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[RP] Désillusions, ou la vie en noir

Yarwelh, incarné par Jade.de.sparte
Non seulement l'homme ne bougeait pas, mais en plus il souriait. Ce qui eut le don de faire battre encore plus fort les tempes de celle qui depuis des mois ne souriait plus.

Cet abruti mettait son fils en danger et il souriait. Rien que pour la première raison il méritait la mort. Pour la seconde, il mourrait encore plus vite.

Il l'appelait mignonne. C'est vrai, les hommes lui avait souvent dit qu'elle était belle. Elle en avait longtemps joué d'ailleurs. Mais depuis le départ d'Olivier, aucun homme ne l'avait approché suffisamment près pour l'appeler ainsi. Elle les avait repoussé bien avant. Là, ce bandit prenait un risque. Peut-estre le castrerait-elle avant de le tuer. Cela lui apprendrait peut-estre que la beauté ne va pas forcément de paire avec la douceur; que si les pétales de roses sont duveteuses et caressent la peau, les épines sur la tige sont pointues et mordent la chair.

Il semblait la défier personnellement, notamment lorsqu'il tua un de ses gardes devant elle. Pourtant elle ne broncha pas. Il serait toujours temps de pleurer les morts plus tard. Elle profita toutefois de ce temps là pour peaufiner son analyse de la situation.

Elle avait un avantage. Elle était en hauteur sur Sol, son étalon palomino. Mais ce bénéfice pouvait lui portait préjudice. Moins stable et peu habituée au combat monté elle risquait d'en patir. Pour le reste, son entrainement avec les maistres d'armes et à l'Ost ferait le reste.

Il rangea sa dague et sortit son épée. Son plus grand cauchemar? Elle l'avait déjà vécu: Olivier n'était plus à ses costés. Sa vie n'avait plus de saveur.

Un fin sourire, morbide, étira ses lèvres. Il ne pouvait l'atteindre avec ce genre de remarques. Au contraire, peut-estre se laisserait-elle tenter par l'invitation de la mort au bout de sa lame. Ses sombres pensées n'était pas au goust de tout le monde et, pour évacuer la tension de sa maistresse, Sol se cabra en hennissant bruyamment. La cavalière tint fortement les rennes, serra les jambes, et se maintint en selle.

Le cheval reposa ses pattes avant, soulevant un nuage de poussière. Yarwelh ne perdit pas de temps et le fit galoper sen direction de l'homme. Elle tenta de lui porter un coup lorsque le cheval passa à sa hauteur mais ne l'atteignit pas. Sol continua sur quelques mètres avant de s'arrester.

La jeune femme mis prestement pied à terre. Sa lame toujours en main, elle se dirigea vers son adversaire qui maintenant lui tournait le dos. Malgré sa célérité quasiment féline, le temps qu'elle parcourut les quelques mètres qui les séparait l'un l'autre, il s'était retourné. Derrière lui, des silhouettes se mouvaient. Bien qu'elle en avait conscience, elle ne s'en préoccupait pas: les gardes protégeaient le carrosse aux prix de leur vie. Et s'ils ne le faisaient pas, ils mourraient de sa main.

Elle s'arresta à distance respectueuse. Mobile, souple, toujours en légers mouvements sur ses jambes, elle fixait son regard vers le combattant, lui laissant le soin d'attaquer le premier.

Lorsqu'il lança son attaque, elle para vivement, faisant attention de ne pas bloquer sa lame contre le sol. Lors d'un entrainement, elle s'était vu battre ainsi, et cela n'allait pas recommencer, foi de de Lacombe!

Elle essayait de penser à la technique, de se rappeler les leçon de maistre d'armes, mais souvent c'était son instinct et l'expérience - que donnaient les entrainements- qui ordonnaient ses mouvements.

Lorsqu'il attaquait, elle faisait dévier sa lame dès que possible. Parfois, elle était simplement obligée de bloquer la lame, causant de plus rudes coups aux épées. Les vibrations remontaient le long de ses bras jusqu'aux épaules, mais elle le lachait pas prise. Quand elle le pouvait, elle attaquait. Garde haute, basse, médiane, elle n'hésitait à aucun moment à utiliser toute opportunité. C'était un combat à mort, elle le savait. Seul un des deux adversaires survivrait et elle ferait en sorte que ce soit elle.

Ses coups montraient sa détermination. Elle n'avait aucun scrupules, n'auraient aucun regret à voir sa lame rougit par le sang.




--Boule_de_suif



Elle part.
Je le sentais.
La route. Longue.
La forest. La chasse.
J'aime. Énormément.
La liberté.

Je suis ma deux pattes.
Triste.
Elle ne devrait pas s'attacher aux deux pattes.
Mauvaise idée.
Toujours triste elle sera avec eux.

Une halte.
Nouvelle ville.
Les murs. Les deux pattes.
J'aime pas.
Les villes sont une prison.
Elle se repose. Je chasse.
Je dors un peu.
Je pourrais pas le faire en journée demain.

On repart.
La forest.
Liberté. Proies nombreuses.
Je cours. Je chasse.
Je m'amuse.

Un deux pattes caché dans les arbres.
Mauvais signe.
Je feule.
Ma deux pattes comprends.

Les deux pattes s'agitent.
Les deux pattes en veulent à la niché de ma deux pattes.
Je bondis
Je griffe.
Je les blesse.

Une deux pattes est près du chaton dans la maison roulante.
Je saute sur elle.
Le visage.
Je griffe.
Les yeux.
Je griffe encore.
Encore et encore.

Dessous, une griffe d'acier des deux pieds apparaît.
Le ventre est transpercé.
La deux pattes crie.
Le gargouillis des animaux mourant.
La deux pattes tombe. Morte.
Je saute avant qu'elle ne touche le sol.
Je retombe sur mes pattes.

Mes griffes sont rouges.
Il faudra que je les nettoie.

Les autres deux pattes continue la chasse entre eux.
Je les aide.
Pour ma deux pattes. Et son petit.



Morgane la voleuse, incarné par Jade.de.sparte


Elle avançait, lentement mais sûrement en direction du carrosse, de son poignard la voleuse tentait d'éviter les coups d'épée, elle savait que sa lame ne supporterait pas longtemps le choc. Hysteria avait tenté une approche furtive de l'autre côté, Morgane tout à son combat, n'avait pas regardé jusqu'à ce que les cris de celle-ci lui parviennent, tournant la tête vivement, elle la vit s'effondrer, transpercée.

Sa compagne des 400 coups était morte et la voleuse hurla de rage ! Mais elle avait tourné la tête et le garde s'était rué sur elle, la faisant basculer par terre. Trop enragée, elle lui fit un croche pied pour le faire tomber et rampa jusqu'à lui pour l'étriper. Le garde lutta et les protagonistes roulèrent par terre, la hargne de la vilaine décuplait ses forces mais elle savait qu'elle ne tiendrait pas contre lui. Elle lutterait avec ses armes, regardant le garde d'un air de biche effarouchée, haletante avant de l'embrasser farouchement. Les quelques secondes où le garde subit cet assaut inattendu furent suffisantes... la gorge tranchée, il s'affaissa sur la voleuse.

Elle le repoussa, gluante et poisseuse, pour se relever avec quelques difficultés, la lame l'avait blessé pendant la lutte mais avec tout ce sang, impossible de savoir l'état de celle-ci. Morgane ramassa l'épée du garde et fonça vers le carrosse en hurlant le nom de sa partenaire de crime étendue sans vie.


POUUUUUUUUUUUUR HYSTERIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Le_Scélerat, incarné par Niconoss
Et le combat débutait, ils n'étaient plus que deux dans leur monde, chacun ne voyant que l'autre, chacun n'ayant qu'un seul objectif tuer l'autre, pourtant leurs regards se perdaient l'un dans l'autre, comme si d'autres sentiments venaient se mêler avec la rage, la haine, et tout ce qui faisait de se combat, un si grand foutoir, l'un n'ayant que pour objectif de piller, voler, tuer et ceux pour son amusement, son plaisir, car il n'avait même pas besoin d'écus, la majorité du temps il dormait dans les bois, mangeant des lapins qu'il attrapait comme il avait pu faire le matin de l'attaque, c'est aussi pourquoi il se sentait un peu lourd. Chose qui se ressenti quand elle l'avait chargé avec son cheval, et qu'il avait du esquiver. Quand à la nobliau, son seul objectif était de protéger, sa famille, ses richesses, et de pouvoir rentrer sur ces terres comme si de rien n'était. Mais même si elle s'en sortait, elle serait marqué à vie par ces événements, alors que lui c'était son quotidien. Et c'est la que se ressentait une différence, l'un était calme, l'autre devenait rouge et était énervé.

C'est comme sa que débuta le combat quand elle se retrouva au sol fasse à lui, ne voulant pas rompre le silence qui se sentait entre les deux, ne voyant plus rien d'autre que leur adversaire, comme si ils avaient mis des œillères, n'entendant plus que le bruit des lames qui s'entrechoquaient et des pas de l'autre. Le combat semblait équilibré, et il ne prenait l'avantage que sur le physique et la puissance, la technique de la noble était bien huilé, comme si elle avait été militaire, mais impossible, elle n'en avait pas le look, et pourquoi les deux voleuses l'auraient choisis si tel avait était le cas. Il attaquait violemment à gauche, à droite, en frontale, mais tout était paré. Alors il commença à tenter des techniques de brigands, lançant du sable dans les yeux de la dame, ou encore en tentant de lancer une dague sur son adversaire. Enfin bref ce brigand n'avait aucun honneur, comme la majorité d'entre eux. Il était la souriant bêtement pendant le combat, attendant une opportunité, alors que leurs lames se croisaient déjà depuis de longues minutes.
Yarwelh, incarné par Jade.de.sparte



Le monde n'existait plus. Ou presque. Une part d'elle-mesme pensait encore à son petit Diamant. Son Amour, sa raison de vivre.
Mais le reste... Le reste était perdu dans le combat face à l'homme.

Son instinct guidait sa main. Sa rage guidait son bras. Sa motivation mouvait son corps.
Seules d'excellentes motivations pouvait supporter la rage d'un tel combat. Quelles étaient celles du scélérat face à elle? Elle n'en avait aucune idée. Mais pour un brigand, il combattait bien. Pour résister à une noble ayant eu des maistres d'armes pour la former, une ancienne connétable qui s'était battu face aux soldats, à une femme meurtrie, à une féline sauvage qui venait de libérer sa fureur, ses visées devaient lui tenir à cœur. Si tant est qu'il en avait un.

Elle ne voyait plus en lui que le Mal, le mal sans fond. Il était la Douleur, il était le Chagrin, il était la Perte. La perte de Jules, puis celle d'Olivier, il était la cause de la plaie saignante dans son cœur.
Et elle allait le tuer. Le réduire à néant. De sang froid, sans peur, sans regret. Il allait mourir de sa main. Le vermeil coulera dans les rainures de sa lame. Et peut-estre qu'un sourire étirera ses lèvres.

Après l'échange d'invectives du début, ils s'étaient tus tous les deux. Ils combattaient dans le silence avec pour accompagnement le bruit des fers s'entrechoquant et, plus loin, le tintamarre que faisait les gardes protégeant le carrosse contre le reste des brigands.

Il avait l'avantage de la force et de la puissance virile. Elle avait celui de la souplesse féminine et de la rapidité féline.

Il attaquait. Elle parait. Elle fendait. Il esquivait. Coups, feintes, attaques, parades se succédaient.
Les techniques les plus gracieuses , les plus nobles étaient utilisées. Les plus fourbes aussi. Tout les coups étaient permis. Pour lui. Mais pour elle aussi. Oubliée les règles des maistre d'armes de l'Ost ou des castels. Ne restait que les règles du combat que la forest avait appris à la jeune enfant sans famille, sans noblesse, qu'elle était il y a quelque années.
Le calme habitait son corps. Elle transpirait un peu d'estre en mouvements en permanence bien sur, mais pas du tout à la colère, à l'angoisse ou autre. Pour preuve, ses mains étaient sèches dans ses gants de cuir. Et ce, malgré ses sombres envies meurtrières.

Le sable, les dagues qu'il lançait ne l'atteignirent pas. Elle ne s'offusqua point des bassesses de son adversaire. Au contraire, elle en fit autant, profitant de l'environnement et s'en servant dès qu'elle le pouvait. Une roche sur le sol? Un excellent projectile. Une grosse branche cassée?Un excellent bouclier à usage unique. Tout pouvait servir pour qui en avait besoin, pour peu qu'il connaissait un minimum la forest, ses pièges et ses ressources.

Ils étaient là, à combattre tranquillement, comme si le monde alentour n'existait pas, comme si la fin n'était pas la mort de l'un d'eux, comme s'ils s'entrainaient. Et pourtant, chacun des chocs était plus dur à encaisser que le précédent, chaque heurt était plus violent que le précédent, chaque coup rapprochait de la Fin, tout simplement.
Ils étaient là, avec une répartition équitable des forces, ne prenant l'avantage que pour un court instant avant de le perdre au profit de l'autre.

Mais un évènement vint perturber cet équilibre précaire.
Elle s'était fendue sur lui, l'obligeant à reculer. Elle allait bientost réussir à l'acculer contre l'énorme tronc d'un chesne, enfin elle allait pouvoir l'empaler au bout de sa lame!
Mais un cri retentit. Le cri de la fureur. Et la mère en elle ne put y estre insensible. Il fallait qu'elle voit le risque que courrait son enfant. Et elle tourna la teste vers l'origine du braillement.

Erreur fatale. Quelques instant à peine après, la lame de son adversaire transperça cape et chemise , entailla la peau et les chairs au niveau de l'épaule senestre.
Elle n'avait pas mal, non, les muscles échauffés par le combat la rendait moins sensible.
Elle sentit toutefois la pénétration du fer dans ses tissus pour lui faire tourner de nouveau la teste et faire face au combattant.

L'incision qui lui avait faite était longue de plusieurs centimètres mais peu profonde. Suffisamment pourtant pour que la gesne qu'elle occasionnait ne lui permette plus autant de manœuvres que ce qu'elle avait fait jusque là. Elle n'avait pas mal, mais cela viendrait après le combat. Si elle survivait.

Son bras senestre pendait le long de son corps. Il ne fallait pas qu'elle l'utilise, ou le moins possible pour pas que le pourpre ne s'étende de trop. Mais le dextre, le dextre, lui, n'avait rien et sa prise sur la garde de l'arme s'en trouva raffermit. La mâchoire se crispa et les yeux lancèrent des éclairs lorsqu'elle les releva et qu'ils croisèrent ceux de l'homme qui allait mourir.



Posté pour LJ Yarwelh à sa demande



--Edward_fraize
[La Forêt du domaine de Fraize]

Les gardes de Fraize :
Edward le chef
Chake son bras droit
Cédric le bleu du groupe
d'autres gardes non nommés mais présent.

[Un départ trop calme ...]


Les ordres étaient donnés au reste des gardes,

Edward avait choisi de ne pas se séparer de son bras droit Chake, toujours à ses côtés,
Tandis que la dame de Fraize était en tête de ce convoi, la chevauchée se faisait dans le calme,
Le chant des oiseaux, ainsi que le bruit des sabots sur les branches d’arbres tombées, étaient les seuls sons perceptibles.
Le fiacre avançait à une allure assez lente, pas besoin de galoper pour le suivre non, personne à l’horizon, uniquement les autres gardes, qui avaient pour ordre de ne pas lâcher la surveillance du fiacre.

« Plus vite. Et ne vous arrestez sous aucun prétexte. Gardes, restez en formation. Le fiacre avant tout. »

Le chef de la garde, fit signe à ses frères d’arme, afin qu’ils poursuivent leur course, sans arrêt, la dame de Fraize maintenant se trouvait à l’arrière du fiacre, tandis que la troupe accélérait la cadence, le groupe de garde ne vit rien à l’horizon.


[ soudain un bruit, le fiacre a pilé ! ]


Pourtant, leur destin paraissait sceller, Edward était à l’arrière du fiacre, tandis que les autres gardes étaient devant, quelque chose effraya les chevaux, Ed a juste le temps de se rapprocher des autres gardes, il veut voir le cocher, pourquoi cet arrêt brutal du fiacre ? Pourquoi avoir désobéi à dame Yarwehl ?

Les épées étaient dégainées, prêt à défendre la dame de Fraize ainsi que son héritier,
Une partie des gardes avaient pour ordre de suivre le cocher coûte que coûte, surveiller le carrosse sans s’en détacher.

[La mort de Cédric le grand bleu !]


Il était persuadé que le manant étaient seul, que le combat allait être bref,
Cette conclusion était bien hâtive, derrière eux se trouvaient des comparses, apparemment ils étaient encerclé par cette bande de brigands, et pas le temps d’analyser la scène, d’anticiper cette défense, qu’il voit son frère d’arme Cédric s’écrouler devant lui, gorge tranchée et bain de sang en vue, Ed fait face à la vilaine, qui déjà se préparait à attaquer Chake à son tour , un poignard lancé vers lui, qu’il esquive avec justesse, effleurant son bras, il avance vers elle, la bougresse était sur le point de se saisir d’une nouvelle arme,
Edward détourne son attention après tout Chake était assez grand et robuste pour se défendre, une autre donzelle s’était ruée vers lui, d’un coup franc de sa lame aiguisé, Edward la transperce sans trop de difficultés, il tente de repérer les autres brigands, sans arriver à savoir combien ils sont vraiment.


[Vengeance pour un bleu : du côté de Chake versus Morgan
les histoires d'Arme finissent toujours mal en général !]


Chake est en plein combat avec la sauvageonne, rebelle, elle lui a laissé une marque sur le bras de quoi l’exciter le géant, lui ouvrir son appétit, sa soif de sang, il la bat, à coup de coup de poing, de gifles, il ne veut pas en venir à la lame non, pourtant elle est agrippée à sa dague la chienne, rien à faire, il l’a fait tomber, la petite en plus d’avoir de la hargne et assez rapide, et rancunière en plus ! La voilà qui lui fait un croche pied, ce jeu sadique et enfantin, l’excite d’avantage, il est sur elle, le géant plante son regard vitreux dans ses mirettes , la petite lui ferait presque pitié, s’il n’avait pas vu avec quel froideur elle avait liquider le jeune Cédric, bon Chake est un homme, ce débat , ce combat, finit par prendre une tournure d’ébat, ah il prend son pied le Chake , la brune se jète sur lui, voilà que les adversaires roule à terre, un coup lui sur elle, un coup elle sur lui, petite diversion inattendue de la crasseuse, qui pose ses lèvres sur les siennes, le Chake (je l’ai dit, dans la garde de Fraize c’est le plus pervers, le plus chaud, le plus mâle en somme), il aura même le temps de jouer de sa langue dans sa bouche à l’assassine , éphémère sera ce dernier flirt sauvage, un coup sec et franc dans sa large gorge, un rideau noir devant ses yeux, ça sera donc sa dernière vision, son dernier acte dans ce bas monde, au service de la dame de Fraize, le bâtard ne rentrera plus à Fraize, il n’ira plus insulté sa vielle épouse, il ne maltraitera plus ses enfants nombreux, il ne fera plus cocu à sa bonne femme.
Il ne chevauchera plus aux côté de son chef Edward, un jeune enfant dont il est particulièrement fier, il remettait son âme à dieu tandis que les autres poursuivront ce combat.


« POUUUUUUUUUUUUR HYSTERIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA »


[ du côté de chez le Chef de la garde ça s'active aussi ! et une de moins du coté des méchants !]



Edward avait abandonné le corps de celle qui s’était aventurée inconsciemment vers lui,
Les râles de son bras droit Chake , il les percevait , oui, il était persuadé de sa victoire,
C’était le géant en somme, après tout n’était il pas le doyen de leur troupe, l’ancien, Edward avait la jugeote, la jeunesse certes, mais une capacité de grand maître d’arme et pourtant ce jour là, tout se défilait si vite, il contourna le corps de Cedric , prenant rapidement soins de fermer les yeux de ce défunt, se signant, et mettant son destin entre les mains de ceux de Dieu et Aristote, ainsi que les siens, car il portait encore l’épée, il était toujours sur sa monture, il se dirigea vers le carrosse, heureux d’avoir freiner le dessein de la malheureuse tranchée c’était donc ainsi son petit nom « Hysteria », au cri de l’autre femme, il avait connu le nom de celle qu’il avait dépouillé de son âme, c’était avec une rage inqualifiable qu’il vit au loin le corps de Chake sans vie.

A plusieurs pas de lui se trouvait la dame de Fraize qui luttait contre le chef de cette horde de brigands, Edward hésitait entre allait la secourir elle, ou bien défendre le nourrisson ?
Il avait perdu une grande partie de ses hommes, ce convoi qui devait se faire dans la paix et le calme avait prit une tournure macabre.


Il brandit son épée, à la recherche de celle qui avait prit la vie de deux de ces meilleurs hommes, tout en silence, rien ne sortait de sa bouche, il avait la ferme attention d’en découdre avec la petite peste tueuse, et de sauver le reste de l’équipe.

Il demanda au cocher et à la nourrice de ne pas quitter l’enfant d’un pas, bien que la peur faisait trembler celui qui n’avait pas réussi à rentrer « dans le lard » du chef des brigands, l’écraser sans sourciller, du moins c’était ce qu’aurait fait le jeune chef de la garde s’il était aux rennes de ce fiacre.


Il fonça vers la trancheuse de tête, celle même qui criait le nom de celle qui venait d’achever, lui assénant un coup d’épée dans le vif, plus besoin de savoir ou il vise ses coups non, il a la haine, une rage, il veut qu’elle morfle avant de rendre l’âme, un coup au cœur, ou la gorge tranchée serait une mort trop rapide pour celle qui avait emporté Cédric et Chake.
Martin Lamort, incarné par Yarwelh
Son nom était Lamort certes, mais il pouvait aussi être scélérat quand il voulait. Ou plutôt quand il le fallait comme maintenant. Il avait eu raison de se méfier de ses « acolytes » fournis par la Guilde. Ils s'étaient plantés en beauté. Même pas capables de savoir combien de gardes en escorte il allait y avoir. Il y en avait beaucoup plus qu'annoncé!

Aussi Lamort se fit prudent et resta en retrait afin de voir ce qui allait se passer. Scélérat oui. Lâche non. Mieux valait être bien vivant que transpercer par une lame suite à une erreur. Et une erreur d'autrui d'autant plus!


Au moins l'effet de surprise leur fut profitable. Le combat n'avait pas commencer, les gardes pas encore au courant que déjà leurs rangs s'éclaircissaient. L'un d'entre eux était mort à l'arrière du convoi, tué par l'une des deux folles furieuse, le deuxième à la tête tué par le Scélérat.

Les folles dingues avaient l'air de se débrouiller mieux que Lamort ne se l'imaginait. Quand à son « chef », il faudrait qu'il arrete de parler. Sinon ils seront là jusqu'au lendemain. Tue la, la bonne femme.


Mince, même la, ces abrutis ne savaient pas choisir une cible! La donzelle savait se battre. Depuis quand les nobliaudes savaientnt faire autre chose que de papoter et se parer de bijoux à voler? Enfin bon si elle se défendait aussi bien c'est que le butin à récupérer en valait largement la peine. Des pierres? De l'or? Un mélange des deux?

L'envie était trop forte...


Lamort se rapprocha du combat entre sa future victime et le Scélérat, prêt à soutenir ses efforts si besoin. Mais la situation était à leur avantage. Il blessa la donzelle. La victoire était garanti. Un sourire mauvais étira ses lèvres. Maintenant, elle allait être facile à abattre. Les gardes à moitié décimés... Pourquoi se contenter d'un tiers? La moitié c'est mieux. Voire la totalité s'il arrivait à se débarrasser de la nana à moitié ivre en permanence.


Alors le Lamort transperça de sa lame, non pas la nobliaude, il allait s'occuper d'elle juste après, mais dans le corps du Scélérat.

Lorsqu'il retira sa lame ensanglantée, il se tourna en souriant vers la donzelle.




Message écrit par JD Yarwelh avec l'accord de JD Martin Lamort
Morgane la voleuse, incarné par Jade.de.sparte


Non !!!!!!!!

Ce n'était pas possible ! Comment pouvait-il l'avoir transperçée ainsi ? Sans qu'elle réagisse ? Elle qui se battait comme une furie ? quoi ? non ! un animal sauvage ! Elle n'allait pas le laisser ainsi, elle s'accrocha à lui de ses mains gluantes et lui mordit le cou avant de se diriger vers le lobe de l'oreille qu'elle déchira d'un coup de dent ! Il se rappelerait de Morgane jusqu'à la fin de ses jours ! Elle s'effondra dans un rire démoniaque, un sentiment d'inaccompli alors qu'elle avait prévu tant de choses qui désormais par la faute de cet homme, ne serait plus.


Merci de consulter le joueur derrière le pnj avant de blesser son personnage. Cela a coupé mon rp prévu, plus aucune inspiration. C'était mon dernier post.
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