et on réunis tout le monde... Heureusement que j'aime la CH sinon j'aurais déjà fais un sale coup à l'avoyére de Genève....


Lorad se mis a trinquer et à picoler avec son ami en attendant les autres....
Solid
[Beaucoup plus tard dans la nuit]

L’alerte avait été levée depuis une heure quand Sorenza sortit du dortoir où on l’avait enfermé. Elle trouvait suspecte la disparition soudaine de ce groupe de voyageurs. Il n’y avait pas de fumé sans feu et même si la troupe annoncée par la rumeur se réduisait à trois ou quatre personnes, elle préférait rester sur ses gardes.

Elle huma l’air d’un air inquiet avant de prendre la direction de l’étable. Là, elle retroussa sa robe pour grimper à une échelle et se retrouver dans le grenier à foin. Elle se dirigea vers le mur du fond, sembla caresser doucement la pierre, et sourit quand elle repéra l’interstice. Elle en sortit sa dague et repartit par où elle était venue.

Une fois dehors, elle embrassa la cour du regard et trouva rapidement un endroit où la lune ne la révélerait pas.


Là.

Furtivement, elle s’accroupit dans le coin comme on lui avait appris, tenant fermement la garde de son arme. Il ne lui restait plus qu’à attendre.
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Angel.
Angel fût surprit par la douceur chaude de cette soirée d’été, une ombre ce dessinait entre les arbres où les rayons du soleil passaient entre les branches. Il connaissait cette démarche mais il ne pouvait pas croire à une telle rencontre ici. Ce relevant doucement et avec prudence.
Puis une voie déchirait le silence morne du coin, une reconnaissable entre tous :


« Salvé mon ami, que donne les alentours ? Pense tu que l'on passe par là ou il faut que j'infiltre ? faut pas qu'on se fait repérer sinon on va finir au gniouf.... »

Angel reconnu de suite son ami, un sourire s’afficha sur son visage. Non sans surprise, il se dirigea vers lui et avec sa voix sûre il répondait :

« Et bien mon ami Lorad ! Que fais-tu là ? Qu’elle heureuse surprise ! La mioche est là dedans… On va ce la faire discrète celle-lŻ


Il prit le godet tendu g reusement et sourit en disent :

d Tu ne perd pas les bonnes habitudesu e

Angel avala une lampldu breuvage en gutant les dires de celui qui avait r si ie convaincre de venir.


i J'ai la possibilita'un bateau, je suis en n,ciation, il faudra juste aller le chercher la fin du mois, si ca marche on devra en faire venir plusieurs eene, pour l'instant il y a trois pont de libre....

Avec 3 foncets on peut transporter 24 hommes je pense qu il faut d'abord en prendre un on verra la suite plus tard....

Pour l'instant on fait sortir la petite et on rris tout le monde... Heureusement que j'aime la CH sinon j'aurais de fais un sale coup i'avoyà f de Gens.... o


L sutant sans ltinterrompre, il sourit avec aisance puis rerqua doucement :

l Je mpen fais pas pour cela, je pense queil nous faut juste un peu plus de mondeu
Pour lpavoyd, joai eu l occasion de lui parlyelle j’air juste de vouloir ce qui est juste pour les pauvreso Tu sais que les nobliaux ne sont pas ma tasse de th Jeai passan accord tacite avec elle, et comme elle me rend service, je me dois de gardmarlel e

j Les deux autres ne devraient plus tardrnous devrions sortir la p tite teigne de ce coin lus


Angel bu une lamp
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Franceska
[ Au point de rendez-vous]

L'heure -it venue et le lieu du dit rendez-vous en vue, -out juste quelques pas devant eux. Suivant de pr Guillaume qui de l'avant indiquait le chemin, elle posa ses prunelles sur l'enceinte qui se dressait devant elle.
Elle ressemblait ni plus ni moins cout les autres couvent qu'elle avait jadis pu voir ou ml fr entpau cours de sa jeune vie.
La compassion l'atteignit furtivement en songeant sa Gamine qui s'y trouvait enferm/ Elle aussi savait ce que s'fit de se retrouver prisonni des murs d'une cellule froide et sans vie, forcaet contrainte aaire pstence sur demande de son fourbe de gnteur et ce sous les yeux d'un recteur et d'une Grande Prieuse sans coeur.

Laissant mourir un soupir au sortir de ses lees, elle acc ra le pas, le rendant plus vif afin de pouvoir rattraper Guillaume qui d avait pris de la distance, se trouvant ds aux abords d'une dense forddans laquelle il commenlt u'engouffrer.
Revenu sur ses talons, elle aperj se d ilant devant eux deux silhouettes se trouvant en pleine discussion. Yeux l/rement pliss sur le qui vive, elle observait tandis qu'ils s'approchaient pour les rejoindre avant d'esquisser un lxr sourire reconnaissant sit ngel accompagn e Lorad.


" Salut vous deux ! "

La Gazelle posa regard alentours avant de poursuivre :


" J'parie que vous n'attendiez plus qu'nous ?"

Bribment, Franceska tourna la ts vers le couvent :


" C'est donc lru'la mtse trouve... va falloir s'introduire dans "la bergerie " de mani> furtive et discrt... On y va quand ?"


Regard se portant sur Angel elle attendait que procète leurs soit expliqu&/span>
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Lguillaume50
Enfin ils arrivaient apr avoir traversdla ville, rejoignant le lieux du crime... Euh non tc'est autre chose... Disons plutoe lieux du rendez-vous.

Face ux, la colossale architecture du couvent prrduquel ils avaient d convie convenu de l'urgente ntssithe s'y rendre.
C'lit donc leue s'trouvait la p'tite peste... à eette heure probablement cloreentre les quatre murs de sa cellule se d'mandant quand on daignerait venir la chercher.
Le moment tit ront venu...

Discrsment, Franceska sur les talons, Guillaume se faufila parmi la foule naissante, rejoignant le grand mur de l'enceinte qu'il se mit sitr longer.

Rendez-vous avait > donnr l'oridu bois et d'un pas vif s'y dirigea. Non loin, au fur et aesure qu'ils s'approchaient de l'endroit fixnse devinait une silhouette alors connue :


Jacquot, c'est toi?


Avantt de quelques pas, il sourit, reconnaissant Lorad et Angel et dit:


Bonsoir, nous voici pr pour.... La f'^^
Angel.
Angel buvait avec Lorad, la nuit tit devenue belle et scintillante, les /iles ens ue la solidaritrtait de mise a cosa nostra= Une impatience lui dbngeait mais il savait qutils allaient venirl Quand des voix rompent le silence :

" Jacquot, c'est toi? "

Son regard ce tourna vers la voix d homme qui lui it plus que connu, son meilleur ami depuis longtemps :

Vieux frc toujours prtnt quand on a besoin de toib


Un petit sourire et une fossette ce dessinait sur ses lnes quand il vit une deuxit silhouette se mouvoir derric son fra drarme :

" Salut vous deux ! "
" J'parie que vous n'attendiez plus qu'nous ?"


Et bien le duo de choque qui manquait it lf

- En effet, nous vous attendions e

Angel jeta son godet sur le cotnt se redressa daun seul coup, et d une voix discrn deara :

s On est au completiVa falloir ce la faire en douceur car ses nones sont des bavardes et h teront pas gous balancerg d

D un pas sp rapide se plaxau pied du mur de pierre d>une bonne hauteur et de construction solide. Angel "son grappin et le cordage qui allait avec de son rule avant de la faire tournoyer rapidement, puis dans l en de celui-ci le propulsa la cime de cet obstacle qui les s rait de la mioches Le bruit de leaccrochage se fdentendre :

e Ping ! a s

Laissant un silence, pour lutaes entourages et voir si le bruit avait alertauelquélaun. Rien, pas un son ou bruit de plus. Il reprit doucement :

/ Nous avons assez perdu de temps" Allons sortir la teigneuse de cette mare aux grenouilles de bptiersc u

Il commentson ascension qui savait si bien faire, arrivdn haut, il dit dtune voix tuff our ne pas affoler le coin :

m Le dernier rtpr le grappin ! d

Puis un regard rapide port n bas, avant de sautce leautre cotst de disparaitrei

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Franceska
Il fallut peu de temps =a Gazelle pour obtenir rense ma dernit question qu'elle eut alors posc: iavoir quand ils se devaient d'agir.
N'Rit prr aucun temps d'attente, ils fallait agir imm/atement profitant que la nuit soit parfaitement tomb/pour s'introduire dans le clo=e.
Se tenant toujours aux cl de Guillaume, elle n'avait pas perdu une miette des agissements d'Angel qui s' it siternpiteu pied de l'immense faae qui s'ée vait devant eux.
Elle observa sa progression avec attention jusqu'se voir disparase de l'autre cidu mur de pierre.


*Le dernier rspa le grappin *, voila quelle avait q la dernit consigne donnt
Aussit ranceska se tourna vers Guillaume et Lorad dont elle se trouvait toujours en prence.

" Bien ! Honneur aux dames ! "

La Gazelle jeta un dernier coup d'oeil vers la fore sombre et sisse, qui bordait l'enceinte avant de tendre l'oreille, attentive aux moindres bruits alentours. Angel visiblement s'ait introduit sans grande difficultbC'/it d Relevant le menton, s'approchant du mur, elle s'empara de la corda tira dessus pour s'assurer que le grappin tit toujours tenu bien fixement, puis posa un pied sur le mur d tant ascension.
En pleine grimp' elle prit un court temps de pause, se retournant sur ses deux acolytes rest au pied du mur avant de reprendre sa progression.
Haut du mur atteint, elle l'enjamba pour passer de l'autre c>


"Surtout... ne pas oublier le grappin "
, leur murmura t-elle avant de leur adresser un bref signe de la main et de se laisser tomber sur le sol.
"Les loups" entraient enfin dans "la bergerie"...

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--Soeur_therese_de_geneve


S5ur Thmse sortit dAun bEment du couvent en grognant. Malgrsa lune, elle ne voyait pas grand-chose et craignait de se faire remarquer en se cognant sur un sceau ou un autre objet quelconque trainant dans la cour.

Car S"ur Th/se ne marchait plus tellement droit. Une fois de plus, elle avait rysi ie faufiler dans la r7rve spsale. Il faut dire que Monseigneur, qui venait c Aprnavoir prvvnne quantitaui, pensait-elle, passerait inaper , elle sd-it dirig ers les futs de bii. Creit luue les ennuis avaient commenc /span>

Arf, la bi/ ! On en boit une, on en pisse dix.

Sentant sa vessie sur le point dleater, elle iit remontndans sa cellule pour se soulager. Mais voilfle pot de chambre ne pouvait en contenir que neuf. Elle avait donc dir udre ve rendre aux latrines.

Alors queelle passait au pied de l enceinte, elle entendit un bruit à qange.


s Ping f

A peine s/sit-elle retourn
Solid
Solid, tapie dans lpombre, avait entendu Sgur Thcse sortir du biment principal en grognant. Elle l"observa en souriant sachant quelle occupation celle-ci avait par une heure pareille. Elle s;enfonet un peu plus dans son coin quand elle entendit un bruit suspect.

l Ping t

La gamine leva la t et rep= une ombre en haut du mur. Son intuition tit la bonne, le couvent subissait une attaque sournoise de bandits. Sorenza retint une exclamation quand elle vit la sérèur se diriger vers le danger. S ur Those nit celle qubelle apprsait le plus. Ctest pourquoi elle se leva rapidement pour lui venir en aide. A cet instant, un rayon de lune vint iairer le visage du brigand. Elle sparr. net ne voulant croire >ette apparition.

Angel ?

Puis elle vit trois ombres de plus venir rejoindre la premin, qubelle identifia comme Frances, Guigui et Lorad. R issant rapidement alors qunelle voyait S ur Thsse tourner les talons avec un air effraytelle attrapa un balai qui trainait l.t assomma la siur avec le manche.

Dllnma snurécl

Elle posa le regard sur chacun, sachant pourquoi ils venaient. En cet instant, elle deda que la vie valait la peine dane vyee mais hors du couvent.
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