[RP] Sur la piste de Pierre Lenoir

[Plage de La Rochelle, nuit du 31 août 1458]

On y était enfin. Le calme des retraites, la chaleur de l’été et les derniers coups de froid maritimes avaient laissé du temps à Velaron pour élaborer un nouveau jeu, au grand secret des Rochelais. Ce projet lui tenait à cœur car la ville était très peu animée pour le moment. Et puis parce que c’était une nouvelle expérience pour lui, il espérait que ce jeu plaise aux Rochelais.

Le bruit des vagues résonnait sur l’étendue de sable déserte, mais la lune presque pleine permettait au grand brun de distinguer très clairement les lieux qu’il traversait, bien qu’il ne se rendait que très rarement de ce côté de la ville.

Il avait choisi la nuit, pour le calme, l’humilité, mais surtout pour garder le plus longtemps secret le projet qui l’animait. De longues soirées à y réfléchir, préparer les pièces et le déroulement du jeu. Tout était fin prêt, il avait tout placé dans une vieille malle qui traînait aux Crevettes, et était parti au crépuscule encapuchonné dans son manteau.

Ici, s’exclama-t-il intérieurement. C’est ici que cela conviendra le mieux. Il déposa le coffre de fer à quelques mètres de la marrée, haute à cette heure.
Après avoir repris son souffle, il regarda la mer au loin, dont les reflets de la lune la rendaient d’un blanc pur et pensa à son suzerain. Il aurait tellement aimé qu’il soit là en cet instant. Des larmes montèrent à ces yeux lorsqu’il repensa à une virée au port tous les deux. Cette époque était finie et il n’arrivait pas à l’admettre, à le comprendre. Une nouvelle inspiration, Vel sécha ses quelques larmes et repartit en direction de la ville, malgré tout satisfait et impatient que les Rochelais découvrent la malle.


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Pour commencer une journée qui serait harassante comme toutes les autres , Florelanne partit marcher sur la plage . Les odeurs de la mer lui donneraient appétit et quoi de plus joli qu’un lever de soleil sur l’horizon bleuté.
L’air avait ce petit quelque chose de piquant qui, malgré la douceur, annonçait déjà septembre .
Elle marchait pieds nus sur le sable , le nez en l’air, admirant le paysage toujours changeant de la mer, quand elle buta contre une malle.

Aieee! Quelle étourdie je fais! J’espère ne pas m’être cassé un doigt de pied!

S’asseyant pour masser son pied , elle examina la malle

Un trésor ? Un coffre appartenant au bateau des Bretons qui viennent d’accoster au port?
Bizarre , elle n’a pas l’air mouillée…Les ferrures ne sont pas rouillées …

Florelanne la touchait , la sentait , étonnée et pensive

Elle sent la marée et le sel , mais le bois n’est pas gonflé . D’où vient elle ? A qui appartient elle? Qui a pu la perdre?
Les goémoniers passent par là , mais que feraient ils avec un coffre?

Florelanne restait perplexe . Elle tourna autour de la malle essayant de trouver une marque , des initiales qui la mettraient sur la voie .

J’ai trouvé maints objets perdus ou apportés par la marée ,mais cette malle est un mystère !

En continuant de l’examiner , elle se rendit compte qu’elle n’était pas fermée à clef. Elle allait l’ouvrir quand elle se ravisa . La mort inexpliquée d’un homme lui revint en mémoire

Et si cette malle lui appartenait ? Je ne devrais pas l’ouvrir seule …

Il est bien connu que les femmes sont curieuses ; Florelanne était une femme …La tentation l’emporta sur la sagesse .
Elle ouvrit la malle .

Un léger grincement accompagna l’ouverture de la malle en fer, encore froide de la nuit passée au creux des vagues. Si le coffre était lourd par le poids, ce n’était pas dû à son contenu, car lorsque la lumière pénétra l’intérieur du bois sombre, seul un vieux parchemin jonchait le fond. En hautes lettres, on pouvait y lire :

Bonjour à toi, valeureux aventurier. En ouvrant ce coffre, tu t’engages sur la piste de Pierre Lenoir, terrifiant pirate de la Méditerranée.

Sous ce gros titre, une explication.

Pour mieux comprendre ce mystère, je t’emmène il y a quelques semaines, dans les caves du conseil municipal. Recherchant un vieux Traité signé avec la Touraine, je suis tombé sur ce portrait qui accompagnait un rapport de police.



Intrigué, j’ai examiné le rapport et j’ai appris que Pierre Lenoir était un pirate redouté de la Bretagne à l’Espagne. On racontait que ses recettes atteignaient une somme faramineuse. Il pesait à ce point sur le commerce maritime que le roi de France détacha un bataillon de mer. Il n’en fut rien, personne ne put l’arrêter. Les années passèrent, et on disait qu’il avait maintenant regagné les terres et qu’il cherchait à cacher son trésor quelque part sur la côte.

Un soir de novembre, alors que les jours raccourcissaient et qu’il ne faisait pas bon vivre de traîner dans les rues, la carcasse du Capitaine Lenoir avait été découverte devant la taverne municipale de La Rochelle. Rien de plus. Une enquête fut lancée pour découvrir la réalité de ce meurtre.

Quelques mois plus tard, la vérité avait éclaté. L’enquête avait percé les mystères du corps sans vie. L’arme et le lieu du crime étaient connus, l’assassin avait été pendu.

Je te propose donc cher aventurier de replonger dans cette enquête afin de découvrir la vérité sur l’assassinat du Capitaine Lenoir. tu devras reconstituer le crime, en découvrant l’assassin, l’arme et l’endroit où il a été tué. Je te livrerai un indice pour chaque énigme posée résolue.

Alors si l’aventure t’en dis, suis donc mes énigmes, et découvre qui fut l’assassin de Pierre Lenoir. Tu as dès à présent 3 jours pour me fournir la liste de tous les aventuriers qui désirent suivre cette quête. Bon jeu à tous, et à dans 3 jours pour une première énigme.

Velaron


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Après deux jours d'attente, seulement 4 personnes s'étaient manifestées. Voulant motiver les Rochelais, Velaron se rendit en place publique :

Bonjour à tous. A ce jour, sont inscrits :
- Florelanne
- Xedar
- Muzelinne
- Meval

J'invite vraiment toutes les personnes motivées à se manifester, vous ne le regretterez pas.

En attendant la première énigme, voici ce que j'ai déjà pu amasser pour vous aider :

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Meval avait entendu parler du coffre découvert par Florelanne sur la plage, et du mystère qu'il contenait.

Elle avait toujours aimé les défis, et retrouver la piste de l'assassin du propriétaire du coffre était une idée qui la séduisait. Après tout, il fallait occuper les longues journées, et mener l'enquête était certainement plus judicieux que de rester seule à boire dans son coin.

Le seul inconvénient qu'elle pouvait rencontrer était sa méconnaissance de la ville. Installée depuis peu de temps à La Rochelle, elle n'avait pas encore eu le temps d'en parcourir les moindre ruelles.

Elle risquait de se perdre...

Il fallait qu'elle déniche quelqu'un pour lui servir de guide, avant que les autres participants ne prennent trop d'avance.

C'est donc tout naturellement qu'elle proposa a une jeune femme muette, fildais, de faire équipe avec elle. Ça tombait bien, Meval n'aimait guère les grands discours. Cela permettrait à la jeune femme de penser un peu à autre chose, et, qui sait, en cherchant l'identité de l'assassin, peut être retrouverait elle sa voix...

La jeune muette montra son assentiment pour participer à cette recherche d'un signe de tête. Profitant de cet acquiescement, et avant qu'elle ne change d'avis, Meval sauta sur ses pieds, et entraina Fildais vers la place publique où le coffre avait été emmené.
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Avant, elle disait tout un tas de conneries avec sa boîte à diseuse d’ânerie.
Maintenant qu’elle était devenue muette, le moindre mouvement de balancier de son chef était interprété comme une réponse.

Elle aurait voulu crier après la damoiselle.
Meval qu’elle s’appelait la tornade.
La Compostelle aurait voulu lui dire, elle lui aurait expliqué que son hochement n’était nullement un acquiescement, mais juste un problème de cervical avant que la blonde –l’autre sous-entendu, suivez bon sang !- l’emporte dans son exaltation.
Trop tard.
Un bras qui traînait sur la table et voilà comment on était embringuée dans une histoire pas possible à l’insu de son plein gré.

Fildaïs courrait derrière, sans avoir d’autre choix, puisqu’un de ses bras –c’était utile parfois d’avoir les deux- était pris en otage par la nouvellement rochelaise.

Soit disant qu’elle ne connaissait pas l’coin.
Tu parles !
La jeune femme, était bien devant, et menait sa barque, ‘fin non là en l’occurrence c’était une Fild endeuillée jusqu’aux oreilles et qui aspirait à un long foutage de paix.

Elles rejoignirent donc assez aisément le brun numéro… enfin le brun tout court maintenant. Fildaïs lorgna avec méfiance la Meval, en se demandant si tout ceci n’était pas un complot fomenté par Vel dans le but de la distraire. Peut-être que ce dernier avait oublié ce qui était arrivé au dernier Fou qui s’y était risqué.
Une corde, un gibet. Au final un troubadour pendu.
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Muette et cintrée !

Alors que Velaron ouvrait le courrier de Rouletabille qui demandait pour participer, il fut interrompu par des bruits de course venant dans sa direction. A quelques dizaines de mètres, deux blondes se hataient vers la table dressée pour l'occasion.

En tête, il reconnu l'intrépide Meval et en queue -si je puis dire-, Fildaïs suivait, entrainée de toute évidence par Meval, au vu de sa main devenue bleue par la poigne de Meval et sa mine en moue des grands jours.

Arrivées à quelques pas, Meval s'arrêta et repris son soufle. Fildaïs lança un regard glacial à la nouvelle Rochelaise et à l'organisateur. Tentant d'ignorer le regard pesant de la Compostelle, Velaron s'adressa aux deux femmes :

Bonjour mesdames, vous venez vous inscrire?
Meval, j'ai bien reçu ton courrier et je t'ai déjà inscrite.
Quant à toi Fil, ravi que tu viennes t'y changer les idées.

Ni une ni deux, il enfourcha sa plume et rajouta sur le tableau



Une main squelettique venait de se poser, enfin de s'agripper sur son épaule en signe de protestation...
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Rouletabille avait parlé avec Velaron, il alla donc voir cette male pour y jeter un oeuil, se sera un bon moyen à la police Rochelaise de montrer leur éfficacité, " sa va être une formalité " se dit-il. En se rendant à la place publique, il croisa quelques connaissance qui attendait pour jouer, Velaron étais la, Roul' lui fit de grand geste.

Coucou suit la et opérationel !

Rouletabille alla prendre connaissance des premiers indices.
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Les rues de La Rochelle étaient désertes, balayées par un vent froid venu du Nord. Les senteurs marines avaient cédé la place à l’air sec et cassant des terres.
Le froid s’infiltrait partout, dans les corps, dans les cœurs, dans les âmes.

Que des gens s’obstinent a vivre dans ces régions polaires le laissait toujours pantois. Déjà préférer le ponant à la méditerranée le laissait dubitatif, mais y apprécier son climat septentrional relevait tout simplement de l’incompréhension.

Ceci dit…
Connaissant le patron, aucune rouerie n’était a écarter. Quoi de mieux que cette terre hostile pour se cacher.
Se cacher et mourir….

Morteburne…

Il avait écumer toutes les tavernes d’oc, courtiser les génoises, flirter avec la barbaresque pour lui remettre la main dessus.
Et c’était dans les alcôves des palaces Mauresques de Grenade qu’il avait retrouvé sa trace.

Le Raïs était mort dans un lointain port du Nord, assassiné comme un vulgaire pèlerin, sur le plancher des vaches.

Cette nouvelle l’avait plongé dans une colère noire.
On lui volait sa vengeance, on lui volait son or.

Gargouille avait aussitôt planté là les voiles et les dentelles dans lesquelles il dilapidait son argent pour vérifier par lui-même, et peut être s’il n’était pas trop tard, mettre la main sur le butin du pirate.
Son butin…


Il venait de finir le tour des tavernes, résigné.
Les chopes sales et vides avaient succédé aux comptoirs vides et aux portes fermées.

Même pas un début de sourire de tavernière a se mettre sous la dent, pas un bout de conversation a chaparder, ni même des histoires de comptoir a glaner, discrètement le dos auprès du feu.

Personne pour partager une chope, une bière, une rincée d’eau de vie. Au point où il en était, il aurait même partagé une tasse de tisane.

Il s’en retournait vers le port.
Une silhouette. Deux…

Des femmes assurément…belles, blondes.


On parlait de coffre, d’énigme, de trésor, de meurtre.

Il rebroussa chemin, les suivant vers la place publique.

La main glaciale posée sur l'épaule de Velaron l'avait obligé à se retourner. La Fil muette était là, devant lui, penaude comme d'habitude, frêle et froide. Il aurait voulu lui arracher ne fût-ce qu'un mot, un soufle pour qu'elle se réchauffe...

Qu'y a-t-il Fil? Tu ne veux pas jouer pour finir?

Durant les quelques secondes de réflexion prises par la blonde, Velaron vit s'approcher un homme qu'il ne connaissait pas, la visage légèrement usé par le poids des étés, au tain du sud et, chose intéressante, déguisé en pirate. Les yeux rivés sur les deux blondes, le pas légèrement hésitant, il s'approchait de la table de jeu.

Bonjour monsieur, et bienvenue, je suis Velaron et j'organise un jeu d'enquête en notre bonne ville de La Rochelle. Vous tombez fort bien, je vais clotûrer les inscriptions dans quelques instants, souhaitez-vous y participer?

Il tendit au voyageur une feuille de papier mentionnant les règles du jeu.

Afin de vous donner envie, mais aussi parce qu'il est temps, voici pour tous la première énigme de réflexion. A vous de trouver ce que ça signifie. Je vous laisse jusque mardi 20h pour m'envoyer votre réponse par courrier s'il vous plait.



Indices obtenus
Florelanne 0
Xedar 0
Muzelinne 0
Meval 0
Rouletabille 0
Fildaïs 0
Voyageur 0

PS: La réponse de l'énigme n'est pas un indice, l'énigme est une épreuve pour obtenir un indice.
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Mev jeta un coup d'oeil à l'homme qui se situait derrière eux lorsque Velaron le salua.

Ainsi, son sentiment d'être suivie lorsqu'elle emmenait la blonde, l'autre blonde, en direction de la place publique était bien réel.

L'homme portait un accoutrement digne de cette quête qui leur était proposée. L'idée de se déguiser en pirate afin de se plonger un peu plus dans la réalité de l'énigme porterait peut être ses fruits.

Elle aurait du y penser !

Mais le visage de l'homme, peu engageant, demeurait impassible face au sourie de Velaron. Il continuait à lorgner en direction des deux blondes, ce qui avait pour effet de créer chez Meval un sentiment de mal être.

Se penchant vers Fildais, elle lui chuchota à l'oreille :

L'est étrange le bonhomme, et il sent les marées traversées au gré des lunes. Il a du passer de long moments dans les cales, avec les cargaisons de poissons.

Elle grimaça à l'image de l'homme écumant les mers, coulant d'autres navires se trouvant malencontreusement sur sa route, dépouillant les survivants...

Ses idées furent ramenées à la réalité par la voix du jeune homme qui leur proposait enfin la première énigme à résoudre, celle qui leur apporterait le premier indice pour découvrir l'identité de l'assassin.

Elle examina attentivement ce qu'offrait à leurs yeux Velaron. Cela n'avait aucun sens.

Deux lettre sur un parchemin...

Des initiales ? Le début de mots ? Le nom d'une rue ? .....

Meval, bien décidée à trouver la réponse en premier, histoire de faire taire les mauvaises langues qui pensaient, à tort que les blondes ne savaient point réfléchir, se concentra un peu plus.

Sourcils froncés, bout de langue apparaissant au coin des lèvres, plis de concentration sur le front....

Lorsque tout à coup, elle s'écria.

Mais bien sur ! C'est tellement évident qu'on ne le voit pas !

J'ai trouvé !
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Xedar avait entendue parler dans les rues que l'on cherchait l'assassin de Pierre Lenoir.
Il s'était mis en route, et arrivé sur les lieux, salua tout le monde puis prit connaissances de ce qu'on voulait bien lui indiquer.

Un grand G avec un petit a en face...
Mais il faut trouver quoi exactement là?

Tout à coup Meval s'écria.

Mais bien sur ! C'est tellement évident qu'on ne le voit pas !

J'ai trouvé !

Elle a trouvé...
Et moi qui n'ai pas encore trouvé ce qu'il fallait chercher...
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Bleizra avait entendu parler d'une enquête .. Chouette ! Voilà qui allait mettre à contributions ses méninges !

Messire Velaron, inscrivez-moi comme participante je vous prie !, s'écria-t-elle en entendant sa proposition !

Première énigme .. J'ai trouvé !

Bleizra griffonna rapidement sa réponse et la tendit à Velaron.

Velaron reçut le papier tendu par Meval. Il avait décidé de n'ouvrir aucun courrier avant l'échéance, par peur d'être trahi par une réaction quelconque.

Alors que Xedar se creusait encore les méninges, une dame se présenta :

C'est que ... euh ... Les inscription sont closes normalement...
Le teint rosissant, il réfléchit durant quelques secondes et reprit :
Quoi que, après tout, je vous inscris. Cela attirera du monde et les premiers inscrits ne seront pas lésés. Qu'il soit su donc de tous que les inscriptions peuvent toujours se faire.
Puis-je connaître votre nom s'il vous plait madame?
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Muze voyais que pas mal de monde arrivais pour se faire inscrire au jeux du pirate ,
se dit velaron vas être contant

elle avait tout lu et se dit ..
humm moi pour le moment je ne vois rien!!

c est vrais pour les chasses au trésor ou autre je suis vraiment pas douée
faudrait qu elle demande a son oragon...

elle s assoie dans un coin et se met a réfléchir..
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Tribun et boulangère