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[RP] Quand le Pair n'est pas là, la jeunesse danse !

Eilinn_melani
La main tout juste baisée retrouva son appui favori, le bras d'Eoghan. Non pas qu'elle considérait le breton comme un accoudoir, mais il fallait admettre que ça en jetait de se présenter avec un cavalier, de surcroit de la parentèle de leur hôte. Eilinn offrit à Aimbaud son sourire le plus courtois.

Bien entendu, je ne saurai refuser une telle requête de la part de notre hôte qui sait si bien nous accueillir...

Voyez comme je me sacrifie pour le bien-être de la communauté ! Pensez à ma béatification les gens, de mon vivant de préférence !
Déjà il partait accueillir d'autres convives, au soulagement de la jeune fille. Une pression de la main et elle invita Eoghan à se détourner du trône. Un soupir léger, la pression redescendait.

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Eoghan
Dénéré-Dongénan ! Le frère de Maeve - tiens, vous n'êtes pas roux - le neveu de ma dulcinée de cousine. Bref, mon lointain cousin. Nous voilà en famille !

Le "tiens, vous n'êtes pas roux" lui tirailla un sourire amusé. Une famille de roux, et il était le seul blond. Eoghan nota dans sa caboche que cet Aimbaud avait un oeil bien plus vif que la plupart des gens. Non pas qu'il faille être vif pour remarquer qu'il était blond comme les blés, mais bien vif pour remarquer consciemment cette étrange blondeur dans une famille de brun et de roux.
Par contre, le "neveu de ma dulcinée de cousine" lui était bien étrange. Ainsi, il avait un lien de parenté avec le Josselinière ? C'était tout à fait possible, au fond, mais ne connaissant que la partie Bretonne de sa généalogie Dénérienne, le blondinet fut assez surpris de cette remarque. Mais pas le temps de l'interroger et de faire connaissance davantage avec cet hôte finalement fort sympathique. Eilinn les éloignait déjà du "trône".


Humpf. J'aurais bien aimé discuter un peu plus avec lui moi.

Agacé, le Dragon se perd un peu dans la foule avec au bras, bien évidemment, la convoitée Melani. Bien sûr, il n'avait nullement remarquer l'invitation à danser que le Josselinière avait offert à sa cavalière, bien trop occupé dans le fil de ses pensées. Sinon, imaginez la belle scène de jalousie que cela aurait provoqué chez ce désormais colérique d'ado en pleine crise hormonale.

Tic tac tic tac, qui sera la prochaine personne à croiser ou à éviter ? Faites vos jeux, prenez vos tickets, rien n'est encore décidé ! Et de se tourner vers son amie.


Bon, et on fait quoi maintenant ?

N'émeraudes perdus dans la vaste salle.
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Catalina_constance
[1 Km à pied ca use, ca use... et plein de km, alors?]

L'empire c'est loin... oh que oui, des nœuds, un tas de nœuds, indigérable...

Heureusement encore qu'il fait toujours en quelques sortes plaisir de venir dans un endroit nouveau, voyage toujours plein de découverte et de plus pour cette fois l'on pouvait compter une nouvelle personne dans le carrosse décoré du renard de la famille Volpilhat.
Compagnie récente et tellement plaisante pour celle qui était si habitué à la solitude, une jeune femme qui ne devait pas compter plus de printemps que la jeune rousse et qu'elle avait rencontré lors de ballade en Empire.

Puis la chose c'était faite naturellement, la Volpilhat avait invité la jeune fille à l'accompagner dans ses voyages et ainsi celle ci se retrouvait avec la compagnie habituelle dans le coche qui se secouait au rythme de la route direction Coribgny.

C'est long...

On discute, on regarde le paysage, on essaye de lire mais les nausées viennent trop vite... on s'occupe comme l'on peut plusieurs jours durant, parsemé de quelques pauses.

C'est toujours long...

Que nous attendra-t-il la bas? Est ce que ca sera bien? Qui y'aura t-il?
De toute manière il est trop tard la moitié de la route est déjà parcourue et puis c'est une invitation, non?
Puis l'on arrive la ou à l'horizon on peut découvrir les terres qui s'avance, et petit à petit le paysage se peuple.
La petite duchesse soupire, enfin, il n'est pas trop tard.

Enfin c'est finit...

Tout le monde débarque, mais bon sang! on est à la bourre! Encore... grimace.
La rousse active un peu le monde, chargeant la gouvernante de s'occuper de la plus petite, aujourd'hui elles visiteront pour laissé les deux jeunes filles se rendre aux festivités organisé par le jeune Aimbaud.
De son coté Catalina commence à s'avancer souriante posant sa main sur le bras de Judith pour faire signe à celle ci de la suivre.

Vous savez je ne sais pas vraiment ce qu'il nous attend mais nous allons nous amuser, n'est ce pas?!

Elle avait dit ca malicieuse, et était partit en même temps dans la direction du Castel, c'était en faite plus une façon de se rassurer qu'une question néanmoins elle attendit la réaction de Judith.

Puis elles ... nan mais c'est vrai ca? ou qu'elles vont les d'moiselles?
et puis ben nan on les fait entrer, et une fois arrivée à bon port, on reste un peu devant l'entrée et... euh... Fichtre c'est quoi tout ce monde!

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Eilinn_melani
Ah non mais c'était pas possible ça, il râlait pour y aller, et maintenant qu'ils s'éloignaient il râlait aussi. Jamais content ces garçons, à se demander vraiment comment ça fonctionnait... La gamine leva les yeux au ciel l'air exaspéré et lâcha un dépité :

Eh bien retourne-donc le voir si il te plait tant.

Tiens tiens, un début de manifestation d'agacement. La main fine d'Eilinn se retira du bras d'Eoghan, le laissant alors libre de ses mouvements. Après tout le bal n'avait pas encore débuté, si il avait envie de baguenauder à gauche ou droite, tout comme elle, autant y aller. Elle avait toujours autant soif, ainsi elle informa son cavalier de ses projets.

Je vais aller trouver quelque chose à boire qui ne soit pas additionné de trop de gingembre.

Et la gamine tourna les talons pour retourner au buffet. Son humeur hésitait entre l'angoisse et l'agacement, à savoir comment se déroulerait la soirée.
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Eoghan
Corps qui se pétrifie d'étonnement à la réaction de la Melani. Mais que lui passait-il par la tête ? Après tout, c'est elle qui depuis tout le début de la soirée, faisait des crises d'angoisse à répétition, et donc lui qui devait subir sans concessions aucunes toutes les humeurs de son amie. Et à peine quelques mots s'échappent-ils de ses lèvres que la voilà vexée, et parti vers le buffet.
Si cela n'avait pas été d'elle, sûrement le Dénéré aurait-il été d'humeur massacrante dans les minutes qui auraient suivi, mais là, seul le dépit semblait faire office de réaction.
La voilà déjà éloignée, et sûrement pas envie de la rejoindre comme un petit toutou à sa mémère, par fierté et surtout qu'il n'avait aucunement envie de lui donner raison.

Grommellement en règle, coup de pied dans un gobelet de bois qui passait par là - parce qu'un gobelet passe toujours par là quand Eo est contrarié - puis direction le coin le plus en retrait de la réception. Finalement, reprendre ses habitudes de timide maladif n'était pas plus mal. Ca permet d'éviter bien des tracas. Et voilà donc notre jeune Dragon affalé contre un mur, ruminant dans son coin et ignorant royalement tout le beau monde qui faisait son défilé annuel, joaillerie, haute-couture et potins du jour.

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Astrid_la_rouge
[En chemin]

En temps ordinaire, Astrid aurait sommeillé comme une bienheureuse au fond du carrosse. Ici la toute jeune fille répète inlassablement ses exercices qui consistent à laisser sa langue au fond de son palais……… des JJJJJeu……. Cheeeu et tous les mots qu'elle pourrait être amené à exprimer pour éviter d'avoir le déshonneur de sa vie en voyant ressurgir son défaut de langue.

Jusqu'à ces 14 ans, âge de la majorité qu'elle vient tout juste de fêter la vie d'Astrid n'a été qu'une multitude de voyages, pourquoi Dieu ses origines sont elle Samp…. euh Champenoises?

Un invitation à une sauterie de jeunes gens de la noblesse………….. Et chose des plus étrange ses parents qui se font un plaisir de lui accorder leur bénédiction pour s'y rendre …….. Dans une famille ou l'on baigne en plein Aristoliscisme on crie MIRACLE!!!! Astrid s'en était bien abstenue………………. Surtout………. petit détail qui a son importance, qu'elle a échangé le carton d'invitation avec celui pour les noces du filleul de sa génitrice en Champagne. Bien sûr le coquin de tonton s'est fait complice du pieux mensonge et en échange de son cadeau de noces, lui a fourni deux tonneaux de vin pétillant de Champagne, boisson de plus en plus estimée par les connaisseurs, une curiosité qui aux dires du dit tonton "serait fort appréciée à leur petite fête".

La famille était en séjour en Flandres si le Très Haut le souhaitait, c'est là qu'ils s'installeraient. Les Flandres ce fût aussi l'occasion pour Astrid de rencontrer le drapier d'Attigny. Jacques avait présenté toutes sortes d'étoffes plus belles les unes que les autres et fille et marraine avaient partagé de ces moments que seules les femmes peuvent comprendre vraiment. La jeune fille n'avait donc eu que l'embarras du choix pour trouver une tenu adéquate pour cette première sortie.

Confrontée trop tôt au monde des adultes Astrid avait dû faire marche arrière dans son jeune âge pour retrouver l'innocence de l'enfance. Situation douillette dont elle avait du mal à sortir.


[au domaine]

Quand faut y aller, faut y aller………… Astrid ne savait qu'une chose c'est qu'elle devait se faire annoncer en donnant le petit carton ou était inscrit : Damoiselle Astrid Maledent de Feytiat à un certain thibaud, ensuite ce serait l'inconnu…..

édit pour cohérence RP.......ben vi avait zappé que le fête était secrète
Clemence.de.lepine
Petit rachitique couvert de pustules… Bien reçu. Sauf que c’est pas ce qui manque, des gamins pré pubères, et Clémence aurait bien du mal à repérer son objectif s’il n’y avait ce trône, et cette foule, autour d’un… gamin fièrement campé sur ses jambes. Il a l’air ravi mais qui ne le serait pas de voir tant de monde réuni chez soi, à défaut que cela soit complètement pour soi.

Trouvé ! Fait-elle à l’adresse de Blanche, les commissures relevées en un sourire triomphant.

Et tiens, en parlant de gamin… en voilà un autre qui n’hésite pas à apostropher Blanche – SA Blanche, pour l’occasion, ne sont-elles pas venues ensemble, après tout ? – et à l’ignorer superbement avant de se rattraper mièvrement.

Le Montmorency effectue poliment, dans l'ordre, sa révérence et son baise-main. Doucement, elle vient ensuite retirer sa main et la remettre posément dans son giron – on n’a pas idée de s’en emparer ainsi sans lui laisser le moindre choix – puis foudroie le maladroit personnage d’un regard sans appel. Quoi, Madame ? Il en a d’autres, des blagues comme celles-là ? Et c’est ce terme qui la choque, et moins le fait qu’il l’ait interrompue, ou qu’il lui ait tourné le dos de façon éhontée. Ça, non, c’est un gosse après tout, et si cela n’excuse pas le manque d’éducation, cela peut justifier sa maladresse. Mais à ce madame, elle a envie de rétorquer un
« Ma demoiselle » grinçant comme le ferait n’importe quelle Inès Sastre à lunettes – gnagnagna ça n’existait pas à l’époque. Mais elle n’est pas niaise et surtout, elle est moins pimbêche qu’on ne pourrait le penser. Mouais.

Alors elle ne fait que le foudroyer, encore, et puis Blanche aussi tant qu’on y est, puisqu'elle use d’un
« Magnificence » goguenard, et elle hausse les épaules, lève les yeux au ciel, tout en retenant un soupir consterné.

Voilà, c’est ça, c’est celle que je suis, Clémence de l’Epine. Nous nous sommes déjà croisés en quelques occasions, il me semble. Il ne lui semble pas, non : elle en est certaine, elle a la mémoire des visages. Elle hésite un moment, étudie le visage de Grimoald et s’autorise finalement à le sermonner d’un ton monocorde, avec toute la nonchalance dont elle sait faire preuve.

Voulez-vous un conseil pour briller auprès des dames ? Oui, sans aucun doute... Évitez de leur empoigner la main comme vous le feriez avec votre meilleur ami. Nous sommes délicates, nous. Et de papillonner en direction de Blanche : n’est-ce pas que nous le sommes ? Attendez que nous vous proposions notre main, plutôt que de nous la subtiliser avec cette fougue qui vous caractérise si bien. Ah, ces mâles, toujours à vouloir s’approprier tout par eux-mêmes, dans l’urgence, la précipitation. Alors que franchement, rien ne vaut la finesse et la subtilité d’un mot ou d’un geste.


[Edit 1= clarification + souci de cohérence
Edit 2= rectification de l'Edit 1... ou comment être un boulet]

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Natsuki.
Résumé :
Nats va vers le buffet, entrainant avec elle -ou pas- la petite.

Narration :
Il y eut conversation. Au sens des mômes, tel était le souci. Natsuki était complètement submergée par le flot des mots de Camille, surtout qu'elle ne l'entendait qu'à moitié, l'autre étant couverte par le brouhaha mondain, ainsi que par la musique -on en était à la chanson "sec si biche"- jouée d'une manière ne plaisant probablement pas aux esthètes dotés de l'oreille absolue, mais qui convenait parfaitement à cette soirée. Il n'empêche que Natsuki comprit certaines choses : ainsi la gamine voulaient par la suite vendre des tables, et voulaient lui montrer les futures clients, des bonnes soeurs, ou presque, qui désiraient meubler leur tentes, et Aimbaud en faisait parti. "Vendettal, même que c'est la presque soeur à la maman à Un Beau. Même que c'est sa presque tante ! C'est elle qui mo la dit, oui. . "

J'avoue elle était complètement sourde.
Mais il y avait les effluves d'alcool dans la salle. Pardi, on n'allait pas boire que du champomy...
Mais vous, vous entendez réellement ce qu'on vous dit en soirée ?

Bref, elle était gênée, aussi glissa t'elle à l'oreille de Camille qu'elle avait un peu faim et qu'elle allait de ce pas vers le buffet, qu'elle trouva d'un rapide coup d'oeil.


Tu viens ? Moi j'y vais.

Aussi s'exécuta-t'elle en se tenant ses tempes, grommelant dans sa barbe qu'elle n'aura jamais, et pestant contre cette fichue soirée qui lui donnait mal à la tête. Natsuki n'aimait définitivement pas les bals. Ca serait son dernier bal, sa dernière soirée, demain dans l'journal...

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Camille_agathe
résumé : au buffet avec Natsuki/ attend Astrid avec espoir/ à la recherche de personnnes connaissant Vendéttal.

La grande l'écoute avec ce regard qu'ont parfois les grands, quand ils pigent rien à ce qu'elle raconte. Pourtant, elle a bien "spliqué", du moins elle a essayé... depuis qu'elle a 5 ans, ça arrive vachement moins qu'avant qu'on la comprenne pas !

Haussement d'épaule. C'pas graffe. Pour Camille, à part l'orphelinat ou la mort d'un proche, rien n'est jamais vraiment "graffe". La grande lui explique qu'elle va manger.

"Tu viens ?"

Ouais, elle aurait quand même aimé savoir si cette grande connaissait Vendéttal... Mais manger c'est une belle consolation après tout.

La gamine suit donc le mouvement, en se disant que ce serait vraiment bien si sa nouvelle coupine Astrid pouvait se pointer. Elle sait pas, elle, qu'Astrid arrive en ce moment même, mais attend d'être accueillie par un Thibaud qui en a marre d'accueillir. Pas de chance.

Chouette, j'a faim. Commême, j'ameras bien voir Vendettal, moi.

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Eilinn_melani
[Au buffet, parce que faire la fête ça creuse]

Le duo s'était séparé. A vrai dire cela ne faisait ni chaud ni froid à Eilinn, ayant bien assez de ses propres caprices à gérer sans en plus se coltiner ceux d'Eoghan.
Les domestiques étaient en pleine effervescence, et Eilinn réussit à obtenir une boisson non-identifiable, avec pas trop d'alcool dedans pour éviter de rouler sous la table au bout de cinq minutes. D'ailleurs le monde commençait à se presser autour des tables chargées de victuailles et de boissons.
Une autre jeune fille [Natsuki, ndla] arriva, avec dans les jupons une enfant minuscule, et Eilinn s'interrogea sur la présence assez intrigante de gamins en si bas âge à une fête ultra-méga-top-secrète ou avaient été promis alcool et débauche. Elle glissa à la brunette près d'elle :


J'éviterai l'hypocras si j'étais vous, il n'est pas formidable.

Eilinn jeta un oeil à la gnome qui devait avoir 6 printemps à tout casser, et encore, évaluer les âges n'était pas sa spécialité. Fallait espérer que l'hôte ait prévu des jus de fruits pour les nains, sinon ça risquait de donner des résultats inattendus.

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Camille_agathe
[au buffet ]

Du lait. Elle boit du lait. Enfin devant les femmes, parce qu'à avec son parrain, son père et son grand père, elle apprend la bière. Et ce soir elle va pas se priver.

Camille attrape tout ce que ses petites mains peuvent attraper : faisan, poulet... Et se met à mâchonner. Une jeune fille la dévisage, et Camille comprend de suite ce qu'elle veut comprendre : elle s'inquiète qu'elle répète le secret. Les grands ça croit toujours que les petits ça sait pas se taire. Elle avale.

A pas peur, je dira pas. Chuis fortiche en socrets.

Un sourire.

Moi Chuis Camille, j'a 5 ans. Dis, tu connais Vendettal ?

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Eilinn_melani
La naine se mit à communiquer avec Eilinn. Kezako un socret ? Eilinn fronça d'abord un sourcil en tentant de décrypter les propos de la môme. Puis soudain l'illumination. Allons bon, de quoi qu'elle causait ? Eilinn avait beau se fouiller les méninges, elle ne voyait pas de quoi elle devait avoir peur. Elle finit par se dire que cela devait être probablement un raisonnement d'une enfant de 5 ans avec des tenants et aboutissants inconnus d'elle.
Elle lui fit un chaleureux sourire tandis qu'elle se présentait.


Bonsoir Camille, moi c'est Eilinn, j'ai treize ans. Et non je ne connais pas Vendetta, qui est-ce donc ?

Pendant ce temps, Eilinn ramenait à portée des mains de Camille de quoi sustenter un régiment, vu la vitesse à laquelle elle engloutissait la bouffe, elle espérait que les parents avaient prévu un budget nourriture conséquent.
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Camille_agathe
Encore une grande qui fronce les sourcils en l'écoutant ! Gné pa potib ça, faut vraiment qu'elle fasse un effort la gamine. Ah, si Astrid etait là, elle comprendrait tout, elle. En attendant, faire un effort s'impose.

Tu sais, le socret de la fête. Je dira pas à mon papa, quoi.


Bonsoir Camille, moi c'est Eilinn, j'ai treize ans. Et non je ne connais pas Vendetta, qui est-ce donc ?

Camille attrape les victuailles qu'Eilinn lui tend avec un grand sourire. Oh oh... peut être pas une bonne idée de donner à manger à une enfant qu'on a déjà du mal à comprendre....

Merchi ! Ché Vendettaleuh... Ché la preschque tante à Aimbaud, elle est de l'Anchou.

Avale Camille bon sang ! Gloups. Obéissante avec sa marrionnetiste, et encore heureux, la gamine fait une pause.

Vendettal de Charnée-Chandos Penthièvre c'est son nom tout long. C'ma coupine. L'est pas là, pfff.

Haussement d'épaules. Vendettal arrivera peut etre plus tard après tout. Sourire.

Chuis cré chantée. Tu viens d'où toi ? Moi, de les Flandres. Mon nom tout long c'est Camille-Agathe de Clairambault.

L'enfant sourit et reprend son mâchonnage.

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Astrid_la_rouge
Une éternité à attendre le fameux Thibaud qui devrait l'annoncer, pour sûr il a dû réceptionner le vin de Champagne et l'oublier........... Devine voix et rires juvéniles………..souffle, soupire, jure intérieurement et puis zut!

Astrid! Espèce de gourdasse vas y, on ne vas pas te manger, à force de regarder le plafond tu vas l'user. Là bas sûr il y a du monde et pour une fois tu pourrais bien t'amuser…….. lui dit sa petite voix intérieure.

C'est parti, démarche lente ………elle suit le bourdonnement……… croise des jeunes gens qu'elle ne connaît pas, salue d'un sourire………….. cherche et fini par repérer la petite Camille, là la vitesse s'accélère…… Elle fonce direct sur la fillette.

Pas timide la Camille, elle s'empiffre et converse à tout va, le contraire eut été étonnant. Astrid se place derrière elle et lui masque les yeux de ses mains en lui chuchotant.


Qui? Damoiselle de Clairambault
Natsuki.
Résumé : Natsuki engage la conversation avec Eilin, tout en observant du coin de l'oeil Camille et Astrid.

En s'éloignant de la scène, Natsuki recouvrit un peu d'ouïe, ce qui lui permit de comprendre Eilin, qu'elle remercia d'un merci tout en reposant la bouteille d'hypocras, mais surtout d'entendre enfin correctement ce que lui disait Camille. Mais elle ne connaissait toujours pas cette Vendettal, aussi préféra t-elle s'abstenir de commentaire. Puis vint Astrid qui fit une farce à la petite fille, Natsuki se rapprocha alors d'Eilin pour lui glisser :

Et bien, enchantée alors, pour ma part je me nomme Natsuki.

Puis tout en agitant son verre généreusement empli de Saumur :


Et connaissez vous quelqu'un parmi toutes ces personnes ?
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