Yarwelh, incarné par Jade.de.sparte
Non seulement l'homme ne bougeait pas, mais en plus il souriait. Ce qui eut le don de faire battre encore plus fort les tempes de celle qui depuis des mois ne souriait plus.
Cet abruti mettait son fils en danger et il souriait. Rien que pour la première raison il méritait la mort. Pour la seconde, il mourrait encore plus vite.
Il l'appelait mignonne. C'est vrai, les hommes lui avait souvent dit qu'elle était belle. Elle en avait longtemps joué d'ailleurs. Mais depuis le départ d'Olivier, aucun homme ne l'avait approché suffisamment près pour l'appeler ainsi. Elle les avait repoussé bien avant. Là, ce bandit prenait un risque. Peut-estre le castrerait-elle avant de le tuer. Cela lui apprendrait peut-estre que la beauté ne va pas forcément de paire avec la douceur; que si les pétales de roses sont duveteuses et caressent la peau, les épines sur la tige sont pointues et mordent la chair.
Il semblait la défier personnellement, notamment lorsqu'il tua un de ses gardes devant elle. Pourtant elle ne broncha pas. Il serait toujours temps de pleurer les morts plus tard. Elle profita toutefois de ce temps là pour peaufiner son analyse de la situation.
Elle avait un avantage. Elle était en hauteur sur Sol, son étalon palomino. Mais ce bénéfice pouvait lui portait préjudice. Moins stable et peu habituée au combat monté elle risquait d'en patir. Pour le reste, son entrainement avec les maistres d'armes et à l'Ost ferait le reste.
Il rangea sa dague et sortit son épée. Son plus grand cauchemar? Elle l'avait déjà vécu: Olivier n'était plus à ses costés. Sa vie n'avait plus de saveur.
Un fin sourire, morbide, étira ses lèvres. Il ne pouvait l'atteindre avec ce genre de remarques. Au contraire, peut-estre se laisserait-elle tenter par l'invitation de la mort au bout de sa lame. Ses sombres pensées n'était pas au goust de tout le monde et, pour évacuer la tension de sa maistresse, Sol se cabra en hennissant bruyamment. La cavalière tint fortement les rennes, serra les jambes, et se maintint en selle.
Le cheval reposa ses pattes avant, soulevant un nuage de poussière. Yarwelh ne perdit pas de temps et le fit galoper sen direction de l'homme. Elle tenta de lui porter un coup lorsque le cheval passa à sa hauteur mais ne l'atteignit pas. Sol continua sur quelques mètres avant de s'arrester.
La jeune femme mis prestement pied à terre. Sa lame toujours en main, elle se dirigea vers son adversaire qui maintenant lui tournait le dos. Malgré sa célérité quasiment féline, le temps qu'elle parcourut les quelques mètres qui les séparait l'un l'autre, il s'était retourné. Derrière lui, des silhouettes se mouvaient. Bien qu'elle en avait conscience, elle ne s'en préoccupait pas: les gardes protégeaient le carrosse aux prix de leur vie. Et s'ils ne le faisaient pas, ils mourraient de sa main.
Elle s'arresta à distance respectueuse. Mobile, souple, toujours en légers mouvements sur ses jambes, elle fixait son regard vers le combattant, lui laissant le soin d'attaquer le premier.
Lorsqu'il lança son attaque, elle para vivement, faisant attention de ne pas bloquer sa lame contre le sol. Lors d'un entrainement, elle s'était vu battre ainsi, et cela n'allait pas recommencer, foi de de Lacombe!
Elle essayait de penser à la technique, de se rappeler les leçon de maistre d'armes, mais souvent c'était son instinct et l'expérience - que donnaient les entrainements- qui ordonnaient ses mouvements.
Lorsqu'il attaquait, elle faisait dévier sa lame dès que possible. Parfois, elle était simplement obligée de bloquer la lame, causant de plus rudes coups aux épées. Les vibrations remontaient le long de ses bras jusqu'aux épaules, mais elle le lachait pas prise. Quand elle le pouvait, elle attaquait. Garde haute, basse, médiane, elle n'hésitait à aucun moment à utiliser toute opportunité. C'était un combat à mort, elle le savait. Seul un des deux adversaires survivrait et elle ferait en sorte que ce soit elle.
Ses coups montraient sa détermination. Elle n'avait aucun scrupules, n'auraient aucun regret à voir sa lame rougit par le sang.
Cet abruti mettait son fils en danger et il souriait. Rien que pour la première raison il méritait la mort. Pour la seconde, il mourrait encore plus vite.
Il l'appelait mignonne. C'est vrai, les hommes lui avait souvent dit qu'elle était belle. Elle en avait longtemps joué d'ailleurs. Mais depuis le départ d'Olivier, aucun homme ne l'avait approché suffisamment près pour l'appeler ainsi. Elle les avait repoussé bien avant. Là, ce bandit prenait un risque. Peut-estre le castrerait-elle avant de le tuer. Cela lui apprendrait peut-estre que la beauté ne va pas forcément de paire avec la douceur; que si les pétales de roses sont duveteuses et caressent la peau, les épines sur la tige sont pointues et mordent la chair.
Il semblait la défier personnellement, notamment lorsqu'il tua un de ses gardes devant elle. Pourtant elle ne broncha pas. Il serait toujours temps de pleurer les morts plus tard. Elle profita toutefois de ce temps là pour peaufiner son analyse de la situation.
Elle avait un avantage. Elle était en hauteur sur Sol, son étalon palomino. Mais ce bénéfice pouvait lui portait préjudice. Moins stable et peu habituée au combat monté elle risquait d'en patir. Pour le reste, son entrainement avec les maistres d'armes et à l'Ost ferait le reste.
Il rangea sa dague et sortit son épée. Son plus grand cauchemar? Elle l'avait déjà vécu: Olivier n'était plus à ses costés. Sa vie n'avait plus de saveur.
Un fin sourire, morbide, étira ses lèvres. Il ne pouvait l'atteindre avec ce genre de remarques. Au contraire, peut-estre se laisserait-elle tenter par l'invitation de la mort au bout de sa lame. Ses sombres pensées n'était pas au goust de tout le monde et, pour évacuer la tension de sa maistresse, Sol se cabra en hennissant bruyamment. La cavalière tint fortement les rennes, serra les jambes, et se maintint en selle.
Le cheval reposa ses pattes avant, soulevant un nuage de poussière. Yarwelh ne perdit pas de temps et le fit galoper sen direction de l'homme. Elle tenta de lui porter un coup lorsque le cheval passa à sa hauteur mais ne l'atteignit pas. Sol continua sur quelques mètres avant de s'arrester.
La jeune femme mis prestement pied à terre. Sa lame toujours en main, elle se dirigea vers son adversaire qui maintenant lui tournait le dos. Malgré sa célérité quasiment féline, le temps qu'elle parcourut les quelques mètres qui les séparait l'un l'autre, il s'était retourné. Derrière lui, des silhouettes se mouvaient. Bien qu'elle en avait conscience, elle ne s'en préoccupait pas: les gardes protégeaient le carrosse aux prix de leur vie. Et s'ils ne le faisaient pas, ils mourraient de sa main.
Elle s'arresta à distance respectueuse. Mobile, souple, toujours en légers mouvements sur ses jambes, elle fixait son regard vers le combattant, lui laissant le soin d'attaquer le premier.
Lorsqu'il lança son attaque, elle para vivement, faisant attention de ne pas bloquer sa lame contre le sol. Lors d'un entrainement, elle s'était vu battre ainsi, et cela n'allait pas recommencer, foi de de Lacombe!
Elle essayait de penser à la technique, de se rappeler les leçon de maistre d'armes, mais souvent c'était son instinct et l'expérience - que donnaient les entrainements- qui ordonnaient ses mouvements.
Lorsqu'il attaquait, elle faisait dévier sa lame dès que possible. Parfois, elle était simplement obligée de bloquer la lame, causant de plus rudes coups aux épées. Les vibrations remontaient le long de ses bras jusqu'aux épaules, mais elle le lachait pas prise. Quand elle le pouvait, elle attaquait. Garde haute, basse, médiane, elle n'hésitait à aucun moment à utiliser toute opportunité. C'était un combat à mort, elle le savait. Seul un des deux adversaires survivrait et elle ferait en sorte que ce soit elle.
Ses coups montraient sa détermination. Elle n'avait aucun scrupules, n'auraient aucun regret à voir sa lame rougit par le sang.